770,600 )W-VU8 rOIN ýjo j1 4 4w',~ 4S M I 'U.-d a)~j SPN Sk Q, I'L I'> '~~rA H TZ DOCTRINE ET TRAITEMENT HOM,,OEO PATHIQuE DES MALADIES CHRONIIQIJES 11IDRAIRIA, ]E 5sB&BAILIJERE. DU MAGN1ATISME ANIMAL EN FRANCE et DES JUGEMENS QU'EN ONT POR.TI S LES SOCIlTeAS SAVANTES, avec le texte des divlers rapports faits en 1784 par les comimissaires de I'Acade'mie des Sciences de la FacLult6' et de la Societe royale de mn~decine, et une analyse des derni~rcs se~ances de l'Acad6mie royale de mniedecine, et du rapport de M. Husson; suivi de conside'rations sur l'apparition de 1'EXTASE DANS LES TRAITEMENS MAGN1tTIQUES, par Al. BER,.TRAND, docteur enm&ecine de la Facult' de Paris, ancien 'le~vc de i'ecoie Polytechnique, etc. Paris, 182,6, in.-8. 7 fr. SUR LES FONCTIONS DU CEIVVEAU ET SUR CELLES DE CHACUNE DE SES PARTIES, avec des observations sur la possibilite' de reconnaitre Ics instincts, les penchans, les talens, on les dispositions morales et intellectuelles des homimes et des animaux, par ]a configuration. de leur cerveau et de leur tefte; par le docteur F.-J. GALL. Paris, 1825, 6 vol. in-8. 42 fr. L'ART DE PROLONGER LA VIE DE L'HOMME, par C.-G. 1-ILIELAND, consei ller d'e'tat, premier m'decin du roi de Prusse, directeur de l'e6cole de me'decine de Berlin, etc.; traduit de l'allemnand, par A.-J.--L. JOURDAN. Paris, 1824, in-S. 6 fri. NOUVEA.UX ItLIMENS D'HYGL16NE, re'dig-ls suivant les principes de la nouvelle doctrine me'dicale, par Charles LONDE, D. M. P., membre de l'Acade'mie royale de me'decine, de la Societe' medicale d'fmulation. de Paris, de la Societe' medicale de Londres.Paris, 1827, 2 VOL. in-S. 12 fr.' LA SOLITUDE; par J. -G. ZIMMERAIANN, nouvelle traduction de l'allemand, par A.-J.-L. JOL7RDAN. Paris, 1825, in-8. 7 fr. NOSOGRAPHIE ORGANIQUE, ou TRA1Tt COMPLET DE MIPDECINE PRATIQUE; par F.-.G. BOISSEAu, D. M. P., inembre des Acade'mies royales de Me'decine de Paris et de Madrid, professeur "a 1'h"pital militaire d'instruction de Metz. ParisJ, 1828-1 83o, 4 forts vol. in-S. 34 fr. PYRIETOLOGIE PHYSIOLOGIQUE, ou Traite'des fie'vres conside'rees dans l'esprit de ]a nouvelle doctrine me'dicale, par F.-G. BoiSSEAU. Quatrie'me edition,. augrnentc~e. Paris, 1831, 1 vol. in-S de 7 25 pages. 9 fr. LES LOIS DE LA RfVULS ION, e6tudie'es sous Ic rapport the'rapeutique et physiologrique, par J.-S. SABATIE R, D. M. P., ancien interne des hopitaux civils de Paris. Ouvrage couronne" Par la Socidhte'de rnicdecine prai'ique de Paris. 183 j, in-S. 3 fr. NOUVEAU SYSTtME DE CHIMIE ORGANIQUE, par V. RAS-, PAIL. Paris, 1832,) rn-S avec douze planches%.. DOCTRINE ET TRALTEMENT HOMOEOPATHIQUE DE~S MALADIES CHRONIQUES, PAR S. HAHNEMANN. ThaDUIT DR L'IALLEXAND PAR A.-J.-L. JOUBLDAN, MEMBRE DE L'ACADtMIR ROYALE DRE f*DECZNU. TOME SECOND. PARILSI J.'-B. BAILLIERE, LIERAIRE DE L vACAD1ýMIE ]ROYALE DIE ME'DECI1~E, RUE DE L'iCOLE-DE-31EDECINEB, 13 i3 s. LONDRES7 MIME MAISON7 219, REGENT-STREET. BRIUXELLESI TIRCHEII. - GANfD pDU3ARD[R,- LIEGS p DESOER. 2MONWS, LEROUJX. 1830"a DOCTRINE ET TUAITE1MENT HOMOE OPATHLQ1IE DES MALADIES" CHRONIQUES. X1. Ptrole (Qlc'ur petrev). CE produit de I'in'terieur de la. terre, Si remarquaft ble par son odeur, sa. saveur et ses proprie~tes me'dici-~ nales'doit etre tres-coulant et d'un jaune clair, quand on vejit 1'appliquer aux besoins de la. medecine. II ne peut gue're arriver, lorsqu'on le choisit dou6' de cette- grande fi uidite', qu'il ait 6t6 falsifie' avec des huiles -grasses vege'tales. Cependant, pour acqu'r-ir une pleine certitude at cet e'gard, j'ai indiqu6", dans, mon Traite' en allemand,,, Sur leS rnoyens de recortnaitre la bonne qualitM et les falsý/ications des me:'dicarnens (Dresde, 1787, P. 2121), un. myen qui consiste 'a me'lei, avec le petrole, de l'acide6 sulftirique concentr6f, qui n'y touche point, et converlit seuletnent en une espe'ce de soufre' les huiles e'tranII1. 1 2 ~DOCTRINE HoMOEoPATHrQTIE. g~rs aeclesueles il pourrait se trouver rn16 Ce' pendant ii est une autre me'thode plus simple encore de s'6'clairer sur ce point. On fait tombe~r une goutte de pe'trole stir une feujile de papier blanc, qu'on expose ensuite "a l'air, ou qu'on met dans un endroit bien chaud; le pe'trole ne tarde pas ht se volatiliser, sans laisser de tache transparente ou translucide lorsqu'il ne contient point d'huule grasse. Plus fre~quemiment, on le rencontre me'I6 avec quelque, hbuile -volatile ve'geta le, par_ exemple., avec: del.'essence de tm'Teben thine. Cette falsification exige que, dans tous, Les cas, avant d'employer le pe'trole en m'decine, on y ajoute le double de son volume d'alcool, et qu'apre's avoir secoue plusieurs fois le me'lange, on le filtre ai travers du papier joseph, pre'alablement imbibe' d'alcool; Le pe'trole pur reste sur le filtre (on 1'enferme dans un petit flacon, dont on garnit de cire "a cache ter l'orifice et le bouchon), et ]a liqyeur alcoolique filtre~e contient 1'huile volatile v&.-.getale,2 s'il en e-xistait. En suivant la rnarche que j'ai tracde. da'n le ciaapitre consacr6 a la preparation des medicamens an-~ tipsoriques, on prend, non pas ungan, imais une goutte de pe'trole 2 qn'on amene an milli o~nuiere degre d'atte"nuation par le broiement ave~c du sucpre, de hJ'it; on digsout un grain de la poudre dans l'alcopl aqueux, et ron imprime deux s~ecousses ~ a'.dissolation, quý'on, -6tend ensuite, jusqu'au __sextillionni~m (ii),en donnant deux secotisses dilutionD. C'est.,sous cette, derniere forme qn'on l'em-ploie a titre de niedicament antipsorique. La d~ose' est d'un-at deux, globules de sucre qu~on en imbibe. Lorsqu'i a efe choisi bien homoeopathicque aux P 'T R 0 f, 3 symptoines de la maladie, le petrole, a cette dose, agit, d'une inani "re saluataire pendant _qualran~te jqiurs et plus; it de~ploie alors les prop ri.6tes d'un rne6dii-, ment antipsoriquef energique. Les maladies. chroni.-i qu~es inon veneriepnes dans lesqu~elles, it a e~e tro-uv6. le pins efficace sont celles da~ns lesqueltes prefdomi,naient surtout les etats suivans: Yertige; te'te ejitre~p~rise; absence de ]a r,ým oh re; mal de teate gravatif et Lau-cinant; battem ent dansio&l cipput-; chute descheveux; eruption sur Ia. tý Ee. e t - la. nuque; croiutes sur le cuir chevein; dartress a.- u,-. que; teinte jaune de Ia face; gaze devant les.yeux; presbyopie,.- impossibilit6" de lire des caracte'res, fi-ns sans, lunetteýS; intenmint d'oreilles; bourdonnement et bruissement d&oreilles; durete' de 1oi i; & cheresse et sensation penible de se'cheresse~dais, 1'oreille interne;.secheresse et, sensation'-penible de:.,sQ'ch~res~se.dans Ie-nez; obstructio~n-.dii nez; gonflement des glandesI sous- rnaxillaires,;lagu bhainche,- charoree r rapports bruyans; serz'epie. n de la gorge', avec afflux d'eau 'a ]a bouche; envies.:..de vorna'ir;.d.,efaiut d'appe'tit;repugnance, pour4]a via.xjde; fairn canine; boil]eversemenent dans le-bas, venitre; coliqiies;- selles dUres; selles frequenfeg, da~n3Ila journe'e (diarrhe'e);- suintern ent involontaire deI'ui'rie; r~ettecissem-ent de l'.ure'tre; ardetir dans" l'ue'~trqe. prutrit, et moiteur dZI Wsrotwn; pollutions freq~uen.t~es;, enroueinent; coryza; toux lesoir, apres "s'tre mis au lit; toux -s'che, pen~dant ]a inuit;- 6lana ceneins dans le co, 6.de Ia poitrine'; dart~re's SurIa (i) Surtout lorscju'on a fait pre'alablement usage de I'acideni trique. 4 DOCTRINE YHOMOEOPATHIQtTE. poitrine; dlouleur au sacrumn, qui ne permet pas de rester debout; mal de dos; rhagades saignantes ' a l p.eau, des mains et. des doigis, en liver; raid cur ar'thritique des articulationis des doigts; de'chiremens dans les mains; taches brunes anl poignet; dartre an. genou; craquernent et raideur des articulations;- engouidissernent des 7mneinbres; refpugnance pour le grand air; production',,(de chairs luxuriantes dans les -tice'res; bonillonnemiens du sang; songes vifs; irnpossibilite' de se re'veiller Ie matin; fi~vre intermniltente, le soir; froid, jris chaleur "a ]a faice, avec froid'aux pieds; sueuirs noctu rnes; caractere irascible; disposition- "a injurier; inqui'tucle. L'intspi ration d'un globule de suicre gros comm-e 1n Dgrain de cbe~nevis et imbibe d'nnc teinture de noix vomiquc, s-es~t montre'e le uejilleur antidote dii Petrol.e F equens, vertiges, en mi-archant. En se baissant, on est pris sur-le-champ de vertiges et de, malaise. Jvertige, en se levant de dessus sa chaise, ct en se baissarit. Vertige qui a Fair d'e't~e dmns, F' occiput, sui'tout quand on leive les yeux; ensuite le sujet e'prouve la mllme sensation que s'il, allait s'e'lanccr en avant. 5. Vertige et nausefes, surtout lorsqu'on a Ia te te basse, le soji', dans Icli t (an bout de trente heures). Violent vertige, qui oblige 'a se pencher en avant, avec pa4 eur de la face et Dause'es, plus prononce'es quand on se tient debo-ut que quand on s'asseoit, et qul se, dissipent, Iorsqu'on se con che; en meme ternps pouls, lent, rap ports, 1)aillCITIefs, rancuucd'appe'tit et lun peu de pre-Ssion dans le ventre. PlftROLE. Etant couche', on ressent de la chat cur au, visage, et onfe" prouve'des vertiges en se levant (aii bout de quarante-huit heures). Le matin, pesan1teaz'cde tdte, oii ]'on ressent comme de ]a plenit~ude et de la chaletir, suirtout en se, penchant et. en cousant-. La te'te est entreprise, et on se sent mal a son aise (au -bout de vingrt heures). io. La te'te est e'tourdie, irmmediatement apr~s le d'iner (au bout de neuf jours). Le sajet est tr,'~s-szyjet a' oublier et incapable de penser. Ce~phalalgrie, qui entreprend toute atte. La ta~te est comme entreprise toils les, jours, et ii semblerait souivent que cet effet tient At la tension de la diire-me're. Mat de te'te, coinme si la. dure-rn~re e'tait serre'e et tendue. 1 5. Tension dans la te'te. Acce's de mal de te'te, tous les matins. Le matin, en se levant, acc~s- de mal de te'te, pendant plusieurs jours. Mal de tate de's le matin, jusqu'api-es le de"jeuner. D~s le natin, maux de la'te sourds, avec tiraille.. mens, vers, le front jusqu'au soir; en meme ternps, grand froid jusqu'a' midi (ati bout de v'ingt-quatre heure's.) 20o. Mal de tate, le soir, api'~s avroir rnarche' au grand ali' Mal de te'te au c6te" droit; le suijet ne pouvant ouvrir lesyeuxiii tenir la te'te di'oite, il fut oblige" de se coucher. 6 DOCTRINE ILOMOEOPATHIQUE. Pression dans ]a tete (au. bout de vingt-qtiatre -heures). En se courbant, violente pression dans la te'te. Le matin, forte pression S~ur le vertex, la tetee6tant etourdie. 2.5. Pression dans la tate, dans les dents et dans les sinus maxillaires..Pression ca'l'occiput. Pression h 'a ta te, avec une sorte de sensibilite' excessive (au bout de deux jours). Pression dans le front, avec des M~ancemens isole's au-dessus de N'eil (au bout de vi~ngt-six jours). Pression tiraillante dans ]a tempe droite, sensible rneme en sommeillant (an bout de qnelques heures'). 3o. Pression, avec M'ancernens,1 dans 1'occiput, le niatin. Mal de te'te lancinant, et en Me-me temps gravatif, avec nausees. Un e~1anceznent dans le cote gauche de 1'occipnt, En marchant et se courbant, vives secousses Iancinantes dans ]a tate; le sujet e'tait toujours oblige' de s' arreter apres avoir fait quelques pas. Le soir, e'lancemens sourds convulsifs, sur le %vertex, dans 1'inte'rieur de ]a tate (an bout de huit heures), et, pen de temnps apr es, pression continue en cet endroit. 35. Le matin, en s'6veillant, sensation lancinante dans lefrn, qui s'etend biento't "a ]a partie post&' rieure de la te'te. Beaucoup de chialecur et d'6'lancernens dans ]a tate (au bout -de quatre jours). Grand afflilux du Cang Cvers la tate 'a chaque mfouvC PETROLE. went brusque; ce' qui cas n6acrent t tra-w vers le c'erveau. Elancemens, pulsatifs dans, un c't6- de la t Ate, audessus de 1'oeil. Battement dans, la. tete. 4o. Le s~ujet e'prouve. des batternens dans 1'occiput," toute la journee. Etant couch6' sur 1'occiput, ii y ressent des pub. sations. Forte douleur dans la te'te, surtout dans, le, fro"nt, qui se re~gle d'apres les pulsations dui pouls, conare Si Ia te'te allait s'ouvrir; Je mouvement la. calme. Douleurdepincement dans la tdte -(auq bout de deux jours). Pincement dans l'occiput (au bout de cinq jours)0 45. Pincement, tiraillement qui se dirige ver's-la, te.mpe gauche, en rernontan't (au bout de onze jours). Mal de te'te tiraillant;- auparavant douleur tirail-. lante' dans le bras droit (au bout de quelques heures). Mal, de toe tiraillant danis le front, avec 6lanceiencs au dessus, des yeux ( au bout de vingt-cinq jours). Tiraillement passager et semblable a tine crat'npe, dans les tempes (au. bout de dix heures). Mal de tate; tira~illement iet conistriction doulou5o. Mal de tate; constriction et serrement douloureux. Mal de tete seinbiable "a une crampe, dans ld temipe gauche (au bout de trois jours). Tirailleinent et pression tre's-sensibles, semblabics 8 DOCTRINE HOMOEOPATflIQUE. at des crampes, dans la tempe gauche ( an bout de quatre jours). Mal de teate; ]a te'te est commne serre'e dans uin etau. Sensation de~sagreable dans, ]a te'te, counme s'iI y avait dedans quelque chose de vivant qui y tournoie; avec repugnance pour le travail. 55. Douleur t~re~brante dans la te'te. L'inte~rieur de la te'te -est comme en gourdi quand on y touche (com me de bois) (au bout de trois jours). La te'te est, des deux c6t's, douloureuse au toucher, comme Si elle eftait malade en dedans ( au bout de cinq jours). Douleur an co't6 gauche de ]a te'te, cornme si la peau etait malade en dessous. Douleur "a la peau de ]a tate, commeah la suite d'une,contusion. 6o. Tumeurs molles, isohe'es, au. cuir chevein, qui causent des douleurs tre~s-vives quand on y~touche (an bout de vingt jours). Eruption de boutons sur ]a tate. Beaucoup de drniangeaisons an cuir chevein (an, bout de dix heures). Prurit an cuir chevelu; apre~s S'etre gratte, douleur cornme si ]a partie &tait excoriefe (au. bout de sept jours). Les cheveux tombent beaucoup. 65. Sneur abondan te " a la te, le soir, apr es qu'on est couch6'. Sensation de.chaleur 'a la face ( an bout de trois jours). Chaleur dansla tete et au visage, (an bo~ut de ci~nq, de six jours). Grande et continuelle pd~eur de Ia'fac'e. PETRO'Lke Clzaleur cti laface, rougeur des joules. 7o. Toute la journ~e, beauc QUp de chaleur au, visage, surtout en sor'taln.t d-e table ( au boutý de quatre jours). Chaleur azi visage et dans, les. yeux (de suite). Prurit i h et Iha ]Aface. Eruption de boutons 'a la face.' 'Eruption de boutons autour des yeux. 7 5. Elancemens, dans les sourcils;" Eruption de boutons stir les paupie'es. Les paupiei'es inf~rieures causent de la de'mangeaison, et sont trop se'ches (au bout de douze jours). Pr'urit dans les yeux, avec e"Iancemens. Prurit, e'dan~cement et- cuisson dans les yeux. 8o. Elancernens dans les, yeux, quti larruoient. Elancemens, des angles externes des yeux aux an-gles internes. Elancemens dans les yeux, qui se font sentir aussi quand on appuic un peu dessus. Douleur de'chirante qui survient dans les yeux, quand on les fatigue 'alire. Les yeux larinoient au grand air, quoiqu'il ne fasse pas froid. 85. Les yeuix pleurent souvent, me'me dans la chambre (ati, bout de seize jours). 11 sort beaucoup d'eau des angles interne et externe delI'ceil. Cuisson dans les yeux. Les yeux cuisent, comme s'ils avaient e'te exposes "a laafume~e. Douleur pulsative dans l'oeil droit. 90.ý Ardeur dans les yeux (ani bout de chiq jours)., Pre'ssion dans les yeux, le soir., 10- D0CTRLXE IOMCOEOPATHIQUE. Beaucoup de pression dans les yeux, surtont le soir, I a]lumiere. Forte pression dans l'oeil, comme s'iI y avait un grain de sable. Sensibilit6 douloureuse des yeux a la lumier du jour; le sujet est oblige de les tenir couverts. 95. Gonflement inflammatoire dans 1'angle interne de l'oeil droit, gros comme un ceuf de pigeon, semblable 'a celui qu'on observe quand ii se forme une fistule lacrymale; le cottedroit du nez fut sec pendant plusieurs jours. Faiblesse des yeux. On ne peut ouvrir les paupie~res le ratin; hi vue est trouble et comme voilee. Yue trouble (au bout de vingt-deux jours). Les yeux sont souvent fort obscurcis, et quelquefois on voit certains objets doubles (au bout de quatorze jours). ioo. La vie est faible, les yeux sont comme voil6s par une gaze (au bout do cinq, de six jours). II passe devant les yeux des taches noires, qui empechent de lire. II passe soluvent quelque chose devant les yeux, tout tremble ou vacille devant eu*; mais en fixant in objet, on le vdit distinctement et nettement. Lueurs tremblotantes et figures noires devant les yeux (au bout de dix-huit jours). Le soir, tremblotement devant les yeux (au bout de dix jours). ioO. Etincelles de feu devant los yeux. Grande dilatation des pupilles, pendant plusiours jours. L'oeil gauche ne pout pas reconnaitre los let," p PETROLE@ I I tresA ]ia distance ordin aire (courte); 'a une plus grande, II les' distingue, mais r~apetisse'es. Presbyopie. Diplopie des deux yeux. Le-s yeux sont souivent comme s'ils allajent se distordrIe. (. io1. Eruption de bou tons "al'oreille droite, qui disparuit le me'me soir (a~u bout de cinq jours). Le derriere des oreilles devient rouge, excoruM et suintant (au bout de quarante-huit heures.) JDouLeur de l'oreille interne. Douleur convulsive-dans l'oreille gauche -(au bou't de treize jours), Tiraillernent douloureux et convulsion "al'oreille droite (au bout do cinq.jours). i 15. Tiraillement semlblable "a une crampe dans 1'oreille droite (au bout de sept jours). Douleiir de cra-mpe dans 1'oreilLe droite ( au bout de seize jours).,De~chirement dans 1'oreille droite. Pression dans les oreilles, avec ch'aleur (au boixt de cinq jours). De'chirernens dans 1'oreille gauche. 1 20. Prurit, dans l'oroille gauche: il en sort dui sang et dui pus (au bout de quarante-hulit heures). Douleur et Ibourdonnement d'oreilles. Craquement dans 1'oreille, de temps en tenps (au bouit de vingt-huitjours). Chant dans los oreilles. Sifflement dans 1'oreille, qui rend '1'ouie dure, 1-2 5. Le soir,' bourdonneinent dans 1'oreille gauche,s'etiablable au miurmnure de 1'eau qui coule; on 12 DOCTRINE I[OMOEOPATHIQIJEO y 6prouve de temps'en temips, des craquemens, pen. dant trois soire'es (anu bout de vingt-neuf jou'rs). Gargouillement dans, les oreilles. En e'prouvant un rapport, senisation pavticuli~re dans 1'oreille, qui empe'che quelque temps, d'en.. tendre. Diminution de la facult6' d'entendre (au bout de quinize I ours). Tiraillement douloureux de l'oeil droit, jniscue dans, 1'oreille du rn'me coke, apre~s quoi ]a facult6. d'entendre e~t abolie de suite dans cette Oreille (au bout de trerite-huit jours). 13o. D'abord chatonillement et e'Ianceinent dans 1'oreille, puis raideur dans 1'articulation de ]a ni&Achoice, comame si elle allait craquer en se remnant. Tiraillement et tension "a la m aXchoire, an dessous de 1'oreille. L'articulation droite de ]a machoire se luxe ais&ment, le matin, dans le lit,- avec de grandes, dou.leurs. Saignement de nez ( an bout de quelques, heures). Lema tin, on mouche dui mucus sanguinolent., 135. Un petit bouton dans le nez. Le mucus se desse~che dans le nez; on ne le monche qu'avec efforts, et en petits morceaux. Ardeursur et le long du nez (au bout de quelques heui'es). En travers sur la racine dii nez, d'a sourcil 'a 1'autre, te 'nsion douloureuse, et douletir semblabie "a celle d'un ulce~re, quand on y touche. Un bouton.suppurant au nez ('aU bout de sept, huit jours). P ý T.R 0 LE". i4o. En ded~ans et au bas de la cloison nazale, un bouiton suppurant, entour6' de rouge. Stir la levre superieure, un bouton crioiteux,qui cauise une douleur Ian cinante, de lui-mehrne, et non quland only touche. Eruption aux 1tevres. Eruiption dans le coin de la bouche, qui cause' une douldeur lancinante. Gonflement aux deux' Mnachoires, qui cause de la douleiir quand on se baisse,. et ensuite un sentiment de pression. 145. Enfluire de Ia joue, avec mal de dents, qui, ne permet pas de rester couch6 lIanUit. Mal de.,dents, e'ancemens semblables "a des coups de conteaui, dans 'le's deux machoires', plus vifs la nuI.it surtout; la douleur empe'che le sujet de rester an lit. Mal de dents; doule-ur de'chirante et 'en'' ne~me temnps constrictive. Un e'lancement dans une dent de devant('creuse). Gonflement de la gencir'e, qui cause une douleur, lancinante quand on Y touche., 150o. La gencive, entre les dents inf~rieures-de deý.. vant, est comime enflamme'e; elle cause des douleuirs lancinantes et brcilantes. Une ampoille "a ]a gencive., A la gen cive, au dessus d'une.dent creuse, am-. 1)oule pleine dle pus, coinme dans upe fistule -dentaire. La'gencive cause, en. miachant Ia ernme douleur qui si elle e'tait excoriec. Douleur "a la genc'ive, com me si ielle tait excoriee, avec de'hirement danis la dent creuse, depuis Ile soir jusqui'h mm nit. 155'. Mal de dents tiraillant. 14 DOCTRINE' HOMCEOPATFIIQUEN Douleur tiraillante, -avec sensation de froid, dans les dents ante'rieures d'en haut (au bout de dix jours). Mal de dents; pression dans, les molaires d~roites. Dou'leur dans les dents, quaznd l'airy entre. Les deux canines deviennent trop longues, le matin. 166. Toutes les dents du bas, et quelques unes de, celles d'en haut, sont comme trop longues, et causent d-e la, douleur, comme si, elles, e'aient rnalades en dedans. Les dents des. deux co~tes sont cornme engourdies, et fonlt m' l quand on. appuie, dessus (au bout de dix-. sept jours). 11 survient 'des ulce~res "a l'interieur de. ]a jo~ue. Langue charge'e (au bout de quat re jours1. L14 langue, es t pars~em~e de taches, jaunatres. 1650 Langue blanche. Muvaise odeur de 1'haleine,'sensible pour les au~tv~,O. Maur-aise odeur de la- bou'cze; ]a salive s-entait ma~tavais. N tid~it& d-e I bouiche', res~sembiant 'a I'ocleir tanto~tcde I'ail, tantot du pour~ri., Sensation d'aprete6 dans Ila gorge,, en avalanit. 170o. Gratt-ement et ra"clement dans la gor~ge. L'iht~rieur d-e 1lagorge est comme bouch6 par un Mal de gorge;,. douleur lancinante, seulernent, en avalaqnt. Douleur c.omme d'excoriation dans, la gorge.. En avalant, une portion de cc qu'on avale-rernonte dans les ouvertures inasales poste'rieures. PiTROLEO P1~T11LE. 1 175. En avalant, violente d6mnangeaison dans la, gorge tjusque danDs l'oreille. Mal de gorge; gonflement dans la gorge, avec 6 cheresse dans-la bouche'. Se'cheresse dans, la bouche., le matin. Secheresse dans la bouche et ]a gorge, le niatin, telieý qu'elle coupe la respiration. Grande se'cheresse dans la gorge, qui donne beaucoup)-de soif. i 8o. Secheresse, dans ]a gorge, avec rapports e~t d~faut de forces (au bout de onze jou~rs). Beaucoup de soif, tonute la journee. Une gran-de quantite" de muposite~s dans la gorge. *Le m atin, on est obl'i~g6' d'arracher -continuelle.. rnent du mucus de ]a gorge ( mal de te'te en meme Gran de quantit6" de mucus dans la bouche et le nez. 18 5). Goutt muqueux dans la bouclze, avec langue blanche. Goifit muqueux dans la bouche; nul1 app'etit pour les Editnen s et 'pour les boissons. 6'~t mutlex et acescent dans la bouche. C oz"'i acide dans la bou che. Apr~es' le dejeune6r, iti revient de 1'eau aigre '~la.bouche. 190o. Le matin, gou'trarer et acide da'ns la bou!che. Apr's, le dejeUner, ainertu~me clans la bouche, gratternment dans la gorge et rapports. * ou't dans Ia boulche comme quand 1'estomac ast xierangq-, avec pesanteur de utete Faiblesse et salive "a la bouche, comme quand,1'estomnac est nialade (an bout de quelques he ures). 1.6 DOCTRINE ROMOEOPATHIQIJE. Le matin, rapports dcoeufs pourris (an bout de Vingyt-quatre heur'es'). 195. Merne apres un leger repas, ii revient de F'estomac des mati~res qui grattent en, passant, (au bout de quatre jours) Le mnatin, soda. JFers le soil,, soda et rapports. Rapports apre's avoir mangef, tout l'apre's-midi. Toute la journ~e'e, rapports, mais sans arriC~regol~t 200o. Le soir, violent hoquet; deux fois de suite, puis eternuemens frequens,(an bout de trent~esix' heures). Violent hoquet, an 'moins trois fois par jour, pen~w dant plusieurs jours. de suite (ati bout de 'vingt-deux jours). Rapports avec nause'es (au bout de vingrt-.quatre heures) Le atnnas~spedant lesquelle I'eau vient a lIa bouche (au bout de douze jours) N~ause'es instantane'es,' le matin ou -le soir, sans cause, avec hauts deecoeur, corune pour vomir. 205. En se promenant,9 le sujept se trouve tout d'un coup mat ii son aise; 1'eau mi vient 'a la bouche, it 4eprouve des bouffies de chaleur a' la face et des 'vertiges; acces qui dure un qujart d'heure (an bout de qu~atorze jours). D~s, le matin, en s'6veillant', jusqu'au dejeuner, nausees pendanDtune heu cc. Tous les, matins, aussito`t apre"s Ic re6vil, nause'es; le sujet ne peut pas deje~uner. Sentiment de de'bi lite'd~ans l'estorac (an. bout de vingt-quatre heures). PJETflLE. 1 Malaise et nause'es, toale lajourn-Je (aui boutidt six, de dix.j ours). 2o.Nause'es toute la jourri'e, pl'usieurs jours cle suite, sans nutl appetit, avec gollt amer dans Ia b'~s che, et langue se'che, blanche. Violentes nDause'es, avec sueur froide. et quelques, Mancemens dan s le c't6 droit dui ventre'(au bout de sept ]ours). L'action de fumer' (dont on a 1'abitude) eni'vre (au bout de trois hieures). Soifvive de bie're' pendant tout une: semaine. Boulimie fre'quemment, qui rend tres-mIaI ý'ai son aise et reveille me~ine 1a~nuit..!215. Grande sensation de vacuit6' dans 1'estomac, cornie apr&,s une fajin prolonge'e. L'estomac est toujours de'rang6e, quelque chose aL quelque peu que 1on mange; le sujet ne peut rien supporter(abotd vingt.t-un jours). Re1lichemen't de-1'estomac ( au bout de' quarante-a huit heures). Serrement 'a la region pr'c~ordia le (au, bout de deuc jours)* Resserrement de 1'estornac, coume. h Ia suite d'un, refroidissement, avec anxie't6, pendant un,'-quart d'heure, le soir. 220o. Le sujet est evoiffle'de tre~s-bon matin p~ar un resserrement d'estomac, semblablea',--celui q ui ju terait d'un refroidissenaent, et qui dure un_, qukar~t d'heure. I '"Y De'chir 'emens, dans 1'estomac;i avec envies d'aller hi la selle (an bout de qpatre jours ).. Vive douleur aIa region pre'cordiade, contme, s?,ij I.DOGTRIN1E IOMOZOPATHIfQUE. allai't s'y dechirer quelque Chose' (an ~bftit de six 4Deu x.,matine'esd e.suite, "a je Jn r~in~ a' r6 gion pre'cordiale, a~vec nausees. ~C6iiques~,,dains lapres-midi; ensite diarrhe t.presanteur d'estoinac ( Auboutd rize jours) 225. L'estomac e'tant vide, pression 'a cc Viscere, ~qui se disipe, en'magea'nt. Lassitude avant de manger; 'on 1'SO tr'ouve em n sortant dev table.,.Mahiiseapres -to soup~er. Beaucoup de lassitude' et f:d'19`1t at icin, apres avon' mna-ng&,(,a- bout de q ~qe eures) Apr es avoir naDng' ch'aque fois', afflux a~b61lcdan t de~sali-Ve hsTa:boche, '.qui hfit cracher hbeaucoup" 23 rS V)5Zo71P e u' mzan1ge,,,O07ZeSt -COIflnf& wre e'tonnd; on' dp MauV i' des velr'tige's`(a'ubolut de' dcnq Un peu. de vin,, pris len mang~ant, porte a aI Apr es'avoir man ge, sensation de chaleur et ýui'r'~, SURtout a,,- (aubou't de'qiddtire jours). Apre's-d 4v 8 ',afli~di ~ng ' ers'sla Me (au bout de trente heures). A'pvrs aavowifii' nie-, 'h16dlalb-eu r monhu:ct ga tdý Ia: t~bte -6 fte seiisa ionhdure W iiis f ~o~g~u des jiu~s ~rsiste pugltgC~ Qu~ii de huit jours). SAu~ssit6t aPr's aiinhol6 eii~ie mnidi,, spasrne de poit~i W, e -tr9dbu1ft~x,'seu b1hV oblige" de- se Ployer ea dewx, pour repkvetidre h'aleineg et quand iA se redresse, Ic spasin'e' mi coflpe mitcrbimla -respiration'. L'apr6s-midi,, ple~nirudeapirsun epa mndide aVec pression 'a la re'gid'n pr6cordiale ( aa bo~at db trois joiirs) La'are's-tn idst, gonflement do'Ie1'esto'mac. L'estoniakc 'et Ici ventre' sont sotiv~ent d-oulouir,6u*,! tontt omme s'ils 6taient resserre~s', tantot comme s'ils 6tAienlt'dis tenduis, Preision an d~ss'ous des''fauisses cot~s gauche's (au bout de d6-U''zejours-). 2140. Pr&ssicin a hlarelgio'n'du. foie, 'rsson dans Ic bas-ve ntre. Pr'ession dans l'anneau inguinal droit (an,bout de queiques he~ures ) Le sujet est re'veill,ves0 nnut par une, pressitrnl et un pincement dans le bas ý-ventre, comme, s'il s'& tait refroidi (an bo~ut de cin Ijotirs) Pincement dans le ventre ) phxsieurs soirs; de tuite (~au bout de quarante-huit 1 aenres). ýi.245. Pincement dans le b as.-ventre., toutegl les dii minuteso qui chaquie fois ob. lige %t seý ploy- er en" de~ux* (an. bout de tr eize jours). Pincement dans Ie ventre- 'et: di~rrh~e~e, tbute hla journ6e. (aa bouti de vingt.qt i~tre he'dres'):4 Le sujet est r6veil-le, a qu. atre heures dra mAtim par de vioientxos; colique~ -au. hautt du v~nc.1re, a-vec nausees et besoin- d'aller a a" selle (du bout d'e ýq-ua-. ran-te-hwit henires).' enLe-soir, tre`s-;ta~d, coliq" i olgn i epoe De'chirernens dans le bas~v. ezitre, cQon-me apre'suin 20 DOCTRINE HOVIOEcOPATHIiQUIts refroidissement, et diai-rh~e eensuite', avec pression kan bout.4e trente-slix hieures). 250. D'chzizernens dlaus le. bas -ventre) sur- le - charnp~,p,)u,~ is,-aubout -de s~oixanrte -doxize he'ures-, le in.,atin,Ae~n s'e'vei.1lant, nouvelles coliques, et ainsi d~e suite, plusietirs fois dans la journe'e. De'chiremn~ent tiraillant -dains le vyentre, avec des r'appor~t$ e0 enissi~on cde venits. (au bout lde tren~te heures). Pen~dant, deux jours, beau icoup de,co~iques dans le venitre, et d'abord wine selle de mnatie~res f.&iale~s,, suivie d'autres selles de mucus -sanguinolen t.,avec peti de matieres (an bout de vingt- quat~re heures). Violentes coliqnes, pendant deux j~ours, suivies. de nomnbreux rapports et de 1'iomissernens d'eau claire, avec (liarrhe'e et mal do t~te (au bout de quelques heu'res Saisisseme.nt &dans les ýdeux c6te~sdu bas'-ventfre, en de'scendant, avec grandýe soinnolence~ et pesan'teur (lans lesý jambes (au bot t de huit heur~es) 222.Queiques '!ancernens dans lect6 droit di ventre, avec- nausees. Ten~sion et spasmes, dc ins le bas-ventre (a'u bout'de '91qs, jours) Ballon7zenement onSk Mtrable cia bas-ventre, aPres avoir peU, bu (au bout (1e quat~re jours). Gonfle-ment du.bas-v en~tre,- surtout en sortant de table, avec pression au! -dessous de fa regi 0on precorLe soi~r, en allant soe concher, ventre tres.-gonfl6.,(au bout de cinquan te-.c [jatre heures). 260. Ballonnzernent di A veZtre jar cdes. vents., pen.,dant deux jours (an lbor, it de trois jour's). Ve'ntre-ballonn6 pa-1'l' s vents. PETiIOLEd Accumulatio-n et mo'bilite-:des venits d ans,Ite basventre (sur-le-champ). Sorte d'eng6urdissement fodtrmillan t, desiimuscles dbii:bs--ventre,,-jnsq~u'a~uxicuis*ses; 'en -s'asseyaiit,; le, stijet est oblige' de se lever et de marcher (au bdut'de Vin gtref-iun.jou rs). PI.Prurit-interne tre's-desagr'~able,dasc:b3 ventre,qiie Ic frottement at 1'xter~ieur ne dissipeps 265. Eruption boutonneuse aa~ibas- vent re prjuii qatise uric arde~ur doulob'reuse quand on y toq4iep.,.Le soir, bork rygmies dans le veintre. *Emission dz'uime grande quantitA 4deveiits extre e-I, ment f~tides~k, pen-dapt. plusieurs jour's..Le soir snjmet. cornine de diarrh~e, ý dans le ventre, sans qu'on aille 'a ]a seJ1 a-.. Tendancea" la. iarrhe, et exselsmoIles (au bout dc e t,,.q atre heures) SDiarrhbee., ac co~liqu~is.,., (,qi s a~ý cqjiqxjes.,,;.penidan-t Is,-j ou's Aqqiblerqient. excessif apsdeqx se~lles.,diarF.4iii Apre's uric ýecoRpde sQie de b4oa car-actrq ~entiment de faiblesse et d'ane'antissement (au; bout,- de vingt-quatrhe, eures)~.._ Mucs,1ps'en allant ala~selle, 275. Forte diarrhee maiqueuse.,(au.bomtLde, quel-w.*qyles-hetres),,.., I ~ ~ * Diai'rh~eecjui fait rend re beaucoup d~e mucosite's san~ipamole~ptes Qaju bout dc quat~rejou*rs). S'~ill qun eco-rS'istanIt un i qe m e*n'te'!n' muLcus Qi 6pets q teint de. sang, avec grande lassitude (au bout de vingtquiatre heutres). 22 ]DO~TflI" Y{OXcMPATHIQUE9 -Selle rnolle, et cependant avec te'nesrne. VJne selle' molle (i) sort difficilement, comme si le canal intestinal 6'tait inerte. 2$oILes selies no sortent qu'avec beaucoup d'efforts,,cornme si le rectumn n'avait pas la force de les expnlser. Fre'quentes envies d'aller 'a Ia selle; chaque fois, onrend peu. de matieres diarrbeiques, avec de grands eitort~s, comme s'iI~devait, encore en sortir beaucoup (ani bout de Vingt-quatre heures).. Poin~t de sellespnatdu jours, ralgr6F des envies pressantes; ii ne sort rien,'parce que le recturn parait n'avoir pas assez de force pour chasser les, inatie'res ( au. bout de quatre, cinq jours) Expulsion' des selles, difficile, avec do'uleur h FIanus, cornme s'il 6'tait exco'ri6. Ii sort des ascarides, avec les matii'res f~cales. 28$5. Pression "a l'anus ( au. bout de six jours) Douleur de pression dans le rectum,' deux jo'urs avant l'apparit-ion des re~gles, qui ob~lige ai se'pen'cher en avant; lorsque le 'corps etait dro'it, Ia' femmne ep Irouvait dans'le 'rectum des 6lancemens que la, naarche rendait plus vifs. Prurit ~lanuenalant se coucher.' Fistule "'al'anu-sf Douleur brilante "a Ia region de l'anusd 290. Elahncernens et ardeu r daiis le rectum et l'nus (au bout de dix-huit jours). Dans les deux alnes, douleur de cram pe, comm"re (1) Pendan't ]a re'act ion de L'organisme, l~es sellcs deviennent Plus dures aiibout de vingt-huit jours au moins, sinon In m e~m un peu, plus tot PiTROLIE. 23 compessie,:en mrehnt et 6-e, teant couch6,mi surtout e'tap4 a~~j~. - Doulep' r,4aras l l'e,-`,,cha~que,seco-usse de th "x, cpmine s.ii.a1ait yp'q e treune, hernie. Rr'sfr e~qertes jenw4es d'urinera-c.imsond trES 4b dorine ca cha que fiois (au bopý,de quatre, sept jours),.Fre'qdentes e~miswQnS d'urine, (au bout de dix joiirs),29..q,',Envies d'iuriner deux fois plus, fre'quenites, et. Rmis-sioxi de -beaucpup -plus -d'uritte -qu'on ri''a',bif (an bout de vingt-quatre, vingt-cinq, vin'gt-six jours.,X _$prtijefVOolnftaire do l'vlne jr in e avec ua sedimnwnt blaa~c (au, bont de ne-iff jours) ~J~je 'n a~ onQc6ap. qii,trsedinientpc, "ge Abon dant (au bqppt. de p,.,ýos, qu'ar. 01j9rs). Urine rouge de g m pose des nuagesd'un br'un fon'c6. L'urjpe a unpjqdeur tres-amrponjacle., UrineI'rune 'd'odeur tresft4,iget. Pression sur Ja~vesie; Id sujet a unedizaine de.fois envie d'uriner_ d'ahis lprts-rid, et. ciaqye fois.j'l se p~s 1~g-Pinp avjulqu'n pen dauurine par~aiss,(au 4rdeur en urin~an~t. 3'365. Ard'i d'e s e cle Ia vessie, en uriziant.' De'chirement'dans le col de la vessie, en comnmenViolente ebust'riction 41a, Ia'oion de N' ve'ssie, deý' dd&ikc te's'du pudei'eldmn', sfirtout en urinaht, s pasme pendant lequel l'urine s'arre'te ]orsqn'on e'tait e'n ttrain. de l'expulse't. *24-. DOCTA11U OMO01Pi&THIQUE. Un 6'lancemient, dans ]a verge en urinant. - Dchirement dans le gland, ( sur-.le-champ). 3io. Une tache rouge et lisse sur le gland, qufi ne cause aucune sensation ( au bout. de douze jours). Prurit dui gland, qui de'gr'D'ere e'n elancenmens. Eruption rougea'tre au gland, avec prurit. Ecoulement de.1mrucus, par l'uretre. 4drdeur douloureuse dans l'uretre, vers le-son'.r 315.: Convulsion dans I'ur~tre, comme pendant Douleur de crarupe dans le' testicule: gauiche (c'orms don spermatique?), pendant laquelle le scrotunm se resserre. Serrement prur~iteux continu dans la partie rot dii scrotum (au. bout de quelqiies heures). Prurit et suintem'ent au scrotum. Rougeur et e'xco'ria'ti'on suitate '3hun des co es dii. scrotum. 32ao. Phisieurs prections, sans ide~es lascives.(an bout de vinigt-e t-ulfn jours). 'Erectio'ns la nuit, sans pense~es''erotiques. Momins de tein dance an coi~t (les, pr 0emiers joa urs). Erections, chaqu'e m'atin, en, s'6veillan (les dixýhuit premiers jours), Erections et puissance genitale penda~nt-deux moisO 325.,Emissionde, semence provoqvefe par des.-caresses amoureuses( an bout de ne jours). Ejactilatiorn tardive dans l'acte -N- n "Pien,(au, bout de vingt-et-uUn jours). Le matinen S wei6LIantdIanDS Ilelit, Violente exci-7 tation, da ns l'intLiur (de(--Partisgnt~s 'ms PkER0LEI 25 sion du sperne,, sans qu'on'soit tourmente6 par des ventis (aui bout de qu'atre jou-rs)., Deux pollutions (Ia.premie're nuit). Pollution, le matin, et chaleur anxieuse ensuite (anbout de quarante~huit heures). 1 *33o. Eit6riation l1e longr des parties '-genitales de Ia feinme. Enved'nriner, et.en urinant prurit dans I'niuretrc, chez une femme. 'AduAans les parties g~nitales, avec 'coulement d'un.;peu de sang (ah out. de quelques heu-res) Jies.0regles,,suppritnees depuis longý.-empsi,feparaissent un pen ( au bout de six jours,).-.-I Apparition des regles a-vant le temnps (au bout de quatre jours). 3351. Les reagles a~vancent, de 'queLcjues jours (au bout de huit jours) Les. regles av'ancent de c'inq jours (an bchit de deux j ours) Les''i gle's'avan cent ýde' si~x jours. Les r~gles retardent de dix jours, jus'qun Ila pkei*n'e hine (aq -i 'bo~ut de' vingt-qu~atre j i urs) Pend'ant les re~gles, le sang piui conie cais'e de-s' dernangeaisons aux parties g.,ialso 34o. Pendant les regles,, tin emnt et bourdonne~me~nt, d'o reiloles. Pendant le's re'gles, d6chirernent douloureuxdn la cuisse. Pend ant, Iles rIrgles,plusieurs. plaq"'': rgx jarnbes Kqui sont-douloureu~ses qpanci ou y touche.. -Pendant les regdes, tres-grandqe lassitude, daps le corps, qui est cornre b)ris6. 26 DOCTRINE 31OMOEOPATHIQIJE0 `Ecoulement semblable a.du blanc d'oeuf par le vag in;..' 345. Flueurs blanches.(au bo~uL de quelque's hejgues), dont 1'abondarice augmente joure 'eIente u durent plusicurs jours.3_ Eternuement. oslsjurs- et tres souvet Beatcop dAternuernens eter no envr, l soir. ýEne6t-ern~uantsensation chatouliteuse clans la gcwgeo qui excite 'a tousser.14 Sesation dans les ouvertures otreuares-desvarFifes, crornresi Rlles etaien~t bouche&es...35So..-,Coryza,,sec et ulce'ration'des narines.(aubout de cinq jours'). I Goryza intense(anbut e tr-eize jns. Enrouernent 1'apres-micdi. G ra~p.4, ep~ro-I.IeM~qt,,p~e.n darit plusieurs jour (au bout de vingt-.neuf jours) 779~, cca viepz z~~ s~s~e 4ola~i~e (au bout do' dix jours).. 355. Toux; ave~c crattemný dp~ ja gorge- (a~u.bout de qauare jours.). Totix excit6e pas un grattementld'ansl16-orgeai bgut de d ix,iours?. LanIt, t foux., Tou'x, CI que fois qu'on 'fume. "'Tcuix seche', qui coupe Ia respiration.'' 3r6o. Toux yenant d'une grande profoindeur daSi <j'ie -(an'bout def tro'sjpours) Forte toux,, av ec expectoration abo nd an t'e, 'pleh ýd~nt huit jojj;s(a'ub~onit dle vingrt-trois jou'rs) Sorte de ronDfleme'nt daus la trachee-artere), en r'e6 pira'nt, le soir, dans ileIt.' PRETOLE27 L~~~~~e soranltavnde ''normir, stertoration dans la trach6ewsrtere ýt toux seche. Ahm, com~me cause par iune consti'ictondW triach~e, "'aveb c hatouiile~i.ent qiproduit ulne toux seche,. 365. Asthme, le soir,ý pendant quelques heures. La nuit, oppression sw' -la p oit rifle& et, sonim-eji a gite, 0 Opesso de poitri-ne et difficult' de reir, plus grande quand on est assis qu'en' marchaiit., La r~espiration est. gen~ee, surtout~quand, on monte un escalier, qu'on commence h- marcher et,,qu'o~n' p~rilehatResp iration co urte (au bout'.d~e dix-rhuit j~ours) 79Ja-ppi~trinpe esit tres-ýseInible -4:iFair frmidet quanci le suj~et- yr ~est epQseii6.rirele le demaino)un1 grand resser-rement de poitriire. Retr'cissement et oppressiop j4e poitrinel~r' ni~qi,(,au bout d'e d-neuI 4 jps) Le mnatin, pesanteur sur le, sterpun., Prgsjprn exi,u r e eriiu~m, quej ~rp portsds'ipent,4Iq.uj re-s~ipr 4'avani en rrpx ur, ]apoitrirpe '375. Ilression, tiraillante, do'uloureuse, fqir: S~ cotes gauches, au c6te" gauche de la, pQirige 9t dans 1'hypcndedrojt ( au 1ýout de tr~ente ieures).' Prsion et Vemuement danis la poitrine. E~ne'~ns'dans Ia p0itrine. Violens ela'ncemen's I"da~ns le cokt6. IUn' ViC 6 a ncem'ent',an coeur, quý coupe Ia respira38o., En ýtotssant,1 ~1,"ancexnent s-ur- la ppitrine etconstriction doulour'euse de Ia tete. 28. )DOCTRIN~iE H0MOIEPATHIQUE., De temps en temnps, des. battemenis do cceur.,"qui rne durent qu'un instant. A ]a. poitrine, soils lebras, vive douleur, ls & chirante que lancinarite, qui lprive desommeil toute la nuitf Douleur d ans le coccyx,en s'.agseyant. En se levant de sa cha,,ise--, forte douleur, qui se; dissipe proinptement, dauis le sacrum,( au-b un e quatorze~jours) 385. Le SoiP rande lassitude ýetzraideur. dans le sacrum, eti4ecoccyxi I~ Faiblesse dans le sacrum, apre's avoir ket -u granj'd, air,( airboutdAehnuitjours).,,LJe~matin:, ans lelduleuir de luxa6tio'n dnsle sa:crum, qi -se. fait s'entir ab~'si>'ýeant'a'ssils. Apr~s -certainsmou~vemeni~s, ecobýsgesý'&d"'o reuises daans kle.sacrum D oul eur d e Iluxa ti-on h ui edo fCtles ornýp1A69s jsques dans +--f poit~rine','de'u-x ontfr6is fAisar Squr, qhiern~c e& drespirer a oudtd ~~jusJ 390.. Sensation coinme de diskcco&fion e r~'iesser&. r e m ent ein't re 'es orn:oplates,-jciqu n 0e1n la poit'ilnee R{ai o'deura 'ns h Cr~ampe'd~a~ns- Ie',dOs etles cctes en4de'va`it;,:en m~etmsguts' de s'ueur, stirlevsa et les bras,. pendant trois quats 'heure, puis for e Ajarrhe'e m uqueuse (an bout.A1 u''1 'Il4s elqlqu enre.s). Ftlequens tiraillernens dansle tron'c. Tiraillernens et raideur clans le4o-ý4 ý(sIur:-le-ch~m I)). 395. Tir-aillemens dans le,. do~s, qW tise 1 dj ssi pen t quanci on penche Ile corps en arri-ire. PiTR~tFX. Vid,6knte douleuir -da t`1e dos.,.on n'y pent pas toucher. De'chiremens (Idan s le dos, entre l*es ornopi'ates, qu4 ne- pefmettent pas d'y toucher (a botd wept jout's Apre's une promenade dhans uri-e voituire commoder, 11'.epine du dos est douiloui~euse ~COinflC si --elle,avait eprouve'un ebranlement. Secousse ýdouilou reusednr s e' -doch aqiie. fois qn'on avale, et toqutes les fois ý,,qu'o-n prouve des rapports incomplets, s'ouven't'aussi sans qu'an-atale, et~pendant le tepos;-ap~res cette, secouss~c Id. respi-. ration. est~ge'nee. /too. Pression stir les e'paules et dans le dos (au bout, dehu~k~j~pous) Pression. dans le dos,, et grande lassitu de thins' c~tte' partie, le miatin-(a butdeonze jouirs). Pesanteur. darts le dos. Sueur-aa dos elt A la poitrine, pendanf le r'.eposy dans Ia journee. La' peau'du c-,t6 gauiche dui dos est douloureuise, com rne si on la frotItait, usqu'a '6I corcher, avec u-n morceau, de.,drap. 4o5. Le cokt" droit dui cou est, cornme raide..Gonflement des glande~s, sous-inaxillaires. Pesanteur 'a Ia nuqjue., Doul1eur dans la, nuque.. Tiraillernenit et tension stir I'aisselle. 41o. Convi.Ilsi`ons fre-quontes dans 1N Aril` droite (au,,bout do huit~heures8). Douleur dIans Particulation d 6ado 1'pne, n levant le bras. 32 32 P'OOTRINE FIOMOEOPATHIQUE. dicateur, douleur comme si une e'chacrde y 6ftait entre'e dansl'os,' avec prurit 'a 1'exte'rieur. Chalexir brtuilante (lans fune verrueau doigt, co'mme Si elle allait'suppurer, le soir, dmns'le-lit. 445. Picoternens, dans tine verrue au" doigtk,5l oir, dans le lit; en y touchant,, die cause la me'me douleur quo si elle e'tait excorie'e. Prurit sur los articulations des doigts. Los ongles des doigts causent de la douleur quand on saisit quelque chose,,cm3s'l taetbises. ILes bouts des doigts deviennzent rudes, gerc&s,cw'ec des douleurs lancidzantes et d~hcbirantes (au, bout de huit jours>, Douleur tiraillante, pass~age're dans 1'articulation do la ha'niche gauche (au bout do se'pt' joutr's)..45o. Douleur (10 Iluxation dans la han'che, pres du' sacrum, pendant Jo mouvement. Douleur, pendant le, mouvernent, dans ]a cuisse gauche, qui empe'he qu'on se keve do dossus, sa chaise (au bout de huit jours). A Ia partie supe'rieure et intorne do la c~uisse, rou-M geur et excoriation suintanle (au bout de douze Petite e'ruption pruriteuse dan~s le ph entre. la cuisse et le scrotum. Vif eflan cement, dans uno tumeur molle, indolente depuis noxubre d'annDes, "a]a paruie superieure et interne dej, a cuis~se droite (au bout de seize jours). 455. P~rurit sur un point rouge,, A ]a partie. sup6 -rioure et interne de la cuisse. Un gros faroncela t Ia cuiss(au bout do vinort-. cinq jours). - PETR0L1!. 33 Au-dessous du genou, large eruption enflamme~e (au bout de six jours). Agitation dans les janbes, que le sujet est oblig6 de tenir sans cesse en mouvement. Crampe dans les cuisses, toute la journee. 46o. Dans ]a cuisse gauche, douleur convulsive passagere (au bout de seize jours). En marchant, les cuisses surtout sont raides et pesantes. Pesanteur des jambes. Douleur et raideur dans les jambes (au bout de cinq jours). Le soir, dans le genoa gauche, iine sorte de douleur dechirante, qli empeche de 1'6tendre (au bout de neufjours). 465. Raideurcidu genoa et de ]a jambe. Raideur dans le jarret et la jambe (au bout de neuf jours). Les jarrets sont raides; et on y ressent une douleur briu'ante. Raideur dans les genoux et les articulations des pieds. Les jambes et surtout les articulations des pieds sont comme serrees par un lien de fer. 470. Au premier pas qu'on fait, apres avoir t assis, tension dans le genou. Tension dans le pied, en marchant (au bout de sept jours). Douleur spasmodique dans 1'articu lation dti gencd. Sensation continuelle d'engourdiss.ement lancinant et comme paralytique, depuis le dessus da genou jusque cans le pied, en marchant et restant assis. 11. 3 34 DOCTRINE HOMGEOPATHIQUE. Elancemens dans les genoux. 475. Le soir, dans l'articulation du genou droit, un edancement, comme une douleur de dislocation, en narchant et restant couche, inais non lorsqu'on est assis. Douleur contusive dans les genoux et les jambes. Faiblesse dans le genou droit en marchant, qui se dissipe quand on continue 'a marcher. Le matin, pendant les premieres minutes apres la sortie du lit, faiblesse douloureuse dans les genoux (au bout de vingt-et-un jours). Craquement dans le genou, commne si in cartilage s'y derachait, et douleur dans cette articulation, quand on la remue. 48o. Douleur de serrement, me'l6e de chatouillernent, dans les deux articulations des genoux. Douleur tiraillante dans la jambe gauche. ]ii-chiremens, elancemens et pression dans un point autrefois malade "a ]a jambe. Tirailletnent dans le pied, pendant uii instant, en narchant. Violenkt tiraillenment et convulsion dans les pieds (au bout de neufjours). 485. Convulsion de la jambe droite, " partii' du genou, qui est douloureuse, et ne se fait sentir qu'en nharchant. Crampe dans les cuisses, les mollets et les pieds, toute la journ6e. Forte cramb pe dans les jambes (sur-le-champ)., Tiraillement spasmodique dans la jambe (Iroite (au bout de deux' jours). Au genou gauche, une grande tache rouge qui P~iTROLE, 3a cause ensuiite une: pression. douloureuse (au bout de ne~lfjours). 490o. Sotivent une 'tache froide au genon, d'oit un courant fr-oid se re'pand dans toute la jamb~e. Eruiption tr~s-prtiriteuse atix deujx mollets. La init, sentiment (I.e froid dans ]a jambe droite. Enflinre dui pied pendant phusietirs jours. Craquernent dans l'articulationi du pied, pendanit le mouvement. 495'. Raideur diu pied, et, quand on le remue, cr~arn1e dans hif plan te. Crainpe daZs la planlte dui pied, la nuit (aa boudt de huit, oDze jour1s ). Le soir, iine crampe retire les orteils en dedan-s. Donletir compressive et faL~iblesse au dessous de la chev'ille externe. Pression dans le gras duI gras or~teil, cornme s'iL -6tait, geld, ou serre par tin lien de for (au bout'de six jours). 5oo. Tiraillement de'chirant dans le egras 'du grros orteil dr~oit (,an bout de deux jour~s). Pression. danis le talon (iroit. De'chirement dan's le talon, le matin, en s'6veilaw lant. Amipoules au talon. Douleuir de luxation: dans los articula'tions post&f rioures des orteils, en mai-chant dIssus. 5o5'. Sueur 1i la ]l lante des pieds. Derix soirs de suite, la partie ant~rienire delIa'plantie' dui pied est, pendla'nt une heure, gonfl~e e't haude' avec --ine, don lenr bri'lante. Pnui'it ardent 'a la che',ville externe. Dcndew' 'brdlante dctis ics cors. 36 36 ~DOCTRINE HO1AIOEOPATHIQTJE. Elancemrens' dans le talon, comme s'il y eftait entr6 des &khardes. 5 1o. Elancement dans les cors. Elancemens pruriteux par tout le corps, avec grande anxiet6, le soir, "ai sept heares. Elancemens dans un ulce~re. Prurit le matin, quand on est encore "ai demi endormi, par tout le corps (au bout de trois jours). Prurit, avec frissonnemnens. 5 15. Peau dj/Jifcile a' gUc7ri7r; de petites MgSionS rnzrne cdg8enii'rent en ul1Ci'res, qui rongent ciutourP d'eux. Tout parait trop, din, en s'asseyant on se couchant dessus. Sensibilite' doidoureuse de la p~eau cia CO17pS entier; le moindre v~tement est Clouloureux a' Ia peall. Etat cornme de syncope h Ii'approche d'un oragre. Gran1de diSPOSition it se refroidir; elie fait presque tomber en syncope. 520. Par 1'effet d'un refroidissenient, mal de tate, larmoiement 9 inflammation de la grorge, toux et coryza (au. bout de deux jours). Le sujet craint d'aller au grand air. Le soir, en allant se prornener (aun mois de juillet), 1'air frappe beaucoup le sujet, qui e~tait comme geeh'. Apr's, une petite promenade au. grand air, sorte de faiblesse nerveuse par tout le corps. Un 1eger chagrin affecte vivement; la bouche de-. 'vient amere, l'appe'tit se perd, une petite promenade rend malade; le sujet va plusieurs fois 'a ]a selle; lorsqu'il se couche, le sang est encore en grande re'ovolution; rapports et nause'es; sommeil agite'; le mnatin suivant, tremblernent par tout le corps, diax' PETROLE. 37 P TRLE 3 rhe'e e't chagrrin interieur, qui fait venir sans cesse las, larmes aux yeux (au bout de neuf jours). 525. Chal~eur passage~re sur toute la surface dui corps (au bout de cinq jours). Dans la journee, six 'a huit fois des bouff~es, de chal-eur, qui inondent le corps de sueur (au bout de treize jours). Chaleur brfila'nte par tout le corps, en _se promeaft nant. Le sujet entre tre~s-aise'ment en sueur. Au inoindre mouvement, grand e~moi dui sang (au bout de deux, trolis jours). 53o. -Le soir, violent boujilonnement dui sang et gol't amer (lans la bou~che. Pouls fort',' surtout en marchant, et montant un escalier (au bout de deux, trois jours). Podls fort, surtout en marchant, avec paleur de la. face et difficulte' de' parler (au. bout de neuf jours). Apr~s avoir kL6 en voiture', en e'tre d escendu, et avoir marche' au grand air, violentes nause'es subites, et f-aiblesse'telle, que le sujet tombe h ]a renverse, avec envie d aller 'a M selle; sueur, froid. "a ]a tete, au col et "a la poitrine; pa'leur mortelle de la face,. et, cercle bledi aUtour des'''yeux'; apres Avioir e'te i a aselle, froid violent, et le soir ensuite-un pea de chaleur (au* bout de cinDquante heures). Convulsions pendant Ie sommeil, a- miedi et dans la 'nuit.,535. Convulsions dan-s le~s membres pendant la journe'e (au bout de sept jours). DoaleurP de luxation dans le bras, la poitrine e~t le dos, l'apr's-nidi (au. bouit de dix-huit joui's). 38 38 DOCTRINE IIOMOEOPA.THIQTJE. Le mnatin, apres s,'etre leve', raidleur des bras et des jambes, qui empeclie. de les ployer. Sensation de tension et de tremblernent p~ar tout le corp~s, avec anDXiefte et mauivaise burneur. Craquernent des articulations. S~.Faiblesse dans les articulations ( au. bout do quinze jours). Brisement des membres, le soir; on no sait oil so rnettre ( au bout de *treize jours). Donleur de gouitte danIs los articulations do la'hanche, dLI ogenou' et du pied, ]a n Uit. Tirailloment cornpressif et cornine paralytique dans la jambe et 1'avant-bras gauches, dui c~te extorne (ani bo'ut de' vingt-quiatre heures). Pression tiraillanto ca et ]a' sur los os, qui ne dimintin o pas en aflant an grand air (au-~bout do trois jours) 545.Vivepr~ssion tiraillante, tan tot dans une par. tie, ta 1nto&t dans iine autre (au bouit de seize jour's) Ti*ra'il'erinon(t et Pression en rna.niere de cramipe da'ns le's'merubres (au bout do cinq jours). A rdeur'.dans ]a go~rge, 1'estornac et Je octe" droit diventre. Les bras'et les jambles s'engourdissent ais'mlent.' R~atau dcS lespieds.,et,dans t.out le corp~s. 55o'. Pesanteur dan 's to 'us los in~embres let paresse..Qratnje,.Dpesanteur- des jabe;d fmtarche chance-. lante. Lassitude dau~s le, corpas et pesanteur dans los ja'mbes (au bout (Ie trois jourfls). Seutim-r-ntindicible et ge'nieraI do mialaise, comme Si on allaift tre atteint d'uine nm,,ladie grav'e, avec P]'TR0LE9.3. tremblem ent et grande lassituade (au, bout de prois jours). Grande lassitude sans cause exte~rieure (au bo'ut de qui'nze jeours). 555. Lassitude telle que les membres en sont douloureux. Apres une promenade, grande lassi~tude.(au bout de ouze jours).. iEpuisement des forces (av~ boat de sept jours). IEpiisetnent de forces suibit, qui survien't prescjue a chaque instant,, et va pour ainsi dire jusqu'a la s.~n co'Pe, avec p'leur de la face~, et nausees slui duirent un quart d'heure; tous les accidens se d'issi~pent aussi soudainement qu'ils ont paru (an bout de' quatre., ci.nq jours). Le matin, da~ns le lit, fatigue extre~me;, inerribres comnme brise's (a~u bout de onze jotirs)...56o.,.Lassitud~e. et brisu-re de's memb~res Je So10r, etant couch6' dans le lit.,4e matin.n ep 1elevant, gr~an de lassitude; ii faut rester une demni-heure assis pour revenir hn sol. Le mati n, detente ge~ne'ale; le suje t ne ouAi marcher qu'avec effort clans sa charbre, et ii -fut ob~lige des5e cotucher (au, bout de quatre jours). Grande soinnolence -et lassitude dans tons `le~s,mgtnabres, Faibiesse telle, que le suijet s'endort sur sa cha 'is *e,:5o65.,Somtpnp~eance.dat's la journ~e (an boat de dixsep~t jours). Enwvies*.4edorrnir le soir,, quand on est assis tranquillement,, Pendant plusieurs soirees (an bouit de trente-six heures). J4e spir,,dansle lit, on est Iong-tempssaspuouv~oir 40 DOCTRINE HOMOBOPATHIQUE. s'endormir, et on ne fait que se retourner toute la nuit. On se retourne beaucoup dans le lit, pendant ]a nuit, et on ne dort pas plus d'un quart d'heure de suite. La nuit, pesanteur des jambes, et lassitude dans le dos (au bout de cinq jours). 570. La nuit, ]a chaleur devient de suite insupportable dans le lit; on est oblige' de se decouvrir de temps en temps. Chaleur fatigante, la nuit (avec prurit), qui met hors de soi; le sujet est de'sespere et ne sait plus que devenir. La nuit, assoupissement seulem'ent et revasseries. Point de somneil; 1'esprit n'est occup6 que d'un seul objet desagreable; sueur nocturne. Songes confus Ia nuit, on se reveille souvent. 575. RAvestres-vifs, dont le souvenir se conserve (au bout de deux jours). Soinmeil agite'et songes inquie'tans (au bout de dix jours). Songes tres-vifs, attristans, toutes les nuits. Toutes les nuits, songes effrayans. Chaque nuit, songes effrayans, qui durent la nuit entie~re; le matin, on est fatigue. 58o. R~veil en sursaut, la nuit, par des songes effrayans. Le soir, revei1 en sursaut, avec tremblement des membres. Frayeur pendant le sommeil; battemens de coeur, trenblement, vonissenent et forte selle diarrheique. La nuit, des songes iuquPetans. Le sujjet souffle, ou ronfle le matin, en dormant, PETROLE. 41 585. Le soir, dans le lit, ii ne peut pas s'6chauffer; ensuite, sueur pendant ia nuit. Le soir, frissons, Snivis de bouff~es de chaleur "a la face. Tons les soirs, froid qui fait trembler le corps. Froid extreme, depuis le matin jusqu'I midi;, en meme terps, mal de tate sourd, avec tiraillemens Ners le front, toute la journee (au bout de Yingt.. quatre heures). A dix heures du ma tin, grand frisson, avec froid des mains et du visage, sans soif, pendant une demiheure; puis, 1'apres-midi, chaleur, " la face, surtout dans les yeux, avec soif, pendant une heure. 590. Violent froid interne, avec tremblement, vers dix heures du soir, qui dure un quart d'heure, pendant plusieurs jours. Froid par tout le corps; le sujet est oblige de se coucher (au bout de soixante-douze heures). Tous les apr'swrnidi, vers trois on quatre heures, froid qni dure deux heures, avec froid aux mains et secheresse dans la bouche. Le soir, 'a six heures, fie~vre; froid pendant une demi-heure, avec les ongles bleus (an bout de sept jours). Detente generale et sensation douloureuse par tout le corps, avec froid et fie'vre (an bout de deux jours). 595. Mains froides et moites, la tette etant chaude. Froid et tremblement, le soir, a sept heures, pendant une heure; ensuite, sucur au visage et par tout le corps, les jambes exceptees, qui etaient toutes -froides (au bout de six jours). Avant minuit, cialeur, avcc ardeur bri'lante dans 4,!ý DOCTRINE AIOMOEOPATHIQUIE. la ouhe ar~ mnntfroid.(a-u bout do quatre jours). Froi4 et chaleur en Cne Me temps, ~tous d~eux 'i i'te'rieur, le soir, vers dix. henres; en meme ternps, dis-" position -,ererdes JIarwips; le frpid ressegile u jfisson. Le sujet.,s'eyeille le xnatin ayec d~e ]a chaleur por,put lecorps. 6oo. Le soir, de cinq "a six heures, chalenurqrpedant plusieiwrs jours (an bout de neuf jotirs)..,Sensation. (le chalewi par touw le ýcorps, penudaunt tren~te-six heures. Chlerpassag~re ] a face, mnains br^1awtes e~t ia~ngue sekhe, -avec respiration haketante, touas es,sokos de cinq "a si:ý heures. Sneur copiense ]a nuit (an bout de six hleures). Tr~s forte s ueur Ja nuit (au bout de vingt-qqatre beures). ~65 j prouv~edu malai.se an iilieudn brid'e mass.elmdLAlee noxnbrewse. Snsceptibilite', grande disposition a -s'effrayer-, 4 pleurneripoutr des riens. V *'-ande disposition a' s'e/frayer; des bagaý,:teI~ep causent des commotions violentes de' frayeur. Abattem-er~it (anbo~utd e dotize joursý). 'Le malimabatitement, laciturn~ilfve rul.(au bhout de ~ingt-deux, ving(t-Lroisjos) 161o. Agitation; on ne sait que devenir. I Ir re"sdltitioport~e'ean dernier poin-t. On ne pent pas achever ce dont on panle. Nulle envie de travailier, nul plaisir a,.ce qu'on ftinat a tefisd'iiennui insupp Irtable, PflOSPHORE. 45 Au grand air, hypocoudrie, inaccessibilit6 au plaisir de ]a conversation et 'a toute distraction. 6ij 5. ',Jrriiabdiite' extreme: t~out contrarie et depite; des choses atixquelles on ne faisait jadis aucune at., ten lion., tourmentent beauconp; avec la minilleure volont6' du monde on nepeut s'legayer. Paresse et mauvaise humeur (au bout 4e spize jours). ]Iaiwai-se Iumeur al'occasioncde -tout, me'me pour des riens; le stijet refuse de -repondiie. Le matin, en s'ev~eiIlant, inauvaise hiumeur,cokere. Mauvaise lzumeur au plus lzaut dlegre' et col~re; on s'empo71e aisemrent. 62.Caract-ere violent, emport6', -qui pren-d feti pour des riens. E~sprit chagrin, quereileur; caractkre pleureur (au bo-ut de quel~ques heures). Disposition "a quereller, 'a 8s'chauffer,.AlI'cbancet6", col~re etrnuauvaise hu;-neur., XII. PhOSPhore(Plaosplwrqs). * Dnsle zhpitre consacr6 1prelparaindsn. dicarnensanlipsori-ques, j'Iai fait connaitre les.p -atations qu'on do~it observer en r'u-nissant le phosphore au sucre dec lait, e~t ic portant jusqu'au centi~mo degr6' d',at~tenuation- Un grain de ce~tte.Ppodre_,esq trait6' de ]a meme maniere que les, autres substa-ncqs seches, pour la porter " a ]a illionnieme puissance. Elle sert alors, pour la premiere dissolution dans l'al.. cool'a-queux, avec laquelle 'on pre'pare les, dilutions subse~quentes, d'ans '. vingt six 'verres suc~cessifs;, jusqu'" X. 44 DOCTRINE II0IMIEOPATIIIQUE. Outre ce mode de pre~paration, qui a 1'avantage d'tre uniforme avec celui des autres me'dicamens antipsor iques secs, on pent encore employer le suivant. On coupe un, grain de phosphore en petits xnorceaux, qu'on met dans un verre contenant deux cents gout tes d'e'ther sulfuriqu'e rectifie', et apr e-s avoir bien bouche' le flacon, on laisse le tout dans un endroit frais, jusqu' a ce que le phosphore soit dissous. Alors on donne'deux secousses du bras "a ]a disSOlUtion, et on en fait tomber deux gouttes, contenant -tUn centie'rne de, grain de phosphore, dans un petit flacon dont cent gouttes d'alcool remplissent un pen plus de la, moiti': 'on donne deux secousses afin que Ia, dilution arrive 'a 10,000; on me'1e une goutte do cette liqueur ave~c cent gouttes d'alcool, dans un autre flaOD quonsecoue aussi dexfi, etPo continue de me'me jusqu'a' ce que ]a solution soit arrivde h1'a J'ai tronve quqe la dilution au dedcillionni~ine e'tait celle qu'if conivenait le mieux d'eniployer; onen imbibe in, deux on tout an pinIs trois glob ules de sucre, qu'on mol'e avec un pen de sucre (le lait. Cette dose est assez forte pour agir colflme' antipsorique lorsque le me'dicament pentit, d'aprds les symnptomes connus, agir ho~moeopathiquement contre un. groupe donn De de sympto'mes morbides. Lorsque le remeade a kt' bien choisi, elle agit an momns pendant quarante jours. (i). (1) Ce qui prouvo A quo1 point IC traitoment par frott~ernent et socousse que 1'homoeopathie fait subir aux me'dicamcns los 4loign e dc leur ýphe*re chiruiqub, c'cst pa-r oxomple le phe'noaie'nc surprenant que pre'sonto un eglobule de sucro imnbibe' do cette dilu PITOSPHORE. 45 Le phosphoi-e ainsi prepare' est tin des principauK moyens antipsoriques, pourvu que, I'application homoeopathique en soit ri goureusernen t faite. Cependant on le trouvera, indiqti6 rarement dans les cas de maladlies chroniques non ven'r'iennes caracte'rise'es par le dedfatt d'appftit ve'nerien et la fai-. blesse des organes, genitaux, on quand les re~gles, ont cou~tune cle revenir avant leurs e'poques, de rne'me qu'en greneral dans tous ceux oiui il y a faiblesse par trop grande et pauvrete' d'e'nergiIe vitale. Si De'anmoins ii convenait d'ailleurs hiomoeopathiquernent dlans cette dernie're circon stance, iifaut avoir'soin, pendant qu'on en fait usage',(le communiquer au malade la force vitale d'un individu sain, afin de soutenir ses forces autant que possible. A cet effet, une personne samne, vigoureuise et bien pensante, prend de temps en temps dans ses mains les mains du malade de'bile, et les tient pendant quelques minutes, avec la dispo'sition d'esprit ]a plus bienveillante, ou meme appliquie les, siennes, sur la. partie la plus souffrante du. corps. 1i faut avoir soin d'e'loigner tout bruit. qui pourrait distraire 1'attention de l'ope'rateur et de l'opei'r. Ce me~dicamnent est celui qui convient le mieux dans, le cas de selles habituellemaent molles ou liquides. En observant ces precautions, on trouvera le phosphore tre~s-efficace surtout dans les, cas,oiui pre'doniiineront les. ktats morbides suivans: vertige de diverse tion de phosphore au de'cillionniedme, qui conserve sa. puissance rne'dicinale pendant une annaec enti~rc, sans en rien perdre, et sans qu'il s'y produise d'acide phosphorique, qui exerce une toute autre action me'dicinale sur 'horninxe. 46]DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. 6spece; nmal de t ete stupe~fiant; afflux du' sang vers la tIe;e- mal. de tefe le matin; danc'emens a 1'exte'rieur, sur le coke'cle la te'te; chute des chzeveux; difficuk6e d'ouvrir les paupiei'es; ardeur et cuisson. dans l'angle externe des yeux; Iarmoyernent des ycux au. vent; ijeu'x larmoyans et suppurans la Dnuit; inflammation de'syeux; chaleur dedans et pression comme catisee par u In grain desable; myopie,; viie trouble, taches /zoiireS, 4ioldigcant devant les yeux; apparence d'un corps noir devaint les yeux; aveuglement diurnMe, dansle quel tons les objets paraissent couverts d'un voile gris; obscibrit6 cle la vrie 'a ]aIaLIiimre artificielle; teinte sale de l a face; battemen't dans l'oreille; bourdlonneinen t d'oreilles; difficult6' d'entendre la voix hiuma~ine; mouchement de sang; saign'ement de nez; se'cheresse fatiganhe di7znez; couletnent continiuel de mucus par le nez;- mauvaise odeur qUi s'exbale dai ez;gconflement du col.; langue blanche,; erosion dans l'int&rieur de!a bouche; mnucus lans La bouche; goiuit muqueux danDs Ia bouche;gouit de fror-nage dns labouche; -nacosit~s attachiees clans la gorge le matim; selzemesse dilasli gorge, le jour et ]a nuit; rapporis; rapports sjpasmodiques; rapports acides; nause'es, le matin, cat sees par ]a faim; de'sir de qucique chose qui restaure; faim apres avoit' mange'; nauises apres avoir mrange'; malaise dans le bas-ventre apres le dejeuner; chalcur et aiixiete apre~s avoir mang6; d'haleur bri'ilanite clans les mains apre~s avoir man ge'; paresse et *-envie de dorm-ir apr~s qu'on a mange'; une sorte de Xkrtetcissemnent du cardia, qui fait que les alimens,qu'on vi ent d'.aval-er remonlent Ala. bouche; douleur A ]a re`,i-on prkcordiaie ien y touichant; remuemnent 'a lai re'gion pre"cordiale; ple~nitude daws 1'estomac 5 gon PHOSPHORE, 47 Element' par des vents apre's le diner; borborygmes dans le ventre; douleur's caus~es par des vents; d~placement de vents; coliques le*rnatin dans le lit; de'chiremens dans le bas -ventre, avec beau coup d'envies d'aller ai la selle; mollesse et liquidite' chroniques des selles; e'coulement de sang en allant ca"ila selle; 1zemorrhoides dans le rectum et a ' anus; e'cou.lement inuqneux par 1'anus, qui est toujotirs ouvert; tension dans 1'uretre; cuisson dans l'uretre en urinant; ardeur d'urine; convulsion bri~lan te dans l'ur~tre, hors (les inoinens ou,1Ion urine; 6'rections trop fortes* le soih,; de'sir continuel. du coit; ejaculation trop' precipite'e dans l'acte v6nerien; poliutions tropfri-e 9uentes; elancemens dans le vagi~n, las que dans la inatrice; coryza sec; difficulte' de respirer; chaý' toujitement sur la, poitrine; toux provoque~e par un chato'uillement; Aiprete' du larynx; expectoration mnuqueuse par le larynx; toux av-ec irpretM et enrouement stir lapoitrine; toux la nuit, avec e'lancemensdans le larynx; e'lancernens dans le co'te gauiche de )a l)oitrifle, qui se font sentir me'me en y touchant; douleuir dans la. poitrine quand on se couiche dessus; battemens de coeur etant assis; raideur de Ia nuque; 'Jancemens d "cbirans dans les bras et les omoplates; tremblenient des mains; gonflement osseux 'a la. jamnbe;, secousses dans les pieds, le jour et la nuit, avant de s'endormir; taches jaunes au bas-ventre et sur lalpoitrine; lache,s brunes au corps; chaleui' passagere; le inalade s endort tard; sueur le matin; propension "a la. fraycur; miorosite"; timiditd; inquie~tude quand on est seul: irritabilite' et susceptibi lite; wiauvais~e humeur; aversion pour le travail. La manie're la plus ordinaire de calmer 1'effet par 48 DOCTRINE TTOMOEOPATHIQUE. trop violent du phosphore est eTe faire respirer du camphre: on a quelqnefois recours au vin, et dans certains cas, -' un pen de caf6; cependant ii y a les cas opposes oiu l'on est force, pour faire cesser les accidens, de faire flairer an malade une globule de sucre imprcgn6 d'une teinture de noix vomique au decillionnieme. En choisissant le phosphore d'une maniere rigoureusement homoeopathique, afin de ne l'employer que dans ces circonstances, o11 ii convient le mieux, et en le donnant au degr, de dilution ainsi qu'a' la dose nekessaires2 on n'a pas besoin de recourir aux antidotes.' Vertige, le matin, en se levant du lit. Le matinvertige qui augmente toujourset res-.semble "a un poids qui pe~serait sur le devant de la tate; le sujet est rnal " son aise et au moment de se trouver mal; en se baissant, sa vue s'obscurcit; eternuemens frequens j usqu'au soir; 1'Fiat s'ameliore au grand air (au bout de sept jours). Le soir, 'tant couch6 dans le lit, tournoierent dans Ia tate; le sujet ne put rester couche, et fut oblige de se mettre sur son seant; ensuite vinrent quatre selles diarrheiques, avec violent frisson, puis chaleur intense et sneur abondante. Acce's: ii semble au sujet que tout tourne autour de lui, et il se tronve dans une situation, les bras tendus, comme s'il avait vouha empoigner quelque chose pour se tenir. 5. Le soir, vertige de pen de dure'e, inais violent, pendant dix secondes. Le soir, en mnarchant, grand vertige; tout tourne autour de lui; le vertige cessa en s'arretant, et rem prit en marchant. PFIOSPHOIffE..49 A midi, vertige si violent, que le suj'e't flt an moment de tomber de sa chaise. Veirtige en se levant de table, A d'iner ( an bout de neufj*ours).Acce's de verti~ge,'tons les jours, eni sortarit de table; -11 est si fort, que le 'sujet hd sait plus oiui A en est., ro. Vertige plusieurs fois dans la journee; ii chan.. celle en'inarchant, comme un ýho'mme ivre. Vertigye en fermant les yenx; it lui senible tourner toujours en rond. Vertige en se baissant; le sujet est frileux', et ii a des nanse'es, de teinps en ternps. Une sorte de vertige; en tournant une fois suliMmre, le -sujet ne sa'it- plus ou it- e'n'-est; et apres s,'etre baisse', il est oblige' de rester qnelqne- tem'ps' tranqjuille, 'pour reprendre ses sens, dans la matinee. La tkte est prise de vebrtige, lourde et doulouretise, comme si on avait conch6' la te'te trop basse, ' nLY dant lanhuit. 15. Vertige, avec: mal d'e tte et afflux'de beaucou'p de salive ' a!a bouche: le su'jet est 6'bli&& de ctac'Uher sod~ent; pendant trois jours.Mal deltae, e'tant couch6,' avec naus~ee s, ap's sa dissipation., une sorte de vertige. Le ma tin, en se levant,'ii ne peut revenir A mi; la tate est e'tourdie, lourde et don lonreuse' Perte de ]a memoie 'et etourdisse'ment. Oubli et faiblesse d'esprit, de sorte~qu'n"'dfait tout antre chose que~ce qn'on veu-t. 20. La tete est e'to~nn~e et e'ntreprise (au' bout de -quatre jours), 11. 50 DOCTRIN~E H0NOE-OPATHIQUE. Huit matiiz'es, de suite, mal dle t-ite, qul est comm7e etonn~e'(au bout de treize jours). Le Vati p~ 'tre r'veill6, tourdissement-teI, qu'on est oblige' de sortir le sujet dui lit., Etourdissement, le soir, dans le lit. Etourdissement dans ]a t~et en se remuant. 2a5. Yiolent rual de tete, avec etourdissement., frisson et froid, sans, soif, chaleur passage~re 'a la te'te, et malaise par tou 't 1? corps (au bout de trente-six he Ures),Le sujet est corume he'be't6 et de'concerte6, Pendant plusieur's jo~urs. Quand ii se reveille la nuit, ii est, coMime frappc' de.7st upeur. Pense'es de'lirantes en sommeillanst, et imeme, tout 6veiII6e.-.Affluenice Xd'ides, qu'il devien t difficileI de, class~er. 3o. Marche lente des ide'es; v~ide d'ide~es. IVaiblesse dans, la teate;,apre's qu'efllees pass 'el tAte fait mal. - Grande faiblesse dans la te'te, qui nie. permet p~as de sn pporter~le son dui piano. r" acerpi So,'te de faiblesse dans la te'te; rir ace aps pesans, 6tendre les, membres, procure un batternment dans, le;,erveau, qui se fait, surtout, sentir avec, force apres qu'on est restes iong-temnps ýassis. Violept mnal, de te'te pour s'e'tre baiss6( au ou, d onze jours). 356 A la m~oindre contrarie~t6, mal de t-ete,.:. Le matin, mal de tete, quand on commence a',marcher, et que d'autres petits, mouve.mens renou'vellent. La tete' est tre's-lourde ( au bout de dix-;huit jours). La tote est lourde, e~tourdie et sans force, le matin. Sellat~ion deplen~itqd~e d-ans, la ttpe, comxme W,'ap' proche d'un coryza. Lj..TLe'tecomme pleone t, surbrhpg6e. 1Iourdonjiniernen4tdabs-]a t6 tp, (an buit deaepix heures) Violent bourdonpern ent daus toyvq atQ ite, wto pt qu~and. on, est. 'issis. Tou~sles,5 i -tins, nal, de tete, en7 S'6veit4 p164 niuepression, secousses, iso1l~ (ep s evn),o de'chirernent; ii. s'aggrave par- Ic mouveient Constrictio4r. douloureuse de la te'te, tons les degx: joutrs. 45. Mal dc tate-,auw4~essu~s des, ycux (plo.s. a,, V#t& ricur qu, aPilltericur);p~ressio~n cidgd~eOpws a hors, coinmne si le fi'ont allait s'oiivriir* (wA l)bcur P.,;o vingt-qijatr ehees.CTopsý les mnatins,, le, s Lijcft e st. y eilh 1 par tin rnal 1e, t~~an-dessus des yexdans le front, qniccenaf se dissipe peu ai pe7 aptrs sa: sortie du i t opdam~n vingt-ct-UnjI s'(Ie, st~ Mal de t~et deux soirs de suite, qui c~wmence au~ssito't apr~es qu'on, s'est- mis.ailt -Deux jours de suite,.iriaLde te~taepuislIcmat-in jusý.qu'edans la unit,,au sQn wetclateet. -LIsII e filont:pressioiz 4ýiodeusszýs desye zx:(an bout. dOpqna-i,ý tre joIU's)., Mal de tete; pressioný danis le front, lo soir.., 5,0,171Wdc~ Me grqvotif, dans le froat i jusgue&danzs les, yeux, cominc s.'ils afl~a.ýeut sorti,'W orie(a bou~t d~eci~nq,,trqiz~ejou rs). Mat de ete; pression et pincemnent. NYal de a&ei l',pre's-midi j~usqt4?uso;v en s'endQ.r-. mantleIccerveau cause la. n~in& IQ111., qw~ DOCTRINE Fi-iomrOPA.THIQUE. etait bri~e en morceaux ai sa surface, sensation q'ui* se dissipe (lans le sommeil. Ca"i et ]a" mal de' te'e cornpressif, qiii de'gentem en une douleUr, cormme si le cerveau e'tait 1ace'ie et con-, tus 'a sa. surface. Pressi~on qui se porte' 0 et ]htcdans la te'te. 55. Mal de te'te compressif, d'un s'etil cok'e, qui disp arait en''allant au grand air ( sur-le-charap) Ma et A ecrrsif, ýh et 1h sur la surface dii cerveau, au. sommet de la te'te. Mal de te'te; pression alternativernent dans, les, ternpes, et au. soinmet de la te'te, avec une sensation de p1enitude dans le cervean, diffirente toutefois de eelle que produirait unecOongestion de sang (au bout &dedeux heures) Ple'Ditude dans le cerveau, diffe~rente de cele qui resulterait d'un afflux du sang, et qui n'empe~che pas de- penser. Afflux dui sang vers ]a te'te. 6o. Afflux dL1 sang vers la te'te, qui n'est pas supportable. Douleur compressive, tiraillante, dans lesdeux tempes( au bout de'trente-deux heures) Tiraillernent spasmodique au dessous dui somme't de]a te'te, avec e'Iancernens dans les ternpes. Elancernent et pression dans l'occiput, suivis d'un grand battement dans, le front. Mal de te'te; le soir, e'Iancernens dans la tenpe. droite (an bout de quelques hetires). 65. Le soir, 6'lancerniens isoIe's dans ]a te'te (au bout de cinq lieu res). Douleur envahissant toute la tete, avec des e'1anzemens dans les, tempes, le soi'. PHOSPHORE. 5 Mal -de: t" te; siurtouit le, s~oir, lncrens clansds points isohe's de ]a te'te. Elancernens dans le,c~t6droit de Ia tete,ýpendant plusieurs jours ( au bout de treizeljo~urs) EIanc~emens clans l'occiput. r70. Plus iegurs cou~ps. d 6pingle au,.sommet de la. te^te. Mal, de tate sonvent pendant des- demi-heur'es, battemenms dans Ies-utempes. Le sujet s'6'veille, le maim, avec des batteme-ns dans la te'te. -Battem ens clans 1a tete, pendant qu'il est coucb6'. En haut, dans et sur la te'te, dou'leuir cornme 'de ba ttement, sensible, surtout len'machan t et me~me en y touchant. 75. La tate est lourde; on voit comme A% travers une gaze. Maim de tete., lanu'it, apr~s des nause'es le soir. Mal de tate; chaleur Nb,'Ilane' dan's lefront. Ardeur donloureuse "a 1'exterieur de ]a te'te: coilicci est chaude au to'uch'e'r, sans que le corps soit plus chaud qu'a'l'o rdin ai "re*; en meme temp's, de~faut d'app6 -tit, et le sujet fut coblige" de se coulcher ( au bou t d-e neuf jours) Le C At fgauiche d at te stfroid, vcd adn lear profonde~ment clans 1'oreii~le., -g0, Grande facilit6 ia se refroidir Ia tete. Iit semble que le. cerveau, e'1e quand, on se, tient au grand air (au bout de coax jours). Gun fiement luisant, non enflaumme cependaný et p~n douleur, an fr~ont; avec les plus vives douleurs, au dessus des yeux (an bout de quaran.b9 - 4 wres-)I 04 ~~D0CTRI~E.HOMQE9,-O'PATI{IQUE. Th.'ession sur div~ers points de I'a tete cornme s-l y.avait'des noeuds sous la peau.:Prurit. sur le cdirchevein, aa face -et au col,' -85. Vi~olent prurit sur le cuir* c'kevelu. Beaucoup d'ecai11es sur, le cu'ir chevein.,;qui dca usen parfi u prurit (au*bo'ut Ode rui-t- j.oar8~ Petits es MIevatio:ns prturit-euses stir, le- cuir ct6,veluy qui sont douloureuses au touche, com m~e de p6tits furboncles. Elevations pruriteuses sur le cuir chevein.Le'ruption A la t "tosuinte,, et ca,,us eI isison, inais peu Ade pru'rit.l go,. Les chevetox -ombent en caboindance (dans 1eý premiers jours). Une place. au cuir chevelu, sur 1oreil-le', dev.~ent chauve (an bout de douze jours). Sensation comme si Ia peaa da front e'tait?,rop etroite, avec anxiete, pendant. plnsieurs jours (an bout'de trois heures).. Tension de ktpeau dans tonte lafae Douleur dans les os de la face. ~9 Er uption, de boutons "a la faice., Petits boutons isoles et rouges ht laface. Iiruption de tr es-petits boutons au front et anu menton. Bouffissure de la face.' A mnidi, aleur soudaine de ]a face,aecdpsi Savoirfroid1, inal de ventre et douleu'r de tLe (an bout de douze jours) J -o. P~etr exfraordinaire de IA face. "aleurdAe ]a face, teint malade(a bout de hurit Changement manifeste des traits, qui sont affai ses: teinte, terreuse -de la face; y'eux' enfonc6,g Or(Ix, borde's de bleu, pendant plusienrs heures (an bout de six", s'ept heures) Sueur au visage, qui est froid, avec nausees, dans' ]a matin~e. Ver's le soir, grande chaleur au. visage (au bout de qtiat ovze jours) i o5.- Apr es 'avoir lav6f, violente chaleur 'a-Ia face,' avec taches rouges.De la chaleur parcourt la partie superieure de la face, avec ex'altation de ]a rougeur de cette partie et obseurcissernent rnomentan6' de lai vue (au bout d'une he-ure) Tous les soirs, chaleur briuclante sur 1'une on 1'Iautre jone, pendant deux heaves, sans soil, et -aussi sans fr'oid on chaleur sur le reste du corps, s'ans anxie'te. Eruption de boutons sur les cleux -jones. *Elan cement dans la jone gauche. I 10o, Convulsions dans les muscles des jones. Gonflement et bouffissure antour des yeux. Larges cercies bleus antour des yeuix. t haiouillement an' perioste, autour de~s yeux. Fr equemn'ient dans la journe~e, prurit dats' les paupiieres. 1 6b. Douleur avec remuement dans les' pauvi1res. Elancemens derrie're les yeux. Une tumeur au bord de 1'orbite. Douleur compressive sourde dan's iorbite. La paup.1iere gauche est gonfle'e, et 1'6's de rorbitec douloureux au. toucher (au bout de dix.-neuf jours~) IA6. Les bords des paupie'res sont douloureux. Dou'leur tiraillante dans les yeux. 56 DOCTRINE IIOMOEOPATHIQTIE. Pression da, ns les paupieres superieures. Pression -dans les yeux. Pression et 6flancernent dans les yeux; ils sont tro ubles et Il'anguissans. 125. Pression dans les yeux, avec trouble. Les yeux causent de la douleur commne s'ils etait presse's;1'action de regarder augmente cette douleur. Les yeux larmoyent le matin en travaillant, et pa.raissent, troubles (au bout de onzejours). Les yeux pleurent aisenzent ait grand air. Les -.yeux pleurent. i 3o. Grand larmnoyement des yeux, me'nie ]a nuit. En lisant, setcheresse et cuisson des yeux (au bout dle cinq jours) Douleur dans le~s yeux en Jisant 'a la lumie're dui jour et lc soir "a ]a Iumi e*re artificielle, dans I'angle externe de 1'oeil. droit; sensation comme s'il s'y trou, vait quelque chose d'~cre, de sale', de cuisant, sans rougeur sensible. Pression et douleur arden te dans les yeux, pen dan t deux jours (au bout de quarante-hufit heures). 13 5. Ardeur dans 1'oeil, pendant une demi-niinute. Yeux echauff~s, et ardeur en dedans, phisieurs fois par jour, pendant quatre 'a c'inq minutes. Inflammation desiyeux (au bout de vingt-sept jours). -inflammnation dles yeux; ardeur et prurit d'ans, les yeux (au bout d~e quelques hieures.) Les! anglres internes (les yeux -sont collh's par de la. suppuration le matin. 14o. L'oc-iL droit gonfl6' pendant deux jours, rouge~ epflarmm, sUptr4nt, 4vec doujoir grdepte, 57 L'oeiL est tout roug-e et enflamme' avec prwuit et douleur compressive. Les yeux sont co~lls, par de la suppuration, le ma. tiavec ardeur et lelancenient dedans et une sorte~de gaze au devant. Les, yeux sont colle's par de ]a"'-sutppu ration. le mat in; le jour aussijils su ppurent et pleurent, (au. bout de vingt-quatre jours.1) Lia-paupie're supe'rieure droite..es~t gonflele, avec douleur compressive et prur~it. 145. Rfougeur du blanc de l'oeil. Le blanc de l'oeil. devient jaune. Le soir, on apercoit quelque chose de vert' autour de la flamme de la chandelle. Les yeux sont fiaibles, languissa'ns et assoupis. Les yeux sont tre~s-faibles le rnatin, en s'e'veillant; leur e'tat s'ame'liore un pea apre~s qu'Ion s,'Iest Iev6' (au bout de cinq j ours). i 5o. Tendance a ne ýregarder que d'un ocil. Le sujet est oblige' de tenir pr~s de son ocoil les, objets, qu'il vent bien distinglier: "a distance, tout lu-i parait comm, e enitour6" de fumr6e ou de gaze; cependant, me'nie delprsit ne voit pas long-temps avec nlettet6; it voit miieux quand it dilate les 'pupilles en tenant la main en dessus de ses yeux. Le matin en s eveitlant, les objets tremblent devant les -yeux: is paraissenit i'avoir que des contours vagyues. Bourdonnement dans. la ta'te et Ineurs passage~res devant les yeux. Une sorte de gaze nzoirle cdevant l'wil droit, j 55. Tcms les objets sont yuý,corn me 4t travers upp 58DOCTRINE IIOMOEO PATHIQUE. gaze, et en meme temps la conscience se perdjusqu'a" un certain point, Points noirs qui -passent devant les yeux. De grandes ta'ches noires' flottent devanDtl-es'yeux, apres qu'on a mange. Er'uption de pustuIes derriere les oreilles. Pustules qui causent une Ldouleur bii~la'nte dan's lh'hlix de l'oreille. 16o.-DouAleur tiraillante sourde au lobule de l'or-eille. La parotide cause une tension fatigante, surtout quand on se baisse, et elle 1est doulour~euse au touchaer. Q uelquefois de.1'ardeur dans la parotide. Pression dans les deux oreilles. Sensation de se'heresse dans l'oreille, avec ousans bourdonnernent. 165. Douleur dans l'oreille. Elancement dans, l'oreille. J/iv'es dernangealsons dans l'o~reille. Pulsation dans 1'oreille, apre's avoir march6' vite. Bruissernent et chatoujiliernent dans 1'oreille~gauds,che..17o.'Eb~ranlement tel dans la te~te, en parlantfort, qu'e le stijet n'ose point parler hau't. Ses propres pa~roles et celles des~autres liii re~tentissent dans 1'oreille. Bou~rdonnemnent clans les or-eilles, corinme s'il y avait une gaze tendue, dessus. Fort bourdonnem'ent dans les oreilles (au bout de vingt-trois jours). II semble6 parfois qu'un corps 6etranger se place' en de'van't de 1'oreilie-dro'ite, iý,,5..L!&-i,,eil egduche s~e'bouch-etouit'acouip,,apres quoi on 6'prouve des bourdonnemens declans;'enfin,t.aniit& 1'ouie est diuie, ta-ntot ii s'e6coixle Unri qud 4jau-,n e pend'ant plusieuars sernaines; en pressafnt "'a 1'exte'rieur stir 1'oreille, on entend mieux, pour quxelques, i~n'stans (au bout de vin~gt-huit jours).' Gonflement de la. joue et de la, gencive, sans doun'leari. Apr'es".tin mouvement echauffant,"pendan-t la nuit', no'mbreu ses taches de - r-bisseur sur le *nez, le ma-tin -(;au bout de douze jours) Prurit au nez. -Gonflement du nez, qui est doulou're'ux au -toucher. i8o. Une des ailes du nez est d'un rouge fonce' et dou-ioq' ue q~d on y touche, conme iel etait gerc~e. S entiment de se~cheresse dans le inez. Odorat tre's-fln pendant le mal de tkte (au bout de quatorze jo~urs'). Beaucdoup de mucus sort du nez, sans coryza. Ecoulernen t jaunel-vert par le nez. 1 85. Ulceration des 'narines. St ris san g~uixiolentes dans le mucus nasal. Q uelques gouttes de sang coulent du nez. Saigraeient de nez (de suit-e e't au hoatt de -dix.. sept jours). Fort saigynement de ncz, le soir (au bout de -sept, joxurs). 190. Saignement de nez freýqu ent et- abondant. Levres bleuktres. Tons les matins, gonflemnent de hIn le N~'superieure. Une dau~tre sur la levre superieure. .6o, DOCTRI]NE HOMOEOPATffIQUE. Ulceration. des coins de, la bouche (an bout de treize jo'urs). 19.Une dartre dans le coin gauche de la bouche, qui fait e'prouver des M'ancemenis et des de'chiremens (au -bout de vingt-quatre heures). Eruption de boutons, dans le coin droit de la bonche. I Un petit u~c i'e se forme "a la gencive, et Ia hevrle superieure se gonfle (au bout de dix-sept jour's). La & v-re infi~rleure est tr~s-gePc e dans le Milieu. Douleur bri'lante ' ala partie rouge de ]a 1evre inf6 -rieure et, 'a1'inte'rieur de cette hwvre, am poules blanches, qui.,causent tine ardeur douloureuse (au bout de o nze jours)., 200o. Ulce~re dlou'loureux a" laface interne de la 1kr-re inf~rieure. Ii vient dui sang "a ]a bouche (an bout de Vingrt.et-.,une heures). Saiognemen t de ]a gencive au moindre contact. Lag-enciv-e saigne aiseinent, et se de'tache des dents. Gonflemnent considerable 'des gencives. 9-o5. Gonflemnent de la gencive an.-dessous d'une dent carie'e. La gencive cause de la douleur, comme si elle e~tait u1c'ree.,Sen~ibilitM doidoureuse d ce la gencir-e, qui ezm 1)eche de manger, avec deux petits ulce'res sur cette p~artiew. Un ulce're 'a la gencive, apre's un mal de dents (ail bout de douze~jours). P~rurit et picoternent 'a ]a gencive. 210. Inflammation de la gencive (qu. bout de qua, r~ijte-trois jours>, PHOSPHORE. 6i Saignerent subit des dents molaires superieures, sanis cause. - Mal de -dents, en allant au grand'air. Au moindre contact de I'air, mal de dents; battfement, secousse et quelq-efois' ancement; mals, dans la chambre et en fermant la bouche, pas de dobltiPeu r* Mal de dents (dechirement?) dans les incisives 'siiperieures, excite par l'inspiration d'un air froid, 1'usage d'alimens chauds etle contact. 2a15. Les dents deviennent si branlantes, que le sujet ne pent plus n ficher. Agacement des dents (au bout de dix-huit'jours). Tojites les dents de devant tiennent si peu, qu'on peut 1e9eniivei'. Une dent devient creuse (au bout de dix jours). Mal de ilents, dans une -dent fracturee, qtii e'st' excite et accrn par la chaleur du lit (an bout d& vingtdeux jouirs). 220.: Mal de dents, la nuit seulement, dans le lit, qui se dissipe quand on se klve. Le soir`, _dans le lit, violent mal de dents, tr6is " jours de suite. Mal de dents, avec fluxion "a l] joue. Mal de dents; sorte de pression d'arriere en-avant sur les dents du haut et du bas, h gauche (au bout de huit jouls ): Mal de dents tiraillant, avec froid aux mains et aux pieds (au bout de dix-huit jourls). 225. Douleur tiraillante dans les dents incisives de devant. Tiraillement violent dans ]a machoire.' Convulsion dans ]a machoire inf6rieure, presque 6~2, DOCTRINE. HQ1MI0E0ATHnQIJE. comme dans.un, rmal de dents (au bout de 'quelques heures). Serrement des mnakhoires; le suijet ne, pouvait fcaron ter' les dents. Um tubercule douloureux, alu Cote interne de la 2a30. Douleur au frein de la langue et au paiais,.qui; erpp 4e de manger et de parle.r. Un point doulo-ureux au pahiis. Chatoujilement insupportable au palais., Ardeur aui palais., Ampoules au palais, qui se dekchire-rent, et suppur rent. 2,35. Sensation au palais,. comute si ]a peau allaitse de'tacher: ii e'tait ride' et un peu cloulo~ureux.':-, -Sensation commne si ha gorge e'tait excori~e elle e~st aussi d'un rougae fon c. Dui sang vient "a 1a bouche. Pincement lancinant 'a 1'exte'rieur dui cop.,.,en. allant au grand air. Au~co1, Solis le menton, tumeur dure. et~grosse Coxnme uric noisetIte, qui est douloureuse au toucher. 2,40. Convulsions dans les muscles dui co:u. Pression lancinante dins Ia fossette dii coU. Le matin1, p.ression dans le. con.. Mal de gorge., comnme, si la l~uette e~tait tomnbee. Les amygdales sont fortem-ent gonfle'es. 24.L'arnygdale gauche est tres-gonf16~e; cellcmipeche d'avaler et Ide remuer, la te'te (au bout. de dix Pression dans ]a gorge, e n descen~d ant Nrers 1'estomaco. Pression dans la gorge, comnme s'iL y avait,"angine. Grattemen~t dans ]a gorge, l'apres-rnidi et le soir. ýpn- OS13HORE. 61 - Sensation d'a'prete' et de grattemient dans la gorge (au bout de trenteq',uatre heuz~es). 25o. Gratternent dans' la gorge. Le soir', on crache de ]a salive ayant l]a saveujr de 1'ean putre"fiee. Crachats gris, sale's, qu'on arrache, avec Offprt~. de Ia gorge. Sp4sation'dans Ia bouche. couirwne s'4 y affinait beau-,co~up-de~ salive, avec gou~it sale" d ouce 'at',e, onu i i (au bout de qua Ire heures). Le m atin, en se levant, saveur visqtiuese d4sarable, dan s Ia b~ouche ( au bout do quatre. joiirs). 2a55. Sensation dans ]a gorge coim m-e d'une, -sv~ur sucr ee, qui fait couler Ia salive. "a Ia bouche, (wu. bout d,"u nqq4ý`,ure -et, dernie). Saveur tre~s-acide dansl]abouche; le sujet est ob ig6'.,4p qracher.souvent (an bout de dixneuf jor) Beaucoup de salive aquense dans la bouch e. ]4se remnijt beaucoup de salive dans Ia, boucheo, La ýsalive est comme une mousse e~paisse dapns 1-t bouche, sans, se'heresse de celle-ci, ni fausse save'ur (an bout d-e.tr~ente-.trlois~heures). ao. 0.Alt~ernatjve-conti ntelle d'h.iiridite et de scheresse dans labo'uche (an bout. de, treo te-cinq heures). &e'cher~esse dans la b~ouc~he, avec gran~d. fioid,.aix' 'piods, Sensation excessive -de se~cheresse 4ans la bouche., qui est -visqueuse, avec soif violenteý; quioiquep le suet JPive beaucoup, l'einp'temnent.ne diminie, pas (an bout de trente-huit heures). S~cheresse cian~s le phary72x et la. gore Serrementde gorge, avec flux do~ salive "a Ia bouche. 265, Soda, le tmatinet I'apre's-rnidi. 64 DOCTRINE HOMIOEOPATHIQTIE. Soda (les premiers jours). Soda, deux apre's midi'de suite"'.' Ardeur dans ]a gorge et dans 1'estornac. Hoquets frequens dans la journe'e, meme avant le repas (au. bout de quinze jours). 2,7o.-Hoquets fre~quens; l'estornac est comnme distenda par de 1'air. Rapp orts conti1nuels, et en meme temps fermnentation dans 1e-ven-tre (au. bout de vingt-qua-tre helxres). *Pendant les rapportsj douleur sous l'app'e.ndice xyphoilde (au cardia), comrne s'il allait se de'chirer lat quelque chose. -Beauco~up de rapports incomplets, ce qui occasione de la. pression sur la poitrine (au. bout' de oDnze jours),. Ten dance vaine aux rapports,' d'oui re~sulten't d~s coliques (au bout de dix j~ours). 9,75. Frequens 7rapports a' vide&, surtou't apr. s le,repas. Frequens rapp~orts "a vide. Rapports 'a vide'(an bout -de trois heures) D'abord rapports ' a vide, puis r'apports ayant le -gout de.,ce %qu'on a mang comme sila dgesto ýne se faisait pas. Violens rapports, d'o%~ mal de poitrine (an- bout ýde qiielques heures). 280. Rapports'acides, le soir. 'Rap'porS ayant les uns le gout cdes alimnens, les autres un gou~t acide. Rapports acides apie~s chaque repas. Tout tourne h T1aigre, meine les choses les plus in-. nocentes. PITOSPHORE. 65 GolAt acidedanslabouche (au. bout de huitjours), 2,85. Gouit acide dans la bouclhe, aussitdt apre~s avoir bzu dit lait. f Apre's avoir mange', acidit6". ---Ypres chaque repas, aciditdplus prononce'e, avec mal de te'te pulsatif dans le fr-ont. Le matin, oUl tr e&.amer dansla, bouche (le premier jour). Gout arner dans la bouclze (toute la, jourue'e). 290. Langue charge'e. Langue sale. Le pain ne plait pas, iA a le goUt de la pate. Mauvais go i^it du, pain, surtout le matin. Pas d'a p peti t, pas de fa im. (au. b out d e tro is jours>, 295. Pas d'appe'tit, ni de faim; ii importe peu au suijet de man~ger, et ii ne mangerait point si l'heuredu rep'as n'e'tait arrivee; les alimens ni les boisson's ne. lui flattent le goUt ce qu'il prend n'a pas de saveiv',r* 6trange're ou. d6sagre'able, mais a trop peix degoiult, beaucoup momns qu'at I'ordinaire. Un fuineur ne peut fumer que tre's-peu, quoique le ta'bac ne lui d6plaise pas. Pas d'appe'tit, pas de soif. Yif appe'tit, sorte de fairn canine, Faimcanine7, la.n'u~it, que rien ne peut assouvir; ensuite lassitude, avec chaleur et, sueur, puis frisson, avec froid exte'rieur et claqueme'nt de dents. 3oo. Defaut d'appdtit. S oi'f, le mnatin, a-vant de manger. Soif ývive, grand de'sir de 1'eau. Point de fairn pendant toute la journt~e; mais, le suj~et mange avec appe'tit. Nais~eos contini~elles (au. bout de onze jours). if. 5 66 DOCTRINE HOMTOEOPATHIQUE. 3o5. Natusees ave'c grande soif. 'Naustes avec gt'ande soif et deffa ut 'ppte l jet fat oblig6e de se coucher. Nause'es vet's midi et l'apre~s-rnidi; apr el avdjir bu unf peu, it rendl c6 q'i'l a'-rs Nause~s qui disparaissent en buvant de 1'eau'. -Le' soir, tard,'n',hisees, qui vont jnsqu'Ala synico'pe et an vomissement. 3 1to. Nause'es et nie de vo'Mir, allaht jusqu' a ]a syncope, tan tot le matin, tanto"tHe)Icsoir. Nause'es, le imatin, deC liit "a neuf hetire.sallant jusqu'a' la s'yncop-e. Nause'es, le soiv, d~ads le lit, qui r~endent le p'arler fa~ible.' 1N ctiS'.es all'an't j fsqtU'an vornissernent, avec aicces d& -syncope!dotleukursourde, c'omme une pression, a~e-As6u-s dela f ossette du'coc'u'r, pu rndlaco veyfted it ern-i e insupportable (a'u bout de qcji aifa'f'i ehtl 6eres).s -Nause~es, frequenptes'. N,. iau's'e'e s"to'ut'e' a journee-, et, le soi'01, O s; sernent. Malaise "a la 1region proidiale~avec danc~iens dans cette partie, qL'isont suivis de r ap'portý. Envies 2e'von'I,16 maim, jusiYl djeiuner. lsa/linens 1'e(.'lennen1t icilou'1c/zle''sans, saveur autre pie la l e'uPr. - Nauisees en sortant d e table, avec' rappo *is~fr6 -quens; I'eau vient a Ia b'Qupchae comme si eliq~ hintait (Ie 1'estoinac. 3'o. Le mai i Chion vomrit ce qu'on armange. Une (Tgrorg e,(IlebWe revient "a la bouche en se bqi'ssarmt (at bout do clouz'c heures). PHOSPHORE. 67 Vomhissement de bile tout6 la tiuji. Vornissement bilienx; a plusieursreiss Vom'issement bi'lieux pendant dix-huit heur-es, puis, pendant vi~ngt-qnatre heuires, nausees, envies de vomir, et de'faut d'appe'tit, sans go ettrange d'ans hia bouche (au bo'ut de dix-huit jon~s). 325. Presque tonis les jours, apres avoir m'ang6,' sentiment de malaise autour de l'estoma~c, sorte. d'envie de vomir. Ený sortant de table, la salive a le gouit des ali'mens qni'on a pris (au bout de neuf jours). L ntmnt de pk~nitude jtisqu'a' la gorge, qui 6te l'appe'ti t. Plenitfude danis la gorgeý, com-me si les alimens allalent ressorltir, sans nausees. Les adotle-urs commnencent tou/ours en -m72angeanlt,0 et darent tant qiw le sqa/et m7ang-e, a' inidi et le s~ir. 33o. Apre's avoir mange', hoqtqet (an bout,-, -viog~-sep tjoQurs)". Aussit Ot apre's a~voir mange, -meme avec appetit, ple~nitude daus le bas-ventre. Tons les jours, apres, le diner; mnal de te'te. Apr~s le dinex', teate si- e tionne, q u'on saiL a peine 0i~ uI'onest (an bout dedix-huit jours). SomnolenZce, apre3s ar-oir mnan g6. 335-.i Apr~esle,dinei~,,somnnol~ence (an botit de quinze jours). ~En'viesirr~sistibloes de doriniir, npres le diner, Un'e heure apie's le diner', mal d'estomac qui s6. dissipe au bout de quelq'ue temps. Apre"s avOor ir ah~g6, pesanteu~rd'elstomac (au bQwt de quatre jours). 68 DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. Toutes les fois qu'on mange, grande pesanteur " 1'estonac (au bout de deux heures). 340. Pen de terups apres avoir mange', forte pulsation au-dessous de la fossette d~i ceur (au bout de quatre jours). Apres avoir mange, pression sur ]a poitrine et respiration courte. Apre's le (iner, oppression de poitrine, avec anxuete. Apre's chaque repas, pression anxieuse dans le ventre, avec gonflement. En sortant de table, tension et pression autour de 1'estomac, avec grand gonflemeirtdu ventre. 345. Apre's avoir mange pen, anxiet6 et agritation dans le sang. Apres avoir mange, sensation de grattement dans labouche et grande lassitude; la marche incommode beaucoup;le sujet est frileux et tout decompose (au bout de vingt-cinq heures). Apres avoir'nangD, faiblesse extreme par tout le corps, et principalement dans ]a partie souffrante. Une heure apres avoir mange, des ampoules sur la langue. Apre's le diner et le souper, coliques avec distension et borborygres dans le ventre (an bout de dixsept jours). 35o. Apres avoir mange', forte envie d'aller 'a la selle. Sensation spasmodiqne dans I'estomac, avant et apres le souper, qui se propage ensuite dans les deux c6tos de Ia poitrine. Tension, constriction dans 1'estomnac, avec rapports aigrelets (an bout de sept jours). PHOSPHORE. Tiraillement et distension dans 1'estoniac quand on va. en voiture. Douleur de pincernent et de constriction dans,1Festomac (au bout de six jours). 35-5. Douleur tournoyante et pincante dans 1'estomnac, Ia nuit. Le sojir, en se couchant, dans le fit, spasme d'estomac (au. bout de vingrt-cinq jours). Le matin, lestornac est dlouloureux au toucher et quand onl marche. Pr~ession imnim'diatement au-dessus de 1'estomac. Pression sur ]a r-egcion pre'cordiale (au cardia), stirtout en avalant du pain, qui semble s'e're arr-te' M. 36o. Pression des plus fortes dans et an.-dessus, de ]a regoion pre'ordiale, puis dans [out le sternum et sur les c6tes, qui coupe Ia. respir~ation., soit qh'Ion inarche, soit ýIti'on s'asseie (ani botitdedeuxheures). Pression a' la7region precordtale, continuelle, se faisant sentir meme 'a jeUn, mais plus fort~e quand onl est assis. Le matini, (Ian s le lit, pression dans l'estomnac (au bout de huit jours). Pression 'a la re'gion de 1'estomac (ubudvnt cinc1 heures). 365. Grande ple'nitude dans l'estom-rac. Paresse habit~ielle de 1'estomac. Difficult6" do dige'teir des alimnens, qui passaient bien jusqu'.1alIo Is.I A]a r'ogio n prcordiale, sorte de douleuir lanci. nante, qui no permet pas de reprendre haleine, et qui 5se(iSSipe, 'a la suite do rapports; tous les soirs, vers dix hleures. Pression. ati-dessouis do ]a re'gion pre'cordiale. 70 DOCTRINE IIOMOEOPATHIQUE. 370..drdeur dans l'estornac (au bout de dix jours). Vive -chaleur dans,1'estornac (sur-le-champ). Chaleur briilante et de'chirante "a la regoion de 1'estomac. Ardeur dans 1'estomac et le long dui canal intestinal. Ardeur dans l'estomiac, et sensation d'un poids dans ce viscere. 375. Le matin, chaleur dans le bas-ventre et h la face. Ardeur et pression dans le ventre. Sensation de froid dans les intestins, an-dessus de la region ombilicale (au bout de onze jours). Vive douleur dans le co'te gauche, au.-dessous, des fausses c6tes; le sujet ne pouvait ni se baisser, Di Se coucher stir le co'te droit. IDouleur firaillante, compressive, dans le ventre, cornme si 1'endroit douilouireux e'tait excorie'. 38o. Doulcur tiraillante, de'hirante, sous, les fausses c6tes, en ruarchant'. Anxie'te sous le sein grauche, avec: rapprsaes tous les jours. Elancernens sous le sein gauche, avec beaucoup d'anxiete'. Des vents se fixent sous, les c6tes, cc qui* occasione del',1'aXie'te de poitrine. La nuit, pression et plenitude extremes dans le ventre, vers, l'estomac, surtout eapres mintift. 385.. It semble que des vents rernon tent du basventre jUsqu'a la gorge; sensation qui se dissipe 'a ]a suite de rap ports. PROISPHORE. D6,pl.acement de vents, avec: froic an. corps et chaleur au visagre. Pas--Yentre gonfl6 dur, avec beaucoup de fA tuoGr-ancle pl~nitude clans le vent re. IRas-ventre tr~s-plein, et ten du. '390o. Ballonnernent cia venztre (les deux premiers jciurs). Bas-ven tre dur et, ten du, quoiqu'on ait p'en mangce et qulon n'ait guere d'a ppe~tit. Le bas-ventre est gonfle; meme lorsque la. digesýtion se fait bien et -vite (au bout de ricuf jours). Acce~s de colicque depuis 1'endroit d'une hernie' jusque da'ns i'estom'ac: (au bout de deux jours).Colique venteuse, suirtout dans. 1es cot s du ba-s' *6e'trý6,;comme'Si des vents ' etaient- part Ieenn em prisonne's ýA et lh' dans les iii te'stins; p end ant do'liiz" heures, Ps ne sortent qu'en petite quantite" a f.Ias, et. ayec de gyrands efforts. 36.5. P're'ss'ioi~ dans'le bas-ven tre','Causee par de's -de place m:ens de've'n ts. qui se, fait ýsentir etant assis et,cptche, imais presqu~e point en marchant; ii s~ermt1 que le' ve'itre soit tire en'dedan's,' avec sensatidrii 'd sagre'4le. Lavregion dai foie est sen'sible'; en y toucliant O~il e~prouve une. douileur compressive, proflonc& strtout quandc on se co -uche stir le' c6te' droit. Pression dans le bas-ýventre, e matin, et 'auss4 le soir, apr's avoi't mange' (les prem~iers jours). Pr~ssion p~rofondeldans le basrventre, s~emb-laAOoe aun~e envie d'aller "a ]a selle (au, bout de vi~ngt-cj'Pq 72 DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. Pression spasmodique profonde dans le bas-ventre, aux parties genitales, le matin, dans le lit. 40o. Toule la matinee, pression doans le bas-ventre, qui se fait sentir aussi le soir, apre's avoir mango (au. bout de cinq jours). De ternps en temps, une pression constrictive tre'sdouloureuse dans tout le bas-ventre, qui dure peu. Dans le bas-ventre, la nuit, constriction douloureuse bruillante, comme Si les regles allaient vepir, quoiqu'elles soient passees depuis plusieurs jours deja; la femme ne savait oui se mettre, tant elle souffrait (au bout de quatre jours).2 Violentes coliques. Frequentes douleurs dechirantes dans les intestins, surtout le soir. 405. Yives coliques, le soir, avant de se coucher (au bout de quarante-huit heures). Dechirement passager, depuis 1'estomac jusqu'ý 1'ombilic. Colique lancinante, avec patleur a la face, frissonnemens- et mal de tate, 'a midi (au bout de douze jours). Quelquefois, des eMancemens en travers, dans le bas-ventre. Convulsions et elanceinens dans le bas-ventre, au dessus des parties genitales, le matin, dans le lit. 41o. Apre's midi, quelques acces de pincement dan, le bas-ventre; emission de vents ensuite. Douleur comme si quelque chose.sXtait rompu dans le corps. Colique spasmodiqiie des plus violentes dans le cote' droit, se dirigceant ensuite en arriere vers 10 dos, et en haut vers ]a region de l'estomac, avec PHOSPHORE. 73 sueur, gemissernent 'a haute voix, et tiraillement des muscles de ]a face (au bout de sept jours). Douleur de colique corihme si la diarrhe'e aflait yenir, durant pen, mais se renouvelant souvent; ensuite, quand on appuie an dessus de l'os ilion droit, sensation comme d'une forte douleur d'excoriation. Borborygmes dans le yentre, comme s'il allait survenir de la diarrhee (an bout de quarante-huit heures). 415. Borborygmes dans le ventre, meme en sortant de table (an bout de cj'iatre jours). Borborr mes tk's-bruyans dans le bas-ventre (au bout d'une heure). Emission de beaucoup de vents. Frequente rniission de vents, sans coliques (au bout de quatre heures). Apre's l'emission d'une grande quantit6 de vents, sensation de grande vacuite; dans le bas-ventre (an bout de neuf jours). 420. Sensat-on de vacuit6 et de faiblesse dans le ventre. Grande sensation de faiblesse dans le has-ventre et dans le dos, qui oblige " se coucher (au bout de vingt-huit jours). Relichement dans le bas-ventre. Colique venteuse, avec violente pression doulo-. reuse vers les deux anneaux inguinaux, coin me s'il allait paraktre des hernies. La hernie inguinale sort peu, pendant une selle nolle, mais cause beaucoup de douleurs, comme si elle e1ait engouCe, quand on se baisse, qu'on y tonche, qu'on inarche, et meine qu'on se conche sur le ventre; on peut la reduire avec la main. 74 DOCTRINE HOMOEOPAT1TIQUE. 425. Gargouillernens et'borborygmnes dans l 'en-F. droit de lahlernie (au bout do deux heures). Forte donleur dans,1'endroit'de ]a h~ernie, M me en n'y touchant pas, pendant les re'gles. Douleur dans 1'aine gauche. Bubon gros comi-ne un ceuf, dlans 1'aino, qui, anl milieu. d'une donileur briuilante, passe 'a la suppuration, et suippure ion g-temnps. Deux furoncles au. ventre. 43o. Une grande tache jaurie sur le co't6 de oIor-. bilic, au ventre. Prurit 'a l'omibilic merne, quo le frottement ne pent apaiser (au bout de six heures). Avant d'aller i- aIa selle, un peu de chaleur dans le corps. Le ma tin, colique, avant do rendre une solle (quli est dure). Selle m-olle, avcc efforts et dechirernens dans -los gros intestins (aui bout doe deux jours). 435. ApK~s une selle. (molle), grrand rehk'hemnent dans le bas-ventre (au bout do trois join's). Jpres une seilemoflie~forte a7-cleur clans le rectumn et l'anZus, ar-'ec grand accabletnent (a~u bouii do treize jours). Apr~s un faible effort pour pousser une 'selle,,douleur sur-le-champ au. dessuisdo 1'anus, six jo~urs do suite (au. bout do hufit jour~s). Selles grises., Selles vertes chez l'enfant, plusieurs jours do suite, apr~s 1'administration dti phosphore "a sa nourrice. 4.40. Selle en bonillie 'a des e'poqnes irregulieres (los, premiers joLirs). Pfl-OSPHOIIE. ý5 Retard des selles pendant vingt-quatre heures (de suite). Point de selle le premier jour. La selle prochaine manque (au bout de vingt heures). Constipation (au bout de vingt-quatre heures) pendant six jours; chaque fois que le sujet mange, ii eprouve de Ia pression a la region pr&cordiale, son ventre se ballonne, et des vents se deplacent. 445. Selles tous les deux jours seulement et dures. Constipation, les quatre premiers fours. Selles dures, en petits morceaux arrondis. Selles dures, couvertes de mucus, avec un pen de sang dedans. Selles dures, avec dechiremcnt a l'anus. 45o. Sortie dcifficile des selles (au bout de vingtquatre heures). Deux matinees de suite, flux de sang en allant a Ia selle(les premiers jours). Flux de sang en allant a la selle, quatre jours de suite. Un pen de sang sort du rectum, quand on rend des vents (an bout de onze jours). Une goutte de sang sort du rectum. 455. Apres avoir et6 ' la selle, excoriation a l'anus. Avant et pendant une selle dure, douleur compressive et comme d'excoriation ' l'anus. Pression dans le rectum, apr6s avoir 6te a la selle. Quelque temps apres avoir te ' la selle, du mucus blanc et acre sort de l'anus( au bout de quelques heures). D6cehiremens dans le rectum et I'anus, surtout le soir (au bout de six, sept jours). 76 DOCTRINE HOMOEOPATFIIQTJEO 46o., Coups d'e'ping-le dans le rectumn, hors des m~omens oii l'on va. ' a ]aselle. Elancemnens cdans l'anus. 'Ardeur dans le rectum.. Foui'millement et prurit daiis le rectum, pendant unie selle molle. Sensation de gercutre clans le rectumz en poussant une selle qai 7n'est p-as dure. 465. De'chiremneis danis le- rectum. et les parties g&e' nitales, qui vont jusquj'a' se trouver mal (au. bout de dix jours). Q uelque ternps apres avoitr ete h la selle, e'preintes affreuses dans l'anius et le rectum. Violent spasme pe'nible dii rectum, le ma tin, dans le lit (au. bout de six jouirs). Avant d'aller "a la selle, vive douleur, comme de constrictio'n, avec 6'lancernens dans le rectum. Le soir, sensation dans le rectum, cornime s'it s'y trouvait quelque chose qui empe'che les matie~res de sortir, celles-ci n'e'tant pas dures ( an bout de huit jours). 470. Le rectum est cornue re'tre'ci, et au passage d'une selle, meine moLle, it y survient tine vive cuisson douloureuse, qui dure plusieurs heures, et-remonte jusque dans le bas-ventre. Les he~morrhoides, du rectum. deviennient tre'ssaillantes. En aIlanta' la selle, sortie de grosses liefmorrhoides internes, qui causent une douleur b rclante quand on y touche, qu'on s'asseoit ct qu.'on ruarche (.au. bout de queiques heures). Pendant plu sieurs jours,- douleur d'excoriation dans les he'morrhoides, en s'asseyant et se couchant, PHOSPHORE. 77 avec grande pesanteur et eflancemens~dedans., lorsqu'on marche (au bout de vingt-c inq jours). Pr~ession etprur-itc la'n,7 US (anbout de sept jours). 4 75. Prurit ht 1'anus, apres S'etre prorn-ene, et le soir. Apre's uric promienade au grand air, prurit et fourmillement fre'quens 'a1'anus(abotdde jor) En-vies fr'6quentes d'aller ý la selle, et d'uriner (au bout de trois jours). L'urine sort difficilemnent: ii seruble y avoir un olbstacle ýi sa sortie.,I L'urine s'arre~te 'a chaque instan't, et ne vent pas sortir; en me'me temps gonflernent par des vents. 48o. Le sujet urine souvent, mais pen 'a la fois (au bout de quarante heures). La imit, ii Urinze sotwvent, mais seulernent quelques gouttes; l'urine est trouble. Envie d'uriner, plus quand on est assis qn'en marcbant, Fre~qUentes envies d'uriner, meme ]a nuit (l16S. quatorze premiers jours). Envie d'uriner dans la journe'e ( au bout de trois. jours). 485. Le sujet urine be'aucoup, en voiture (au bout de queiques heurwes) Violentes envies d'uriner, sans soif; irnpqssibilite' de retenir l'u ine, qui sort involontairement (au bout-, de orize jours).. Emission d'urine f~e6quente et involontaire. Sor-tie involontaire de I'urine. Quand on ni'obeit pas au premier avertissement, 1'uri ne, (rouge'atre) coule d'une mallie'e, involontaire... 78 DOCTRINE HOM1IOPATHIQUE* 490. Le matin, apres avoir urine', fatigue subite et tefle que le sujet ftit oblige" de se coucher. L'urine acquiert une forte odeur ammoniacale, se trouble et defpose un sedimnent blanc jaunatre (au bout de six jours). Urine d'une odeur Acre de'sagreabLe. L'urine, d'un. jaune d'or " a sA'ortie, d~epose biehit6t 'n ls~dirnent blanch~ttril ( anL bout de tre'nte heures Urine rkposant tin s&Iiineizt blanc. 495. L'ur'ine ne tarde pas a se troubler, et de"poso un sediment briquete' (an bout de trois jours). L'urine.pale depose une crocite blanche sur le~ p arois dui va-se'. Urine blanche, avec unI sediment de'sable rouge. Urine' donnant un. se'dimietnt jaune (an bodtitde trois jours). Elan~ce'mens dans l'uretre (et dans 'a-ntis). 5oo. En avant, dans 1'ure'tre, sensation de'sagreable. (an, bout de deux- heures). Apr~s l'ernission de l'urine', douleur lanc-inante en avtent d-ans.1,uretre. Le soir, en s 'endormant, un d1ancement quis'ekdfid dui co ` lid, ka vessie dans lFur 6tre. Wechirement en rendani une ur-ine ime'16e de sýa~ng. - 4 dewdan 'ure, a 'eo nr-'ies pressantes d'ri5o05. Au mom-ent oiui le sujet finit d'uti'inei'(thpre'S encore)) douieur tidisante dan's le gl1and (Ad bdiit de trente-deux heures). Tirvailerhent rapide dails1' Ftretre', jusqu'h hi ves88e,. avec senslatio-n d'rastrictioin (an hodt de'di X JOdrý). Te~n'Sion-Audessus d& la vessie, dans le bas-ventre. Un e6lancement dtins 1e gland, pr 6s dui freiný. 1) btieu danti lies testicules( pendant plu~ietirs jou~rs ) ~ io Tirilleen ioln t dans 8les testid'ules'. Gonflemnen t dui cordon spermiati qute, qui 0,9t dout.' 1616Aux, iinsi que le testicule ('pendant unie s-elle molle) rion -iiiinsolite danis1les parties gefnitales. Cjh un'hcmtnme aSg",I qui avait encore quekjude"ois de'serecfion"i, iien'''survint. une forte"dde"tem ps -en. iem s, pehidanit 1ks ýept premiers' jouris'; phiis vingft-' 4~uxjur's' se passer'eht s'ans qu'il en' paýrfit', 10t.du vingt-ne~uvieme au qu Iarante-troisiemei en. stur výint de pl u-stW 'te's encore., YVof f r appetit venerien. 5.1.. Erections fre~que'ntes, le jour et!a nuit., Fre'quentes, eections, la rniit (au bout de quatre Desir irre'sistible dui coit. Tjojo)uLes e~rections, le matin,(ati bout de six jours). Faiblesse nerveuse dans les, lomnbes,.a sue po' 1ut don o. 520. Eloigneinent pour 1'acte ve'nerien, chezl'homA Y. iibht evig-inq jours. Defarxt'd`6rectfio'n-(au bout de dix-sept;7ouPS) i) I mpuissance totale; plus d'6rections (au bout de Vilg t I bdrs)., Kr)Pv~s~iit6excsskcparail, etre suppriimee penidant 1ac-. tio'n!consecutive. 8o DOCTRINE HOMOB'OPATHIQUE. Eloignement pour l'acte ve'nerien, -chez la femnme (an, bout de vingat-cinq jours). Les r~gles paraissent six jours trop tard (ail bout de vingt-deux jours). 525. Les re~gles paraissent ci1nq jours apre's le terme (an, bout de quarante-un jours) () Les re'gles paraissent deuxjours trop to't (an bout de dix-huit jours). Ecoulemfent. de sang pendant deux jours,,entre deux e'poques inenstruelles (an, bout de neuf jours). Apres une suspension des r "gles pendant di~x-huit rnois, chez une fern Me de cinquante-et-un ans, elles reparaissent avec violence durAnt cinq jours; Ie sang, avait une tres-mauvaise odeur. L'ulcere saigne avant l'apparit ion des r~gles. 53o. Pendant les rergles, -violent mal de dents, qui commence toujours en man geant. Coliques viol~entes, pen-dant les re'gles (au bout de treize jouirs). Beaucouip de froid pendant les regles, avec- froid, aux mains et aux pieds. Pendant les re~gles, prurit lancinant aux h~morrhoides anial-es. Pendant les re~gles, prurit lancinant par tout Id corps..rges d 535. Pendant les rge, mal detete; e1ancement.dans le front: -les yeux se ferment et ],a f'emm~e a envie de se coucher. Pendant les r egles, deux jours de suite, fievre;, le ()Ce paralit eftre 1'effet conse'cutif du phosphore, iquel exerce airisi une action salulaire en reculan t l'6poque, qui venait tr~op tot. 1. PHOSPHORI1. 8i priemier apres midi, d'abord dui foid, puis de ]a chaleur, avec mal de tate, sans soif; le second jour,, ' midi,*une heure de froid, puis secousse spasmodique par tout 'e corps, avec claquement de dents, ensuite chaleur, surtout dans la tate, et maux de tate (au boeat de dix jours). Avant et apre's les regles, gonflement des gencives, et enflure des joues. A l'apparition des re'goes, fortes naus~es en se redressant dans le lit, et vomisserent'acide, opp~ression sur la poitrine, sueur froide au front,!et vertige en marchant. Pendant les re'gles, les genoiux se retirent spasmodiquement; la femme ne pouvait etendre les jambes. 540.Elancement 'a travers le bassin, chez la femme. Dans les parties genitales, douleur de'chirante, cornme s'il y avait dedans quelque chose de malade ou d'ulcer6, pendant et apres la ma/rche au grand air. Flueurs blanches, ayant la couleur du lait. FIueurs blanches visquenses, en place de regles(au. bout de vingt jours). ]lueurs blanches abondantes, pendanE sept jours (au bout de neufjours). 545. Plusieurs -soirs de suitei, ternuemens fr&quens, sans coryza. Frequens dternuem-ens. Tous les matins, obstruction des narines. Sensation d'obstruction du nez; la tate est entreprise, comme s'il allait survenir un corsyza. 6oiyz(t sec. 55o. On est menac6 d'un coryza, on ne fait que se moucher. 89, 82 DOCTRINE HO1MWEOPATHIQUE. Le soir, coryza. Coiyzac, avec beaucoup de chialeur dans la te'te (au. bout de huit joui's). Violent coryza. fluient; ]a te'te est entreprise, defcaut d'appe~tit et sentiment ge'nera1 de mnalaise (au bo ut de quarante-huit heureks). Coryza, avec un peu d'inflamrnmation. " la gorgre, la tte'L etant fortement entreprise (au bout de- vinigtquat~re heures). 555. Fort coryza, avec Atpret e dans la gorge. sentiment d'aprete' sur la poitrine (au. bout de vingt-quatre heures). Sensation de secheresse dans la poitrine. Le matin, enroutement. Enrouexnent; le sujet ne peut point parler haut. 56o. Violent catarrhe, avec enrouement. Le miaim, poitrine pleine de mutcosite's, comme dans un catarrhe. Qn perd la. respiration en marchant vite (au bout de quelques heures)..Le soir, dans le lit, difflcult6' de respirer (ail bout de trois jours). Poitrine fort oppress~ee respiration ti'es-courte. 565. Respiration courte et vertige. Resserrement de poitrine (a~u bout de treize jours). En re'fle'chissant, respit-ation. anxieuse. Le soir, anxieftef dans ]a poitrine. Anxie'te sur 1la poitrine, avec suspension de la respirlation. 5 70. Anxie't 'e"dans la poitrine, avec battement au dessous, dans le c6te" droit. En marchand vite, on perd haleine tout-ti-coup, et l'on est oblige' de s'arreter court. IH05,Jý'J0EFre'quepirnent, nauskes et oppression. sur Ia Poism trinle. Au milieu d'un asthme, nausees passagei'es. Asthm~e en respi~rant profonde'ment, 57$B.' Oppression de poitrine, plus. forte qiian~d on est assis, et, que des' rapp~orts diminuexit (au bout de vingrt-deux jours). La po~itrine est toujours serre'e co~mme pai; un, lien. Douleur te~nsive d~ans Ia poitrine. Frequemment, de 1'oppression sur Ia poitri~ne. La poitrine est comme ch~arge'e d'un polids. 5.8o. Pression stir la poitrin'e, qui gene Ia respiration. Pression sur ]a poitrine, en bas. Au haut de Ia poitrine, press'ion qui tire vers, le bas, et qui est suivie de reports '"a vide6. Oppression sur ]a poitrilne, re'sserrement produit co mie par un poids. Constriction du 'p" 6non entier. 58,5. Resserrement de Ila poitrine, avec. pressi~on ou serrement au hau't du ventre. Pressio~n constrictive clans Ia, partie superiq re gauche deIa. poitrin'e. Jespii'ation Ihaletanite, en gravissant, une Inqp. tagne. Sensation' de co1pstriction et-de resserremnent, to~uth-.fait en h1aut, dans le cot6' droit delhi.poitrine ( at bout d'une demi-heure). Le matin, dans le lit, oppre'ssi~on cle,poitrirze, pendant'une denni-rhetire (au bout de vingtiq~iatre heures) 84 DOCTRINE HOMOEOPATHIQLIE. 590. Oppression de ]a respiration, avec froid et, violent mnal de ta'te (au bout (june heure ). Le matin, surtont en s'eveiIlant, resserrernent de la poitrine, on sensation, comme si le sang y affinait ( an. bout de trente jours) Spasme de poitrinDe, apres avoir e'te en voiture, vers le soir. Constriction spasmodique dans la poitrine. A chaque secousse morale, afflux dL1 sangr vers la poitrine, avec contraction spasmodique enire les omoplates. t)95. ldfflitxciu sang vers latpoitrine. Le matin, oppression stir la poitrine, comme si le sang remontait "a ]a gorge ( au bout de treize jours). Afflux du sangO versie coeur, et batternensd(e coeur, qui deviennDent tre's-violens apre's avoir rnangre'(an. bout de neaf jours). Apr es une petite excitation morale, 1'apre~s-midi, batternent de cceur si violent, pendant une heuLre, que le sujet ne pent rester cou~che; un petit acce~s reprit en se nmletant au lit ( an. bout ' ie dix jours) Le matin, apres le dejeUner ordinaire, battement de COenr. Goo. 'Sorte de battement de coculr; de temps en temps, deux, trois, six fortes pulsations du coeur en marchant ou. s'asseyant an sortir de table; ]a nuit, un aideux. battemnens senleinen t, anLico~t gauche. Le matin, en s'6veillant, dans, le lit, et le soir,, apres, s'et-e touche', fort battement de coeur. Apre's avoir e'e'an gra ndlair, I.-ni Dt, oppression,sur, ]a poitrine, qui ernpeche de ba'iiIer. -'Elancernens dans lec c'te gauche de la poitrine, en respirant. PHOSPHORE. 85 Elancemens fugraces ' a ]apartie Su1)6rieure do ]a poitrine, daius l'e~ndroit:'oL~i commence le cou. 6o5. Elancemenis dns Ie c6te' gauche, sous les cotes, pendaint cinq jours, (au. bout de quiaratite-huit hetues). Toux avec douleur lanicinan)te dans, les deux c6tes, sous les, cokes. On est oblig6e de se tenir ]a poi trine eni toussant; clancemens sous ]a fossette dLi cocur. A chaque secousse de toix, vive pression h la regrion pre'cordiale ( an. bout-cle, trente-six h~eures). En toiissanit, tine (lolleur lancinante obligre h appuyer la main stir la regioni precordiale; en mnen~ie temnps ]a gorgre est douloureuse en (ledans, coimnme Si elle e'tait 'a vif. 6 1o. Irritation vive et lancinante dans la. gorge, qui excite 'a tousser. L'air froid tonibe su r la poitrine et faiit totisser (an. bout de cinq joul's\ Toux, 'a l'air lib r-e, qui cause de la doLuleuir dans la poitrine ef, le ventre. Toux, stir tout en bvn froid on. chaud. Forte toux skh~e, le soil-, en lisant 'a haute vroix 665. Forte toux se'he, seulem-tent qu~and on est assis, on couche", et noii quand- on, marche. Violente toux s'ch-e, avec donileur gravative "a Ia tae toute la journee ( de suite ) Toux seche, fatigyan to, qui semble arracher la poi1 -triiie en devauit, et re'veille Iarnuit, penidant quatorze lints (Ie suite. Toux se'he, avec mal 'a ]a td~c, conim-e si elle alfait so fenidre, et coryza (an bout de trente-cinq jours). -86 86DOCTRINE HOM1OEOP'&THIQUE. Toux prolonge'e, avec crachats, muqueux, et fension douloureuse dans ]a poitrine. 620o. Toux creuse, ]a pluI.)art du tefipS se"che, qui o Iccasione de ]a pression At ]a region precordiale, et empeche toute la nuit de dormir. Toux qui excite de la douleur dans le bas-ventre; cette douleur obligre 'a se tenir Ile venitre en touss'ant. Toux provoqu~ee par un chatoujilement ( au bout de huit jours). Toux, avec f roid par tout le corps. Moiteur sur ]a poitrine et toux. Toux hale'tahte, avec: legere expectoration muqueuse ( au bout' de hui t j ours). 625. TOLIX qui excite a rejeter dui mucus gluant. Toux, avec crachiats blancs, difficiles, a'!dkach1er. Forte tou, qui reveille le matin, v'ers deUx heu'res, avec expectoration mnuqueuse. Toux fre~quente, ]a nuit, avec expectoration abondante. Touix creuse, surtout le mnatin, et aussi ]a nuit, qui re~veillait au-moment oii 'on alllait s'endd'rm'ir. 63o. Crachement de sang, avec effort, la veille et 16 premier jour des regles, sans dou'leur. Crachernent de sang, minele avec: des ihiucosites, en.toussant ( au bout' de vin gt-quat re heures) crachemzent doe sang et de mucus, avec toux legere et courte (au bout de trente-si X heur'es). Str'ies de sang dans les crachats niuqueux (a u bout de quatre jours). Le suijet crache de petits flocons de pus, avec ardeur cuisante dans ]a poitrine, derrie're le sternum. (335. Douleur de]poitr'ine, surtout en inspirant. Doulcur au haut dele a poitrine., qui parait conmme PHOSPHOIRE. brise'e, en se baissant, en remnuant et en' y touchant. Prurit dans 1'interieur Oe la poitrine. Toux se'che, pro voque'e par un prurit dans, la trache'e-arte're, au. dessous de la fossette du cou, qu.'elle n'apaise point ( au. bout de douze hen res). Lassitude de la poitrine. 64jo. Lassitude clans la poitrine pendant plnsieurs jours. Violente douleur dans le muscle grand -pecetor-al droit. Erysipe'le "a lFun des deux seins (couvert d'un exantb~me), avec gronflement, rougeur, chaleur briLila'nte et elIancemens; it se termiine par tin abce~s. Inflamm-ation et gonfilement du mamielon et de toute la, mamelle gyauche, avec vives douleurs,; qui passa a la suppuration au bout de dix jours. Douleur, quanI d on touche au c'occyx, coninie s'iL existait la" tin ulcere. 6415. Douleur au. sacrum, quand on se redr'esse apres s,'etre baisse", et cjuand on se tient debout, mioms sens~ible en nmarchant. Douleur au. sacrum, apre"S etre rest6 Ion gternps assis ( au bout de douze jours) ArdeUr au sacrum, surtout quand los re~gles retardent Faiblesse dans le sacrui-n, qui est comme eno'ourdi, quand on s'asseoit et quand on se he've de dessus s'a chaise. Beaucoup de douleurs au, sacrum et au. dos, qui perinettent Cit peine de se lever dIe dessus sa chaise. 65o. Violente douleur clans le dos quand onl reste assis long-temps. Pesanteur ca lassitude dans lo dos, etant couched. DOCTRINE IIOMOIEOPATHTIQU-E. Douleur dans le dos, apres avoir march6. IDouleurs de dos insip, portables, qui reviennent periodiquement, et empechent de marcher. Dans le dos, toute ]a jou'rne'e, e'lancemens non interrompus, 'a des heures diff~rentes ( au bout do vingrt- deux jours) L655. Violent A'ancement dans, les muscles du dos, au dessus de ]a hanche gauche ( au lbout do sept jours ). Pression, imme'diatement au dessons des omo,ýplates. Douleur dans l'omoplate gauche, cormne si on y plantait un pieu. Sensation comrnme d'un lourd fardeau. dans la nuque. Pression dans la nuque. 66o. -Raideur de la nuque. L'occiput et ]a nuque sont douloureux et raides. Raideur du col. Craquement dans l'articulation de l'e'paule. Pesanteur dan~s les-aisselles et les bras (au bout de deux jours ). 665. Dec12irenzent dans l'aisselle gauche, la nuit surtout, dans le lit. Douleur rhumatismale dans l'aisselle droite, jusqu'aux c6tes supe'rieures, penidant tine heure ( au bout de sept jours ). Le matin, apres le re'veil, doulcur rhurnatismnale dans 1'aisselle ciroite ( au, bout de trente-six heu~res ). Douleur rhurnatismale dans le bras droit, apre's un le~ger refroidissement. D'chliremnent, dans l'6fpaule gauche, avec imal (le tiete,, PHOSPEORE. 8 670. Douleur, comme de luxation, dansl'aisselle, surtout en levant le bras. Le. bras droit cause de ]a douleur, comme s'il etait luxe. Apres la -narche au grand air, los articulations des epau.iles sont doulourouses. F "iolentprurit dalns 'aisselle ciroite", o so trouve un tubercule glandulaire de ]a grosseur d'un pois. Douleu-r tiraillante et raidissante dans les muscles, depuis 1'aisselle jusqu'h la moitie de l'avant-bras. 675. Dechirement dans le bras et Ia main gauchos. Dechirem-ent dans le bras. Engourdissemont du bras gauche ot des doigts, qui ne sont cependant pas froids, et qui se flechissent (surtout le matin); apres quoi, lo bras dovient tre'slas. Le bras sur lequel on s'ost appuye la tate, s'ongourdit. Engoourdissement des bras. 68o. Le bras droit s'engourdit, lo matin ( an bout de huit jours). Beaucoup do demangeaisons aux bras. Les bras sont fatigues. Fatigue, surtout dans los bras, qul ne permot pas d'y toucher (au bout do seize jours). Fatigue dans los articulations des bras, avec gona flement des veinos aux mains. 685. Dans le pli du coude droit, tache grande comme ]a main, ot parsemere de potits points rouges, qui PausQ un prurit rongeant. Jarticulation du coude cause cle La douleur, comme,si elle 'tqit bris~e DOCTRINE IHOMOEOPATIIIQUrE Dechirement et tiraillement dans l'articulation du coude droit. A rrs une peur, eIancemens dans l'articulation du coude, et ensuite dans un point auparavant excori6 du pied. Douleur cuisante et comme paralytique dans le bras, avec tremblement, lorsque l'on tient i' la main quelque chose, par exemple une cuiller. 69o. Pression douloureuse dans le perioste des os du bras et de l'avant-bras (au bout de six heures). Tremblenzent clans les 7nains. Le matin, tremblement des mains. Une main est quelquefois comme paralysee pendant plusieurs heures. Quel ques eIancenens sensibles dans l'articulation de la main, pendant le repos (au bout dedix-septjours). 695. Gonflerent du poignet, avec battement dedans, qui s'etend jusque dans les doigts, meme pendant le repos; en remuant le bras, ce poignet, qui est tres-raide,-devient bien plus douloureux encore (apres un refroidissement?) Dechirement dans ]a main, et surtout dans les condyles, qui se fait sentir principalement ]a nuit, dans le lit. Dechiremens passagers au haut de la main et dans le pouce. Tiraillement dans ]a main et les eoigts, aprIs qu'on s'est mouill6 les mains avec de 1'eau tiede. Douleur de luxation dans le pouce, quand on saisit quelque chose. 7oo. Gonflement de l'articulation poste~rieure dIL pouce, douloureux au toucher, et causant une tension douloureuse quan( on remue la main., jpLo,8pfloE*'E 91 - Douleu'r dans la premiere arti'culati"on du p'ouce, en remuant cc doigt, comme s'il av~iiot e"teIux6.e La main droite est engourdie, le mxatin, dans* le i (au. bout de neuf jo'urs). Les doigrts d'un'e main sont insensible's, comme morts, et, ceux de l'autre main engourdis. Lie doi;gt, 'M"6d'1us de I'a main droif' ~d'evie'nt c ornme mort, exsangue et froid, "a uii air m~diocrem' nidt froid. 7o5. Les doigts se re-iren't de temps en temnps;' to mme dans une cramp e. O I Faibl-esse et couv'ulsion dah ns doigt, oit a journee. Forte convulsion dans- le peti t- do-igt g-a'n'chf"e. i~s.aneikir' dans*leA 'bouts- des' doi~t's. Tiraillement en formne de crampe et dechfirem"eiint 'ahs le pet it dt' 9 9 1o. Tensi~on dans les' doigts de Ia main grauche. Tenson anslesquatrieine et inquierne doigts des 'deux mains, coinme, s'ils e'taient disloque's. Un. doigt. enfle et devient douloureux quand on y touche..,Grande faiblesse dans les jamnbes: le sujet tombe ~ila moindre occaso. La. jambe gauche, s'engou'rdit le rnatin, sans, cause..7 15.-La' nuit; forte sengationd& p-AraIy'rsie da'ns ]a jamble droite. L e m-atin;- lassitude dans les ja'mbes. Le''miatin',' les j ambes o6n t mat, 'om''finie ap~i' es'un'e longue marche. Pes'Ante'ur et lassitude dans' les jarnbe-s, s'urLbut en niontant un escalier. 92 DOCTRINE HOMOEOPATHIQTTE. Raideur' dans toute Ia jambe.J droite, me'me en se tenant tranquille. 720. Tension dans les jambes, et dotileur compressive dmrs fa gauche, qni Ia. raidit Contraction en forme de crampe dans les deux jambes et les pieds, avec secousses. Forte pIression douloureuse dans l'ischio'n gauche, quan(1 on reste lona-tempsass Graizcle agitationZ clan7S lcsjarnbes, avec froid ýgla-' cial aux mains, le soir surtout. Douleurdcans lesftsses, comine si elles e'taient ulce~rees enZ dedans, lo10 'o ieste ion g-temps assis T~ (au, bout de quarante-huit heures). 725. Pulsation da~ns Ia fesse. Convulsionda'ns une fesse e~t dans la cuisse, visible, iwais non dou~loure~use. Doileur clan's larticulation coxoJrflorale ciroi~te. Un e'lancement vif dans la hanche'droite, qui reý-~ monte vers la poitrine (at bout de cinq heures). Douleur comnme de luxaftion, dans les hanches. 730. Violent tir'ailltement dans- Ia cuisse*, pe~ndan'tle repos qu 'on prendla 'midi. Dans ]a cnisse gauche, "a partir 1iu genou, douleur -instantan~eedans: les 1musclesqi esemble' tun de'chi renien ix En haut et en arrie're de la c'uisse gauche, jusque dans..Il genou, en ruarchant au grand air et capres, secousses de~chirantes, toutes les quatre rniniites; I'endroit, quand on'y touche,, cause la me'me. don's lent' que s'i 'I '6tait ul ce~re ( au. bout, de quarante-hUit hen res). Ardeur dans la cuisse, qui augmente beaic~oup par l1'e ffe t dui t oucher. i'HOSPiioM 93 Doulleur de briseinent dans le., nibien de ]a cuisse; 1'end~roit est donloureux au, touicher; la douleur em1)eche de marcher. 735. Violentiprurit sur un petit poinit de I use + apres!sletre, frott6' et gratte, on y eprouve d~e la Pruarit "a I'a c~uisse et dans le creuix du *ajarret (au 'bout d'ig-uteheures). Toujpurs dui froid dans le genou, ]a nuit, au. lit.* Tremiblement dans les genotix. Tir-aillement spasmodique dans le genou, en marchant. 7m40. Dechiremens dans les genoux, au. grand air, pendant plusieurs soirees-. Do ulu'ktir Ullante clepUis les genoz~jusgze cdaiZS les~pieds. Ti~raillernent -depuis le -genoti gauche jusque dms le pied'( au bout de vingt jours)., -d'soir, untI railemen epuis lIc genon jusqu au ped j et, res chaque tirallerenet, unie scus doulourense (au bouit de quinze jou~rs). La nuit, dechirement dans le jai'r'et droit'. 745 A dssus dui mollet, au des,'s ijrret, en travers, tqumeuir rouge, eniflammee, survenue tout-h coup, qui cause une donleur cuisante:, Les tendons des jarrets, sont, quand on miarc'heý tendus et comime trop courts (les pl'eipiers jout's). Ten-sion dans les jar~rets, comine s'ils ~taient luxes (,arthritique); uls sont chauds, an touchei,.>Dotileur com-me de luxation, dansle ge-ti,4.,gauche Douleur sourde au.tour do 1'articiulation:d,-geUo droit. 94 )DOCTRINE IIOMOEOPATII IQUE. 750. Elancememt dans les genoux, 'par acce's, la nuit (au. bout de qujarante-huit heures). Une sorte de crampe dans le mollet; la jambe se retire convulsivement, en marchant, Iorsqu'on veut I etendre. Elan cemens de'hirans dans les jambes, de haut en bas. Douleurs dans les jambes, en se pr~orenant. Douleu~r contusive dans Jes jambe's. 7 55). Donleur dans 1'articulation dYi pied gauche, qui rernont~e jusqu.'au nnollet. Yiolent de'hirement et 6'lancement dans les pieds, qui ieminpehe de dormir hi nuit,, Pe'chirement dans lacheville du pied gauche, la nuit, qui ne permet pas de dormir(a~ubou~t de dix-septjop's). Dans le pied et dans les orteils, requernment une sensation de fourmillement. Doideur danZSl'ar'ticulatio cia p~iedl, en marc/ant, comme Si elle e'tait ltaxee; tension qtuand on appuic desstis; clans Je repos et en y touchant, on nre sent Srien (au bout de quatre jours). 760. La nuit, do'ule'ur fourinillante dans les pieds, cornme s'ils e'taien t en gourdis. Grande disposition a se de'metti'e l'articulation dui pied (au bout de quatre jour's) Sentiment de6 paralysie darns le pied. Douleur tiraillante depuis les chievilles ins que dans le genou (au bout de huit' jours). Stieur de's pieds. 765. Pesanteur dans lespieds, cornme s'ils 6taient enfle's. Gonflement des tendons "a la cheville droite dii pied. PHOSPHORV 95 Les soirs, eiýflure despieds(au bout de sept jours). Elancemens dans le gonflement des pieds. Les plantes des pieds sont douloureuses, comme si on avait march6 beaucoup. 770. Les plantes des pieds sont roLiges, et causent de ]a douleur en marchant. Sensation penible de secheresse "a la plante des pieds (au bout de vingt-sept jours). Crampes dans les plantes des pieds (au bout de trois jours). Disposition continuelle aux crampes dans les plantes des pieds et les orteils. Elancemens (d6chirans?) dans les plantes des pieds. 775. Dechirement et elancement dans les plantes des pieds, qui empeche de marcher. La nuit donleur dans les talons; on est obliga de les frotter avec force, pour se soulager. Fourmillement dans les deux talons. Tension dans les talons, le matin, aulit. Les talons et les orteils, qui ont t6 geles autrefois, commencent 'a devenir tres-douloureux, surtout en marchant (au bout de quarante-huit heures). 780. Les orteils, qui out t6 geles, causent une douleur compressive et bru1lante, en marchant. Violente douleur dans le gros orteil gauche (au bout de vingt-quatre jours). Elanceene't dans le gros orteil gauche, plus sensible en marchant et le soir (au bout de vingt-quatre jours). Douleurs dans les cors, qui penetre I'orteil d'outre en outre. .96 D0CTRINV' HOMOEOPATHIQUE. I Vive presi l an cinante dans les corls, comine Si on y eDfnfo71cait un canif. 785. D'anciens cors commencent 'a devenjir douIonreux au petit orteil, qui se gonfle aussi. 11 siirvient des eiigee~ire~s (~ en mars) (an bout de netif jotirs). Ardeur &DaS une verrue, le soir, apres s, 10etre couche& Ardeur dans, les, mains et les jambes. Ardeur dans les bras et les cuisses. 790. DouleUr br~l~a1'tea' tout le c6te' droit diicorps. 11 survient, sur divers points dii corps, des taches Ai la peau, cjui sont comme excorie'es, et causent une douleur cuisante ou lancin ante. Petits furoncles "a la nuque, sur la poitrine et aux cuisses. Gros furoncleah la cuiisse, stir la poitrine et au front. Elancemens cornpresslifs iso1esca et hIa dans le corps ( an bout de neuf jours). 795. Elancernens fre'clUens (lans la pean du corps, semblables 'a des piqiuires de puce. Petits e'lancemnens fre'quens dans ]a peau dii corps. Elancem~ens sur la poitrinie et le dos, ainsi qtue dans lebr~as droit, en se renmnant, suirtout la iunit (au bout de onze ]ours). Prurit dans le dos et dans les creux des jarrets. Violent prrint,]a nuit, aux bras, anx jambes, an dos et aui ventre (anj bout de (louze jours). 8oo. Beaucoup de pruirit rongeant a'itonr dui yenire, aux brais et aLIX cuisses; l'action (le se gratter prodnit des marcques rongces (au. bout de vingt-sx vingt-sept jours). PFIOSPH0RE..97 Prurit g6ne'raL par tout le corps ( au. bout. de vingt. dcuxjours). Pru~rit par tout le 'corps, ]a nuit, avec beaucciup de chale'ur et de., la s~cheresse dans la bouche (au bout de: douze heures). Pruritardent par tout le corps (au bout de dix jouirs). 'Prurit 'a une verrue (-au front,'). 8o5. E` ruption ortie'e pruriteuse, souis forme. de grandes am ponies, par tout, le- corps, me'me "a la face.(an pbout de- deux jours). Douleur de pincement et de constriction d'ans une0 parti~e de'j~h cicatris6e. Tension tirailiante dans les glandes (merme au-col),, Tiraillemens.. dans lIes bras et les jambes, avec en-Vies de pleurer (au. bout de treize jours). ''Dechirernent dans l'avant-bras et le ge'nou'droits, A'ds qu'iis se refroidissent (pendant une derni-heure). 8 1o. Le sujet est tr es-sensible 'a la fraicheur du te-mps. Des douleurs lui font pre'voir d'avanceiles, chhngemens de temps, Pesanteur dan~s Ils membres pendant les orages. 'On se sentmal "a son aise en allant loin au granid air. Lsjet se refroidit aismernet augrnar,(d lai pincement dan's le ven'tre',7an dessous des" cotes gauches, ou donleur h la" nuque, 'ou- raideur'de~s bras, ou. mal de' de'nts, o1i armoyement desyex ou hoqu'et, on d~c'hiiemens et e'Iancernens h la r "gion pr~ecordlia'le et au-dessus.,,onfro'id et rnditeur froide des maiens et des ~i-eds', avec chale'ur iiui joues; quelquefois, te'te entreprise, etc.). 8 15. Coryza, "a la suite d'une promenade. 'Sensation comme de refroiodis'sernent I'Pai' tout le ir. I IT* 7 98 ~DOCTRINE HOM~OEOPATHIQUE.. corps, frissonnemfens; somnolen~ce; (au bout de quiarante-huit heures). A~ptis se'tre mouille'etrefroidiun peulespieds,lassituae d ans tous les membresý-chaleur bri'lante'dans les mains, maux de te'te;, le sujet hit ob'lige' de se cou-ý chtl';ý le lenidemnain, coryza (au bout de vingt jours). Apre~s une faibleý sueur* -nocturne) refroidis'sernlnt et mal d den ts, en se levant. Le.,ang est en grand, mo uvement. 820o. Afflux du sang vers Ia poii 'rine et la et(td(au bout dd quarante-huit, heures)., Boujilonnement de sang la nuit4;,oni entind&,pour ginsi Aire.le sang brui*r dans le corps "-La Pipe ( dont. on afl'habiwude), doimed~es bouillonu~emcns de. sang (-au,-bout de ving~t -quatre jour-,s)En is eveillantla unit, le sang, est ort~en. mogveznenjt~i a-vec froid et tremblement;i n eme epps p itit -,i- ppLaies saigne4 ntbeaucou~p. 8a5. iEcoulement de sang par diverseS part ps dui sang h'rnorr* corps,(,crach~ejnentfie'sangflux.de 'odAi pj nt a sll pem t des gepcive, de oreilles', etc.). p 1utýsArticul ationssn ore1~ 1es rnouvemienfs rapi~des. Engol.Ardissement des mains etides pieds.'.1ose mains et les pieds sont corimu morts Uxie s4rte d ins'pis'ibihi t6 par~tout le cobrp<. 0o. Man '.1e dechale'urLL~ L Ap~ (i esypime et Ic 'pr~ce'dent.,on't 1'cffe d'u'n' emploi soiltehun du phosphor'e. - PHOSPlIORE1.1 Pieds et mains, 'aIa glace', pendanhtoute Ia. journ~e, et ne pouivant rneme pas s'I&ehauffer dans le lit.' Disposition "a avoir. fioid qutand *on est assis, et tion, I-orsqu'on, marche.! Espece d'hyste'rie; I a femmne devient si faible~ qu'ete ne p~ut avancer un~e jambe; baillemefls couiti-. inuels, aveepression dans la poitrine. Le mati n, grand tremblemen-t, ave'c convulsio-ns:senýD ibIes dans, les mernmbre's (au bout de huit jou-rs'). 8315. Tremblement dans, ]a poitrinDe et dans les maiins, cixnme st on, avai-t trop pris- de caf& Daui'eutrdans tous les mernbrles. Brisem~ent d'es, membres. Toutes les articulations sont dou~oirombses, str-i, tdut q~i.and on s~erem'ue. Lassitude, accablement, inaptitude a ri'en fairel; 1-6 sujet ne trouve goiuit h rien. 840. Tous les mernbres sont doil'oureut comm~fi'e s'ils avaient e'e rou's de coups., Le suj etest com Me bris6' par tout le corps', co~n rn e 6nerve', et ii a toujours envie de dormir; ii es",tres. pAl e; cepen dan t iil aT.de,1Pap peti t. 'lies rtiains et les pie'dls sont coinme roues de cobPg. Pesanteur des mains et des pie'ds. Pesanteiir*de tout le corps-. 845. Pesanteur douloui'euse de tiout le co~rps, iariit~it dan lat~e, antt ansh o t1ne rt o aný les jambes on les cuisses, tant o partout 'a la foig, ii xr~iidiin'capable de rien, faire - et donnr(-.x bea'u'c'dup de mauvaise burneur; ]a pesanteur'do'ul6uretise 6st pre-, c6d6e d'une sueur geiierale accabian-te. Les piedls et les rncbizs sont louzrds cornn~ediip b.6 T00 DOCTINE HOMOEOPATHIQUE. Pesanteur dans les jambes (au bout de quatre jours). Paresse et pesanteur des membres. Le matin seulemnent, presque en s'eveillant, pesanteur dans les membres, le dos, les jambes, etc. 850. Paresse dans tous les membres, I'apris-midi surtout. La marche fatigue beaucoup. Une courte promenade fatigue a un point extreme; en mnme temps, un pen de mal de tete. Vers midi, lassitude sans cause, qui oblige ' se coucher pendant une heure (au bout de quinze jours). Quelquefois le sujet est pris subitement d'une grande lassitude. 855. Grande faiblesse generale subite (au bout de quatre heures) Grande lassitude, avec nausees. Faiblesse generale subite, avec grande chaleur au visage (au hout de onze jours). Sensation de lassitude, de resserrement, toute la journee. Lassitude dans tout le corps, principalement dans la cuisse droite (chez un homme d'ailleurs robuste) (au bout de neuf jours). 860. Rel1chemnent, pendant plusieurs jours, surtout dans la poitrine. Relachement on d6tente du corps et de l'esprit, le matin. Sensation dans la poitrine et le ventre, comme si tout allait s'y affaisser. Apres s'stre assis, sensation comme de paralysie, pendant quelques minutes. PHOSPHORE. 101 PHOSPHRE. 'o.To ut le corps est comme paralrse~; sentiment ge'neral de malaise. d 865. De'faut de force dans tous les membres, et surtout dans les articulations, comme si on 6tait paralys6; cependant l'appe'tit est bon. Tout le c6t6' droit est comine paralyse', et l'on eprouve en mnme temps des naus6es. On est comme paralyse', sans s'en apercevoi*r- soinwenie. Le matin, apres s'Atre Ieve', corps et esprit comme paralyse's, pendant toute la. journe'e. Le matin, dans le lit, e'tat cornme de paralysie de totis les me 'mbres, qui se dissipe quand on se- h6ve (au bout de vingt-et-un jours). 87o. Le'geres atteintes de syncope. On veut toujours bailler, et on ne le peut pas. Apre's le sorumeil de inidi, ktat comme de paralysie dans le dos et dans les bras. Le soir, beaucoup de somnolence. Apre's avoir pris on pen de vin, 1'apre's-midi, fatigue telle qu'on ftit oblige' de doi'mir queiques heu.. res; la nuit suivante se passe presque tout entie're dans 1'insomnie (aui bout de quarant'e-huit heures). 77 5. Insomnie (au bout de soixante heures),. Le soir, dans le lit, insomnie et agitation, sans cause (au bout de trente-six heures).Le sujet,ne put s'endorrnir la nuit, parce qu'il hqi semblait ne pas pouvoir fermer les yeux, qui lui paraissaient rouler dans ]a te'te (au bout de six jours). Le so ir, ii est long-ternps as' endorinir, et quand it se reveille la nuit, ii a de la peine a' se r-endormir-. Le soir, ii reste couch6' long-temps d ans ~qn lt sans s'endorrnir (au bout de trois jours).' 102 ~DOCTRI]NE IEOMOEOPATHIQUE. 88M, La nuit, ii.ne pent se coucher que sur le c6t6 droit. 'Leý couicher, la nuit, sur lie cote' ga-udhe, lui cause de i'anxikt6 ( au. bout de dix-neuf jours'). Un sentiment gene~ral de malaise 1'einp che de dormir I'a nuit, jusqu'at deux henr~es. La nuit, it ne' pent pas -s'en-dormnir avant deux-ou' mem~e quatre heures. L'agitation F'ernPeche de s'endormir avan't une heure, pendant qtiatre nnits de suite, et jusque laiti,iia pu s'~c~hauffer les pied's. 8 85.La nuit, tant couch6' dans 16 lit, douleur sourde dans les os des iles, comme si l'on e'tait etendu sur une couche trop dure; le suj-et est oblige'A changer de place 'a tons mornens.; cette 4ouleuyr se dissipe promnptement, le matin, quand on est leve,. Apre~s le sommeil de midi, le dos est comine0 en-. gourdi ou disloqu6..La: nnuit, violent tiraillemen~t dans le bras et la jambe 4u cot6 droft. Ja. nuit, sensation comrn-e de nml d'estorpac. La -nuit., rapports, d'oeufs potirris. 890. La nuit, pression. al'estomac et, nau'se'.s~ qui c.ausent de l'.agitation. (au bout de douze heures). Le sujet est e'vei~ll6 la nuit (hi une heure) 'par'~des coliqujes (non suivies de selles), qui d trent une heu're (au about de vingt-et-un jours). M tauit, beaucoup, d'envies de vomir,, et rappovrts coiitin'uels'a'ya'nt le gou~t de ce qu'on a inang *6..La nUit, On est evei116 par lobstcuction dun nez et '"ehi e de*& la re'sp.itratioi' (an -bout de ving-t jours'.. Le soir, d 16 lhlt, sorte do evertige on se rewodft PEIOSPHOnE. To$ nant; sensation comme si tout le sang refluait 14 t e"te, 895. Le soir, dans le lit, sorte de vertige; il san4Ae que le lit tourne en rond. Lorsque le sujet se reveille ]a -nuit, ii est cornmml ivre, comme frappe' de stupeur et de vertig~e. Som-nolence, sans pouvoir s'endormir. iReveil en sursaut, par une frayeur. De's qu'on s'assoupit, reves desagreables, ix~qui&.tans, qui r~veillent. 900. L'agitation empeche qu'on s'encdorme lesQiIr, et quand on se reveille,' on en 6prouv~e autant (au bo ut de cin q jours). Le soir, dans le lit, sur-le-champ, une grande anxie't6, avec agitation inte~rieure', pendant cinq au.. nutes (au bout de quinze jours). Toute la. nuit (sans chaleur), anxie't~s, cornme si on avait cornmis une mauvaise action; on ne &fit que se retourner dans le lit. Le soir, en *s'end ormant, pens6es, tournientantes, (au bout de quatre jours). Toutes les nuits, on s'eveille dans l'anxie& -,el la crainte. 905. La nuit, gran'de agitation et anxiet&6 Anxie't6; pendant l~e somineil-, le sujet pleure, se~rre les m-ains comme dans un acce's de de'sesporir, se l-amente, s'agite beaucoup, et a la respirat4ion courte; ii saisit avec crainte ceux qui l'approchent on soi-me'me. La nait, fequens re eils pa7, une sensation de cha.. lear, sans saeur (au bout de seize jours). La nuit, chaleur s eche, sans soif; le matin, apres le re'veil, les' parties du corps sur lesquelles on s-est 1o4 DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. couch6', font mat, comme si on avait 6't6 etendu sur une couche dure. La nuit, apres avoir e'te'reveille' par un reve inquietant, froid et treniblement par tout le corps, surtout dans le bas-ventre; le sangr est en revolution, et la poitrine oppresse'e; on ne peut reprendre ha-. leine, ni "a peine se mettre sur son seant (au bout de dix jours). 910. Fre'quens reveils, la nuit, par dui froid. Sommeil agit6'; le sujet ne fait que se remuer et rever; pendant la veille, anxi6te' par tout le corps. S'6tant endormi apI'es une longue agitation, it se reveille avec de 1'oppression, comme s'il avait sur la poitrine -un poids qui 1'emp'cha't de respirer (au bout de vingt..deux jours). Sornmeil fort agit6". Nuits agite'es, "a cause de 1'abondance des re'ves. 965. Sommeil tre~s-agrite' et plein de re'ves; le matin, en s'e'vei11ant, mauLx de tate. Sommeil tre~g-agite", re~veil fre'quent et beaucoup de reves, pendant plusieurs nuits. Sommeil trouble' par des songes, interrompu et accablant. On ne fait que se retourner ]a nuit., Agitation, la nuit, qui empeche de dormir, pendant plusieurs nuits (an. bout de sept jours). 9)20. Granzde agitation, la nuUt, etrw'ves continuels. Vers le matin, reves de'sagreables, inquie'tans. Re'vei1, apre~s trois hieures de sommeil, par des rae'sinqui ftans. Ra'ves vit's,2 a nuit, ayant pour objets des choses qu'on ne petit venir ai bout d'accomplir. Be'es in q uie'tans (an. boutde quarante-huitheures>, PHOSPHORE. xo5 92.5. La nuit, le sujet rie et panle en dormant. Pepe inquie'tant d'aniqrnux qul le mordent; ii crie, en dormant, et se revei~le plein d'inquie'ttde (au bout de soixante-douze heures). Re'ves de voleurs. Ire'~ve du feu, crie et frappe autour de lui. IIt reve qu'iI a 6fprouve une attaque d'apoplexie. 53o. Reaves tristes. Reves attristans. Re'ves facetieux. Toutes les nuits, rteves historiques, qui ne causent aucune inquietude. La nuit-, re'ves non interrompus, d'occupations, journalieres, sans passion, et dont on conserve le souvenir e6tant eveilke", 935. Somnolence dans la journe~e (au bout de dix, onze jours). Somnolence dans ]a journ~e~, apres avoir e6t6 au grand air, et apr~~s avoir dine (an bout- de vingtquatre heures). Grande somnolence dans la journe'e, ni'me avant le d'iner. Grande disposition "a dormir. Sommeil lourd, tre's-prolonge. 940. Le matin, on ne pent se r6veiller; on est las et paresseux. On s'6"tend les membres et la poitrine, le m'atin, dans le lit. Beaucoup de lassitude, le, matin, en se levant. Le matin, une on deux heures apres le lever, grande lassitude dans les mnernbres, dans les cuisses surtoutL 106 DOCTRIlNE R~oOrmOPATHIQUE. lie mat~n,'op'res. le lever, 07n est commeparalysg et *brisý (au bo'ut de'six jours). 945'. Les miains et les pieds sont comme p'ara-lyses, le matin. Friss~orn par tout le corps, sans froid. Friss'on et froid daus le dos (au bout de huit heures). Dai froid remnonte souvent, dan s la j~ourne'e, le long dui dos. Les premiers jours, souvent du ffroid. 950. Le soir, en allant se coucher, frissonnemens. Plusieurs s~oirs de suite, apre's s'e'tre couch6', froid dan~s'le lit. Le soir, frissonnemens, avec anxit6.. To~is les soirs, fro~id et fiisson, sans soif,.quoique avec: secheresse dans la gorge. Firoid et fx'i~s 'on, avec de'faut d'appe~tit, san~s chaJeur epnsuite. 955. Tous les apr~s-midi, froid et lassitude, p~endaqn~t phsieurs j-ou~rs. Le matin, froid qui dure deux heures, avec ba'illernens, sans chaleur e~nsuite. Violent froid, avec: frisson; (lu froid passe souyent l-e long dii dos; le sujet est oblige' de se coucher et de se couvrir; ii ne se rechauffe pourtant qu'ave~c lenteur, et d~s~qu',iL retire une main dui lit, ii e'prouve de nouveaux frissons; en meme temps, mains glacees, te'e douloureuse et entreprise, sans qu'il survienne de chaleur ensuite (au bout de ving'Ot-si*X heu'res). Plusieurs apre's-midi de suite, froid int6rieur, pendant Iine demi-heure ou une heure, et parfuis PHOSPHOlIE. -167 sen~sation comme d'ean chaude vers~ee "'aa region precordiale et dans, le dos. Quiatre selles ]a nuit, avec froid violent et trem blee'met, suivies d'uie' grande chaleur et'd'une sneu~r abondante; depuis lors, sueur pendant plusie~urs nuits, avant minuit. 760. Fie'vre; 1'apres-midi,,de quatre a cinq~heurpes, froid. conside'rahle; le sujet ne p'ent se~cbauffer; 'ensuite, 'chaleur, avec solif et froid interne; ap,r,els a dissipation de ce dernier, chaleur' dans le l1it, et,sueur toute ]a nuit juisqu'au matin (au bout de huit heures). Avec une fairn canine que rieln ne pen~t assouvir, la nuit, d'abord, de la lassitude, de lIa chaleur et de ]a sueur, puis froid, avec claqueu~ent d1e Oepp et ch~aleur A 1'exte'rieur; q~rpus le froid, chaileur interne, surtout dans les mnains, le froid exterpe coa-. tinuant. Dans 1'apres-minuit, de une heure 'a quatre heures, grande chaleur et respiratjon courte,,sanisspiE, avec une sueur generaie de peu de d ur~ee, Ikres et extr&' mnite' de la langue seches; le fond de la bouche est hum~ecte. Acce's d~e chaleur passage're, surtout le soir; 16gere agitation f~brile, et chaleur briilmante dans la pau~me,des mains. Vers, le soir, 'a huit heures,ý chaleur ge'ne'rale, sans soif, sans, frisson pr6alable. 96`5. Frisson dans' fa matine~e, et chaletir emnsuite, pen(dant deux heures, avec soif de bie're, puis d.e' n~ouveau duvfroid; le suj*et est assoupi et reave, en agitant beaucouip les mnains, wo8 DOCTRINE IOMOEOPATHIQtE. Augmentation (non desagreable) de la chaleur g&f nerale du corps. Fievre; 1'apres.-midi, de deux 'a trois heures et de six "a sept heures, chaleur, surtout an visage (au bout de quatorze jours). Fievre quarte dans l'apre~s-midi; chaleur, prec6dke on non de froid. Fre'quens acces de chaleur dans le corps, surtout ' ala face, avec serheresse de la bouche, sans soif. 970. Chaleur du corps entier, avec sensation de prurit dans l'interieur. Le soir, beaucoup de chaleur, surtout ' I lface, et en meme terps vertige (an bout de huit jours). De temps en terps, des acces de chaleur anxieuse (an bout de six jours). Anxket6 eet chaleur. Chaleur la nuit, sans soif, ni sueur, qui re'veille souvent. 975. Tous les matins, sueur qui inonde le corps et accable (au bout de vingt-quatre heures). 'Sucur an corps, avec froid a la t.te. Sueur anxieuse (an bout de quelques heures). Forte sueur (la sixie~me nuit). Sucur'nocturne (an bout d'un et cinq jours). 980. Sueur nocturne, six nuits de suite (an bout de quatre jours). Aprys de Ia lassitude toute Ia journee, sucur la nuit et urine trouble (de suite). Grande indiffirence pour tout. Le sujet est distrait le matin, quoiqu'i ait du- gouit pour le travail. Inaptitude an travail et morosit&, quoiquec la tote ne soit pas prise. ~PHOSPHORIE. log 985. Irritabilite', coke're. Grande disposition 'a se ficber. Le soir, mauvaise humeur extreme. Grande disposition " se f~cher, dans ]a matinee (au bout de quarante-huit heures). Avant de diner, le sujet se fiche pour des riens; ii eprouve ensuite un sentiment de chaleur, puis de ]a pesanteur i l'estomac, des nausdes, des bouff6es de chaleur h ]a face, et une perte totale d'appdtit. 990. La moindre cause le courrouce; ii est pris alors de froid aux mains, de chaleur au visage et au corps, et de battemens de coeur. II est plus que jamais enclin " se fAcher. 141 entre en cohere pour des bagatelles, qui le mettent hors de lii. La moindre chose suffit pour qu'il s'emporte. 11 entre aisdment en cobere, et dans une fiireur dangereuse (i). 995. Opinia'trete. Emportement de temps en temps. La moindre contrarietde affecte beaucoup. Le moral est tres-irritable; on ressent vivement le moindre mal, qui dJcourage et plonge dans l'accablernent. Caracte're fantasque, irritable. 0ooo. Grande susceptibilitM de caractie~r. Lorsque le sujet pense " quelque chose de d~sa. greable, ii tprouve dans tout le corps une sorte d'anxidte, qui se fait surtout ressentir " la r6gion precordiale. (i) La moindre dose d'or suflit pour suppriner ce syrpt6me. X10 DOCTRINE- HOMOE(>PATflIQUE* Quand ii s'occupe vivernerit d'uri bb Jet & d " hai dia leni' lui passe par toutle6 corps, ctnnhme si on, 'a. o sait avec de l'eau- chaude., TJ~ iy~nerentd 'gr'able iu'i -catiso une! anxiht6 m^I'e de crainte et d-e chagriihij et lui -don ne,do la dis-pposition I a.verser des Jamnes,. -Grande. irritab~ifite et in-quietude quAnd on e~st scud (Iespre miets jus) I oQS. Acces d'anxiet o5 commre, si6g'eant'.au, dess'OUA dii, sein. gau~cb, qui toui~rmente au point qu6 le sujet t~'rnwble. do toUR ýson corps; en' Mmemotemps.:q~uel-" quefois des rapports.ameits.et des batteonens do coeur..- T.ou~s ýlos senDs:,Po-ldorat et i'ouýi~esuirtout; sonýtdtciue susceptibilite' extremne. Grande disposition, '.]a fr rayeur.: Agitatio'n pen - ant- los orags Grande agitation (au bout do deux, jours).' 1010i. Impudeilr; uno fomme so di6couivve,- et'veu;t aller flue, co mme u-ne -folio.'ý Jnquie~twvde, agitation,,av'ec b~eauicovp-,do suour viu f-r'oritr.e~id-e ch~aleutir 'ala, tete'(Atibout do on~z'ojour-S). le sdirj ~bea-ucoup d'inqtini'tu'de (a~u butd Ui jours). Lassitude do ]a vie. Ch~agrin in' consolable,' avec pleuirs; ebW6g'lrnsseronens, l e nmati n'(au bout dp, C inq jours)., ro5. Grand- a.battolment (aul bout de'cihqjdurs).0 Trist~ess'c etthn orosite qui no VOnt Cepe nd~an't p~si jusqu'patx pleurs. Tristossceabattement *Huineur triste, ab'at'tement. IrresOlutiacm, m con ten tcment. SEPIA. 1020.', Mauvaise humneur. Trve"s,-ma~uvaise hu~xiur, an milieu de, la nae4teure -M contentement e:xtr~e. - Misantropie. Paresse et humneur grondeuse. 1025. Tendr-esse(). XIII. S4 P, a ýSepice'S'Uccus).,Ce, sue d'tnb-hruninoir,dont on n?s e~ u~ qu' a present-que pour peindre, est coriten, a dans u-fte jY6cheque reriferme 1e; corps -d'tin -mdllus~que,m-ir-iri Vej5eI6Sepyia octo6padai. -Cet: animal le lainc. il 1que1t; fbis' dan's 1Nanj poin'Irla tr~uhbler touI t autour",de TI; et s'assurer ainsi de sa proie on. se de'rober a se.g ebt!flenj.is. 11 se'dissout tres-aisdnme&it datisFMaul ehttouiteg Pik Pdnlioiis; i rlais, a I'ewtat rd-ffiAit'11 ea' nt ain-o'blb1 dari ý1PtaIFcoo01L.I: -PdtPý!l?cida-pter ta-ux-;besoins de l'ho~bi-oebp-athi6, 6h le, traite, ' ir-sh'r6thjde que jcm, d-c'r'iite d ins16 dap ii*frl o&on' vic r e# "aI c p -i',arationd ~~~e ni P6ricde8, c estlh.dire qu iii" ft-puI e~il rinjs ii'e-st a-r~ive" hioi diiýouft ni g rtai~~hM&14 pbtdfb' en porft ~t~f9tcessiv,6rn6eiAla Iq uei'iv jusc'6W 'y d&illion-. eftiýee-d"gýH de'dl'lTfion.' ' i 'J'Aii rotive6 que c id~mt ti t'd~ I n" Ci, ~ 3abipsSa g"tiesde,6n-erý.i*'&n pei~h ( i) AN-, ii te, di gpoviitbll'con trAire 4R ~ia ~ ai 'fe I121 DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. pas d'en donner d'autre dilution que celle au de'illionnime' clans une maladie chro,nique non vene'rionne a laquelle it est homocopathique. La dose est d'un, deux, trois et jusqu.'A quatre globules de sucre qu'on en imbibe. Lorsque le me~dicament a e'e choisi'parfaitement en harmonie avec les sym'ptornes qui tourmentent le malade, cette dose -exer'ce ULin action sahi.taire pendant plus de.,quaranite et de cinquante jours. La sepia a l'avautagre qu'on peut en re~ite~rer 1'emploi jusqu' a deux, trois et. quatre fois, si le cas 1'exige, en ayant. soin de ne pas donner ces, dose's T'une apr~s I'autre, parce qu'elle est homnoepathique A~ plusicurs e'tats de maladies chroniques, ce qui n'arrive point "a divers autres me'dicamens antipsoriqu~es. On la trouvera surtout utile clans le cas oi" le rnalades -offrira. quelques uns des sympto'mes suivans:-vertige; acces, de mat de te~e t~r'~brant-, assez violent pouir arracher des cris, et accornpagn6 de vomnissementl, qu'Von a 'coutume d'appeler ce'phalalgie goutteuse; mal.de te'te p~ulsatif,7 surtout Ai 1'occiput; ]a tte ent~rep rise et inaptitude aux travaux. d'esprit; afiflux, du.sang, vers la tate, en se bai~ssant; prurit 'a la teate, clans le n'ez, clans les,-oreilies; chu'te des cheveux;,impossibilit6' d'ouvrir Jes paupie'es pendant la nuit; pesanteur et chLit de la, paupiere superieure; une sorte de gaze devant les yeux; taches noires, qui voltigent deyant. les yeux; paupie~res collh'es pendant ]a nuit;.bouidounen21nt et tintement d'oreil les; sensibilit6., excessive de V'ouie; duret4' de I'ouie; teinte jaune de ]a face; se'cheresse fatiganite- de I'int'r-ie-ur dui iie-z-, sans obstruction; clefaut d'odo6rait; gonflempne t de la gencive; erosion de ]a gencive; saignemient des SEPIA. 113 gencives; ial de dents lancinant; excoriation du bout de la langue; langue blanche, chargee;sescheresse dans la bouche; soif le main; constriction dans ]a gorge; accumulation de mucosit's adherentes dans la gorge; rapports; serrement de gorge, surtout apres avoir bu; acide dans la bouche apres avoir mange; repugnance pour manger; difficult6 d'avaler ce qu'on mange; repugnance pour la viande et le lait; grand app~tit, voracite; batterent 'a a region precordiale; douleur "a la r.gion precordiale, en marchant; mal d'estomac apres le souper; sueur apI'es avoir niangQ; ardeur dans 1'estomac et le basventre; terebration dans les hypocondres; sentiment de vacuit6" dans le bas-ventre; sensation de duret6 dans le bas-ventre; gonflement du bas-ventre chez les mares; production abondante et deplacement de vents; borborygmes et gargrouillemens dans le ventre, surtout apres'avoir mange; coliques apres les mouvemens du corps; fourmillement dans le rectum; prurit a 1'anus; afflux du sang vers 1'anus; procide~zce da rectumz enz allant a' la selle; sortie des hemorrhoides du rectum; suintement d'humidit6 par I'anus; selles retardees; selles trop molles; envies pressantes d'uriner; envie d'uriner la nuit; sortie involontaire de 1'urine pendant le premier sommeil; urine charge'e en couleur'; cuisson dans 1'uretre en urinant; ettat douloureux da testicule; faiblesse des parties g'nitales; prurit autour des parties genitales; suppression des re~gles; 6coulement d'eau jaune par le vagin; coryza; coryza sec; enrouement; bouillonnement dans la poitnine; sensation d'excoriation dans le milieu de la poitrine; douleur de poitrine en se remuant; oppression sir la poitrine; IT. 8 114 DOCTRINE HONMEOPATHIQTJE. eflancemens dmns le co~tA gaurcho do la. poitrine; 6'lancemens stir la poitriie., en travaillant de tete; mal (10l co~t en r'espiran_'t et en1 toussant; toux matin et si, avec: crachats saks;crchats difficiles " dia cher; dou'leur au sacrumi; frissonnem ens laiis 10 dos; e~ruption pruritetise suir le dos; de'hirernent et crampe dlans le, dos; raideur dU. dos; raicleur do ]a nuque; suieur des aisselles; raideur dans le bras; lassitude (1es bras; e'ancemens dans 1'articnlation. do la main, quand on la. remute; ardeur "a Ia paurne de 's ma9ins; paralysie des jamibes; fr~oid des jarnbes et des pieds; dotdeur tiraillanteo dans los jambes et dans le gros, orteil; convulsion dans los piecis, pendant le sommeil (1 midi; crampes dans les mollets; enflure des jambes et des pi 'eds; sueur des pieds; suppression do Ie]a suoeur des pie,-ds; chaleurardente aux pieds; fourinillenient cieugncourdissement des plantes des pieds; engyourdissernent des bras et des jambes, surtout apre's tin tra~vail m,2,camique; raideur et inflexibilite des articulations do la main, du cgenou. et du pied ulce'res stir los articulations des doigts et des orteils; nagitation et battement dans tous los inembres; douleurs brctlantes dlans Ibeat'Coup,(le parties dLi corps; acces, do chaleiir passage're; boujllIonnemens (10 Sang battemens de coeur; acces do chaleur dtant assis et en marchant aun grand air; suour copiouse au momndre mouvement dui corps; de'faut do chaleur naturelle au corps; graii1cle dlsposui.aon c?' se refroid1ir; grande disposition "a so douner des tours do reins; effets nuisibles tre~s-prononces cdii chagrrin; lassiitudo qui cause dui tremblemnent; paresse et difficult6 do mouvoir le corps; 6'puisemlent en so levant; somnolence dans Ia jotirec; revasseries, etant e"veille; I SEPIA..reves multiplie's; re'ves~inquie'tans, effrayan's; sueuir nocturne; sueuir le. matin; sueur. acide, le matin; anxiete' le soir, dans le lit; anxiete' et malaise, avec chaleur passagrere; disposition 'a s'eff-rayer; aversion pour ses occupations ordinaires; indifference pour les siens; de'couragement;, rne'lancolie. Un acide ve'g'tal parait calmner 1'action de ]a se'pia, quand elle est par trop forte;, mais le plus puissant antidote est une dissolution, an bil1ionnie~me, d'aniimoine cru on d'e'mn'tique, qu'oii fait flairer au ma'JadIe. Dans le cas cUlt la circulation est tre's-excit~e, on fait flairet' tine dilution d'aconit. Demai'che chance~lante. Vertigre; enri archant, ii semblait que to~us les ob" jets fussent en mouvernent. Vertige; le sujet tre'buche en se ba'issant ea regcar-O dant en haut. Verti~ge, seulement en marchant au grand air. II fat oblige' de se faire conduire. 5. En allant auý grand air, acces de verlige, qui du~re deux 'a trois minutes; it semblait que quelque chose' a~llt et vint dans ]a te'te; le soir, mat de tete-, et bourdonnement d'oreilles. Vertige en remnant les bras. Le sujet est parfois ti es-enclin an vertige, et iin a de goi't pour aucun genre d'occupation. Tous les matins, en se levant, verti~ge qui va pres., que jusqu'h' faire tomber (au bout de vingt-troi's jotirs). 'Verti-ge, tous les, apres-midi, d~e trois "a cinq, heu.. res; tout tourne quand on marche, qu'on est. assi~ et qn'&n1 se tient couch6. 1 16 xi6DOCTRINE IH0MOEOPATHIIQUE. i o. Tons les apre's-midi, vertige, de quatre 'a six heures, etant assis, eL en marchant. Vertige, avec froid aux mnains et mux pieds ( au bout de trente-quatre jours). Etant assis, en buivant iine boisson fort innocento, le su-jete'prouva tin tel tournoyernent; dans Ia tete, qui~l. se crutmenac6 d'apop~lexie, pendlant cinq minultes; ensuite chaleur erratique pendant cinq autres minutes. Mal do te'to, semblable 'a un e'tourdissernent; on peut 'a peine so soutenir fa tete. La tate est souvenit comime e'tourdie, le, matin, anU sbrtir duilit. 15. Toute ]a 1ete est entreprise, avec tension des muscles du con et de la nuque. La te'te est entreprise, comme dans un coryza, et etourdie. La te'te est si f~aible, qu'ofl ne pout penser presque a rien, suirtout l'apre's-midi. rFaibiesse de la in76moire ( au. bout de vingt, quarante-huit heu'res'). Le sujet so tromupe souvent, en 6cerivant. 2o.. 11 est distrait, se trom'pe en parlant, et confond les mots ensemble (an bout do nieufjours). 11 pense 'a des choses- auxquelles ii voudrait ne pas songer, so soet d'expressions qu'il sait Yi'etro pas bonnes, se propose do faire co qui est contre son in. ten tion, et so trouve ainsi en contradiction avec lui-. meme, d'ou situation d'esprit agite'e et tre's-desagrea-- ble (an. bout do vingt-quatre heures) Malgre' l'envie do travailler, ii n'est point " a I01 e no pense a rnon ( au bout doe trenlte-deux jours). 11 est e'tourdi ot (listrait, et no sait souvent pas ce qui'il fait. s EPIA. 143 La te'te comme h6be'tee par momens, avec fris'son's et suspension momentane'e de la respiration.;- apres quoi, le suj et est oblige de faire ue respiration Pro7 fonde. 25. Tournoye-ment dansIa tete, qui est etonn~ee et! h~be"t~e,, pendant quatre jouirs (au bout de quatorze jours) He'betude et irnpossibilite' de pe'nser, toute la m~atine~e et plusieurs soir6es, de suite (au. bout de trois jours). D iffzc ulIt " de rassembler' ses id~es (au bout de' vingt-quatre, urat-huit heures) Etonnement de ]a tete, avec resserrement 'i a'Ia poitrine, et en merne temps faiblesse par- tout' le corps. La teAte est entreprise (au bout de,,vingt-qiiutre heures). 3o. Le co~te gauiche de 1'occiput est entrepris'( au bout de trois heure's) La partie ante~rieure de, ]a teate est entreprise (au bout de trois heu'res et dernie) Ebranlement dans le cerveau quand on fr-appe' du pied. Adl/laxt da sang vers la 1!~te (au bout de cinq jours). Chialeur clains.1a tete, qui sembl~e, jusqu a% tin ce'r-P tamn point, en sortir' pour rendtre les oreilles brciIan tes. Difficult6` d'entencdr-e et vue trouble. 35. Le matin, forte chialeur dans ]a tate, avec la' nlme m sensation que s'il aillait survenir un saignement de nez ( au bout de douze jouirs ); Chaleur douloureuse dmns la tt'te, sou'vent avec une chaleur qu~i parcourt rapidernent le corps. DOCTRINE HOMOEOPAT1IXQUE. Toutes les cinq ininutes, violente chaleur qui monite 'a la. te'te. Le, soir, chaleur dans la te'te (au bout de trois jours>) Au milieu dn plus violent mal de te'e, impossibi. lite' de supporter ]a chaleur exterieure, quoiqu'on soit gele'. Lj4o. Mal de te'te, en toussant et sans tousser, comnme Si ]a te'te allait s'ouvrir en deux. Battemens'Itr, s-douloureUx~ dans le haut do la lee au moindi'e mouvenent; en tournant les yeux, et remuant la tate ou le corps, on dirait que quielque chose en veut sortir, par' la. partie supe'rieure; battemenit pen. sensible, me'me dans le plus parfait.repos., IBattement dans le o e' de ]a te'te sur lequel. on est cuc eh' Le soir, mal. de ~e: battement dans la te'te. Battemen t douloureux dans l'occiput. *45. Battement te'~s-douloureux an sommet de Ia tete, le matin, peu. de temps apre's le lever (au bout de six jours) Mal de tete pulsatif a chaque mouvemnent. Le matin, en se levant, secousse do pincemnent *dans la tate. Acce's isok's, violensondulans, de c~phalalgrie compressive, tout 4i-fait en devant, dans le front (an. bout de trente-cinq heures). Mal do tate; pression, convulsion et 1)atteeneft avec chaleur dans Ia t ete, con-imole si tout ce qu'elle coutient alla-:it sortir p,8C lefr~ont et los yeux; pen-~ dans trois jours. SEPIA. ji11 5o. Yiolent-mal de te'te; une convulsion dans le fro6-nt. ALe soir, de sept ahi hiLlicures, pendant unle heu.re, dohic'lur compressive dans le fi`ont, qui est chaud (au b o ut d e q4tiý.tr'ecin-q jou~rs). Douleur comjpressive,,sourde, sur un petit point dii cot6 droit 'de 1'occiput'. Presslion, en haut, Sur la. partie ante'rieure de- la tate. Touterla journefe, violent mnal de:tete corn res~silf, avec vertige, envie de pleurer, et fort coryza. 55. La tete est pesante et comme serr~e'.aix tm pe& -et au front; il'semble que les vaisseaux int~rer regorgent de sang, cornme dans un violent coryza.. Mal de ete compressif dans la paruic droite, de l'Occiput.f Le soir, mal de te'te com-pressif daris i'oeiplit Douleur compressive, aui c6t6 gauiche de l'occiputt comme s'il y avait quelque chos& de- inalade au idesSc-1 (au bti bt' de -cin q jours). Compression douiloureuse, pr~ofonde, -d'tin'96Ai c 6z6-de la t6t e, avec, douleur Co0mpressive daný"les d'enfs nolaifre~''. 6oý. Pression et tensio'n d ans Ile frýon't et' da'ns: 8ees yeux (avec.a r'deu'r'bruIlantte) Ap re's lie tradva'il d'e tetei, re sion Aui so m-Mt de'la tte. Pression douloureus e C rnteue ~ a tAeavec raidu e lanuqe; la teLe est tres-seinsible au touche'r. DouleUr te'ie11brantc dans le fr~ont, qui commnnei' 120 120]DOCTRINE ITOMOE-OPATrn[QUE. le matin, dure toute la journe'e, et se manifeste au moindre mouvement. Serrement douloureux au sornmet de ]a tate et 'a ]a partie superieure doel'occiput, avec sensation d'excoriation, qui finit par devenir bri'iante. 65. Douleur compressive au sommet de ]a tate, toute la journe~e, avec constriction extre~me de ]a poitrine (an bout de onze jours). Mal do tete, semrblable a une pression. du dedans, an dehors ( au bout de treizo jours) Mal de tate, pomme si los yeux allaient sortir do leurs orbites. -Violent mal doaee comme si ]a etet allait s'ou-~ vrir. Mal de te'te; craquemont dedans, comme s'il s'y brisait qucique chose, avec douleur dans, ]a nuque en tournant ]a tate ( an bout do dix jours) 70. Mal do te'e, dans ]a umatinee, coinme si lo cer-~ veau 6tait contus. Douleur constrictive dans, le front. Acce~s do pincoment douloureux, 'a 1'un des c0tes do la teate. Mal do te'te compressif, lancinant, continu, an. dessus du front, imme'diatement an. dessus doe1'oeiL gauche, quo le mouvernent dans la chambre agrgrave, rnais qui diminue beaucoup au grand air. Mal do te'te lancinant (au bout do dix-hiuit jours>.& 75. Mal doetate; fdlancemens, tantot par-ci, tantot par-hi', dans le front. Tons los jours, en niarchant vito, e'Iancernens semblables A des coups d'X'pingrle dans le front, avec envies do vornir. Mal do tete; 'lanicemzens clansimc/rtout, avec envies sipue, de vomir'(le sujet ne peut mangaer), qui se cal'ment par la position co 'uchee& Elancemens sourds darns toute, la tete, et enfin dans l'occip'ut, qui plon gent dans tine inaction absolue. Yifs M!ancemens dansl' occiput, qui aboutissent au vertex. 8o. De' ternps en temps, -un e'Flancement isole' qui' traverse la4tate. Un elance'ment dans Ia tempe gauche. Elancement'dans la te'mpe. Mal de tate, le soir; e'Ianc'emens dans, les deu'x tempes. Mal' de teate; Mancernens frelquens dan~s le c 6t6e gauche de la tate, l'apres-midi, et aussi dans I'occi-~ put,.le. soir.. 8 5. ElLanceme'ns, da'ns* a tete, Au dessus, de 1'oreille-' pendant que'lques, milnutes. Mal de tate;e'Ian'cernens',touteIa journ''ee',,quid' d dedans a'boutissent aux" yeux. Fr~equentes douleurs tiraillantes dans la partie an., terieure de hi.te e. Tiraillement doulou're'uxtan totdatslect6dIi et tantot dans le c6te6 gauche de I'dobci u t, en ha s' (au bout de cinq heures). Ti rail lern en t-d'ans, I'occipu't. 90. Tiraillement ruaimldanisole t-aauche' de ]a tate. Mal de tate, ]a nuit, en grand e partie supefce; tiraillant et perforant', q ',a minuit, emphede rester da~ns le lit; ii se'tendait jusque- dans l.es -ternipes, da~ns l'oreille et dans les dents (a'u boutide sixt jours). 1T24 ]DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. Beaucoup de taches noires qui passent devant les yeux ( les premiers jours). En ecrivant, la vue se trouble, an point qu'on peut a peine distingauer les objets (au bout de huit jours). 125 Ensefatoruntles yeux, sensation de nu sees et (lanxie'te. La lecture et e'6criture affectent les yeux, dont les angOles internes causent de ]a cdouleur, conme s'ils etaient excori~s. Le blanc de l'oil devient rougre (a'u' bout de dixsept jours). Les yenx out un aspect vitreux. Le matin, apre's qu'on est re'veillef, les yenx parais-. sent comme noye's de l armes, e t on e'prouve de la cuis-. son dan's les angles (au bout de Vingt-quati-e heures). i 3o. Les yeux pleurent au grand air. Larrnoyement des yeux (ail bout de douze jours), le: natin et leý sowr. Les paupie"reS, 9ualzc on s'e'ei11e, sont dloulou-,reuses, Commae Si elles e~taiendt t1oI) pe -santes et gu'on ne pd'tpas les soutenir (au bout de six jours). Convulsions dans les paupie'res. Tressaillement des paupie~res. 1.35. Tressaillement, dans la journ~e'lall dessou s des yeux. Pression douloureuse sur ]a partie supe'rieure des yeux, qui repairait souivent dans l'oeil. droit (au. bout de deux heures). Pression stir ]a partie inf~rietire de l'oeil droit. Pressi'on douilonreuse quand on tourne.l'oeil droit a gaiuche. Pression danis l'oeil. droit, commne s'il 5'y trouvait, un grain de sable, que Ie frottenient, augmien-te, et f SEPTA. 125 qui est surtout sensi 1ble quand. on, appuye sur l'oeil. Ir4o. Pression d~chirante dans les orbites, surtout celui de l'oeil gautzhe. Fourmille'm~enltaut bord interne de l'orbite gauche. Prurit'aux yeux. Prurit dans les yeuix. Dans l'angle externe de l'oeil gauche, violent prurit, avec sensation de cuissoni, apre's s''tre frott6'. 145. Le matin, apre~s le reveil, 1'a'ngole interne de I'oeil dr-oit cause un prurit violent; apr Is s'7 tre frott6,' il survient de la cuisson et un larrnoyernent abondant, puis 'Lne sensation d'excoriation dans l'angle externe, qui est un peu. coll6. Yiolente cuisson pruriteuse dans 1'an le' interne de l'oeil gauche, avec larmoyement;lIa conjonctive est plus rouge qui'a' 1'ordinaire. Cuisson' dans l'oeil di'oit, le soir', avec tendance des pau-pie'res 'a se fermer violemment. Elancement dans l'oeil gauche. Douleur cuisante dans les yeuix. jx5o. Lesyeux cuisent le matinI et sont faibles. Sensation d'ardeuir au. bord de la paupie~re inf6 -rieure gauche, vers 1'angle externe. Ardeur pendant tine heure dans l'angle externe* de l'oeil, plusiceurs fois dans la journee. La paupi~re supe'rieure droite est rougeatre et un peti tume'fi~e'ele matin. Une tache dartreuse rougre sur la' paupiez'e sup&rienre, qui se detache par e&ail-les. 155. La paupie're est enflamm "e, et ii y survient un orgeolet. Grand ýgonflement rouge de la. paupie're inf~rieure, qui cause une dou~leni' compressive, et'br'Mante. i.q6 i ~DOCTRTN{E HOVIOEOPATHIQTJE. Ophthalmi~e: le blanc de l'ceil est rouige; on y eprouve des 6lancemens et de ]a pression. Ophthalmie; I'oeil ne supp'orte pas l'eaul froide. Les yeux sont coikes par (Ie la suppuration. 16o. Constriction et tension de Ia, peau "a ]a face et surtout au front. A la tempe gauche, d'abord un Ie'ger chatouillenq ruent, pUis, sensation comne si la peau e6tait soudev~e' par tine ventouse. T7einte jaune de Ia face et du blanc des deux yeux, pen ciant toute une journef e. 11 survient des taches jaunes 'a Ia face et tine bande jaune en travers de ]a rnakhoire supe'rieure et dui nez (4u bout de vingyt joutrs) Pieur de ]a face ( an bout de vingt-quatre jours). 165. Le matin, paleur de la face, teint inlalade, yeux rouges et troubles (au. bout de huit jours). Bouffissure de la face ( au bout de cinq et de qua rante jours) Chaletir Ct rougeur passagreres* aIa face (an bout de deiix heures)..En parlant, on est pris sur-le-charnp de chaleura' la figure. Le matin, chalcur "a Ia face, qui, est pa'1e le soir (an bout de cinq jours ). j170. A nmidi, grande chaleur et rougeuir d'ka face, avec froid aux pieds. Eruption "a ]a farce, qui en rend Ia, peau rouge et ra~boteuse. Pruirit 'a la. face enti~re. Eruption de plusieurs, boutons sur la jouce droite. Eruption Ai la face de boutons qui causent uu pcu de de'mangyeaison. s~hIA.127:175. Douleur spasmodique dans les, os de ]a face. Douleur tiraillante clans ]a face, avec fluxion " a l jone. Court, mais vif de'chii'ement, qui descend dti front, le lonig de l'aile droite du nez. L(Sger de'chirement "a. l'os de ]a pommette droit, au dessous de la tempe-d U Meme cote. Douleur de'chirante en devant, dans le Cote gauche de la ma'choire sup~i'ieure, et peu de temps apres dans le co'te droit. i 8o. De'chirement dans l'articul 'ation gau che de la maichoire, imtne'diatement au deva-nt de I'oreille. De'hirement dans 1'dckation situee derri~'e l'o.. reille droite. "iDouleuir dans l'orei'lle gauche, comme si' on 1'arra.. ch ait. Doulelur compressive et lancinante dans 1'inte'rieur des deux oreilles'. Violente pression de dehors en dedans, au dessous, et au devant de 1'une ou. de 1'autre oreille. 185. A l'oriflce du, conduit auditif, tumeur qui", lorsqu'on appuie sur 1'antitragrus, cause iine douleur lancinante. Elancemens i 'so 'les et aigus dans l'inte'rieur de l'oreille cgauche. Elance~mens dans l'oreille, qui occasionent des gernissemiens 'a haute voix. Vif (Alan cement daiis,1'oreille et ]a joue gauches. Elancernens dans la parotide, qui se gonfle, et qui ensuite cause une tension douloureuse, quand on tourne la teate. 190o. Douleur cl'oreille ( au bout de' vingt-quatre hieures). 'I3ODOCTRINE HOhlObEOPATHIQUE. r~~i-ent an's lavre su 6,eti eCdin Sie'i y avait p~ne'tre' une e'charde. A 1'inte~rieur de la le'vre inf6rienreý,, il1c~Pel doutikm1 reuk idont 1'eau f6i,-&ide ýq Ap6 Iti adou'leu~r'(dUbotitd q~uelques heure's) 'La kwe Voinft~ie*U're, %h dedainsest conmiffe a vif, et pleine d'ampoule"s douloureuses (an bout de ýdli-'.Sep dr) 23o. Tension de ]aIa hre inf6rieure. l matin ýcgranid 'onflemtdel dvei f~~ire. Elevations en formie do;dartres h la- ýedu; to autour de ]a bouche. T2'rtc-Aartre' "al1,b~on~b~e-., Eruption de boutons au. mentbii, quil', 1ersq~i'on y toupch-et'<*cautseW A Jaeiume.douhqur,q.'un-uleorri 23.In, ijAc~ant il.sem.nI1e, qu~p, es macho~ires ne peuvent pas s'ecarter et que a'articulation va. craqiipj DoqýQr, p pqo~qe,,u.dessous de ]a. naqhoire an. col, p' ss daps la 1,oi' e1me-wem La glande' soi~sI6rpaxilai stgonfl~e;-quajid on uppie de.sus;.pn 6prouve d~e adouleur dans u ne dent. Douleu1r dap.s les.glaiiles sous-&-maillaires, compme Si eles~ent contuses;. elle son~t dTJqurusasi aueles "tpuhr(i Ioreuesaesv au o ftonce yang teheures). Uq 119 uocl upl, i eloe 0 aucpbede ]a inachoire, qui cause une douleur 1anciPhan;,te,. 24Q. Elancernent dans la g~enci~ye. XAipouls A "la 4,-e-nciveqi fucausent une ckdlteur briilailte, cuand on y touche. J~~fleMentndoi ureu 4,sgeizl4.es. i~du de~but~ii hla'~h i e o enld(e's' dnts creuses, avec fluxion "a la jou'.ý ggpl,& - 13t Gonflement de ]a gencive, qui cause Ia me'me douleur' que si celleeitait "a vif. 245. La gencive* est gonflehe e-tdoUloureuse, com'Me si elle s& trouvait 'i vif; el-e saigne au inndeotact, et s'6arte des dents. La gencive saigne-presque sans cause (au bout doe quatre jours) La gencive est tres-gorifle'e et d'un rouge fonc6; ecle cause la, m'me do uleurqesiceaaisupurer. La g~encive est gonfle'e en,,dedJans. Gonfletnept de la gencive postexieure et de, ]a mem~brane buccale, en sorto que.1Ia cavite de' la' boceparaitcomoretrecie. 2530.' Dou'leur'tiraillanite dans la g'enciv, au-dessus des deuxidfents de de'vant supei'ieures gaiiches. Le'sl-enDts incisive's inf~rieuires branlent. Un e dent 'incisive sort do' son alveoie et dev'ient trop longue. Grand'ag'aceirent, des 8den~t's',`pendant Sept sours (an -b-out de huit jotirs) ika1 do e dents e*n' mordant et'en a'ppuya-nt ldlan'gue C6iitre.'; 2 55. La uniiit,' en dornmahnt, on appuic forteniei~t les dents los ni~esiltohtre 1eý auti'esc qui cau~se b~bai~cO-iP do doiledr.: ~Son'safio'n d6sa'g~rable de' freo'id danD ls dnts d devant inf~rieures. Pdnl1euv dari8s lo's dnts In`C'iVe6 -sthp6rietirs, cFnn& lo:n 1y eptotilvaltdoIpsnteur Mal de dents la nuit, u ^epcho do dormir;;le` i~nitn, ~i~ssa cessation, iri'tita~tldnt elk'ýqui"'in he pettt ske:'rio,6fnir",'en- ninemeteliips, grande fa ible'stm 132 'DOCTRINE HOMOBOPATHIQUE. Sorte de bruit sourd dans les dents de devant. 260. Douleuir tit-aillane dans la dernie're dent molaire inf~rieure-,ýý adroite et a% gauche. Tiraillement dah~s les de'nts molaires superieures, a droite et 'a gauche..Mal de dents tiraillant quand on miet, quefque chose de froid ou de chauid dans la bouche. Tirailleinent clan's la dent crese, qui s'~tend-jusque dans I'oreille, et'q'ui aug'mnente quand on prend de 1'eau froide (lans ]a bouchie. Les dents causent be'aucoup, de' doiileur; orý y eprotive un tirlaillem'ent semablable h cel'ui que produirait une ventouse (an' bout de neufjours>.' 265. Douleur tiraillante dans uric bonn e' dent Ilorque 1'air la frappe d~ans iine chambre chatide.,m-ais, non 16rsq't'ellIe est, frappe'e debors par Pair fro~id.' Mal 'de dent sourd dans les racin'es de dents qui ont e~e cassefes; le froid e'st tres-s'ensible. On ne pentitsupporter aucun courant d'air sur les dents; point de mat aux dents duirant 'Ia, nit; mais le matin, une heure apre's le lever, elles comme'ncent h deV'enir ddul'ouretuses quapid on touche aux gencives et qu on se nettoile la bouche.I Ti rail lement 'et' dechirernent 4ans les dents. De'chirement dcans le co~t4 droit de, ]a machoirein.. fe'rieure., imme'diaternent aun dessous des dents m cisives.. Prsinrhuma~stimale ave~c tiraillementdnle dents (et en naerne, temps dans le front), par acc~es isole's.' L'ap~r~s-midip, toutes les qu4tre ins5pirations,,.d_ chiremnens et secousses dans, les dentsý, qui son't plus, sffIX. 133 vifs quand on se couiche, et qui s'accompagnent d'une salivation abondante. Mal de dents dlchirant et convulsif, depuis six heures dil soir jusqu'apres minuit, e~poque de sa cessation (pendant quatre jours de suite). Mat de dents; quelques secousses, le jour et la nuit, quand de Fair entre dans la bouche on dans 1'oreille; ensuite, sensation dedans, qui occasione de l'agitation. Secousses compressives dans les dents molaires, surtout quand on se baisse (au bout de huit heures). 215. Douleur compressive sourde dans les dents nolaires, avec douleur dans les glandes sous-maxillaires (an bout de vingt-quatre heures). Remuement dans les dents d'en haut. Mat de dents rongeant dans les molaires post&rieures. Elancement dans les dents de devant. Mal de dents lancinant, qui fei'ait presque pleurer. 280. Au dessous de la paupie~re droite, eIancement qui descend jusque dans ]a dent canine, et qui a l'air d'etre dans F'os. Mal de dents; elancement cans ]a machoire et ]a dent, jusque dans l'oreille, qui empeche de dormir la nuit, et oblige dans Ilajournee s'envelopper la tate. Mal de dents; sorte de battement lancinant dans Ia racine tantat d'ine dent et tantot d'une autre, accompagne d'ardeur dans ]a gencive; le mat se renouvelle quand on rentre dans la chambre apres avoir ete aau grand air; la douleur devient vive aussi apres avoir mange, etsurtout lor~sque quelque chose de chaud tombe sti' la dent; tat qui diure huit o 34 DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. jon rs, laps de temps apre's lequel la dent comm.ence a, noircir et ~a se canier. Le's dents der-'iennent creases avec tine grande ra.. pidite. La langue est blanche. 2 85. La langue cause la me'me douleur qu'e si elle etait a vif(au bout de dix-sept jours). De'chire'ment en arriere, uc 6t de i d Ian gue, avec cuisson, semblable "a celle que produiraift du poivre. Vive cuisson sur la partie ante'rieure de la surface de ]a Ian gue (au bout de trente-deux heures). La langue cause la me'me douleur que si elle e'tait bru'lee, en furnan-t. La langrue est couverte de petits boutons, et cause de la cuisson. 290.ý, Petits boutons douloureux an, bout de la Iangue, en dessus et, en dessous. Cuisson., comme a Ia, suite d'une bni'lure, 'a Ia partie ante~rieure da palais. Douleur an, c6t6' droit de Ia langue (qui est ensuite,cou'vexte d'un mucus epais); cette douileur ge'ne la mastication et le 'parler. L'inte'rieur de la bouche est si gonfl6',, qu'on ny pent presque introduire aucun aliment. Lagencive et l'inte"rieur de ]a bouche sont gonfles, avec ardeur qui s'e-tend jusque dans Ia gorge. 2-95,.LanZgue cliargee. Le soir, beaucoup de salive A~la.bouche. Afflux de -salive sak ila botiche. Le ~ sujeýt est oblig6e de cracher heaucoup et 'sans cessce. *SEIPIIA. *.. Lmnatin, en s'6veillanit, grande sQ'cheress~e de,, 1h langue, comme'Si elle e'tait br uX1ee. 300.S~ce r~se ~p~t~de ~IanI gue e~t du.padais. Se"chaeresse frequente dans la b ouche, Cqorp -04ijl 1angue-A~llait se-coller aq ~palai sasns soif. $6hresse d~p labouche-,de la gorgeetdelaongue, qui est tre's-rude le matin. *.;!cheresse dains-la bou~che et lIa gorge, e nA4i *n, en s'7 veiIlant;,,qwi, empe'che de paxjrle au, bout; de six jours).:, SMcheresse daiZS lago7rge, toute la journ~e.e.,i:.13o5.: S'cheres~se dans le pharynx,(au botdonze jours). Grande soif (au bout de treiz~e jouirs). Se'chere-sse de la gorge,' le -soir,~va t, de s e'.` co -11 - cher, qui 'ne'dimi-nu6,paý","en',bLvaiit (a bo ui' d e JL'inte~rieur de la gorge' e'stlotoduoirs 'sec e om ten'du.' f Dans le fond de ]a gorge et au. palais, sensationbd c0igson et lde6g'rattem~`niet, ckdimniavan't 'parto d'un gra~nd rhume de 6eeie'u'.' 3 o".'Le soiP, sen'satio'n comrm-e I egrteen dans Ia- gorge. v En avalan t, on epro-uv'e comme un gratte4'qnt1 dans]a gorae. I.r Beaucoup de inucosite's dans Ilaa or'oe, qu'o1n, eq oblige' d'arracher ayec effo~rt., Expulsion fre.cjuentqde jigcqsits, quon. tirede la gorge. L6g~r fer urilleuri nt dais n te'rieur deia; o''e s~nstio~ ~e4Aaie;:cj1,qu'on "prouverv~itnesii .36 DOCTRINE IOMOEOPATHIQUE. allait survenir de l'enrouement, et qui excite h renacler souvent. 3 5. Sensation d'abord cuisante, puis dechirante, parfois aussi compressive, dans la gorge; a gauche. Mal de gorge et gonflement des glandes dc cou. Mal de gorge compressif a la partie superieure du c6te droit de la gorge. Pression dans la gorge, a ]a region des amygdales, comme si la cravate avait et4 trop serree. Sensation sourde dans 1'amygdale droite (au bout de quatre jours). 320. En avalant des alimens et des boissons, douleur compressive dans la gorge, quis'6tend vers le dos. Pression dans la gorge, comme si on avait aval6 quelque chose qui ne veut pas descendre. On a comme un corps etranger dans la gorge, qu'on croit devoir avaler; en renaclant on en toussant, ii sort de la mucosit6. Sensation comme d'un corps rond dans le pharynx. Le soir, sensation, en avalant, comme s'il y avait un corps etranger dans la gorge. 325. Mal de gorge constrictif et compressif, imm6 -midiatement au dessus du larynx. Mal de gorge; constriction et pression tres-douloureuses. Mal de gorge; la gorge est comme a vif en avalant. Mal de gorge; Alancement en avalant. Sensation de chaleur dans la gorge. 330. Une sorte d'inflammation de la gorge. Mal de gorge; I'amygdale gauche s'enflammne, se tumefie et passe a la suppuration; la douleur em SEPIA. J37 peche d'avaler: chaleur f~brile par tout le corps; soif et chaleur brcilante dans les yeux (au bout de onze jours). Gonflement et inflammation au, haut de ]a gorge -(au bout de vingt-et-un jours)..Difficul-t6 d'avaler: les musc.les, de la de'glutition soiit comme paralyse's, pendant plusieurs jours (au bout de trente-six jours.) Sensation de~sagre'able au cardia, en avalant les aliniens. 335. Le. matin, en se mettant sur son se'ant dans, le lit, secousse douloureuse depuis la gorge jusqu'a la. region pre'cordiale. Beaucoup de mucus, ayant une saveur putride, sur ]a langue. Maiwaise or/ear qul s'exlzalecde la bouclze. Gou't acidule dans la bouche (au bout de- vingt heures). Gou't acide dlans la bouclze ( avec constipation) (an bout de onze jours). 34o. Le matin, en s'e'vei11ant, golult acide dans la bouche. Golul acicle et amarescent dans ]a bouche (an bout de cinq jours). Le matin, giut amer, repugnant, dans la bouche (an. bout de cinq jours). Mauvais goiuit dans la bouche, connie apres un ancien coryza. Arri-ei'e-goUl putride, apres avoir bu de la. bi~re. 345. Le ma tini, mauvais gouAlt dans ]a bouche, qui est se'che et emp~tele. Le matin, en se levant, Cgut amer dans'lIa bouche -et I]a gorge; rapports amers aussi le ruatin; cependant -38 DOCTRINE HOMOEOPATHIQUVE. le4 alimens sernblent bons, et I amertumne disparait aýpres avoir mange'. Rapports arners, avec nause'es. Rapports d'oeufs pourris. Rapports extre6imementfr~quens (ain bout de vingtqu~tre heuires). 35o. Rapports fr~equens et souk~vemens decoeur (au bout de vingtz-six heures). Fro'quetisrapports 'a vide. Le matin, beaucoup de rapports, et pin'ceinent dansl'estomoc, c~omme s'il allait s'en de'tacher quelque chose. Pendant les rapports, MIanceeniet 'a la region pr&c prdiale, dans le coke' gauche et entre 1es omoplates. Apre's les rapports, chaleur briullante dans I'estomac. 355. Rapports s 'apides; uls arnenent quelque chose de sanguinolent a la, bouche (apres avoir coiuraL'a cheval) (au bout de quatre heures). Rapp orts (dans u ne cbarnbre tres cb,,ad.e,); us vient " a l'bouche. Rapports qui alternent avec des hoquets. Hoquets apr~s avoir manger, pendant uri quart d'heure., Hoquet en furn ant, et constriction dans, la gorge, avec la me'me sensation que s'd sly trouvait un clorps 6tran'ger, qui excite des 'a u s~es, e t failt veni r 1'eau 'a ]a bouche. 36o. Un pen1 d'ardeur qui remonte de P~estornac. Sloda, le m'atin et le soir, pendant plusieurs heures; sensation d'ardeur depuis la region precordiale jus-. -qu-e dans la gorge, oiui l'on e~prouve ensufite tin goelL acidule et du grattement (au.- jout do dpuze. jours). S4PIA. 13.9 A~~ ~ ~~ ]ju~ 'a in a houche, ce qui se disip en mangeant. Nausees de ten ps en temnps, toute la e~urn~ee, wneme apres av oi r,mian ge, avec flux de s~alive acjueuse dans, ]a bouche, goiuit amer acidule c~ontinuel., et poin 't d'appe'tit; cepenjdant Jes afimens ont la saveur qu'iis doivent avoir, et parlaissent bons (au bout de quatre, jours). i~ause'es, le mctin, aj -e"71; plIUsieU7rw rncatines de suite. 3,65. Nause'es le matin, en s'e'veillan~t, dans la so~iree et dans la nuit. Naus-ees le matin: ii semble que quelq~ue chose tourne en rond dans le corps. Le inatin, en se rincant la bouche, sonhwe'vent de cceur. Nause'es, le matin., en allant en -voiture (chez une personne quii en,avaitl1'abitude). On est inal "a son aise et faible. 370. Nause:'es (presqiie sur-1eftcham~p).; ensufite tiraillemens dans tons les menibres. Na~usees tous les matins;ý vers dix heures, sans rapports, pendant quelques minutes. Nasees_ awec amertumne ans ia gorgre, sans vomissement. Apre"s' de*s nause~es,:le natin, et apres avoir un peu mnange', vomissement, -puis serrement-de-gorgre. Nause'es, le matin seulement, tous les m~atjns, qui 7se dissi-pent apr~s avoir pi'is qucique~chose. 375. Envies dIe vomir,'anxie~te, vertige. Vriolens vomisse'mens, plusieurs fois i-6pjete's, la nu1it, avec grand m~al de: ta~te (au bout dle douz*eoheu. 14o ]DOCTRINE IIOMOEOPATHIQTJE.:Deux matine'es de suite, vomissement de bile (au bout de trois jours). Chaque jour, deux, acce's d'une heure; saisissement dans les hypocondres, avec nausees; sensation qui descend de la' dans le dos, oii ecue prend le caractere d'un M'ancenuent; puis aussi d'ancernent dans, ]a poitrine, jUsqu'a' cc qu'il survienne un vomnissement de bile et d'alim ens. Sensation de de'gouit et d'une sorte de detente, comme si on e'tait plein outre mesure. 38o. Absence de lasoif (au bout de h-uit jours). De'faut d'appe'tit; l'ide'e seule de mnangrer donne des nausees; cependant pas de faux orou't dan~s la bouche. Le golAlt de ]a fume'e de tabac parai't etre de'sagreable. Plus d'appe'tit; on ne trouve de goutta~ rien. Point d'appe'tit; rien ne plait 385. Ce qu'on mange ne veut pas descend re. A midi, plenitude de 1'estomiac. Diminution de l'appe~tit; tout ce qu'on manige est trop sale'. Peu d'appktit, mais beaucoup, de soif ( au bout de trois jours). Peu d'appe'tit; cependant on trouve bon ce qu'on mange. 390. Beaucoup d'appe'tit, mais non pour la viande, qui re'pugne pendant plusicurs jours. Appe'tcnce pour le vinaigre. Fait-n devorante; quand on ne la satisfait pas, ]a bouche se remplit de salive. Q nand on voit m~anger, hors des repas, l'eau vient a ]a bouche et on se sent de l'app~tit. Appe'it imiiiiod r..; le suj~et rue peut se vaslasier; SEPIA.k 141 apres avoir, mange",iA est fatigwf; es, alimens lui re.~ -viq~nnent jusque dans la b'ouche. 395, Le soir, faim. excessive. 11 venit touj ours manger, et des qu' il y pense seulement, 1'eau lui vient 'a la, bouche. Sensation de vacuite' dans 1'esiomac. Yacuite" dans 1'estornac; cependant on e'prouve des nausees quand on pense at quelque chlose qu'on youdrait bien manger., Mal d'estomac serublable 'a celui que cause ]a f aimn. 4oo. IRapports apres avoir peu m ang6". B~eaucoup de rapports, apre's avoir mrnang6 et bu. Apris, avoir manage rapports d'air seulement..Apres le dejeuner, rapports arners.. Apre's avon' nmange, secheresse dans la bouche, avec ],an grue blanche et soif. 4o5". '. Jmmediatement apre~s le d'iner, mouvem ept d'e fie v re. La. digestion excit e de la chaleur et des, battemens de cceur, (au bout de trois jours). Chaleur an visage,' en. sortant de. table. Aussito't apre's avoir mange", la teate est comme en." treprise'; la -mo.indre coiffure y cause de la com. pressio 'n. Des 'alimens chiauds' excit'e'nt une sueur abondante a, ]a face. 41o. Irmmediate'rnen't apres avoir mange, ]a gorgre est comme at vif, et.1 ilo y epr-ouve coinme un, spasrne. Pare~sse, au sortir de table. Tou'x sehe, apres avoir mang6. A pi'es avoir mangapessin don~url se droite, Ip rofondement dans le bas-'ve'ntre (ensuitq aussi dans~ 142 DOCTRINE 1!0*O-EOPAT1ItIQtIJ.V lo co~te"drot), q'iti n~e Se faift sentir que. pendant kW mouivemens de cette partie, ains~i q'ue qiuanid o~n se penche en avant, et q'ui semble de'pendred'un h'dep ladetient de vents' (au. bout de s'ept heur'es). Apre's diner, gnflern'eiit dti ba's-vien'tre p ar des vetque de apports diminuent', et qy se.dssp 16- s61rsans emiksion de vents. 415. Apr~s` a'voi~r pris unf peh' de soupe, gonfleinent subit et considerable dui bas`-v'entr-e. Aprls le d'ine'r, rand gonflement dui venitre. Pression, "aIa region pre'cordiale (au. bout de trente heuipries). ionhI a rhgion. pr'ecor'diale' (a-i bout de deux j otirs). La nuit, pesanteuar &estomacý, trois nuits de sufite (aui bbut de douze jours). 420. Pression dans 1'es'toma'c, dp-res a'vo~ir manang et 6n Y toucharilt. Pression sur 1'estoma~c, comme s'i yavait un'e Pierr e-de s s-us. Forte pression. 'a Idregion precordiale, meme a jeun, qui atigh'"ient'e en man gean't dui pain. Pre'ssiin. dans 'elsto mnac, com'me s'il e'tait a" vif en La moindre pression sur ]a region storn-aca'le cau'se ifnie gtande 8`'dOj'ier 425. Pression A la re~gi on pre'ordi~ale, qu'u n Tou~ffiet inern 'e de fermen'tation vers e bas'dssp (Ml.i bou"t de frois heures' et dem'ie). Pesanteur d'estomac, dlepu'is le m'atin jdsq'uA'~une heure apr~s inidi. Le s'oir, pesanteur d'estom'ac, et, apres qu'elle a ce~sse, mal de ti'te. S]'PIA. 1113 Violefite Pression, ia ga~uche, sous les c6tes, qiise diss'ipe en chanta nt. Pression dechirante au-tour de la region precordw diale. 43o. Pesanteur dan's Iestornac, avec douleur sourd'e ui s'e"tend tout autour' duibas-ve6ntre. Douleur dans les muscles dui ventre, en se rdmu'ant, ]a nuit seulemnen~t. Dou -leur depuis le nombril j'u'.qu'au pubis, sensibib surtout au. toucher. Ai'de' brd'lanzte dan'S lestomac et la, 76g~ion: p're'cordiale.,Borborygrnes dans l'estoma'c. 435. Ela~ncem~ens dans la region pr'ecordia-le. Peits Mlanceme'ns, comme des coups d'6pirigle, &dns ]a re'gio n pre~ordialeS Elancemens, irnme'diateine'ht au dessous de la reýgion prekordiale, en. inspira'nt. Elaincemen t qui d ure' un'e minut e-, ]a r~egion des fausses Cotes grauches, vers la. region pre'cordiale, qi~rý des riPp~ofts a vide font cesser. Des d1ancemens se font sentir en travers du. yew.tre, sou,~ les hypo6con'dre-s, assez vifs pbur arri'acher Presq-ue de's &is (sur-le-charnp). 440o. De tem'ps en''temps, des an 'cemen opr tent en i''ay'o'hnant de la i,6gion superieurb dui *en-' tre au dessous de la re'ion piecordiaile, ien.remontantL obliquemient dans le cote gauche. El1,an ic'ernes dari5- os' deux co'tes de IA partie sup& -rietire dui ventr'e, en totissant. Ela'n'cernens en trav~rs, dans' le bas-ventire,' de droite 'a gauche, aussi rapides que l'e'clair (ani bout de trente-six jour's ) x44 DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. Vif elancement dans le c6t6 gauche du ventre.' Elancement qui dure une heure, dans le c6te du ventre; ensuite, difficult6 de respirer (au bout de vingt-trois jours). 445. Elancemens qui alternent avec des pincemens dans les intestins, par acces dont la duree est de dix minutes. Elancemens en travers du bas-ventre, immediatement au dessus des hanches. Elancemens de l'ombilic au pubis, en toussant. Douleur lancinante dans les muscles abdominaux du c6te droit, avec convulsions visibles. Elancemens dans l'aine. 45o. Elancemens, le matin, a travers P'aine gauche. Le soir, vif 61ancement, qui dure huit minutes, dans la region du foie, laquelle fut ensuite douloureuse au tougher, avec constipation. Sensation douloureuse," la region da foie, comme si quelque chose s'y trouvait a vif ( au bout de cinq heures). Elancdment sourd dans la region hepatique ( au bout de trois heures). Douleur dans le c6te droit du bas-ventre. 455. En allant en voiture sur un chemin raboteux, douleur simple dans le foie, immec4iatement au dessous de la derniere c6te, qui coupe ]a respiration (au bout de neuf jours). Sentiment de plVnitude dans la rgion du foie. Constriction violente dans la region du foie, que des rapports et des emissions de vents diminuent. Pression tiraillante dans la region du foie, le soi r. Douleur dechirante dans ]a region du foie. SEiPIA. 145 46o. Compression douloureuse dans le bas-ventre (au bout de cinq jours). Colique compressive dans le haut du ventre, 1'apres-midi. Colique compressive au baut du ventre, dans ]a matinee. Douleur ' la region, ombilicale, tres-sensible en toussant et en se baissant (au bout de quatre jours). Une heure apres un diner modere et apres une courte promenade au grand air, colique compressive dans le haut du ventre, qui est tendu. 465. Beaucoup de tension et de pression dans a" partie sup6rieure da ventre, que dirninue quelquefois un mouvement interne de fermentation; en meme temps, pression et elancement dans la region ombilicale. Pression dans le ventre, qui cesse apres qu'on a t h ' la selle. Sensation commed'un poids dans le ventre, quand on se remue. Depuis l'apres-midi jusqu'au moment de se coucher, douleur dans le ventre, a sa partie moyenne.; il semble y avoir la. une masse adherente; la douleur se porte en haut vers le soir, avec,' somnolence, et cependant le sujet ne peut pas s'endormir la nuit. Dans les deux cotes du bas-ventre, sensation donloureuse, comme s'il y avait l] quelque chose, de raide, uxi pieu, par exemple, qui rende la flexion du corps douloureuse on impossible (au bout de douze jours). 470. Pression dans le bas-ventre, "a gauche, sons P'ombilic, et quielquefois tout-a-fait dans le cOt6 gauche. lie. 10 146' i4G DOCTRINE HONQEOPATHIQUES Pression en avant,2 dans' le ba~s-ventre, au cot6 droit. Pression comme ondoyante du dedans, au debors, dans la region inguinale droite. En riant fort, pression dou'lo'ureuse ai I'endroit d'une hernie. Tension tiraillante dans, le bas ventre. 475. Le tuatin, tension du bas-ventre (au bout de deoux jours). Gonflement du bas-ventre (au bout de quelques 1heures). Le, bas-ventre est tr eS-gonflQ,.sans, q -t. ille A ]a BAallonn~ement p'efnible dui ventre, au mqins 1le, wir. Le soir surtout, ventre dur, gonfle"; les vaisseau4-x Q j4a, peau, dui en Ire sont gonfls a~ussi; e temps; doule'ur lancinante dans le bas-evetre. 480-, GQ~Qflenient douloureux du ventre. lorsqa'on va en voiture. -Gon flement fre'quen~t et dur dii ven. tre, av~c de',chirement dans les intestins. ID'abord gonflement consid erabl i a-entre.puis borborygmes et grand mouvement deda'ns. Le'soir'. deplacement de vents. et.argouillemen S; leS ven~tsý`circulent d~ans le ventre. 1Pr afl-a'nt au gyrand air, accumulation sur-Ie'cbatnp de, vent~sdans, le ven~tre. 485. -Violent d~chirernent en travers du bas-ventre, qui a lFair d'etre cause" par des vents, et que le mo u-vern. ent dissipe, en ine~me. temps, d6chirement- dans le t'esticule gauche.' Violente colicjue, remowiant~ jusqu'a' la poitrine, SEPIA. 1117 avec circulation dans le ventre de vents qtii ne-trou.-. vent pas d'issue (ani bout de quati e jours) Coliques, la nuiit, avec envies pressa ntes -d'ui'in er. C~oliques de'chiran tea, api'es minuit. Le matin, viol inte coliqes 4i,90.,Apz ii coliques ck~chirantes dans le bas,-ventre, conitinue.IIes et aussi par, 'cces Pin cementff'echiratnt dar~s lea intestins, aved anxie'*-e et genseescr esi, onl devait aller involoiqtairernent hi la sefle. Presque tous 1es ma~tins, tranche~es penpdant iinae heureJ en meme te'mp's, nause'es et malaise; 1eau -vint en abon d' an a bouche. Fre'quens pincernens dans- le bas-,ventre, san-s Pincemens dans le'bas-ventro, toute la jou rn~e, q4i r, eV ie n'rilen i tp'aarr'-a c c 's d ut 1a ntui it quart dlrhier avec une seule achle dure par jour; tirois joura de gifre' (au. bouit de quiarante-huit heures ) 1 4 ~iiorte' d6-s h, dahs1i bis tre (au Contraction spasmodlique dans, l- c6f6t `dmir 1f'di bas-ventre. Acce's f~n~sp~gad'1 ht i>dcn~c tion doulourei.ise..dansi:ýt,,eo t6 (Irait du ve" trýýt A Jar.ees&ý,tion, de cette dooLletini- au~tre~douileuiroonst~ictive violente 'a l'estomac, quii se fatisnit sentir,4nsui~to (qn~s Ia poitijn-e,,et.cwe des rapports dissipaient enfin.4 Vive colique quicbhige hacsophoyer le corps en deux (an. b~outcde trois jou.rs). Ardeur dans lc bas-ventire, en allant au grand air. 148 DOCTRINE HO1MOEOPATIIIQUE. 5o o. Douleui' bri'lante "a gauche, au. dessous de 1'omnbil ic.' En respirant profonde~nent, se nsation'de chale'ur et d'ardeur dans la' region lombaire (trenale). En marchant beaucouip, ardeur brd'ante dansý le" cote droit dui ventire. Chaleur briud ante dans'le flane d'."oit. Prurit voluptucu-x ~ 'a aine gauc'he', le soir," dans le lit, que le frottement rend isu p p~ortable, maisý qnte le chatoujilement excite par des 6ttotichem"ens, 1egers alvec, le bout des doigts, a paise promptemetnt. 5o5. Douleur da~ns le ventre, comme si les visceffes (afl't cou~SpePar petits [n orce'aux-. t'apv res-;midi, donle'ur da'ns le bals-ventre, M mie' si Y'on en arrachait les visceres. Rfernuernent et constriction dans'le 'ventre, avec ernission de 1)eaucoup de vents. d iRemnemeiit dans le, ventre avec un pen d -nausees. Agitation dans le ventr~e. 5 [0. Agitation dans le bas-ventre, comm~e s'ii al-laii' survenir de la diarrh~e, mais qu'une emission de ypts fait cesser.: BResonnement clans le bas-ven tre.,cxGargouilmernns bruya nscdans lIe ventre. j; iolemn te fermentation dan's le bas-ventre.;Borborygmfes, dans le ventre, Avec rapports- (aut 'lyout de deux jours). 515. Gargonoillement pen proDonc6 let rapide dan's la inoiti f gauche dui ventre, en haut. 'a-rgoni1iement sensible It lexterieur dan DS.]a moi.tief gauche dti bas-ventre, an dessus de ]a lhaudhe., SEPIA. 149 Borborygmes dans le ventre, quand on est couche (au bout de dix jours).. Tous les jours, borborygmes bruyans dans le c6t6 gauche du ventre, avec ]a mrnie sensation que s'il etait vide. Sensation de vacuit6 dans le bas-ventre. 520. Emission d'une grande quantit6 de vents f6 -tides (au bout de quinze jours). constrictionz douloureuse dans le rectum, qui s'e& tend jusque dans le vagin (au bout de six jours). Constriction douloureuse dans le rectum, et de ]Ia dans le pe'in~e et le vagin. Constriction douloureuse dans I'anus, qui remonte en avant dans le ventre, en allant ' ia selle. Fre'quente constriction douloureuse dans 1'anus. 525. Sensation de resserrement dans I'anus, qu'une lVgPi'e fermentation dans le ventre dissipe (an bout de trois heures ct demie). Tension doulou'euse dans 1'anus (dans le rectum) (an bout de quatre jours). Tension ' a'anus, aussitot apr~s avoir t6 a la selle. Tension 'a I'anus, avec sensation d'excoriation, quelquefois par acc~s. Douleur dans le rectum en allant "a la selle, et, long-temps apr~s, en s'asseyant (au bout de sept jourIs). 53o. Avant et pendant la sortie d'une selle dure, douleur enorme, comme de crampe, dans le rectum (au bout de quatre jours). Dans le rectum, douleur corume s'il etait h yif, qui se fait surtout sentir hors des momens, o Aron va 'a la selle, et qui ressemble ' celle que produirait 150 DOCTRINE II0M0EOPATHIQUEO un. efort pour provoquer la sortie de l'intestin; on Wprouve meme 4tant couche'; elle revient par acces, qui durent une heure; en M eme temps, he'morrho~idcs 1%la'I'nus, qui sont douloureuses quand on y touche. Le soir, dans le lit, sensation de faiblesse dans, le rectum, causant iine agitation qui empeche de dormir. Douleur de~hirante danis le rectum, en allant ii la ke11e, avec sortie d'un pen de sang (an bout de dixhuit jours). De'chiremens violens dans, l'anus (et le rectumn), ]a fluit. 5M3. Plusieurs edanceinens sourds, 1'un derrie're 1'autre, dans 1'anus. Apre's la selle du matin, ancemens dansl'anus, jusqu'apres, midi (au bout de sept jotirs). XYlancernens dans l'anus (au bout de huit jour4) Elancement lent dans 1'aine gauche, de bas en haut, en allant "a la selle. IElancemiens. et de'chirem~ens dans l'anus. 54o. De'ux 6lancernens dans Ie periniee, dirige's ver~ le rectum, &ant assis, le soir (an bout de o~nze jbU rs). Elancemens et prurit dans le rectuwm. PrUl'itclanZs le reciwn etl'anuts. Prurit "a 1'anus, rnme dans, la journee. "',irdeur danS l'anus. '545. Ardeur'dans 1'anus en. allan't 'a la selle (au bout 'de vjncrt-et-un jours). Chialeur bru'lante dans le rectum, a la fin 4'un~e selle'molle '(an bout de six jours>. Sensation' de gratternent dains 1anuis en illant ' a l sele Pr laps.'us Id u rectum (au bout deoquciqucs heuxres) SE~PIA. 131 Envpies d'alle~r a'li selle, PlP'aps-inidi, aussitd't apres avoir mangý (an. bout de cinq, douze jours). 55o. Apre's une selle convenable, i survint at 1'anus une he'morrhoilde qui suinta, sans douleur. En allant h la selle, les he'morrhoides du rectum deviennent tre~s-sai~llantes au dehors. En marchant, les he'morrhoildes internes sortent beaucoup. Les he'morrho'ldes internes sortent, et causent des deinangeaisons. Apre~s une bonne selle, douleur dans les he'mor-ii rhoides 'a I'anus (an bout de quatre jours). 555. Les he'morrhoides deviennent douloureuses (an. bout de deuxl'eures). Les he'morrhoides causent de ]a douleur en marchant (au bout de vingt-qnatre heures). He'morrhoides sans que les selles soient dures. Les he'morrhoides saignent en marchant (an. bout de vingt-quatre heures). Flux cle sang en allant a' la selle (an bout de onze, vin~gt jours). 56o. Pendant huit jours, on-rend du sang chaque fois qu'on va. 'a la selle. Ii sort beaucoup de rnucosite' sanguinolente apre~s la selle. On rend des ascarides. Avant la. selle, commencement de colique, qui semble produite par un de~placernent de vents, avec: gemissemens et soupirs. C.'oliques avant une selle re'gulire' (an. bout de quatre jours). 565. Apr~s avoir e't h la selle, vacnit6' et reIa'chewxent dans lo bas-ventre., 152 1 DOCTRINE I-IOATIOEOPATHIQIJE. Mfa! de tete apres une, selle en boujilie. Mal de vent'e, comme d'erosion interne, apre's une selle liquide (an. bout de quatorze jour's). Apre~s deux selles fermes dans la journ~e, grande faiblesse dans le bas-ventre, et de'faut total d'appe'tit. Les premiers jours, diarrhe'e. 570.-ILe lailt donne la. diarrhee. Les premiers jours, diarrheo epuisanto. Coliquos, avec fre'quentes sellos bilieusos. Diarrhe~o muqueuse, lo vontre e'tant gonfl6' (au. bout do vingt-quatro heures). IAu. bout de quelques jours,. selle dont la promiere partie est d tro, et lo reste mou..1 575. Envies continuelles d'allor "a la selle, ot chapie fois l'on rend pen de matie~res. Envies inutiles dWaller "a la sello;- ii ne sort quo des vents et des inucosit~s,' avecI sensation dans le rectum, comme s'iI s'y trouvait un corps e'tranger. ExpulSionz difficile des excrern ens, me~mo mous et minces (an. bout de v ingt jours). IDoux sellos par jour, et toujours avec un peu de tenesine. L'expnlsion des selles, qui no sont cepondant pag dures, oxige do grands efforts. 58o. La selie brUn~tro, quoiqno n'e~tant pas dure, ne pent e'tro expulsee qu.'avoc: de grands efforts, et n'olst pas copiouse. Los dorniers jours, los sollos deviennont dures, sonvent ine~mo rarronnees et insuffisantes. Solle duro, qui sort difficilemoent, parfois mke'l' do mucosite's. Selleddro, avec de'chirornons dans le rectnun. Los sept premniers jours, iti sort peu. d'urine. SEPIA. 153 585.Enviepressanted'uriner le matin, et cependant ii se passe quelques minutes avant que l'urine coule. Frequentes et fortes envies d'nriner. Le sujet est oblige d'uriier deux ou trois fois dans une heure; ii ressent de la pression sur la vessie, et cependant quelque temps se passe sans que lurine vienne; mais elle coule aussi sans douleur: quand ii veut se retenir, ii tprouve de l'anxiete" et un poids sur la vessie (au bout de quarante-huit heures). Sensation comme s'ii sortait des gouttes d'urine de la vessie, ce qui n'a pas lieu cependant. Apres deux heures de chaleur, de rougeur ct de bouffissure " la face, qui fut ensuite p'lepndant plusieurs heures, impossibilite d'urine'r, qui dura quatorze heures; ensuite, tons les quarts d'heure, envies pressantes d'expulser l'urine, qui ne sort chaque fois qu'en petite quantit6.; puis surviennent plusieurs acces pareils de suppression d'urine et d'envies d'uriner, dans le dernier desquels la suppression d'urine dure vingt-quatre heures (le premier jour). 590. Pen d'urine, avec beaucoup de soif (au bout 'de trois jours). La nuit, le sujet rave qn'il urine dans le vase; mais, en se r6veillant, ii tronve que l'urine a could dans le lit (au bout de dix-sept jours). I1 est oblige de se relever ]a nuit pour uriner, et ii en a envie toutes les fois qu'il se reveille; en rnerme temps, beaucoup de soif, mrme la nuit. Frequens besoins d'uriner (au bout de quatre jours). It rend beancoup plus d'urine qu'il n'a pris de boisson (au bout de trente-six jours). 595. Chaleur br lante dans 1'uretre. 154 i54 DOCTRINE H0OIOE0PATHIQUE. A4rdeur dans la pardte antdrieure de l'ur'tre (au bout de neuf, Vingot jours). Cuisson dans 1'ure~tre en urinant. Douleur cuisante clans la partie ante'rieure de l'uretre et aN son orifice, hors des momens oiiA1'on urine (au bout de treize heures). De'chiremexit cans ]a partie ante'rieure de 1'uretre. 6oo. Cuisson clans 1'uretre, en urinant, corn-me Prurit dans l'ure~tre. L'urine est d'un jaune tr es-pale, et ne depose aucnn sediment, me me au bout de vingOt- quat re he ures. L'uirine, apres e'tre restee en repos, devient troui.ble et f~tide, et laisse de'poser un sediment blan~c (ciu. premier au. quatrie'me jour). Urine ar-ec un se~dimenlt blanc abondant, et f6tide. 6o5. Urine rouge..de-sang L'urine de~pose du sang. Sortie de la liqueur prostatique capre's lurine (au bout de quarante-huit heures). Tiraillement rhumatismal, d'abord 'cans le testicule gauche, puis clans le droit, et an ssi dans la cuisse, le long du scrotum. De'chirernent dans, le testicule., 61o. Chaleuir cans le testicule. Sneur abondante aux parties ge'nitales,, Chez- un hamme (au bout de trois jours). Elan cemens clans la verge. Chaleur et prurit au gland, avec excoriation-,- du prepuce. Chaleixr au. gland, avec eruption. d'un rouge pa'de, qui cause quelquefois des dem angeai sons. 6 15. A la base du gland, suintement abondant d'un SEPIA@ 155 liquide puruplent, d'odeur aigre et sahe'e, accompagn6 4e prurit. Petits points rouges -au gland. Le Prepuce suppure et demange continuellement. Momns d'erections qu' a 1ordinaire* (les premniers jours), La nuit, erections coutinuelles (au bout de seize heures). 620. De'faut d'6'rections (au. bout de plusieursjours). Erections violentes et opinia'tres, Ia nuit. Apr es le coit et des pollutions, 6rections continiielles. Pollution la nuit, 'a la suite d'un rave voluptueux (au bout de douze heures). La nuit, pollution qui est plusieurs fois au mo.inent de s'effectuer, mais. que le re'veil empe'che chaque fois (au bout de vingt heures). 625. Ejaculation incomp1tke, dans un re've ero-. tique. Les pollutions cessent pendant 1effet const"1cnUtif. Apr'sý la pollution, paresse, lassitude-, gra~nde disposition ht ressentir 1'action de P'air hun-ide; en merne temps,, urine trouble, vertige et constipation. Apre's le co~lt,. anxie'te et agitation toute la Journe&a. eprs l ot iade faiblesse dans les genoux. -63o. Coit avec erection in~suffisante (ati bout de vin,,gt~j ours)., Colique, comme si. les! regles allaient,. venir (aa~ bouit de. quatre jours). Raideur. douloureuse dans Ie basý,-vent re, qui semlble avoir son siegoe "a ]a matrice. Coliqu~e.,, pressio~n du hiaut, en bas, dans la matrice, comme si elle allait toinber, et quig le a, respiru 156 i56 DOCTRINE IIOMOE-OPATHIQUE. tion; le femme est oblige'e de croiser les jambes, comme pour empechei' quelque chose de sortir du vagin; cependant, ii ne sort rien, sinon pen de flu eurs, blanches ge'Iatiniformes, (ani bout de dix, vingt heures). Les re~gles paraissent six jours trop to't (au bout de dix jours). 635. Les re'gles, avancent de deux jours. Apparition des re'gl es sept jours trop, tot (au bout de trois jours). Les r es paraissent qniatorze jours trop, tot (au. bout de quelques heures). Les re'gles avancent de plusieurs jours ( au bout de quarante-huit heures). Les re'gles paraissent huit jours, avant le terme, et coulent tre~s-peu, le matin seulement. 640. Quelqaes gouttes de sang sorten tpar le vagin, quinzze jours av~ant 1l'epoque (an, bout de huit jours). Sortie de sang par le Nvagin, seulement en marchant. Les re~gres supprime~es depuis quatre inois, reparaissedt ( an bout de dix-huit jonrs) Les re'gles, sup primees de~j'a depuis deux mois chez iine femmie Age'e, reparaissent an. bout de dix-huit jours; en Mmaie temps, tiraillemens des dents dans les jones, qui enflent un pen. Les re~gles, qni avalent deja cesse' depuis plusienrs mois chez une fernme tg~ee, reparurent encore une fois (an bout dex vingt jours). 645. Les riegles retardentcde trois mois (an bout de dix-neuf jours). sr,,PIA. jý 57 L~es, regles paraissent cinq jours plus tard, "a ]a pleine lune (au bout de vingt-deux jours). A ['apparition des regles, viole nte colique, qui fait tomber en syncope. Deux jours avant les re'gles, frisson par toutle corps,,_~pendant. toute ]a journee. Pendant les re~gles, la femme fut oblige'e de';rester cdeu~x jours ant lit, "a cause d,'agitation -dans le corps et de tiraill~grnens douloureux dans les jambes et le bas-ventre, avec borborygmes; le second ju, bat.. temens- de coeur-durant plusicurs heures,, dans I'a.pres-midi, avec asthme (au bout de neif jours). 65o. Pendant le'sre'gles, forte pyession au fr-ont, avec sortie de rnatie~res dures et fe"tides par le nez. Mal de dents, batteM~ent dlans ]a gencive, pendant les -riegles.. Pendant les re'gles, tiraillernens dansi'es dents, qui reinontent dans la joue. Pendant les re.gles, tirafillernens dans les dents qui se prolon gent dans ]a joue: celle-ci e'tait gonfle~e. Saignement de nez, trois soirees de suite, pendant les re'gles. 655.. Pendant les re'gles, beaucoup de~melan-colie, surto-ut le matin.J Excoriation et rougeur aux kevres de ]a vulve,''a perin-6e et' entre, les cuisses 2'en arrie Ire, Le matin, en sortant d'un re ve 7 convulsion dahs Ie's parties ge"nitales, qui rernonte le 'lonDg du vagin. Elancemens dlans le pudenduifn (au 'bout cle ttois jours). Toute's les trois et quatre seconde's, eIancemeint de hat itit h as clans le vag-ii,et, an bout d'uqat 158 i58 DOCTRINE flOMOEOPATHIQuE. d'heurc, un acc~s semb table (an bout de douze heures). (36o. Elancerneis dans la matrice, pendantl'Ncoulement de flueurs blanches (an bout de vingrt-cinq jours). Flueurs blanches-, avec prurit, dans le vagin (atf bout.de trois jours). Ecoulement de mucus sanguinolent par le vagin. Ecoulement jaunattre par le vagin ( an bout de 'vingt-quatre heures) Ecoulement par le vagin aussi clair que d-e leau (au bout de vingt-deux jours)l..665. Ecoulement palr le' vagin d' tin'mucus clair comm-e do 1'eau. Resp~i,ration. bruyante par lie nez. Mucuis nasal tres - visqueux (au bout de vingtquatre henres-)-. Le suijet mnouche iine peiiicule jaiune verda.tre ý boiwdee de saIn~g (an bout de quatre jours). Skcheresse, d~ans le neZ. 6-7o. La narine gauche est souvent trop sec-he', commne gonfke'e, sans coryza. cependant. Obstruction du nez; ii en sort du mnucus e 'n tJu'rci. Obstruction duit zez, pendant sept jours (an bout. de huit jours>Le nez est bouche' et Ia. respiration genee (ani bout deC onze jours). - Go -ryza. sec du co~te gauche du nezY tandis que le ACote' droit est Jibre. 675. Coryza sec (les p~remfiers jour~s). JFiolent coiyza sec (au bout de quatre et de six jours).tAe IYiolent coryza sec, avec bruissenient dans la I e Sý.Pu 159 et dans, les oreilles (au. bout de vingt-quatre heuires). Coryza sec, avec douleu r fourmillante dans le front' et les yeux; excitation continuelle 'a ]a toux, et fee'quente toux, sehe pendant le sornmeil, 'sans que'le, sujet se reveille. Sor'te de fle'vre catarrhalc, avec lassitude dans, les jamnbes, et tiraillement dans les bras. -68o. Coryza, trois jours de suite. Coryza, pendant plusieurs semnaines (au bout de sept jours). Coryza, dont le sujet n'avait encore jamai's eud'atteint-e; ii renifle, sans cesse. Coryza, avec selle diarrheique. Apr~s s'e'tre mouch6', n liquide jaune coedi nez, iavec douleur de'hiran te dans le front. 685'.'Coryza. fluent ( de suite) Eternuernent, avec coryza humide, "a Ia suite de fourmillernens dans le nez. YViolent coryza hiumide; le niez cloule continuelle. rnent, mnais, sans kternuement,'ni rnal de t~te, et aussi sans, plenitude d-ans le nez., Coryza hurnide in tense, avec grandes, Idiouleurs, dans 1'occiput et douletiws tiraillantes, dans, les, hanches, et les cuisses, pendant quinze'jotirs. Le matin,, pression, frequente dans, le larynix, ýcependantl sans douleur proprement dite. 690. Enrouemuent subit (au bout; de sept jours). Coryza hurnide et enrouement (aw bout-de quati'e jourls). Enroie'ment, qui empe'che de chanter. Enrouernent; on ne peut parler 'a voix haute,. Enrouemenit; en meme temps lassitude et filoid (au bout de quciques, heures). i, 6o, DOCTRINE HOAIOEOPATHIQUE. 695. E72zrOuernert, avec toux seche, produite par un chatoujileinent dans ]a gorgre (au bout de cinq iours). Sensatiolnde se'cheresse dans la trache'e-arte're ( au. bout de trois jours)..Toux se'he excite'e par un chatoujilement dans le larynx. Vers le matin,. chatonillement dans la. trache~e-arte're et toux se~che. Fourmillement dans la poitri.ne, qui excite vivemnent ýi tousser (au bout de quatre jours). 700. Toux spasmodique. Toux qui affecte beaucoup la poitrine et lFestornac. Toux se~che; toux stoniacale, qui part comnme dui bas-ventre, ou qui parait tenir s~oit 'a la constipation,,soit 'a quelque chose qui ne voudrait pas sortir de l'estoinac. Toux seche dans la, journee, qui oblige 'a se: concher, situation dans lacjuelle elle n'a point lieu; pas de toux non plus ]a nuit, mais coryza. sec. Avec toux seche, vomissement de liquide amer, le soir, dans le lit. 705. Toux, ]a plupart du temps le soir, dans le lit, avec vomissement. ]Naus6es en toussant; le suijet est pris de serrernent ~a la gorge, de chaleur et de sneur. Toux violente, avec peu d'ex~pecroration; le sujet vomit Presque toujours des matieres aineres, mais seulement le soir, qUanc l est couch6. Violente toux seche, avec e'lancemens (lans le co't6 droit de ]a poitrine. Toux fi-e~quento seche, bruy'ante, radante, avec sr"PTA. -I fir ~PPTAA X1 A douleur ]i a r6gion pr~cordiale, et sensation ~d.,,gratýtement, de douleur, daiis le larynx,. c~ormme s'il 6~t~wt at vif.; cette sensation, n'a pa.s lieu en avalant; ]a toux ne reveille pas,, inais, apr s e rVe elle est vio lente et continue'; souvent il~y a, un bruit st~ertorant dans la. trache'e-arte're, et de,,l'expeetoration muqpeuse. 71o. Acmlaindune grande quantit6' de mu.. cus aujlarynx, cju'il est difficile' d'amener au dehors par la tdux, mais qui descend ais~ment lans le pha-. rynx, par- I'effet de la d "glutition, M erpe en.ins p iran~t poonde'mený (au bout de vingtrquatre heures)., 'Apre's un raler muqueux sur la poitrine, topxviog-. le~nte, avec expectoration, la gorg~e causant Ia merne douleur que si elle etait at vif, et e~tan t, doulo urevase.. ensuite pen'dant plus d'une demi-heure. Sifflement et stertoratiori dan'sla poitrine,, Ia toux amenant peu d'expectoration. -BruitrAlan t darts la poitri~ne,, jusqu'& ce.qu Ia toux ait arrache' les. crachats. Mucosite's sur Ia-poitrine,- sanis beaucoup de toux et-sans asthine:,.' 7 15. Toux qui gratte dans la trach6eii.arte~re.J C'est g'n Fralemont lsIr, apr s lecouche, gue ]a toux est le plus forte. Ie'soir, prs s'tre mis g, lit, oxcut,~ lante, avec expectoration d'une, gr Ianfdei quantit6de! sang pur et- caillh6)i ne fois chaque miointe (au,bdut deifhait- jours), To'us les matins, crachemnent de sang, par-l'effet de Ia toux, gans dotileur de poiti-ine. La nuit, toux violentfe, pendant plhsieurs semaines, DOCTRINE HOMnIO"EOPATRIQUE. hpii' ~qe-fois'dure une heu~re, '-t 'ait rejeter beau - coup de maucosit~esb-lan, che~s., aiSdgst ail[s d'&YliYý t ai bu t dquatc-zejdurs) I 4Ito ve zi e 'lle li it! TO ý kA -'4d' e'ic'r'Ac 6a:`t a j3o ndans apres-riaiV seulement, de's qu'on se met. au lit,, et non ciai- h!s!Ift reus j-an'sr 14 peit pd d-&M At"t ýd a' eýVaw 6th~si' 1~"d6 hio Ua6it n 4 eldu i co a] aili seml e I1 pdirfi'stiueetijJ!L de Ia partiee sup hieu e.dihr~~ et jaunes'- eiA e itlu q1oie -sr cWt~~1sr leur dexcjaaletiion goit rde4 Q'ndI. J a toux n'r &6 Amn6ie point hde cr*ch1s9, e lmse, die platpasrte spe'ierer; Luanrespirationýdevý-Intpu;ote I 735. Rnespirtin outj(s4 1 Wa-~; ~ Asthrneavec des mucost~s fl4es sur aporie slýPIA. I~ La. respira,,tio-r-n n'est 'pas nette:, comme s'iI y 'ivait des mucosite's stir lapoitri~ne (ana bout.d6- vingf-sik jou'rs>ý Granlde coppr-essicxn de poitrin~e, r'esp-iratioiv ýfor'-m forus, oti f~qzet6e, a'ec ahondanscra'chats (puralens); le moindre, mouvernent c~up e"]a r'espi. k-alton,t boaLt dev'in-gt-'ro'is jouris). Oppilession de poitrine, matin'eCt oir,'i 74/o. Le sujet e~tant tranquillela' respirat'ion eari#ke. Beaucoup d'oppression, surtout eniim~archant. Respirat-ion corte, ent so Probaienant. ElW m-nalechant, respi'rati-on -ourte,6 comme si la poitrin~e etait pleine. Lanui reveitpar lD oppregssiionet l'I axiece; le sujet 6st ujne4 hluetie' nti~zrc A r~e spi1,ev a v e''p e'ine., ete' MIafnb, en s'61Veifllanit, it a encor!e u ti*peu dlope I ifn (acqU -bbout J o kx j 6or s 'e t d emi).i 745. Asthme, la nuit; le sujet reste assis Sur son lt1w, kttfe- peri ch~e en' a-vaiit; 'if, e"r~ouve deoIloppreSion; ii est oIb1Yý7de faive deOs in''pirofaoibr~s prafolieg p~cii~~peii~reh~ieiependativf ue oheure;'ensu ite toux et e4ynltI6qo 46' d& slfve glu~ante& (- u. oit d'e Asthime, avec batteinens de*a 'rc"uders d afec. Respiration plis difficile que courrt L~ ~ d -S 6 i1ttn V ejts~~tt~oied u, ave aehmhvioIt1e, pgd) ts6Nicj,6 ~ ~rs (~ bu ec 750.. Serimirent de pesanteur dans ]a poitrli n'e qt~i obi~ ~t~f~i7 desinsp at ~ '61p1f de, 's 164 t DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. Pression sur la partie superieure du sternum, comme slil s'y trouvait un poids. Plenitude dans la poitrine et constriction dans cette partie du corps, qui empeche de respirer. Le matin, la poitrine est comme serree par un lien (au bout de sept jours). Le 'soir, douleur sous les fausses cotes droites, qui coupe la respiration et empeche de faire le moindre mouvement. 755. Tension et pression sur la poitrine, plus h gauche qu'a' droite. Acces de tension dans la poitrine. Tension, comme a la suite d'un refroidissement, en arriere, sur les c6tes gauches. Pression en haut, dans le c6te gauche de la poitrine, vers 1'aisselle, qui se fait principalement sentir dans les fortes secousses de la respiration; en y touchant, 1'endroit cause la meme douleur qu'1 la suite d'un coup. Pression par saccades sur le c6t6 droit de la poitrine, que soulagent des rapports a vide. 760. Pression douloureuse sur les fausses c6tes gauches, sans y toucher et en y touchant. Pression douloureuse sur la poitrine, que certains mouvemens augmentent. Vive pression sur la poitrine, sensible me'me sans qu'on y touche. Jviolente pression clans la poitrine, le soir, au lit. Pression douloureuse sur les fausses c6tes gauches, qui ne se fait sentir qu'en marchant, et qu'on ne ressent ni quand on reste tranquille, ni en appuyant sur ]a partie. 765. Sensation de tiraillernent et de pression dans SEPIAS 165 le c6t6 droit, sur les fausses c6tes, qui se dirige d'avant en arriere, et que le mouvement et le frottement dissipent (au bout de vingt-huit heures). La poitrine est comme oppress6e et resserree; on y 6prouve des elancemens en faisant une inspiration profonde. Prurit sur ]a poitrine ( au bout de quatre jours). Elancemens dans le c6te droit de la poitrine et dans l'omoplate, en respirant et en toussant. Vers le soir, elancemens dans le c6te droit de la poitrine, en respirant, pendant cinq minutes. 77o. Elancemens dans le c6t6 droit, en allant au grand air. Le matin, apres un demi-sonrmneil, sensation d'&lancemens dans le c6te droit. Elancement qui dure une minute, dans ]a region de la derniere c6te droite, en allant vers ]a fossette du ceeur, et que des rapports font cesser. Elancement dans le cdte gauche de lapoitrine, en toussant (au bout de six jours). Elancemens dans le coeur, I'apris-midi (au bout de cinq jours). 775. Quelques 6lancemens at une crande profondeur dans la poitrine. Elancement court et aigu au c6te droit de la poitrine (au bout de quatre heures). Douleur lancinante dans le cotk 'droit de la poitrine, en expirant (ai bout de dix jours). A chaque inspiration, elancement des plus violens dans ]a poitrine; le sujet ne pouvait respirer qu'h peine; ii avait la tate entreprise ( au bout de cinq jours). Elancemens continus dans le c6t6 gauche de la poi. 'I/ DOCTRIN~E H0M0E0PATHIQTJE. trifle; cependant la respiration elle-meme se fait saris.doulear. 780.. Elancenmens dansutn des seins. Violente douleur d 'chirante dans les cktes inf& riew'es du, c6t6' droit. Sensation de pressi on defchiran te tout au bau t dt.ote gauche de La poitrine, prsde lariuaond I'epaule, qu'un violent rapport dimain~ue pour qulelque temnps, mais qui reparait bien t~tavec force. Toute Ia poitrine est doulonreuse. Douleur bru ante et d'excoriation "a Ia. partie sup&6 rtieure dii c e gauche de Ia poitrine, soit quand on y touche on non. '85. It semble que 1'int'rieur de ]a poitrine soit vif (an. bout de quinze jours).' Vive arde'ur dans le sternumi. Douleur cuisante dans le sternum, en buvant de Ia bie're., Boujillonneinent dui sang, qui afflue vers ]a poitrieconrn s'it allit survenir une h'moptyse Le matin, d'abord des battemens 'a Ia re'gion pre/cord~iale, puis tin bouleversement dan's Ia 1oitli-ine, simulant d-es batteniens de ccur, ensuite chaleurbriY. lanDte au cor~ps et "a ]a face, quoiqn'on ne remiarque a 1'extefrieur ni chialeur ni rougeur;- point de so if, maiý un pen de sueur. 790. Battemrens decceur et e'lancer-nens dans le coke' gauche de ],'I poitrin-e., Battemnens de coeur, le soir, qpi durent pen~dant pn qua4rt d'heiire. Battemens tumuitneux dui ccur, avec grande anxii-t6 et trem-blemien~t des doigts ýea des jambes,, SEPIA. 467,Quelq~ue pen de batternent dans le gz6te gau4h'e, de la poitrine (a otd ntsix ours) Douleur dans lscumrn (ubout de pincj, size jours'). f,7!5,.Doul-eup daps le sacrumn, en rarchant,1'ýpesmpidik.au,,bout de Cinq joQur~) Douleor -~,onmnede luixationi,;aljdes~Sus -de~ b=.!, &hes, dans Je-sacrurn 'p~-It di et l q0 ap on stcouk6(au bout de dq e ors). Yressio~n. tiraiiIlante, "a gauche,, le, 1qng..da -s.,pqim (au bout de vingt-huit heures),.. YVive pression,,souvent rep~be, sW le sgwnet un peu au des~sous de cet. os. Gargouilleni ens "a croite, le lonig dn sacr~umn 8'oo. Au desssdes Iianchabs,, TOhe~e&te qui ressemblent "a des darires. En p.-arrie~re, et au dessus de, Ja hqnche. ýdrjteq '1in' ce ~espresque c)ntnud,, ~dxtqa~ p~ la d o ueu r e m;phe deos e.c ufhe& ýu r lc6,t " 4r~o4 quand on touche h la partie, elle faiterprouve'r la mei. A Sepp ~ ionqe s de-tj cre,ep eans, Fre'quens e'1alnceinens, pegdrvnt quatr-e j~qurs,4r kýgpn~ jqu~~rgdroite J ýa d.QUlei q spoh se coucher sur le o te et la partie, quaJldon y toiqi4ce, cause la wn'me 'seixsatqoivq~ue si elle ed ait ulc~er. pesipjagdulowequsepýýar e&,in4dite. ment au dessus de la hanqhe dr&e u ppeq.dal,.q ~e~~in.p d., 49 et en mnrne temps tirailleinent rhuniatismanal 4.s4 -8 oq. Pesso a.edpj6i 8o. resi r u'Ciard ds Vpize di. os; 4Aw de tA'eizejq4) AJ Y 68 DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. Raideur en bas, dans le dos; le sujet a de la peine a se redresser (au bout de dix-neuf jours). Ilaideur dans le dos, qui se dissipe en marthant (au bout de quatre, douze jours). Le matin, en s',veillant, pesanteur dans le dos, comine si on ne pouvait pas se retourner ou se redresser, ou comme si l'on s'6tait couch6 b" faux, et qui ressemble presque 'a de 1'engourdissement. IJMal dans le dos, seulement lorsqu'on est assis. 81o. Douleur dans le dos, seulement en marchant, qui coupe ]a respiration. Tous les matins, douleur dans le dos, "a la partie sup6rieure, quand on s'etend avec un peu de force. Pression tiraillante pres de l'epine du dos, le long de 1'omoplate gauche, qui s'etend quelquefois jusque dans ]a nuque. Pressiontiraillante au dessous de l'omoplatedroite, tant6t sur le dos, tant6t davantage dans le c6to, qui se fait sentir surtout etant assis, quand on 'carte le bras du corps. Pression assez forte sur un petit point en haut, entre les deux omoplates. 8 v'5. Tension' douloureuse, vers le soir, dans 1'o. moplate gauche. Tension donloureuse entre-les omoplates. Tiraillemens entremeles de secousses, dans 1'omoplate (au bout de dix-neuf jours). D6chiremens dans l'omoplate gauche, comme a la suite d'un refi'oidissement ( au bout de quatre beures)' Tiraillemens entre les omoplates, et en haut dans. ia p-iotrine (an bout de vingt-trois jours)} 820. Elancement dans 1'omoplate ga'uche. SEPIA@ 169 Elancemens entre les onaopiates (an bout de vingtcjuatre jours). Petite douleur lancinante, de Pomoplate au cote droit du dos, en descendant le long des c6tes, qui se fait sentir "a chaque inspiration, ne dure pas plus qu'elle, et continue dans toutes les situations, mais seulenent est moindre pendant la marche an grand air. Petits 6iancemens dans l'omopiate, s'etendant aussi jusque dans le cot6 et dans un des seins, qui ne se font sentir que quand on est assis on quand on marche vite, mais qui diminuent lorsqu'on marche moderement et quand on appuie sur l'endroit douloureux ( la plupart du temps le soir et l'apr~smidi). Douleur bri'iante et constrictive autour des epaules, de. la poitrine et du con, le soir. 825. Tiraillement resserrant dans l'epaule droite et dans tout le cote correspondant. Douleur compressive de luxation, immediatement au dessous de l'articulation de P'fpaule gauche, dans le dos. Tension et tirailletitent dans l'articulation de 1'&. paule gauche, qui disparait eri remuant le bras de ce cot6 (an bout de trente-trois heures). Dechirement dans l'articulation de 1'lpaule gauche et autour. I Violente douleur dans l'articulation de 1'6paule, en soulevant un faible poids, on meme en levant le coude; elle ressemble a une pression sensible, et s'acconpagne d'nn tremblement des mains. 83o. Donleur assez vive pour faire crier, dans l'articulation de l'6paule, comme si on l'arrachait; des 179 DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. -rapports abondans la calment pour u.n quart d'heure. Douletur tiraillante dans larticulation dq 1'e'pauke (le matin, dans le, lit, qul disparait pne heure opres le lever). Serremnent et tirailiement sur I'epaule, dans l'6tatl d~e repos, Grande douleur dans his deux auies. La nuit, pression sur 1'6'paule, quii etait cornie, engourdie le.t 1tx~ee 8354 Convulsion dan-s 1'6paule et le bras gauches. TihraiIlernens et e'lancernens dians la nuque, wnne'-We en restant tranqui lie, qui coupe Ia respirationd,Raideur de la nuquie ( au bout de quarmote-hu0it, heures). Sensation cornme de gonflernent dans la nuquied. Eruption pruriteuse 'a la nuque-. 84o. Ardeur chatoujileuse dans l'aisselle droite.' Pmruit, dans 1ks aisselles. Gonflement des glan des axillaires. En portant ile bras droit.en arri6-re, dolfleur "'Ia] te'te de 1'umnerus, au ten~do~n du muiscle.pectoraI; 1'endroit est douloureux aussi an toucher. Senisation dans le bras, co.mine -s'iI etait raibe, 0ex&anguw;.et froid,) sans qui'iI paraissefroi4 'ai'ext~riaur, quand on y touiche. 845. Les bra8sosnt tr s's, tils eDgourdiss.ent dans e'~tat de repos. Sesatio' de paralysie et exis'u-itpe batternent ýdans le bras. A 1'exteri~eur des deux hras, irmmedia'emen~t anL dessous de I'ais~selle, ardeur A la peaui.,,com,:u-ne.,&i un f sicatoir onie aii y pren. re;(au bout de.;d~i Ves ires)..oia at e SEPIA. 1171 D~oulg 1ur fourrniilante.,,fre'missante,d&ansicsximus'-0 dces, dui bras, que le mouv'eient et Pactio~n de se bais. seraugmentent, mais qui diminue quand on reste~a5s~is,et qtian4 on est coup,6 d~ans le lit; elle s'-et.enci jus-,qu' aJ'articulation de 1'e.p~aule, et pro~ciuit qnel~que agý. tatiori dans le bras;pnant troisjur(abotd vingt--quIatire hemines).. Tiraillemens dans les bras, qui des~cenden'tjus~qqw -daiais les doigis (ani bout de vingt-.quatr~e heures). 85o. Convvulsions daus les muscles dii bras. Forte douleur de brisure dans le bras gauch~e. Douleur cornmeI de brisure dans'le bras driit,, rneme en le remuant. Un~e grosse pu-stule auxdtieux bras, qui icause de vives, denangeaisons., De'chirernent dan~s le bras gauche,ý surun petit point, au dessus dAu couide. 855. Prurit dans, le ph du bras. Les bras sont conme tropco-urts -dans le's co~ndes; on y epvwive die ]a tenbmio~n. Elanceernes dans' les articuilations, des gowjies. Au~coude, aches, bi'u.es, grandescoinmt e dasntilles, entoure'es d'une peau comme dartreuse. Douler cQm. pressiv~e d~chirante F lavant.-Iaas gauche, tout pre's dui ph dui bras. -96,o, Crainpe cdanis-avant-bras, (en marchant)., Tressailiem~ent dans l1es avant-bras., Gotfilemen t rouge 'a1'avant-bras, qui cause la rnmem tioulear..que quand on appuie sur un abces. Douleur tiraillante, dclirante, A la partie inf&,, i'ur de l'avant-bras (an bout de' treize heures). De~chirement tantot dans, I'avant-brasgauche,Aanr5,~ le 4~,d ptpr's de 1artickluhaindi, ~ e 172 DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. 865. Tiraillemerit dechirant, du c6t6 externe de la main gauche jusque dans le coude, a travers l'avant-bras. Dechirement depuis le poignetjusqu'a l'aisselle; la douleur empeche presque de remuer le bras; quand 6n lelaisse pendant, ii devient bleu et raide; les douleurs sont plus fortes pendant le jour que la nuit et dans l'etat de repos. D6chiremens lancinans dans l'articulation du poignet gauche (au bout de cinq jours). Douleur tiraillante dans l'articulation du poignet droit. Dechiremens dans la main. 870. Quand on serre, ou porte quelque chose, la main devient comme engourdie. Faiblesse des muscles de la main. Convulsions visibles, avec douleurs lancinantes, dans les muscles du creux de la main. Froid glacial aux deux mains, dans une chambre chaude; un sentiment g6neral de froid se re'pand des mains par tout le corps. 11 parait se former une verrue au c6t6 interne de la main. 875. Exfoliation de la peau du creux des mains (une petite plaie an bout du doigt indicateur, qui 6tait fermee depuis quelques jours, recommence a saigner sans cause) (au bout de trois jours). A la partie infirieure de l'6minence thenar de la main droite, survient une tache arrondie, d'un rouge clair, de la grandeur d'un centime, qui cause des dBmangeaisons auxquelles on ne peut mettre fin en se grattant (le soir). Grosse ampoule sur le pouce droit, avec prurit, f SEPULS 1.73,Le potice est pioy6, immobile dans le creux de Ia main. 88o. D'ch-irernent dans la premier'e articulation dii pouce droit (au bout de quatre heures). Elan cemiens dans les articulations me'dianes des doigts. Tirailleme'ns.arthritiques dans les articulations des doigts'. Fourinillement "a l'extre'mite' du petit doigt _(au. bout de trois jours). Petits OJancemeiis, vifs, semblables- "a des coups d'pingrle, "a l'extre'mite' du pouce gauche. 885. Chatoni'llement Presque douloureux sous lemilieu de l'oncdte du pouce droit (a ou etrente h~eures)*., Chatlouullement presqu~e douloure'ux sous I'ongle du doigt indicateur gauche. De'chirement sous l'ongle -du doigt indic ateur droit. (au bout cle cinq heures). Pana~ris au doigt indicateur gauche (an bout de vingt-trois jours).,.Le doigt indicateur est tout-a"-fait courb6 en- de-. dans, d es le matin; on -ne peut I'6tendre..890.. Dchirement dans Ia premiiere.phalange dii doigt indicateur droit. Pression tiraillante., par intervalles, an de'ssous de ]a hanche droite, et an dessus de la fesse., Tiraillement, depui~jIa hanche droite, I usqu'h la Plante dii pied, toute, lajo 'ne (ubu eht jours). Quand, on s'asseoit in peu, l-es jambes rwaidissent, et s'engvurcissent,;avec fouirmil lenient ded~ans. r74 DOCTRINE HOMOMOPATIIIQUE. Raid~eur des jambes, jusque dans l'articulationd la cuisse (au bout de dix-sept jours). 89'5. IRAid~eur. dans la jamnbe etlA. cuiss'e ga'uches, semblable ~t un enggourd'iss'ementd'oulo-ur'eux, qui s'ý.' tead 1 jngqne da~ns la plrdn'te duI p ied (Au bouif de Vingt-et-un jours). Dciuleur dans 1'articufationide ]a &ui'ss'esem-blable aune cram pe; le sujet est oblige' de marcher pour I ] h~fre ces-ser. Douleur dans 1'articulation de fa culiss'e d roi~te, eorm6rle S m' n xre 6tait briskeg e n~e se fiit sentir qu'en se emuchan-t-sUr Ic coter (au bout de qniinzef 1ioiilen~r d&s Farticulation de h- cuigs6, avec s56n-, sation de brisure et de fai~blesse, qui se pr'ononc'&e stwltount q'iqgand le sujet vetu1i se lever de- &6sqngsa chaise, ce qu'il ne peut faii-r'c s'a-n;s so etnfii' a qitcfqvie, geiiseet t, ve la inarche dimn-~ Pression de'chirante aui dessus'd~e la: ha'nched Aroite,' 900. Pression dans 1'articulation de,. facwissle-c~oie hnim-M~iat-etijen-f kv ven-t-e', qi augtiwe6ne apdn ipu, che. r'- tn~dans les fesses, qui perm et ai pei-6e de. s'asseoird' GCfN4im vvisi ble, tmais non doutloureie ckn2s, iuIrýe.fesme et fa cui~se (anx bout db.,h-ui t jourg) Les muscles postericurs, de la c u i sSe catsen t beau-0 coup de d~u~eiir en- s'asseyant., 905. Convulsidn d& Las en haut clans, Ja' jarn'be SIPIA. 175 gauhe,1'ar~srnii, tan asis (au bout delquatre En marcha nt, spas~me~ convuisif dan's les' muscle's d'.6 Mtrises. Convulsions dans lajambe gauche-. tiec'ireent dans Ia cuisse, d~'irote; n6nacha I'endroit e~tait doulouireux aus8si qu'ah -il o ptyi Tiraillement dans le~s cuisses, (au bout d-e q~if~aif 01 `'Donlevrr ti'a-iliante de& bas -en hautitda~s le-k t'b6dfieuri o~dln''ftoiore. qui a F'1'iP-d,'avcdi-'.sort silege dans ]a partie siiperieure' dre f6mP Cria5ý d& ks,1sciseen narCh-ant. ft E&~h6a afcanpe ctin s"esnitiusledsinteýrties de Ia cui'4s."d '. ~' ''es c~es~cuset'e'1e adotdew, quic~d dk!- touche,"''ifikne si 'e'les ar'aient etg roiue's d 0eLouet~ Pa cdfia~t n'y'rt&i.li-t def a tenio r 915. Tensio n Para] ti que, en marchant, din'-,T Id ~di~~e l&+t&Ahonfc6 i ný r Ae' d'`66`ife s, Elancement douloureux la~ns ]a cuisse gaili, En rnarchant, quelqiieý'1tri i-h*trt~,'d 'ha~d-,ris les, cuisses, qui privent tu-.ate tt~~dfie &ýii tec. h9qt-%fei.iara.Y:erit* en ",qu'vkpe sorte; le sujet a dans le me'me temps des frissonA.11`', Elancemensdchrnsan'Iacisgath pn DC4iI'tsT' V *4i'cdis6d`Z-1,ei scifr. '; apr stde ale S t ]rm DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. la nuit, pendant qu'on est au lit; on est oblige de se de'couvi'ir. Tension douloureuse clans le mollet. (au bout de quatorze jours). Enflui'e des deux jambes (au, bout de treize jours). G'onflement entre. le Op'rone6 et le mollet (an bout de treize jou'rs). L'enflure- des j ambes gag ne les' gen-oux, qu and on reste debout ou assis, et se dissipe en' ma~rchant. 955'. Crampes clans lesa mollets, ]a nuit (apr~s un tefrdidissen~ent). Pression douloureuse 'a la partie inf~rieure du* mollet dro'it, comme s'il altait survenir uneo crampe clans lie mollet. La n ~uitau!it, crampe'violente danslenoet qvaand on allonge la jaftmbe, et le lendemain, do -uleti''r continuelle clans, le inollet, cornme s'il e~tait tr'o'p court~. Eruption de nornbreux boutons pruriteux. aux jrarnbes.ý.,Boutons pointus aux mollets, jusqu'aux genoux, qui causent de ]a demangeaison, et e'lancent clans le4s endr~oits oui;,lesvtemens, appuyent dessu s. 96o, A L1a partie inf~rieure de ]a jamube droite,, vif 4iQpncqm.ent chatoujileux ( au. bout- de vingt-sept Pression clans l'articulation d u pied gauche, comme 4,Jg chaussure e6tait trop e'troite. Douleur. en marchant, coitnne si les tendons de l'aticula~tion des pieds 6taient trop courts. Tension.clans le phi de 1'articulation. du pied, co~rnrn~e. s'il.tait trop court, en marchant (les premiers jours). SE-PIA. 179 En marchant an grand air, douleur dans ie pied, coinme si tin tendon avait tressaut6 anudssus dd la che-ville. 96,5. En-fl ure- des jambes- (an bout de vingt-;8ept jours). DWs le matin, pesanteur dan-s les jambes, jusqu'aux genoux. En se tenanft e debut, fourrillem-en t da' -9les pieds. Sorte d& brtjIissomernetf da'ns les pieds (an bout de quatre jours). Eu~g:6urdis'se'ment da pied droit (an. bout de deuLx jours). Eo Itant assfr6--quent engouiitdissernent des pieds,, surtout le rnatiii. tbechfir~ein'ent', tou't-at-fait ai la. partie-i nf6riaeure, dans le pied droit ( an bout de onze heures). Le.s jambes suent tellenyient, (lans le jour, que la sueur traverse deux paires de calecons. Sneur des pieds. Sueur abondante des pieds, d'odeur insuipportable, et qui excorie les orteils. 975. Ardeur dans les pieds, la nuit'. L e* soir,.g-i'afdfirokIdaut' pieds, surtout dlans le lit, et,, qdaandil se paisse, froid, aux' mains.Froid g-lacial aux pieds, surtout le soir; on est loig'-teinps saris poupoir se rechaiuffer, clans le lit. Odeur' f6tide de's pieds, (cui son h-abitueliernent en, su~ar)6 Douleur lancinante dans la plante dti pie~d, qui perniet ai peine de m-archer;,[a'plante eft doixlu., reuse merne au toucherl. 180 DOCTRINE I{OMOEOPATIIIQ1JE. 980. Fourmillernent "a la plante des piedls et dou. leur. dans, les cors. Fourt-nillernent ou M'ancemens multiplie's 'a ] plante des pieds, et sous les orteils, plus quand on reste trancjuille que quand on marche ( an bout de quatre jours). Elancernens dans la plante du pied gauche, me~me en restant assis. Crarnpe de longue dure'e dans, les plantes des pieds, le soir, au lit. De'chirement dans, Ia plante du pied droit, pr~s de la base des oi'teils. 985. Prurit au co'Le interne de la plante du pied gauche. Elancernens dans le talon, Ianunit seulemnent (au bout de quaran te-et-u n jours). Elancemiens dans le talon et dans un cor, pendant le jour. Le soir, ene'tendant le pied, douleur spasmnodique lancinante dans, le, talon, cornme si les tendons 6t~aient trop, courts. Elancement et de~hirernent dans, le talon, le jour et la nuit, plus doulonreux pendant la mnarche que dans le repos; paletir et froid du talon, qui, en y touchant, paraissait engourdi. 990g. DWchirement (lans Ie petit orteil du pied droit. De'chirernent dans les, deux preinie'res articulations du gros orteil gauche. Pipession lancinante dans, le gros orteil gauche, plus sensible dans Ie repos que dans la ruarche. Sensation d'ardeur Ian Cinal)te "a l'extrermit6 di.i gros orteil gauche. Chatouilieernet 'a l'extre'rnite' du grros orteil divoit. SEPfI. 8j 995. Douleur dans le gr'as du gros orteil; sorte.de douleur oste'ocope. Douleur d'abord chatouilleuse,-ptis' cuisante, dans la premie're artictilation dwigros: oi'teil,ýgauche, qui se renouvelle souvent. La nuit, surtout quand estq-couchý suTi le -dos, dpuJeur' de'chirante dans les orteils,.qui sontxaouges au bout; le matin, en se levant,, la douleUr a. cisparu (au bout de qu'arante-et-un jours). Un ongle d'orteil de'formn' depuis 1o~ngrus a~inees en be par 1effet, de'la suppuratioa.(et. ak sa place jI en ien ti aure iencon forme'). D~ouleur cuisante et rongeante stir le~s orteils.. iooo. Crampe dans los orteils,,qtdso~prepkte pen". danytpusiours jours., Crampe dans le se~condl orteil. Douleur compressive et br~lan~te. dans tin 'cor, la chaussuro me'mo e~tant largre. Elanconenis dans los cors, Meme- qurnd, oR~ se Gient tranquille; eflancomons dodlans,,t faireo crie r,,, quand onles choqu~e contre un corp*Ati~r,,(aubou~t,.e quarante-huit houros). 4 flanrnmation dui core, ioo5. Les syrnptmes s'apaisent en alla'ntaugarand. ai,,pren~ant beaucoup d'exercice,fastdeare, tournant (I'equitation excepte'e) mais re~paraissent, p.~fre~quens eity us violens lorsu on roste assis tranquillement, le'rnatin et le' soiw. z'4raiglerent Cla72S toits leS, ienzein pesu sur-lechamp). be~rsu:TirpaiJlment. arthritique daos los genoax et les articulatio'ns des (loigts. 182 DOCTRINEH111HOMOFPATIIIQUE. Tiraillemensp'artout, surtout dans les os longs du bras. Douleur tiraillante, le'chirante, de bas en haut, dans les'bras et lets jambes, pendant toute la journ e mais seuilement lorsqu'on reste trancjuille, avec grande lassitude. roio. De'hiremnent da-ns~les genoux et les coudes (an bo'ut'de seize jours). Tiraille'mens et' dechirem-ens dans, un point de 14 peau qui avait ete6 mnalade autrefois. Elapcemns p1rlysans ch et la'; "a chaque e'Iance-. wentsuc~de pedan't quelques minutes., une immobilitef dans ]a partie. ConIvulsions e't elancemens ca' et ]a' dans le corps -(au bo'ut d'e cinq jours). Sensations convulsives ch et Il" dans le corps, meme dans ]a tl~te, "a droite et 'a gauche. ior 5. A~rde~ur' et- 61lahceinens dans les ulcres, Surtout la nuit. lUn endroit inialade se gonfle, devient chaud; et 'au-se- des douleurs- btu~lantes. Picotem'en s su'r toute la. peau, le soir, dans le lit', quand on y est e6chauff6.. La peau de tout le corps est douloureuse. au nioindre choc,. Toii tes les parties d u corps Sur lesqueplles on se coticheoiti's'asseo'itg font mal. 1020 ouer daný tous les membres, surto~ti ~ans les banches (au bout de exjor) Sensation douloureuse dans les j-ambes, les bras et les m~ains-. Gran-de propension des membres "a s'ongou~rdir, SEPIA. 183 memeý quand on se penche, qu'on' croi'se les jamb~e's,' qu on i~ve les bras, etc. 11 semble que la moindr-e' cause ~iffise potir toft' se donne- un'e- luxation, un&'e ýn'tboise-. Agritation par tout, le corps (au bout de'*ir~t'qqutre heures). '';oq Y.'Agitatio'n'dans les, membre-S`(au bout de six Anxie't6 dans, le~s rnme'mbres; onhe s' trou'e ` nulle part. Boujillonnement du* sang dans, 1e corps, endant ti'ois jou's, de suite (Au. bo'ut de ving6t-'sept jour-s)) Boujilonnernent de' sang;. afflux du sang ve-rs ITa poitin~e ~ itete (au 16tit de seize jours').ý 'On sent leecors, surI lebft~inens, 11 poull.dans, tout dand i tu 6 6 oute eh ofr~(ai16 de Sept jouis)."' io3o'. On ln a leoul dii ~le en eatt~rheDS alg s st corps, dans la~te'te edntoiis' f6vrýIe"s.m m' inbrs,iepur, et plus' encore ]a'nuit., 11 suffit d~uiOe tr~s-petite pro6n~ia 6'oy hxuf - fMP' bea'ucoup'(a'u botft?-de #roi~s jors).''H.Apt-4 la.promenade, violente douleur dan* ý f~'lYal.e f Ia~c anu 1b o titd'~eon"- ýq ju4ýl Cha le-urpa"sa 'Ie ' a" s)iiito- duinmovemen' pe ~Aii~sid~mob.e <h oefI i & AI. out duabpe it une l'epaifceeih ubese n~~~ ~~ daeq'n dneem u'i-mru A03ftSu3i1abEc'kc,5,1 mA c'a1zt 184 1)0CTRRNJE HOMoEOPAYLIIQUE. La pipe, dont on a Phabitude, ca~use de 1'anxiO~t6, 4e I'oppression,ý de ]a chaleur. Sensation d'une,, ternperature non ordinaire; on. 1'on, a trop froid, on lI'on e'prouve de.Ia. ch~aleur, qui degenere de suite en sucur. Les, mains,. eta nt glace'es, les pieds sont chauds, et vice versa: cependant ii y' a souvent aussi froid. glacae csdeux parties " Ia fois., Lesujet est tre's-sensible 'a1Fair froid. 10o4o.L'air froid lui est tre"s-contraire. Le vent froiddu<. nord luqi cause une impression, fort d6sagr'eable. Apre's avoir e'te',mpuilh$e,,,.tat. de refroidissement tout-a-fait extrao-rdinaire; violent froid f6brile; an but "de quelqu~es heuresccs, de syncope, et le( jour suivant, coryza. G1ra~nde disposition se. refroidir;.prsaorb un ve Irre d'eau,, froi'd 'norne, -et _dia.rlrh~ee muqueuse7, aqueuse, jusqu'au moment'de se coucher. 4prslroidre, ca~use de. refroidissement, de'hiremnent dans l'moncplate gauche.( au bout de trois, hpures). 1o45. Gonflemenqt du corps entier, de Ia. face', da bas-v~extr~e et des, bras, j suaxJpoignets, saps soif, avec respiration ti'es-,courte, pendant trois semaln~es-; fi~vre -tous les deux ou trois jours, avece, 4ternatives ~leioid et de ýt' a-d des heures.,inpdeernMiifee, Mn~e Ia ni 7~aJ,etu est accornpatgneea'nseu for aoiaIt~ (u bou eqaate-'liuit heures) Le soir, gonflement dans l'artictilation de Ia mia in, antpi phdn condo et an toujr de's, SJý;PI A. 185 le mhatin' 1'enflure avait disparu, mais les parties. etaient douleureuses au ltoucher., Eruption de, bou~tons pruiriteux aux articulations et* aux mains (au. bout de, deux jours). Prur~it. et eruption pr.uriteu~sp aux articulations,,. siirtout au pli du coude. et 'a l'articulation du pied, le soir et le natin, plus~que dans. la jo'urne'e (atu, bout de quelques hieures). Pru'rit dans des ul~c.res., I o5o. V~sicules et ampoules pruriteuses "a la face, aux mains et Sur leS pieds. Prurit a' la face,, aux bras, au.iX Mains, au dos, sur les Izanches, aux pieds, auz ventre et, au pubi~s (a'u bout d-0. deux, v-Ingt, Yincgt-trois, vingt-huit, jours ~ Le pruritse convertit,en ardeu~r. Le'piderme'se de'tache par plaques plus ou momns grandes,,, ]a plupai't dui tempts, arrondies,, surtout aux mains et aux doigts,. sans douie'ui'r( au bout de quelques jours) Apre's "me piqu~re d'abeille', ro ugeur e-t 6ruption. miliiaire, ý'ouge,,pruriteu'se, "Sur tout' le cbrps; inflamnmation des yeux, et su~eurs en. gouttes, au visage; le, toutitdans 1'.esp'ace de qu'ellq~ues minutes.: iiS55. A chjaque mouvemen~t-di corP-s4J, lsu'jet s~e trouive mal 'a son, aise, comme s'ii alaitv'vo mi~r, et si fati~gU6 qu'ilI est oblige' de s'e coacher., En allant au grand air, accu'miri~lati on de* vents sur-.Ie-chainp dans le ventre. Acce's: le matin',.en 5e promenant, ]a vine s'obscur-ý cit; le snjet est Mal hi son aise*i,'ii pr~ouve de la cha.leur depuis une he~uir6'pirs Fmi d i jusqU'h Six, ayec dýhireninens dans tous les'nmeinbres, au milieu de 186 DOCTRINE HO0MOEOPATHIQUE. nauisees continuelles; le soir, faiblesse jtisqu'a' ]a synom cope, avec me1an colie; 'tout affecte le s' n~fs et un rien cause de I'effroi; la nuit, 6mission dune immense quantite'd'e ve'nts tres-f~tides (au bout~de cjuatre jou'rs). Acce~: le mat in, apres Ia'p'rdmenade'jobscurcissemien't d-e Iavue, ~auses dadtpour les falimens; a-vantde m'noner, chaleur, avecdduleur's diarns tousles' rne~mbres; les- naus'ees conti-nuen't; le sujet est 1* de mal de te'te, et en socie'te'it se trouvq Si faible qu'il croit 'tre sur le point d&86 trouvrer mh~lýl m~oidre cho'se l'affete et Iui cause de la frAyeur.' Syncope en allant en voif'ture at son, aise. io6o. Spasmes, semblabl-es' 'a une fa ible sse nerveuse ui durent -des jours enDtiers, toute une se-: maine meme, avec pouls tant 0mo0ettan t~tspalsmodique. C'est dans le repos et 6ftant Couchefqti'onsyetrQUVe le mileux. Apre's'un&,promenade d'une heure, epiienn tel qu'on e'pr~ouve d~s nausees'et qu.'on n~e peat Plu's respirer; la trache'e-art'reseble )Ar rser~ jusqu'akl rgl'uprecordiaie. Fa'ibless e telle 4'iiu"o n se croit anl momrent de tomeh&er en' syn'cdpe (au bout dQsept jours). Le. rnatjn,~ade, assitude, avec a~itation 'dansle bas-v'erltre.' i o65. Da~ns lani~atin~e, '~ acci's de ~y~ncope (a4 bout de vingt-trois jours). Akcc~s de -vertige s em-bhiable "a celui d'un~e syncope, penda~nt deux heures; ]a respiratioin e~st exitr~wenjent coitirtei(anbout de Vingt-qnatre heures). Bri'sure des jamibes; touty fait mal,; les os merne sont ~ouloureux antoucher; cett'at fut d-i~ssp6 arla dan4ý SE PIA. 187 Les jamobes douloureuwes, comme si cules avaient Wt rou-6es de cou-ps; on aspire 'a s'asseoir, et une fois assis, on croit qu'on sera micux debout. Beau-coup de lassitude dans les jambes. JYO7o. Le soir, "a sept heures, grand accablement. Paresse du. corps et de I',espr Iit, avec quelque peu de difficult6 'a respirer (au bout-de lgiit jours'). Lk Fatigue extreme, avec respiration. courte, cotirme dans une fievre continue. Pesante~ut' dans tous les membres. Pesanteur dans lesjaznbes, en marchant. 107 5. En se pr-omenaut,.pesanteur dans 1es Jambes (au 1bout de queiques, h~eures). J4W~iL~d5 swq~t dan~s les geuoux. Paralysie subite d'une jarribe, pedrtdu eure, -apr~os I-qqtwll,,s etlj seý dismipe., L-e.bagliu1 capý ie ~t 'atquw d. p rlysQ Grande faiblesse (au bout dP. vingl-qua1tre h~uers%).10,8o, Lassituc~e tell-e qu'Q~n.ýst-qhlig do qou cher, avant midi (au. bout de 4g~ux hotures heures) Grande lassitude,, le, mat6n, s~ e, jayagnt 4-q li Peu, d'heure's apres s etreý leyQ,i, k pportapt, ~orte de detente gene'rale, et malaise. cvi fatt qu'on.airnerait mieux dormir que trgvailler. Le matin, en sortant du lit, sorte de syncope 'tel1p qu'on, est aumoment de tomber, avec absencae totale Wd~des, puis frissons,, chair de p~oule et ba'illemens,, pendant uine heure; la langue d'evie-nt tres-pAle, le Pouls faible et lent., -xo8'. Dans la soiree, apres avoit' peu dine", paresse,0 somnolence. 188 DOCTRINE HOMOB-OPATHIQUE. Sommeil plusieurs apre's-midi de suite (au bout de deux jours)..T A midi, envie de dormir extreme; apres-rnidi, le sujet est tre'-s-eveilke-. Grande envie de dormir dans la journ'e, et,.nauvaise humeur aj1'occasion de tout.,5omnnoleflce dans. lajouivze;,on s' endort ds qu'on est assis. 10o90. Etant assis, on se sent,,envi~e de dormir, et on s' endort en lisant.Dans la journe'e, grande, lassitude et envie de dormir, qui n'empe'ehe pas de bien dormir la nuit. Propension a' dormir, me41neda ns la matine'e; le sujet ýest oblige' de dormir une heure". Le soir, en'vie de dormir- de t'res-bonne heure; la te^te es, entrepri'se et comine serree (au bout, de soixante-et-.douz~e heures). A- midi et apres, beau coup de bati11eme'ns. en" revenant de ]a promenade. 1095. Beauc'oup de bdillemens e't de pan~diculations. Pandiculatio'ns'le matin,dans lelht. On reste 'v'eilIe tard dans la soire'e. L e-ýoir, on s'en'dort tard. Somineil qui vi'ent tres-tard (nbudequelue he~urps). 11100. Quand onne se couche pas de -tre's-bonne,heure le soir, on s'en~dort difficilement Qt on se reveille aussi de bonne heure. La nuit, on ne dort cjue depuis dix he~ures jusqu'a' quatre. L'agitation ne permet pas de s'endornair. I SEPTA. 189, 4 01. Le soir, agitation extreme dans le lit: on se re' veille de tre's-grand matin, Insomnie, la nuit, 'a cause des idees qu i se presentent en foule "a l'esprit. i i o5. Le sujet s'e'veille la nuit, vers une -heure; et ne pent plus ensuite se rend ormir. Pendant plusienrs semaines, sommeil a'gite, avec beaucoup de re'ves, et ne'essite' de se retourner sans, cesse (ensuite ' sommeil tranquille). Sommeil agrite, avec frequens re'veils, apre's minuit. Be'veilJrc~quent, la nuit, pendant un grand nombre de nuits (au bout de six jour8). Quoique le sommleil soit profond, multitude' de reves, qui sont tr es-vifs. i i j o. Le sujet dort tre's-peu ]a nuit, et les e~vefnemens de la journe~e lui reviennent vivemnent 'a l'esprit en songe. Sommneil interrompu par des songes, vifs et de~sagreables, (au. bout de seize heures). Le sujet reve beaucoup la nuit', et panle haut-en dormant. Il paile a' haute voix en dormiant. 11 gen-iit et se plaint la nuit, en dormant, sans se rappeler d'aucun re've de'sagre'able, quand it s'e'veille. jii15. Sommeil agite par un reve inquietant: le suj et appelle "a haute voix, frappe du pied,!&e've le bras, et, le rabaisse ensuite lentement. Songes, attristans et inquie'tans. La nuit,2 7'1-e inqzdi'tant; en se re'veillant, ii sem-. blait au sujet que quelque chose tomba't sun Ini et lui opprimait la poitrine; ensuite fourrnillement dans la poitrine, avec queiques e'lancemens. Reaves effrayans, Lt. nuit: le sujet erie en dormant. Igo DOCTRINE HOMOEOPATIIIQUE. Anxie't6 cause'e par 1'eff~roi, ]a nuit, qui ne petmet pas d~e rester an lit.. i 120o. Re'ves inquietans, qui chassent du lit (au bout de dix-'neuf jours). Le swjet se re'veille tout eff-rare' et en criant. La nuit, beaucoup d'anxie~te (an bouit de siitjours). Yers minuit, le sujet, baigne' de- sueuir, est prig d'une sort'e de syncope. pendant tin quart d'heure; in,'avait Pas perdu connai~ssgnce, mais ne pouvai-t ni par icr, ni remuer un doigt: dans le m~on-ient oi" la syncope etait le plus profonde, it Iui semblait re~vei' qu'iJ so' battait avec tin esprit; "a peine reventiý, ii fut pris d'une seconde syncope, Avec re've durant icquci ii croyait s?'~tre perdu- dans, un~e fore't. En s'endorm-ant, o Ronren esag -uEf-t fraie et oppresse. r112 5. Sommeil tres-agite' la nuit, 'a cause de reaves inquie~tans et d'unc grand e chaieurf de maniwe'r qu'ilt est impogsible- de rester cinq minutes tranquille (an. bout do sept jours). La nuit, grandlbouillonnement du San1gpar tdat le corpsf q,.ui cau~sede I'agitatidn.R, 'vei1 la. nuit par tne chale-ur anxieusc. La nuit,i chaleur et par suite agitation. LJe ni-atin ý eo, so reveill;ant, o~n a tre's-chaud., i 1 30. La nifit, chaleur f~brilc, avec re~vass~erieg i-nquie~tantes et suour "a Ia. tetc. Re~vasscries, hi nuit, soit qu'on, ne dorme, pas, Soit qc'Onis'assouPse Lorsqu'o-n ferme les yeux, la DmAt, an't 6vci~l6, une foule d'images, fan tastiques sel pr6sentent de suite k, I.sprit ' Mai&s elle, disparaissent dis qu?o~n ouvre les yeux. SEPIA. 191 Re~veiI "a ininuit avec froil, grande anxie't6, convuL. sio'ns et secousses spasmodiques da~ns les cuisses, la poitrine et les rnaichoires, pendant tine demP--heujre. Re'veil,. la nuit, par un~e vive anxie'te et des spas-mes dans le, ventre, puis dans la bouche, ]a poitrine et 1'ar-ticulation de ]a cuisse; en me^me tem.ps., battemens de coetir. v~I-io35. Re'veil en sursaut par la. frayeur, quand on s'est endorfli h midi. E-ffri "a pluIsieUrs rep rises, apre's S'etre en~dormi.. Spasme convuilsi'f'dans les jambes, en dormant'. Lai nuit, agiLtation extremne par tout le corps, qui n-e permet' pas d'e rester une minute en place, et obligrea) se retourner sans cesse; le sujet se trou'vait plus mal encore qnand iA fermait 1es yeu'x. 11, S'e"veillie la fluit, apre~s avoir peu 4 dorn~i ý, Ave-c tine ~ grndo gitaion, qu'iI' ui esgt impossribk de' reter' cob ch6 tranquull1emnent. Ii x4o-. Moe',il d'egrand maiizn, vers tri,ýzskeures, sans poiwoir ensuite Sk rendorri"r-. Le sujet se re'veille Ia nuit,ve, t wite heureý, et it n'e peutitPhis se ren'dormir. La nuit, pas de sommeil, sans tnal-aise,; senfekrnen t i~mpossibilite" de rester couche' tranquilvemeil-t (au bout de vingt jours). Les ntfits.a-gitation caus~e,Par d-eý,s shges- volup-. tu~ux iýt des e~rections. La nuit,, songes inquie'tans, dains lesquels ]a, per sonne craint d'etre viol6e (1a seconde nuit).,i114-5). Un~reve voluptueux,. avec pollution'. La nuit,, tiraillement et pression AlIa! region pr&m cordiaile (au bout de douze heures), Le suj et est re'veiI16 la unit, vers deux heures, par 192 DOCTRINE IHOIVOEOPATHJQUE. une violente colique dechirante, quelquefois aussi compressive; au dessus et autour de 1'ombilic, et par un tremblement, sensible a1'exterieur,' dans le coeni' (sans batterens de coeur), le pouls etant plein; en meme temps, nausees et vif sentiment de lassitude; acces qui se i'~pete ( sans coliques cependant) trois nuits de suite, avec grande se'cheresse dans ]a bouche. La nuit, engourdissement des bras, jusque dans les mains, douloureux surtout pendant le sejour an lit; raideur, et presque dechirement. La nuit, au milieu d'un sommeil souvent interrompu, douleurs au sacrum (au bout de douze jours). I 15o. Sommeil trouble par une toux frequente et des douleurs dans les jambes. La nuit, pendant le sommeil, grande douleur de brisure et 6pnisement dans les cuisses et les bras, qui ne se fait cependant sentir que pendant qu'on est assoupi; elle disparait au moment meme du reveil. Le matin, en s'eveillant, defaut de force dans les bras et les jambes (au bout (cl cinq jours.) Le matin, en s' veillant, sentiment de faiblesse qui va presque jusqu'a la naus6e. Long sommeil, qui ne restaure pas (au bout de vingt-trois jours.) xi55. Sommeil fatigant (au bout de quinze jours). Reveil tard; le sujet a de ]a peine 'a se eu'eiller, et ii prouve encore de ]a lassitude dans les membres. II est lourd, le matin, et r'a pas en vie de se lever. Le ma'tin, au sortir du lit, lassitude, commeapres tine fie~vre, alternant avec des fi-issons f6briles; la SE~PIA;' - 93 i~siaion est coui'te, comme dans le cas de chaleur interne, qui he' se fait cependant pas sentir. Le matin, en se r6veillant, gra'nde soWf. i[ I6o. Le sujet s'e'veille, le matinI avec'beaucoup de froid et de 1'agitation inte'rieure (au bout do vingt. quatre heures). Pouls lent, cinquante-six 'a cinquante-huit pulsations (au bout de trente-deux heures)..dbsence totale de la so~f, pendant onze jours. 'Etat f6brile, lassitude, urine chaude. Frissons, sans froid, plusieurs fois dans ]a journ~e. i 165. Toujours du frisson f6brile, pendant le reP0s accoutum6', "amidi..Froid continuel, le jour et la nuit, pendant pinsieurs jours, avec tranch6es. Froid et frissonneniens continuels. Fr~oid interne, toute la journe'e, pendant plusieurs jours, dans une chambre chaude. De temps en, termps, la nuit, du froid dans le lit. x 170. Froid le soir, vers six heures; le sujet est oblige' de so coucher. Froid violent, pendant une heure; 'et' apr'6s q~uil s'est dissipe', soif, vers le soir (au bout do trente-'six' heures), et le matin aussi (au bout de' quarante.. huit heures); le sujet ost oblige' de se coucher. Yers le soir, froid avec soif; la "nuit suivante, sucur. Fris'son jusqu'au moment do so mettre au lit; puis, dans le lit, chaleur At la face. A quatre heures doel'apre's-midi, pendant, tin'e demi-heure, fiissonne'inens et chaleur an front'.' i 17 5. Frisson f~brile,- qui dure jusque dans la nUlit, en alteiruant avec de la chaletw. lis 13 ý-94 DOCTRTNF, H031EOPATflIQIJEO Alterinativement challeur dans Ia.te'te, et, frissons dans les jambes (au bout de treize jours). Au milieu d'une chaleur f~brile entreme'lee de froid et d~e, frisson,.violent mal de tete, sorte de pesanteur dans le -front, "ala suite de lueurs pasgsageres devant les yeux, avec ch~ieur et pression dedans; en rn'me temps,ý nause~es. grande oppression, de poitrine, comme si le corps etait serre" par un lien, et,,que lPair ine pu' t 'point. entrer,, cependant sans respiration courte, depuis le matin, jusqu'au soir (aunbout de soixante-et-douze heures-). Chaleu'r presque continuelle du corps enti~er, avec rougeur de la face et sueur de lIa te'te et dui corps', violent mal. det~ete, battemens de ýcoeur et tren-b lement gen era1; apres Ia chaleur, froid-, engourdissernent des mains; pendant. quatre jours (au bout de. soixantee~t-do uze heures.) Souven-t dans fa june, es.poques.indaer rnine'es, levre interinittente;o chaleur, qui pe'netre le corps, avec sueur au visage, soif violen te et am-nertume dans Ia bouche; puis, froid par tout le, corps, "l a face, avec nausees,, envies de vomir et~mal de,te.,, Pres sion,,dans le. front, jusque dans kstsempes; pendant la. chaleur, vertige cornme si -on allait tornher. ij,8o. Violent froid, qui fait trembler pendant une heure; ensuite, for'te chaleur, puis sueur abondante, le s~oir;- urine brune, d'odeur.',cre (le premier jouar). Le matin, un peu de froid, ensuite, toute la~jourii.e, chaleur 't a 1-figure et aux, mains,9 avec paIeur de la face,.si oif et sans sueur.; dans Ia matinO, pesanteur d'estomac et, mal. de, ete en se baissant (au bout de six, ours).. S]-PIA. 195 Fie'vre; mal de tete, press~ion aux terpes,.par acces de quelques minutes, respiration courte, pendant ]a nuit:-Ie lendemain, lassitude dans les janbes., soif, defaut d'appktit, somnolence toute Ia journee, frisson f6brile, mal de gorge et gonflement des glandes sous la machoire. Chaleur f6brile, seche, continuelle, avec rougeur de ]a face et grande soif, difficult6 d'avaler, 6lancerens dans l'omoplate gauche, qui coupent la respiram tion, et dechiremens dans les bras et les jambes (au bout de treize jours ). Acce~s de chaleur passagere, comme Si on versait de l'eau chaude sur le corps, avec rougeur du visage, sueur par tout le corps, anxiet6, sans soif, mais avec secheresse dans la gorge. i 185. L'apres-ridi, pendant deux heures, chaleur dans le front et tiraillerent dans les cuisses, comme pendantun acces de fievre. Chaleur anxieuse, depuis quatr-e ' cinq heures du matin jusqu'I cinq ou six heures du soir. Pendant plusieurs jours de suite, acces de chaleur, depuis une heure apres midi jusqu'a six. Chaleur qui parcourt rapiderent le corps, dans Ia soiree (ensuite apparait le prurit). Les huit preinieres nuits, grande chaleur, pendant ]a premiere noiti6 de ]a nuit. I 190. Jour et nuit, transpiration continuelle. Ie soir, avant de s'endorinir, toujours une legeire sueur. Forte sueur7nocturne, qui inonde le corps, dn isoir au matin (au bout de sept jours). Le sujet sue beaucoup en dormant;, surtout de la tete. 196 196DOCTRINE HlOMEOPATHIQUP-0 Sueur' nocturne, de haut en bas, jusqiuh a' ]moiti6' des inollets. 1 195. La nuit, suew'fi'oide stir lapoitrine, le dos et les cuisses (au bout de trente-six heures et de six jours). Sueur, toutes les deux nuits. Tous le's matins, apr~s le reveil, ueur dans le lit, surtout aux janmbes. Suewzr le matin, ap-re~s le re~eil, qul baigne tout le corps. Le i-natin, apre's le re'veil, sueur qui continue, en quantite enorrne, pendant toute la journ6e, et qui fatiaue tellement, que le soir on ne pent se tenir sur ses jambes (an bout de treize jours). 1 200. Sueair- abondante, le matin (an bout de trois jours). Plusieurs matine'es de suite, sneur avec anxi't6". Lerge'e sueur inodore, le matin', pendant trois heures, sans lassitude ensuite; plusicurs jours de suite. La sueur a une odeur aigre ( au bout de trente jours) Sneur, aigr-elette, la nuit, pendant cinq jours (au bout de sept jours ). i 20 5. Grandle indiffi~ence pour tout, apattie ( an bout de six, sept, huit jours). Paresse d'esprit (au. bout de six journ). Nulle envie de travailler, inattention, distraction (au bout de six, sept jours). Mauvaise humetir et incapacit6 de rieni fair'e. Abattemnent, avec paresse d'esprit ( an bout de vingt-trois jour"s)' 1210o. Le s jet bh'm e tout I et ne v*ent tien de' ce S1EP1A. 197 que veulen t les autres; ii picnic Ct it a dc la chialeur au vistage. Me'lancolie, surtout le matin. Caracte~re f~cheux, comme 'a ]a suite. d'tin chiagrin secret. Le s,&j.et s'afftige pour des riens. Grande disposition 'a s'emporter (an. bout de neuf jours) x 210. Irritabilit6 excessive par tout le. cor'ps. Les nerfs sont tr~s-sensibles au. moindre bruit. Le son dui clavecin cause une impression fort desagreable, Grande disposition "a s'affecter, "a se touirmenter (au bout de vingt-qnatre heures)., Un rien suffit pour provoquer un violent a-cce~s de cohe're, avec tremblement (surtout des mains). 1!220. Sensibilit6' excessive ai la moindre occasion, acces de rag-e et de de'sespoir, avec hoquet; le suijet se jette stir son lit, et reste toute la jourvI'e sans, manger (imm6diateznent avant les. r~gles), CoIere, mauvaise humneur. Inquietude, soucis, avec mauvaise humeur. Acce's d'inqui6tude et d'anxi~t6". Anxie't6 effrayante par 'tout le corps (an bout de Vingrt-neufjours). 1225. Inqui6tnde, soucis, anxiet6, a% certaines, 6poques. Inquietude, le soi~r; le sujet devient tout rouge, et do temps en temps ii 6eprouve des bouff6es de chialeur. Grande. agitation inte~rieure, pendant phnsicurs j~ouvs, aVec impatience; on voudrait avoir termin6 de suite ce. qu'on entreprend,..Agitation?, morosit6, toute laý journec; Pendait' 193 DOCTRINE 1EOMOEOPATHIQUE. plusieurs jours, le sujet est en proie 'a des soIuV'enirs tristes; ii s'inquie'te, se tourmente, et n'a de patience pour rien. Mauvaise humeur, d6couragement. I 2.3o. De'go ut extreme de ]a vie, envie de se suicider (au. bout dIe vingt-quatre heures)., DO'couragrement total( au. bout de quelq'ues heu res ).I Grande diisposition a' s'effrayer, caracte're craintif. -Abattement, tristesse. Grande tristesse et acces fre'quens d'envies de pleu-. rer, qu' on peat peine r fprimer (au. bout de huit jours). 1235. Me'lancolie, surtout le matin. Envies de pleurer. Grande tristesse, avec lassitude extraordinaire (au bout d& queiques heures). Ide'es tristes "a 1'~gard de sa nialadie et de l'avenir. Tristesse "a l'occasion de sa sant6. 1240. Grande inquie~tude par rapport h sa sante6, et faiblesse extre^me (au. bout de six heures). Tristesse et gailt6 alternatives. Alternatives d'enviles de rire et de pleurer involont aires, sans disposition d'esprit qui y corresponde (au bout de deux jours). XIV. Silice (Silicca terra). 4pres avoir reduit dii cristal de roche en petits morceauxI en le r'ougissant et I'eteign'ant 'a plusieurs reprises dans de l'eau, 'ou apr~sý avoir lav6 dui sable pur et blanc avec di v~inaigre distille, on 'en' prend irn drnionequ'on m~e aec deux onces de soude effleurie; on fond le tout dans 'iti creuset de fer, jus SILIGE.199 qt''ce que l'effervescence ait compketement cess6, et, que hai masse soit a, l'6tat. de fonte tranquille, et limpide: on le ve'rse alors stir une plaque de marbriv. Le verre transparent qui: r'sulte de 1%. est mis dais, un vase en verre, avec quar fi on pis 'a distilli'e, Ct convert' av~ec une fenille de papier. Pe'n". dant que ]a dissolution. s'ope're, Ia silic'e' se -pre~cipite d'eIle-'meme', au 'fond- du vase, sous.1Ia forme-lA'une poudre blanche coin me' de -la' neige. Eille.'s'e sefpare a~insi d'e Ia soude, dont le p'rincipe caustiqe', mis en 6videnco par lafusion-iproduit, aveic,'i'dxigi~ne. de latýmosphe're ('et de, l'eau-?}-,' lacide ca~rb oique (i) qui ktait n~eessa'ire pour la- satu'rbr* et pou'r qil.ei1e laiss~t P1recipite R:lasilice. 'a-liqueir: lie' quorr-.d~cant est de Ia soude pure, dissoute dans l'eauv. Pour 6b-.. tenir Ia silice,'on emploie eA&Feaai~k e e-a;vec un pea d-LaIc.ool ý' a~fin.4u'eU-l se 'rassemfble' plus:aiseinen't.aa 'fond:dtixase. ' On Ia Whuit sur' un filtre,' qu"on: placaq ensuite ýtntre plusieur~s feujiles de' papier gris,ý charsgees'd'u-n -grand. poids, afin d e liii-On lever, son-bhumb.ý dit&,;',apr'es quoi on: la lis Ft~hr lair cudasn Ungande cette, tbrrie st "trait"' c~mme jel'ai~dit danisle chiapitore con sacre',. a% ap'rep ariatio ndes're m- edes an tipsor~iques., Laorsq ut'i[ a' 6tef reduit au nillionni emp deat6 d'att~nuation 'pulie'rul.nte o'n' prend un grain. * (i) f le. cidc4xistez-pas Wct fpr6eda~n le chawbon;iqi np,*,prqcbiu qupatn4de, pjpp %,wique Fis 6eidkence par la chialcur vpýie secom~bi~ne avec xig~n~e 4e L'ir oq decJeauii n'appartient done pas au c'arto'iý-cometel; c'est 'd oneor bitrairement et Mal k - t qu ': oiAieI o 'cd a' 200 I ~oO DOCTRINE H0MTOEOPATIIIQUES (le la poudre, qu'on dissout, et' dont on Porte ensuite successivernerit Ia dissoluijon ju'squ'a' ]a dteciIlionnie'me p~pissan ce.En effet, les dilutions au billi'oni~nime, aui triltionni~m e et au quadrillionnlieme produisent en~core des, effets beaucoup.trop violens pour qu'on pu~isse les appliqueraux usagses del'hornoeopathie.Celle au sextill~ionni~me seule commenc'e apouvoir etre emew ploy6e; mais elle ne convient que dans les cas le'gers d' maladies chroniques, et chez des suijets robustes, ' a ]adose d'un on, deurx globules de sucre qu'on en imbibe,. Dlans,, la gale -de velopp~ee A un haut degr6, 1,et d- 'edanls cas grav-e~sde''maladies 'Chroni-' ques,, et chez. des, sujets irritables,il -n'est pas prus" d-ent d,ý prendre, une autre dilution' que celleoan e. cdlfiennie'me. P.-ort~ee Ace de Agr6. de dilution, la,8silfice est u'n'des 'ndicamens an tipsriues les, plus "salutaires et les phis indispensables.,Son effica'citeisema~nifeste ý.articulie'remhent clans les -circonstances 6iu prepdominent les symnptomes suivans: vertige; de'faut de mernoire; a&Lection de. la 'te teC; us~erpar IU lecture et I'6criture; 6tourdissement,7 le soir, comrneclans, l'~tat- d'ivresse; rdotir'dis'sement de'la tote; chajeur' dang, la'tete; ma1,de Mtetealleint de la rntqueawavertex, qui n6,permnet pasde ddrmirlia unit; mal dt^MtejournalierydC hir rement, avec:ehaleu~r dans le front, durant-1a malinee; mcii de tate journalier, du matinau soir, pesante.ur,.1c Iomme si quelque chose allait sortir du front; ddou leibi t~iraillainte dans" la tte;-q-iia, boutit anifont ddueu dn& a ",Coný me 5 1 s~leali clater; 'x~a e t e psatif; mal df(e d'unse1' 6t 6, d 60chi,et Map ~ aantntlaux ye-ux e~t dan's jesOsde]afae*sueur, le soir, a' (4 Uete; cro'h* SILICV. 6 2011 mides et pi'uriteuses 'a ]a ta-'te; e'levations, tubercaleuses, au. CUir chevelti; chute des cheveux.;ger~ures at ]a peau de la faice; p~resbyopie; aveuglement au grand jour; tadies Tnoiss qui voltigent, der-ant. les yezlxr; vue voihee comme par un corps gris; arnaulm rose; 6iincelles de feu devant les yeux; faiblesse de la viie, telle que les, lettres se confondent ensemble en. lisant; pa'eur de la face en lisant; acces, d'ave~u. glernent,.subit, qui prive de la vue pendant quelpies minutes; larmnoiement desyeux au grand air.; cuisson'dans les yeux.-; suppuration desyeux, qui,coll~e les paupire~s; rougeur des yeux, avec dou. leurs. dans leurs angles; ophthalmie; bruit dans, les oreilles; obstruction des oreilles, qui se dissipe quel-. quefois avecbruit; duret.ede l'oui~e; douleur te'refbrante' dans les, oreilles; ancemens dii dedans au deho'rs d~ans les oreilles; saignem~nt de nez; sensation pe'ni-,ble de se'cheresse dans le nez,; defaut cl'odorat; e'rup-,tion de boutons'dans, le nez; gonflement osseux 'aI la iac~hoire inf6rieure; tirailleinens, et eIancemens la nu~it dans la ma'choire' inf6rieure; uilceration a' la partie. rouge de ]a Ievre inf~rieure; dartre aurnention;.gonflement des glandes sous-mnaxillaires; do-uleurs,tere'brantes, dans, les, dents; douleur de~chiraute da'ns; les dents et la joue entie're, jour et nuit; excor'iatio~n.de la langue:, dejaut, de, go't;- pre~sence con tinuelle de. mucus dans ]a bouche; rapports; rapports. syan~t le. goiit de ce, qu'on. a mangg;nas~es, le m a'tim;,nausees Con1tinuelles et vornissernent; nausefes,"Ia ] suite de tout inouvement quik6hauffe,; n'auseesapres, avoir 'mang6;, vomissement' toutes, les fois qui'on boil; tous, les, matin~s, naus~e es, avec mal de teate, et do'ule'ur,Okns ls yeux, quand on tourne ceux- ci; serreR~zrt ~O2 DOCTRINEIT{OMMOEP&~THQUE. dce gorge, avec friss~on; grande soif; r6pugnance pour tous les, alimens; aversion pou'r les alimens cuitsý; dd!god't pour la viande; 1'enfant de'daigne, le sein de sa nourrice, et vomit apre~s avoir tete';p'saniteur d'e.s. to'mac, quand on boit trop, vite; sensibilit doidbu" reuse de la negion p7recordlake lorsgu'onZ appuie dessus'; sensa tionz dou'loureuse a Ia regiionprecordiale, rneme apres avoir mange; pesanteur cI'est~inac, deft.P uis des anne~es; serrement de gorge,'suiv-i d yarn 'i'sP sement, apre~s cwoir mange quoi que ce solit; Pleni-i tude 'apre's avoir mange'; ten'sion et durete' d'u'vt tre (ckiez les enfans); ga'rgoulfl~e~ment dans le ventre' pendant les miouvernens'da cor'ps; d~placeernetde vi~ents; hernie inguin'ale doulouireuse; tranch~es;,coliques;, ddchioremens -dans le bcis-ven'tre, sans' diarrhile; mal de ventre, ave~c diar'rhee; plusieurs s61ells en boujiflie,dans la journie cn'stip'ation i_ý constipatioTI, seilles, qui retarde'nt;' con'stipation,- avec frecu Ientes et inutiles envies d'aller A la selle-; appý it ven4enr~ exce~ssif; re~glestr'op pe'u'Ao6ndan' tes'isuppression des regles pendant. plti-sie'urs mois; ecoulemnert de 'sang par ]a rnatrice", pendant I'alaitehimeit;fluer~s-blaizc/es, qui*1c'ouleiatpendan"t"que la kfrenm urine; fin'eurs blaniches c'omým~e du 1ait, pr~ce~d~e~sde' coliqucs A Ia 'reoion om bilicale; purit axPar ies,genitales; i~mpossibilit~ d'6tepne' ioq'n en ait "eve terrniemens sans fi cu tropfrequens; obs'tq-uction d/u nez, depul-s des annees; cqryza sec; coryza continuiel; frkcjens coryz'a hurnide; cory'z' flet u atcsser Sne obstiriton' c hro6ni q'*u'e des narin,es; enroueme1ntp asthne et respirati5 on'curten, dans I'eftat de repbs; respiration Co*u*rte' au my~oindr'e travail mecanique; respiration' courte, en ma'rctant STILICE. 9.03 vite; respiration baletante, en m-archant vite; sus-r pension de la respiration, quand on est couch6' sur le dos; suspension de la respiration, en se baissant; suspension de ]a respiration, en courant; suspension de Ia respiration, en toussant; toux avec expectoration purulente; toux avec crachats muqueux; tou x s-uffocante, ]a nuit;, crachernent de pus; opp~ression de poitrirw; oppression de poritririe, en tous'sant et eter-. nuant; pulsation dans le sternum; e'lancement dela poitr'ine dans le dos; Mancement an dessous, des fausses.co'tes gauches; douleurau sacrum-, sans qu'on y touche, et quand on y touche; tiraillement spaswmdique~idans le sacrum, qui-ne permet pas de se redr'esser et oblige ai se coucher; efIan~cemens dans le dos; d6chiremens dans le' dos;:douleur dans le trone, -comme si onl avait et roue; eIancemens-en sa'asseyant -et se cou chant, dans les lombes, an des'sus dui bas~sin; engourdissement des bras, en les, appuya'rit'sur 'une table, on. en se cou~hant c~sjus; douleur'd'engo~urdissement dans le bras sur" lequel'on' est con-. ch6'; etat comnme de paralysie et treinblement dui bras.dro'it au-moindre travail; douleur tiraillante dans le bras; de'chiremnent dans les bras; vernues au. bras; commecemet' de paralysie de 1'avant-bras, Ia main laissant -tom'ber involontairement, les objets qn.'elle devrai-t r~etenir,, 6lancemens. noc turngs da ns le pol-g-netq-',qi remontent jusquiau` bras; fourrhi"llernent dans les. doigts; ti rail le rp en~t et:.r aideur da.'ns" les jarnbes; pression dans les muscle"s''de'la'.cuiiise*, gonfleas nwent da ge~nou; douleni' -t-irafla'nte- dans les j~nibe's; engourd-14sement des nioiiets; en goirdis~semnten i1deos pieds, lia soir; crampe dans le mollet, Ile'soir, en' sor'tantde travailler; Mfancemens dans la chevilledu pied, en marchant;ftoidl aux pieds; s'ueur des pieds,; sup D-04 ~o4 DOCTRINE IIOMOE-OPATIHIQIJE. pression de Ia sueur des pieds, et froid aux -pieds,; odeur f~tide des pieds; enflure des 1)icds;' en grattant 16gcyerement une petite 6'tendue de Ia plante du pied, chatouillemen tvoluptueux sifort qu'il met le sujet hors de liii et le rend presque furieux; elancemens dans les cors; bouillonnement de-sang et soif apre's avoir bu un peu de vin.; grande disposition "a se donner des tours de reins; sueur, en mnarchant -6in peu; grande diSP ositiona' se refroidir quand on se de'couvre les pieds; frissons; ganglion; f~tidite6 des ulce~res; ulceres aux jambes, avec inauvais teint; ulc~e~ pruriteux h ] a -cuisse et " a Iacheville; 61ancemens, nocturnes dans tous les memnbres;# dechiremens dans les bras et les jambes; crampes dans les bras et les, jambes; engourdissement des membres; 6'tat comme;paralytique des merubres,ý le so-ir; brisure des membres, le soir; a sth6nie ge'nerale; disposition 'a la syncope en se. couchant sur le co'te; fre~quens b~iIle-" mens; difficult6 a s'endormir, le soir, dans son, lit; sommeil trop Ie~ger, la nuit, semblable "a u~n simple assoupissernent; beaucoup d~e re^ves et re'veil fre'quen t, ]a nuit; beaucoup de r6e'es, toutes les nuits; r4'ves.inqui'etans; convulsions du corps, la nuit$ en dorniant; re~vasseries, Ia nuit, avec reves inquie'tans; parler haut, en. dormant; sueur nocturne;- sueur abondante, aigre, l a. nuit; naauvaise humeur. Je n'ai troiuv6" que le sulfure de chaux qui ffi~t an-~ tidote de la silice. Flairer a* plusieurs reprises un petit flacon qui contient quelques grains de ce-sulfure en poudre, suffit deja ordinairernent pour cela; ii fautl Ic respirer une fois par heure tant qile-durent les accidens. Le. camphre ne calme que beaucoup momns. Vertige continuel dans la t Le, cornmne Si die con-, SiLICF~9.05 tenait un corps, allant et venant, me'me lorsqu'on est assis, et moins quand on, 'est couch6'. Vertige conside'rable; en marchant ii semble par-. fois que 1'on ne sache oii 1'on est, ou qu'on soit sur le point de tomber de c Ot6. Vertige avec nause'es et envies de vomir, serre-. rement de gorge, avec affiLix d'eau "a la bouche. Vertige, me~me en levant les yeux pour regarder en haut. 5. Les acc~s de vertigce semblent remon ter douloureusement du dos daris ]a nuque et la tete; on ne sait oIi1'on estet l1'on se croit sur le point de tomber "a la renver'se. Le matin, en sortant dui lit, d6marche chancelante. Fre'quemment des vertiges, seulement quand on est assis, et non en Imarchant, mais surtout lorsqi'on va en voiture, oii le sujet perd tout-h-cotip connaissance pendant inue minute, sans cependant qu'il lui passe auparavant* rien de noir devant, les yeux, comme dans d'autres espe~ces de vertige. Tons les matins, une derni-heure apres le. lever, mal de te'te pendant une ou deux heures; it semble. au sujet que tout tourne auLour de lui quand it. marche ou s'asseoit, et qu'il va tomber quand it se baisse., Vertige; de'marche non assure'e, chancelante. jio. La te~te est sio efton nee, si etourdie, qu'on craint toujours de tomber en se remniant on se baissant; la de'marche n'est point assure'e (pendant plusieurs semain es). Etonnieyneiit et sorte de stuipeur o (I he'be'tude; on ne peut trouver le mot prop~re, et on so troinpe prese. qu'a chaque parole (de suite). !%06 DOCTRINE H0MO1E0PATHIQUEO La tte est comme h'be't~e', sans douleur; ii semble que le sang s'y. porte en trop grande quautite' (au bout de six jours). On e'prouve des tinternens d'oreilles, et un te'l etonnement de la tete, qu'on se croit pret a totnber. De'faut de me'moire% oubli.,5. La tate est entreprise, avec sensation de brisure dans le corps (an bout de qua rante-huit heures). On est sans cesse comme ivre. La te'te est e'tonne'e, he'be ee (an bout de quatre jours). Affl-ux du sang vets la ae; battemiens dans le vertex et le front, avec pesanteur de tate. Pesanteuir de t~te. 20. 11 semble 'qu'on ne puissepas soutenir sa ft-tee Afflux. du sang vers la tenipe droite. Chaleuir dans la tete. En marcizant beauacoap, on.liearte dii pied; e'bi'alement dans le cervieau. Mal dc k~te danS le milieu daifront; s'ecius'Se cornpressive, frequerniment re'pe't~e, qal se renoiur-'dle danid on se retourne bras quement, quand on se baisse ýott qu'onparle (an bout de dix jours>. 25. Mal de tete, pressi~on dans le front, quand on' aq~ travailleA un pen. de tete (au bout de trois jUr) Pres-sio-n dan's Ia tte, avec lassitude dui corps. Mal de te'te; pression dans 1'occiput, qni disparait quand on.s'enveloppe la tete chaudement. Le soir, mal de tete gravatif an. vertex, jusque dans les yeux (an. bout de dix-hUit jours). Mal de lete; pression an front, depuis le m.atin jusqu'aU isoir. SILICE. 207 3o, Sensation de pression, c omme Isi l,'on avaiL un grand poids sur le front, au-dessus des yeux. Depui Is midi jusqu'au soir, pression. danis la tempe droite (au bo'ut de dix-neuf jours). Pression le matin, sur le nez. Tension dans, les yeux. et le front, avec lassitude(1a corps. I~ouleu.'r gravative dans le front, le matin, quel.. ques instans apre's le lever, pie le mouvement n'aug.. mente pas (au bout de douze jours). 35. Mal de te'te; pression., tension, sensation, de compression ou d'6cartement. Au sommet de la te'te, forte pression saccade'c dans le cerveau, par acc~s, qui durent une ýi deux minutes. Mal de te'te, comme si cc, qu'elle renfermnait allait sortir et. le crapre se fendre. Mal de tete depuis la. nuque: jusqu'au vertex, qui semble venir du dos (au' bout de vingt-et-un, jours). Sen-sation de'sagreable, comme si l'on avait dans la tete un corps vivant qui y reinue. 4o. Mal de te'te, te'rebration dans, le front, plusicurs, jo~urs de suite. Mal de te'te; dechirement, comme si Ia tete at.. lait s'ouvrir, et battement dedans, a partir du ver'-tex,! qui semble etre Ai Ia fois externie et interne; en rneme temps, sentiment de froid; le, sujet fut oblige" de se coucher, et pendant quatre heures, ii ne fit que,se retourner dans son lit; un rnouchoir s'erre' autour de la te'te l e soulagea. M~-J de, te toute la~june qui augmente le soir; ii se fait sentirdans Ie front, et sedirige vers lesosparie~taux; c'7est commne un de'chireineut, que le niouvement angmente (,au bout de treize jours). 208S DOCTRINE TArOVMO0PATF1IQttJE. Tous les apre~s-midi, d~chirement dans la partie ante"ri'eure de la te^te, depuis deux heures ju'squ'a' sept. L'apre's-midi, de'chiremens et e'lancemens dans la te"t e. 45. Iklancernens dans les tempes. Mal de tete lancinant dans le front (au. bout de quciques heures). Elancement dans, Ia te'te, avec beaucoup de tristesse et de mauvaise humeur (au bout de dix jours). Mal de te'te le matin; d'ancemens et battemens, dans, le front. Mal de tete; battement dans, le front, l'apre's-midi, pendant une heure. 5o. Mal de te'te; convulsion dans, le front, princito palenient ]a nuit. La te'te est sensible, comme a'pe'~s un violent mal de teate (an bout de dik-sept jours). La tete est exte'rieurement sensible an toucher. La coiffure cause une douleur tre~s-sensible sur les bosses parie'tales. Douleni' convulsive au Cote' droit de l'occiput. 55'. Frissonnement an cuir chevelu, comme si les cheveux se he'rissaient, mais sans froid. IPrurit 'a ]a peau de 1'occiput. 'Violent p'rUrit an c6t6 gauche de ]a tate (an bout de qtiatorze jours). 'Beaucoup de d6mangeaisons au cuiii chevelu. Les parties pruriteuses dn cuir chevelu. cuisent apres qu'on s'est gratt6'. 6o. Eruption de boutons pruriteux stir le cult' chev el ui. 'Tubercules pruiriteux stir ]a te'te et 'a ]a n ucue. Le front est corn eincegourdi et inoi-t. SILICE. 209 Chaleurdans la tete et dans les lobules des oreilles (au bout de huit jours). Chaleur et ardeur "a la face, pendant deux heures, apres s'e&re lave " l'eau froide. 65. lruption de boutons sur le front et sur le nez. Eruption de boutons au sourcil (an bout de six jours). Prurit aux sourcils. Chaleur dans les yeux(au bout de neufjours). Un ulce~re "a1'oeil gauche. 70. Gonflement "a la region de la glande lacrymale droite et du sac lacrymal (au bout de six jours). Les yeux sont colles par de la suppuration, le matin. Sensation dans l'cmil gauche, comme s'il etait plein d'eau, quoiqu'il ne le fiht pas. Beaucoup de chassie dans les angles internes des yeux. Les deuxyeeux suppurent ]a nuit, et les paupi~res cuisent, comme si elles etaient gercees. 75. Cuisson dans les angles des yeux, le matin, meme quand on n'est pas couch6. Cuisson dans les yeux. Dans les'deux yeux, spasme douloureux, qui les ferme " tel point qu'iI faut de grands efforts pour les ouvrir. Pression dans les paupie'res (an bout de huitjours). Pression dans les yeux, tous les jours, vers quatre heures du soir. 8o. Pression dans l'angle de l'oeil gauche. Independamnment d'une pression dans la paupie~re superieure, violens 6lancemens semblables a% ceux qui resulteraient de l'irnplantation d'une echarde, ce II. - 14 210 DOCTRIN1E TOMOEOPA&THIQUE. qui pri've de la. facult6' de voir'j pendant un dlerni quart d'heure (au bout de quatre jours). Tressaillement des paupie~res( au bout de dix jours). Larmoiement dans les angles externes des yeux. Les yeux pleurent et sont comme vo-iles. 85. Acce's d'a~veuglement au grand jour; ii y a des mnomens, oiu 'on ne voit pas du tout. Prurit ai Ia paupiere superieure. C elrumen humide en abondance (au bout de neuf jourls). Pi'ur'it aux oreilles externes. Crocites derrie~re les, oreilles. 90. ~ouleur d'chirante, convulsive, dans IFos, derrie~re 1'oreille. L'oreille est comme bouche~e ( au bout de huit jours ). Pression douloureuse dans, le conduit auditif. Tiraillement semblable "ai une crampe dans 1'o. M'ille d;'oite (au bout de vingi-quatro heu'res). Gargouillemens dans l'oreille droite. 95. Douleur convulsive dans 1'oreille gauche., Gargouillement irregulier dans, 1'oreille droite, comme si le tympan e~tait frappe" par queique chose qui tremble dans la 'te'te, et qui cause de 1'anxi~te'. Battement. regulier et mesure' dans, 1'oreille gauche. Battement dans 1'oreille droite. Battement dansl'oreille sur laquelle on s'est couche' ]a nuit., 100o. Sensation dans 1'oreille droite, coin me s'il s'y trouvait- un corps e"tranger, avec bourdonnement sourd et duret6" do Pi'oie, pendant quatre jours, surtout le matin, en se levant (au bou~t de cinq jour.3). l~iou'donn ein e-n-id'orei~lel,3s seniblable 'a un bruit de cloches, si fort qu'il ne permet pas d'e' rester cc che" la milt, et qu'iI oblige at se relever tous les quarts d'heure (4 Li bo6Ut d e ci nq j o nrs). Bruiss'ement conside~rable dans l'oreille' droite (au bout de trente-six, heures'). SSen~ibili te' extreme au bruit, pouss6 meme jusqu' a causer de 1'effroi. Tom~factio'n dure de I'a parotide, 'a un demi-pouce au. dessous d( 1'oreille, des deux cokt's du cou, qui ica'use une raideur douloureuse quand on remue ]a tete et qtiand on y tojiche. io5. Douleur de brisure dans I'articullation de la mathoire, au devan't de 1'oreille gauchie, en marchant e~t en r touchant. 1'riirit'dans''la barbe. Saignement de nez (les premiers jours). Saignement de nez, abondant (au bout de vingrt heures). On mouche du mucus sanguinolent. i o. Des gouttes d e sangy tombent parfois da, nez, seulernent quand on se baisse. S~cheresse. du nezJ, et e~coulement de sang quand on y enfouce le doigt., 11 s'6coule du nez (sans coryza cepenidant) beau,.! coup d'eau 'acre, qui en rend 1'inie'rieur et les narineas excori6s et saign ans; une odeur de sang ou de viande f ralche s'exhalait du n~ez; pendant cinq jours (Au bout dle queiques hieures). Pendant. deux jours,- douleur ulce"rative 'dansý une des c'avit'ps nasaes, qui s'."tend en rayonnant jusque clans le cerveau, et produit tin naklde tkte pulsatif dans le front; le Jbout du D'ez, quaiid on y touchait, 212 DOCTRINE HOMOEOPATHIQ1YE. causait la, meme douleur que s'iI filit ulce~re en dedans (au bout de dix jours). A la, partie inf~rieure de ]a cloison nasale, endroit douloureux, qui Mlance quand on y touche (au. bout de quatre jours). i j 5. La. cloison du nez est douloureuse. CrolAlte causant une douleur cuisan te dans le fond de la, narine droite.I Prurit et cuisson- douloureux dans ]a gouttie're situ6e; derrie're l'aile du nez. Eruption de boutons sur le n ez (au bofut de six jours). Pre's du nez, sur la. joue, gros furoncle peu don.loureux (au bout de quelques jours). i 2o. De'hirement dans la. joue gauche (et plus tard aussi dans la droite), pendant quatre. heures, apres lequel les dents molaires gauches furent agace'es (an. bout de trois jours). De temps eni temps, destaches blanches sur lesjoues..du bord de la lk're supe'rieure, e'ruptio7z depustales, qui, lorsqu'on y touche, causent de petits J'ancernens ou une douleur semblable A celle d'une pa Irtie "a vif. ~.Eruption de bouton *s au' bord de lapartie rouge cde la &P're supdrieure, qui causent d'abord d/u prurit, et qui, ap7res s'ltre cow-'erts d'u17ze crozuite, ne. d~erý minent plus qu'?une doul-eur cuisante. Deux gros boutons sur ]a lkvre superieure. 1925. Croiuite pruriteuse sur le milieu de la, kw're sup6 -rieure, au. bord. de la. partie rouge (au. bout de seize jours). Ulc'rationz des coins de la bouclhe, avec sensation pruriteuse et'croiutes, pendant un grand nombre de jours (au bout de Vingt-quatre henres). SILICE. 213 Un bouton an bord de la partie r-ouge de la lVre inf1tienre, tkis-doulonrenx. Grand gonflement de la.hvre inf6rieure, pendant deux jours (au bout de dix-sept jours). Furoncle au menton, qui cause Une douleur lancinante quand on y touche (au bout de quatre jours). 13o. Eruption de boutons an unenton (an bout de six jours). Gonflement du c te droit des muscles du cou. Raideur d'un cote des muscles du cou; la douleur empeche de tourner la te'te (au bout de quarante-six heures). Au cbt6 gauche dii cou, pression, comme si les vaisseaux y etaient gonfles..Les glandes sous-maxillaires sont douloureuses au touchier, quoiqu'elles ne soient pas ttmifi'es 635. Gonflement des 6lanzdes du con (an bout de cinq, vingt-cinq jours). Elancemens dans les glandes du cou (an bout de quarante-quatre heures). Elancemens dans les glandes sous-m'axillaires gon. flees (au bout de troisjours). Gozy'lement de la glande sous-maxililaire gauche, douloureux au toucher, avec des douleurs tiraillan. tes dans cette glande, et mal de gorge en avalant, comme si le pharynx 6tait tumefie en dedans (au bout de vingt-quatre heures). Le cartilage thyro'ide se gonfle; l'endroit est pruriteux', mais des elancemens s'y font sentir, quand on y touche (an bout de vingt heures). i4o. GonflemOnt de Ia gencive; les boissons chau. des y causentde 1 ardeur, et en ma'chant on y eprouve la meme chaleur que si elle 6tait excoriee. 214 DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. Gonflern-ent inflammatoire douloureux de ]a gen- i cive (aui bout de six jours). Une dent molaire d'en bas cause de Ja douleur, comme Si itelletait trop longue., En mangeant, on ressent de la. douleur clan~s. ine dent incisive (an. bout d~e neuf jours). Tiraillemens dans les dents incisives inf6rie ures. 145. Mal de dents simple', continue'l, qui ipeAe en man aeant, mais n'est jamais plus vi~olent pi~e la nu~it, et ne permet pais de dormir, Mal de dents de'chirant, lancinAnt, dans un~e dent creuse, en man geant seulernent (an. bout'de dix jours), Mal de dents de'chirant, seulernent en mapogeant, et q'ui dure encore un quart d'heiire apr es. Violens npaux Oe dent~s; pression etsecousses aussi 'da'ns toute la matchoire in f~riepre, qui ne 1aiss~eptpas dormir la. nuilt. Mal'de dents lancinant, qui,n~e pqrmpit-pas 3e do~rrnir lanunit, avec chaleur daný la jouje; on pe peut rien. supporter de chaud dans. Ia b~ouche. i 5o. Mal de dents Ian cinant; on ne peut supporter ni le froidDni le chaud. danDs ]a bouche. Elancemens bri~dans dans, plusieurs dents, qui commen cent at se faire sentir, aprp q4 o ~mapg6, auirept 1t'plushat degr6 de yiolence ja pnu4, et soflt exasperes par IFair qu pn,.tred-anS la bou.. che; en. merne temps, chalpwr dans la t te, eta, e~ clans]a joue, $ensation sur la partie aniterieure de Ia. Ian gqeý, cornme s'iI sly trouvait un che~veu (au. bout evnt huit heures). Gonflem~ent de la m~oiti 'Aroit~e de I alIangaue, qu 11iifeSt cependant Pa~ doulourenrse (au boutd4e cinq jours). STILICV. 215 TUn uIce're an palais, qui s'6',ten'd jusqu'a' la gen.. cive (au bout de' treize jours). 155,,L'haleine est tre's-cha'ude (aui bout de treize jours). Allongement de la luette, avec s~cheresse dans la gorge. Se'cheresse continuelle dans la bouche (au-bout. de trente, heures). Se'cheresse, de la bouche et des, hwres.Abondance de salive dans, la bouche (au bout de j 6o. L'eau vient continueIlenment A, la bouche', et le sjuje~t crache be ucoup. Beaucoup de rpucosite~s dans 4a gorge, qn ouest Phlig6 d'arrache' a chaque instaint(aui bout &p yixngtMal de gorge, avec beaucoup de mucqosites dains hi g,,'e (au bou4 de quarante-huit heures). Mld gor~ge: sensation comme d'un ttiber6ule dpp~ la pa.gaucIhe'de Ia gorge, uiest ddt'u.reuse en -ayalant (au bout de quatre j ours).' -Le rpatin,'grattemneit dans la gorge, et le ''lsohV.on y eprouve de temps e'n temps des d1 ancemens. f 165. La gorge cause la. nieme clouleur Upe c v navale passait spr une partie a vif~ et" oil eprouve de ternps en temps des' elaficemexs.' 4rnerturne dans 1a gorge, qui semble vinir'd4& e's to0mac. Go"~ d'huile da'ns la bouche (au bout de. que1qque~ jours),.4cide dans la houcize, apres ar-oir-pris qu'oique ce Sbit (au bouLit de trois, de dix jours). Apres avoir pris des alirnens quelconques, rap-. .2 16 DOCTRINE JIOMOBOPATHIQUE. 'ports et acide;- ensuite it remonte de 1'estomac 'a la bouche un goIuit de'sagre'able qui dure jusqu'a' ce qu'on mange de nouveau. 1 70. Beaucoup de soif (au bout de cing jours). Soif extreme et se'cheresse de la, gorge (au. bout de dix j ours). Denfant absoin d'appe'tit (au bout de tr'ente heures). L'eau vient "a la. bouche, avec appe'tit, on ne saiL pourquoi. Appe'tit seulement pour les choses froides, crues. 175. Le sujet a uine grande faim,'et mange suffisainment, mais ii se~plaint de ce que la, partie, sup&' ricure de sa gorge est comme ferrnee. Douleur rongeante d'estomac, qu'une bouche'e de pain apaise, pendant un court espace de temps'. Faim, excessive. Le soir, faim; le suLjet mange beaucoup, sans cependant pouvoir se rassasier; mais, au. bout d'un quart d'heure, it e'prouve un sentiment de ple~nitude dans 1'estomac (au bout de quinze jours). Fr 'quens rapports "a vide (au bout de quarantehuit heures). 18o. liapports bruyans. Le mfatin, rapports acides et amers, comme si Iles.tomac e~taiat malacle. Soda, apres avoir niang6" quoi que ce soit; ardeur qwi~-remonte de l'esto~nac; l'eau vient en abon'dance a& ]a bouche, et it faut cracher beaucoup (au. bout de sept, vmngt jours). Nause'es fre'qtientes, sans voin isseme~t.tnt, mme le ma tin, a jeun, qui semblent. avoir leur siege ]i a gion precordiale; cependant le sujet a do 1'ajpptit, et SILICE. 217 les alimens lui semnblent bons (au bout de vingt jours) Le miatin, nause'es qui, se dissipent bient 0t; mais cnsuite, lassitude soudaine et froid jusqu'a midi. 18 5. En fumant dui tabac, le sujet est pris tout "a coup de syncope, de nause'es et de trernblement. Naus ees qui ont l'air de veni r du bas-ventre, mais tantot rernontent, et tantot descendent, plusieurs jours de suite. Le nmatin, surtout en sortant dui lit, acc es; tournolemens at la re'gion pre'cordial e, d'oiui ensuite une inausee remonte jusque dans la gorge, avec vifs battemens de coeur et violente pression at la partie superieure dui sternum; serrement de gorge, pendant lequel. une eau. anPre vient "a la bouche; ces acc~idens se calme-ntr en, mangeant, et les alimens ne sont pas vomis. Des alimens venteux pk'sent comme une masse sur l'estomac; ii faut les vomir.,Pesanteur d'estomac ( au. bout de quatorze jours). 190. Pesantear dans l'estorac, comme s'il s'y trouvai~tdu, plomb. En sortant de table, il seinbie qu,'on a une pierre dan~s Iestomac, -avec sentliment de plefnitude. Sensation comme si on avait quelque chose 'de lourd dans 1'estomac,. avec de'faut d'appe'tit. Ala' suite d'un rapport, pesanteur', puis resserrement. dou~loureux 'a1'esto~mac. Pesanteur dans 1'estom*ac et de'chiremens dans les intestins, toutes les demi-heures. 195. Pesanteuir dest~ri-iac, augment~e par ]a iarche npIe'iri air, aec de frequiens rapports h a r ide.'a 218 DOCTRINE fl[OMOEOPATFIIQIJE. Tranche'es et douleur rongelante dans l'estomac, avec nausees; du froid et du' chaud-parcourent le dcos et ]., nuqpe, et des borborygmes se font entendre dans, le vent're; la. douleur cpsse' quapd on sd couche Jesja~mbes fle'chie's. 4ideu'r',4a"la7 i' ~in Precordiale. 4pr~ Jesupr ~Viq1.4s rpp rs~au bout d e.douze jours)aoi Pesanteur d'estomac, apre~s aorMq.:2Q0;,.,Ap~e" sayoir in dgeciule a' Qt,de, spasme dans 1'eqtprac.(,a4' bout de seizjos) Apns e iner, damp emnen... s ~pr~esue~ rieure du ventre (4u Lbout de. six heaures) *En dhnant, sensation comrne si les. cheveu~weoohip rissalent. Apre's a-voir -m-ang6, granifle chaleur. 'a la face. Apre's avoir mangre, la tate est comme e"tonn.e,, les yeux sn ome, ~uiet n e, peut 1es ouvrir (au bout de dix jours) 2.4pres avoir mang6, fatigue'et' vnde e nvie de dorimir; 'on est obligP6 de`d6rimnirj,;' IDjuleur au dessou*i des -fausses c6tes, on es quelq~ue 'hise' allait s'y de~chirer. Ventre toujpursdutrsedqicae be'u coup de rnpa!ase,. ý,.tre fc~rternienttendu;jes ve-nts ine sorten''p ' il urvetpIuto'kt dsrapports. pje ygir peu mange a diner, et le.sirc assez vives, qui se dissipent "a la suite de no~mbreux m'pports,( qa4 Pput de cinqpante heur'e~s 21.Apres avow maflnge,. sensation die Il lud9 et comrne de pression exercee par' les vetemen~ s qLloique le ventre,Ijin e'~tre gonf16, soit ipiut~t retire.De'chirernens dans le bas-ventre (au P~out de dix minutes) Melme aprps, avoir pris une boisson chaudevio - lente colique, qui 'se dissipe apre's des borborygmes dans le ventrelet, des rapjports a vide( an bo ut de deux jours).;Tortillem.ent douloureux dans, le -ventre. Deux heures apre's avoir mange,- mal de ventre; sorte de pincement, qui se renouvelle de temps! en ternps. 2, 15. Presque tous, les soirs, pi~ncem..ens violens, m~ais passagers, dans le ventre (au hout d~e -d~o u-ze jours,) DWchirernens dans la. r~gion ombilicale, de temnps en temps ( an bout de deux jo'urs).Coliques de'chirantes, rn.rwIani, a aee (ati bxwt -de trejzw ji1J$).s Violens dOchirempens da115le bas-yventre, iyep16 placement de vents; chaque pas retentit doul~oureg.-,Aetnent (qpre.s, poir spploev6 un petit farde~u) P6jph~irrniens, dans le l4as-ventrp, sas d eqh6. 220. IDouleur lancinante, plus leterneq'utre c1dps lec6 gauche dui ventre, pj i nq se faiý 5i qu'en inarchant (au bout de six j~ouis). Ardeur dans, lesý intestins.. Pression "a la region ombilicale. Pression douloiqre ýse av~4, jsp~is de 1g. rgi pjj o)m biicalo., imMediateip yntdaller 'aJla sel eeL en y 1alant (au bout de hiuit jours,)a Violentes, coliques, qui semblent re'dtire a '~nQ bilit6; les rnaiis jaunissent, e es QPeles dp v nen 220 DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. bleus, comme morts (au bout de cinq jours). 225. Mal de ventre, avec grande propension " s'allonger et "a s'6tendre ( au bout de quatre jours). Grands borborygmes dans le ventre. On entend circuler les vents dans le bas-ventre. Vents tre~s-fetides,(1e second jour). Mal de ventre avant 1'emission des vents. 230. Borborygmes dans le bas-'entre, surtout an voisinage de ]a hernie inguinale (au bout de douze heures). Ballonnement du bas-ventre, avec douleur dans 1'endroit de la bernie ( an bout de quinze jours). Douleur dans la hernie ( au bout de deux jours). Sensation dans1'aine gauche, cornme s'il y existait une tumeur, on comme si une hernie allait s'y former ( au bout de seize jours). Douleur dans 1'aine droite. 235. Douleur dans 1'endroit d'une hernie, comme si quelque chose s'y etait dechir6 ( au bout de onze jours). A midi et le soir, resserrement dans le bas-ventre, qui pousse en partie vers le rectum, en partie vers les organes genitaux. Le sujet a sans cesse des douleurs de ventre, meme quand ii est constipe. Les premiers jours, canstipation, et ensuite selle tres-dure. Constipation ( le premier jour). 24o. Les premiers jours, selle tres-dure; mais, les jours suivans, les selles reprir-entleur caract re ordinaire. Clonstipation pendant trois joLirs ( an bout de qua SILICE. 221 torze jours), puis selle coinpos6e de petites koulettes dures. Les trois premiers jours, constipation, malgr6 des envies frequentes d'aller h la selle; les trois ou quatre jours suivans, selle tre~s-dure, insuffisante, pouss e avec effort. Sorte de faiblesse du rectum, comme s'il n'avait pas la force de pousser les matkeres, qui y s6journent long-temps. / Apre's de longs efforts dont la violence a renda les muscles du bas-ventre douloureux, les matieres deljh pretes " sortir rentrent dans le rectum. 2945. Selle louable, mais pouss~e avec de grands efforts. Apies une selle molle, qui a exig6 beaucoup d'efforts, pression doulourense dans la tempe droite, et plus tard rapport 'a vide ( au bout de seize jours). Pendant deux jours, tre's-frequentes selles molles, sans diarrh~e ( au bout de treize jours ). Diarrhee pendant plusieurs jours, le jour et la nuit, sans coliques (au bout de sept jours ). Sortie de mucus rougeatre avec les selles. 25o. Expulsion frequente d'une petite quantit6 de liquide d'odeur extremement f~tide. Convulsion douloure use, sorte d'elancement sourd, dans le rectum. -liancemens dans le rectum. Un grand elancement dans le rectum. En marchant, quelques forts Mlancemens dans~le rectum, qui se dirigent vers les parties genitales (au bout de trente jours). 255. Tension A l'anus. 222 DOCTRINE FIOMOEQPATHIQUE. Vin' ila Mnt a ]selle', douleur" d~fs 1'anus, cOntiie Apr'6s aivoir e~tef " la selleo, v'ive*a ~t epoirne Le.4 hemorrhojide's sorfent beauc'oup en allant h 'ala sell6e et rentrient tr~s-difficilem'ei't; dui m-uc'us sanguinolent s'e'coule par 1'anus ( au. -bout de cincj" Jlouirs) L'dn'-u's es8t hu-mide.!260. Les he'morrhoides internes, sorties pkindn't la sell, siont ktrang16les p1, ar 1'Anus ( au. bout 'de *ringt..et-un jouirs) Un vaiqse'au" gros c" m-nie oun i t~iyau A6 plumie'appar'ait 'a' 1'an us, avec p'rurit et pression ( au bbuit de quatr-e jours) Los he~morrho~ides inte~rnes, qtioiqu-e~pe~usafillarites, sont "doutlo'ur'euses (au bout do vingt-quadtre jours). Douleut' hnciinainte da ns los he mcidrholdos du roc.ý turn (au. bout'de vingt-deu X*jou~rs). 265. L'uih'ine' otarde pas 'a so tro'dbloie. It so fo~nie un s'6dirnon't g'r'ave-lotbc' jauno dans 1'urine (los prem"ierts jo~urs)., L'urine d6poso' un gravi-er jauno. Fr&~quontos envies d'uriner ( au. bout de vingt-cinq jours ).,Le mnatin (vors sept heures), obligation d'urinor -tous les quarts d'heuro, pendant plusiours jours de suite (au bout de neuf jo~urs ). 2z70. Envies fre'quentes, mais inutilos, d'uri'nor ( au bout de douze jours) Envies pressantos d'urin or, avec cuisson dans 1Nu retre. Cuisson dans 1'urktre en uriinant (au bout do deux jours ). SMflCE0 ýL Prurit sous le pr~puc'eLe prepuce est rouge, p~r~s de la couronne, comme sil e'tait excori6, et Ai cause souv'ent des de'mangeaisons. ý75 Une tache pruriteuse et. suintante au scrotum.e Sue'ur au scrotum, le soir. Pression dans les cordons sp erm atiq'u es, les tes't icules e~tant 1)endans ( les premiers j-ours). Appe'tit ve~nerien tres-vif les huit premiers jours; jour et' nuit, erections qui durent des demi-heures, avee retraction des testicules. Forte erection, le scrotum 6'tant flasque et pendant (au bout de cinq j ours) 280. La nuit, forte erection, sans appe'tit ve'nerien. Fre'quentes - et fortes e" iections le jour, sans motif (les pr emiers jours) Point d'e'rections, pas me~me de traces (an bout de plusieurs jours). IEcoulement de 1'humeur prostatique, en'poussant une selle avec effort. Les erections n'Iont lieu que lentement (an' bout de vingt-trois jours) 2a85. A, chaque selle, emission d'humeur prostatique. En exerpant le coit, une femme est prise de nansees ( au bout de vingt-et-un jours). Yifs mouveinens de 1'enfant chez tine femme enceinte. De'chiremens dans le vagin, en remontant, pendant les regles. A I'6poque de ]a nouvelle lune, sortie d'un pen desag pendant cjuelques jours, ouze jours avan r224 DOCTRINE fOMOEOPATHIQUE, le terme ordinaire des regles (au bout de douze jours). 290. Jieglespluis abondantes. ( au bout de treize, trente-six jours ). Les regles, suspendues depuis trois mois, reparaissent ( au bout de deux jours). Avant l'apparition des re'gles, forte pression sur les yeux et sensation de constriction, comme si quelque chose de lourd appuyait dessus( au bout de vingtdeux jours ). Immediatement avant et pendant les regles, selles tres-dures. Pendant l 'coulemn ut des regles, violente ardeur ct excoriation aux parties g~nitales; eruption aussi " 1'int&rieur des cuisses ( an bout de vingt-trois jours). 295. Pendant les reglestiraillement entre les omoplates, la nuit seulement, Ia femme etant obligee de se renverser en arriere pour eprouver du sonlagemeut, Flueurs blanches, causant une cuisson douloureusesurtout apres avoir mange des choses acides. tternuemens fre'quens ( au bout de treute-six heures ). Beaucoup d'enlvies d'e'ternuer, quoiqu'onparv~ienne Tarement a' lefaire ( an bout de yingt-huit, quarantehuit heures). En eternuant, toute ]a poitrine est douloureuse, comme si elle allait s'ouvrir. 3oo. Obstruction totale d nez, qui geue la parole ct oblige "a ouvrir Ia bouche pour respirer (au bout de douze heures). Eicoulement abondant de mucus par le nez, sans coryza cependant. SILICE. 2 2ý Coryza fluent (au bout de cinqsid ouz e jours). Violent coryza ( au bout de. quelques heu~res)., Coryza, continuel, tant&l sec ettanto't humide. 3o6. Enroueiuent, avec fre'quenite tussiculatiota sch 'e (au bout de troisjours). En respirant, on sent comme tine 'excoriation dans le larynx et dans la gorge. Petite toux fre'quente et se~che (au bout de- t r-oi*S jours). Chatoujillement pr'uriteux dan-sla trache'e-a~rt'ere a la hauteur de la, Lossette -du con., qui menace, presque de la. suffocation, et finit par degenerer en toux violente, pendant de's heures,entiere~s, avec. doudeur dans le, bas-ventre et ]a gorge~.. Petite toux. se~che etftoquente, qul rend la poillrifle douloureuse, cornne si elle e'ta~it a' vif (au bout de - cinq, vingt-et-un jours). 3io. Toux violente, continuelle, aveceýpectora tion d'une graln~de quantit6e de mucus transparep~t. Toux pendant cinq semaines (,au bw- t do douze jours). spl: b Yive pression, u apoitrine, osq'u',nyu touser Cequelja douleur.ep he de fa~ire. Sensatio n cornre, si op a vait sur le bout de~l langue un cheveu qui s'e~teindrai't jusque ~~sl trach~e arte're,d'oii resulte un chatouiilleme*n'tirr,ýta-nt qui oblige "a tousser souvent (au, bout de'Aix ij~ui's). Deux-soire'es de suite, toux qu~i dure toute Ia nluit, avec de ]a fievre; des serviettes chaudes sur Jo lbasventre ]a firen t cesser. 11.Toux* pendant!,Ia u'it '(an bout de cjuinze Expectoration cle.inizcu,s, sa uguinolent... If.1 .226DOCTRINE HOMOEOPA&THIQUEO Le ati, aresi une toux 'violente, crachement d'un peu 'ide sang (au bout de sept jours). Y~P '-idiap~sune toux profonde'et-creuse., i'rehfihen't d'uh. peu de sa'ng pur - t clair, et un quart d'heure apres, aces- de slyncope (au. boutide qtiatre jours). Afflux du sang vers la poitrin~e (au bout de dix 320,. Respiration fre'quen te, profonide, suspirieuse,. 'Opression d-e poitrin'e (au bout de-trois jours). 1Resserr'emnent *de po itrine, qui Adterne avec unO louiler-dans' le dos (par1'Peffet divefiroidiss'ement?' 'ra~ko'6~de' dix'-n'edufj'olr's).' La. tete et I~a poitrine -8onlt suetcmm srl avectdi"Sposiotion "'a la'imauvaise humenrn. L6 thatin, en s'eveillant, asthm e,(au.boutide disept jours). h-'5. Cýonstriction de lapoitr'ine, commre si oflavait la g6-rýe'selr'rk par til fein, s-urtouliate'prs avoir mhang6. 'O"Pressidn. forte, na ais dU.oure"se, d pirin on ne peut pas faire d'inspirations profondes (an16 t5o~ut d*b'dbuze joUrs). Battemo-hs -do coc'ur, etant assis'tran'quille,, avec tt'ernib~leftent- de la 'main dans laquelle on liment quieb ju 1&hos.e. D~tleir ~hrate dans le c ote" gauh de ]a poiVif "'IdahC"-ment "a traviers le co t6drciit de ia poltine 6(auboult'd~ ie-heujours). 33o. ti1ancemens dans le ec0 1 lfdroit (a'ulb~u~t de 'd6Fuz~e h-euies). Sous le bras drpit, douleur co~mme Si le ve't~ernet avai t ke trop serre., quoiqu' On ne vdye rien. !2!ý7 D-etUlups en, teipps,,penc tajunee, secousse de pincernent dans les muscles costaux gauches, sans ~pp~prt ave.C la respiration, et qui n-e changre point par I'application de la main. Pression douloureuse dans 1le c'tp, gauche, de ]a PpQtrine, alx fausses pokes (4u bout de dix jour5). Violente pre.4sion sur kIQCo Le gauche de la poitrine.,335l. Preaion et tirAilt-em pent daps Jo terotd la poitrinoe -e riemontant yers E'aisseloe. Violente pression sur les deix Cote's de la poitri~no,,qu~idure bien tine heure. Douleur au coccy'x.,, pres avoir etLe long-temips op Nvoiture. Forte douleitr au sa~crum (ag bout de neuf joiirs). Paialysie dans le sacrum (au. bout de quinze jours).9 34o. Le matin, en se levant, douleur, conmmo de paralysie, dans le sacrumn (au bout de trente jours). Le matin, en so levant et commenqant "a remuer, doulour dans le dos, qufi se dissipe ensuite. Raideu'r dans le dos (au bout do treize jours). IBattomexit dans le dos. Sensation do froid dans le dos. 345. En all~pt au gr.mdair~ ayan~t chaud, chaleur b.1,IAn od s le dos. Prurit Aans le dos., Violent de'chirement dans le dos, avec froid, qui degepem.re n in. mal de, tete gravatif at sourd, avec ~tuler dap~ Ia Ote (les Premaiers jours). De~chirement douloureux dans le dos, tout~e la journ~e..(aabou~tde 11it jitourIs)$ >.2 8 DOCTRINE HOIMfMoPATHIQUE. Doulear ardente dans 1'omoplate gauche (au. bout de quatre joins). 35o. 1Oancernens fr&quens dans 1'omoplate dro~ite (au bout de cinq joins). Tressaillernent (lanS la peau des ornoplates. Tension tiraill ante et douloureuse-danS 1'omoplate droite (au bouit de vilngt-et-un jours). Acce's de douleut' tiraillante dans les ornoplates, qui survient ensuite dans f'a nuque et dans ]a te'te; puis- etourdissement, corinme si on allait tomber "a la renverse. Pression sur IL'es omoplates, pluto't le matin,quiand on est tranquille, que lorsqu'on se remue, et qui sernble ktre I'effet d'un poids sur cette partie; oppres-. sion, qui fait croire que les ornoplates sont enfle'es, et coupe ]a respi~ration quand on s appuye sur le dos. 355. Eruption de bon tons "a ]a nuque (au. bouit de -vingt-quatre heures). Itruption prurite use, commne ortiee, a% ]a nuque (au bout de neuf jours). Un furoncle "a la nuque. Sorle de tension 'a ]a nuque (au. bout de qiielques hetires). Raideur dans la nuque, avec mal de te'te. 36o. Douleur dans 1'e'paule, semblabte a une pres-. sion, qui s'e'tend jusque dans ]a main, et qui fait croitre que l'on ne pent rien soulever de lourd, tandis qu'on peut se servir de la nmain comme "a1'ordinairc (de suite). La nuit surtout, violente pression douloureuse dans 1'paule droite jusqu~au coude, des qu'on se decouvre et qu'on se refroidit. Le soir, dans 1'articulation do 1'e6pau'le droite, une SILICE. 229 secouss~e doulonreuse, qui oblige "a lever brusquement le bras (an bout de sept' jours). Dou'leur, sem'blable "a un tiraillement dans les, glandes. de 1'isselle (au boutt de dix-neuf jonr~s) De'hirement da'n-s 1'aisselle en remuant le bras. 365. D6thiremens dans les deux, bras. Battement dans le bras droit, do 'nt on pent sentir les convulsions des muscles avec 'I'autre main; le b~ras en est comme paralys6; tout disparait en le. tenant 61eve6 (an'bout de dix'joursý; Battement dans le bras droit, apres avoir mang6. Douleur convulsive dans le rbra-s dioit'(au bout de dlix jours). Douleur convulsive daus l'avant-bras- gauche. 3ýo. "Agitation e't'elem blem'ent dafis le 'bras droit. Afflux du sang, v'ers les bras pendant'utn travail qui Abfig'e` arester' pen c1e'; les bras' devirn'ven-tlgonfles et tremb~lanis, durant une heure. Lassitude (lans les bras, le matin, quand o n est ýan lit.I Les bras son't aussi lourds que-sio on a 'ait coul de Oplob dedans. Beaucoup de furoncles an bras, d ont queiques, uns tr es-gros,. 37,514,A1av'ant-bras, droit, depuis le poigrnet jusqu'au coude, quatre tubercules du'rs, gro's comm'e'Ldes',,is:,, yant 1Fair de v'sicuiles, sur un flodrogqui causent un prurit ardent et ne dur~entqu'Line, seule nuti t (aulbout de trente-six hen res).,Raid-eurf rhunialtisia~le dans le bras, gauche, qui est plus douloureuse pen~dat le monivement quo pend~ant le repos (an bout de vingt jours). 230 D0(oT1INE 1H0MOt0PATaIQuiE. Tessailien&A dnsle iusiesbk e gauche (au bout de dix j3ours)O. D chuierhe~nt dans lI'articuhtibr d lAma;; partie est tr6s-, doulourie'is, quand ýon y touchle qu'And'on la r~ffue; on divait'q'u'el-16' a se bris-er'., Tirailleinens.dans les rnains (au botit d-e tI'eze 38o. -La nuit, eing"ourdissement des m.a"i X. JL.a Main -droite s'-en'gourdit la. nu-it. Douleur de dislocation, daps I'a.rtieu-lation de Ia CanedansIa -maInen,'crivant Au moindre effort, la main est prise de cram~pe. et comme p~aralysee&..,3$5. Un effort; mediqcre gause une. donleur spasmodique et commecle' paralysie d an~s'Ia''m'a i*n. Pouleurtiraillante dans ]a main droite"(au bou'tde neuf jours). -Sensation comm e de briuilur e",sur eh'd os da i ndoirt. Doquleur h la. face p~almaire d'un d oigt, comme sl'iy 6tait entr6 une echarde. TiraillemeDS, paralytiques dans, les d~oi gts'(au bodut 'de q~uinz'e jours).' 39o. Douleur convulsive dans le doigt 1"ihdi 6dte'uP, qu ure cinq r-ninuftes; avoc'n& Y6eh~et~o croissante. *in Uh - ganglion srVettou~t-?Pc,6uýp cntre k6 f~roisi'& mne et quatrierne os metadarpidens;,'lorsq'u' T6'r'tfri~e' ]a main, ii cause tine' s6lrfe d~e dooul tP de 1uLActi'8, fetlo'rsqu'6n y b:uche, ii en oct~a'si6o'e uhe &6n~ihn6de brisui'e (an boutt de' treoiiOe jo~urs'). Frquens jpanari8 et Mauxd'a~ehture.' SILICEP tfne petite ger~ure au doig, indicateur compx~ence at devenir douloureus'e;- le doigrt.clevient raid'e;un vaisseau lympathiquý e ~eflaw r, 'patr de ce.poini jusqu'.au dessus de 1'articulation. de la main;.l'piderme autour de ]a partie mialade se soul~ve et s'empl4t d'un pus liquide; le mal ga gne autour de Ilui, en fcausara. des douleurs aravatives, acnntes, br'4antes. Unie vesicule qui ronge. les, alentours de son. iIer ek cause. un. violent. pritrit,, apparait sur la der*-iýre phala-ng~edu doigt'indicateur gauche.,,5.Douletur, kincin ante, comp ed'engouqr4isse'mnent.,,tan.tot d~ans ux4 dpoigt, taw'tt da s 1'autx'p, fois aiussi dans, les'bra's., ftlancemens convulsifs dans le doigt mi'dius gauche (au bout de deux j our's)Elanceaent 'fourrpillan't 44p~n, le; 4doigarnulaire (au bout de trois jours>. Au bout de4 doigs,'SenQs~tioj cpmm Ie.s'ils etai~ent inabes e, 4d unnibout detrýeize ijQurs). Douleur dans le doigt in~dicateur gauch~e, comme - sll aIIl~t y surveni~r, n p paaris (au wont de vingt-jouy,0. 4o~o.' Prurit siir-les fpsses. / En se couchant, douleur dans la. hanche gauche", Ppedant un quqr~t, d'heure. Douleur tiraillan'te, convulsive',*dans it'artictniltiqn. coxo.-f~i-norale droite, qui met Janp1'rimpusangde remuer Ia jamrnie (au bqute 4j gns eant de desusps une ehaise, les, jarnbes sont comine paralys~es, sensation que la marche d~s*IRQ! E~i gotrdisserinent de la jamube droite,jusqu'avi bas-f 4o5. Les janibes s'engourdissent le sQir,quapd1q est assis,; la situation assise rend raide., et la raideur disparait ean marcha~nt. .232 DOCTRINE 11O'MOEOPATHIQUE. Titirail.lIem ent dan'gle* s cuisses, j usque dans less jambes. (au bout de- huit' jotrs). Co'nvulsions iusculaires dans 14a jambe gauche., Douleu'r'convulsiveb danDs les mu'scle's, dre a cuisse dr'oite. ltunc~mens dans'la" cuiesse' gauche. 41o. Quelques furioncles au' C' 't6e'poste'rieur'de la cui s~e. 'Eh sasseyant, de"chiroemtent da~nsle genou, que la marche dissipe.Un dechireme'Pt auto~ur du gen-oU droit, qui s'e'tend presque jusque: dans Iajm e, ed le rps'et le' mouivement, le inatin su rtoult (an bo'ut de'deux jours). Don] eur dans ]a rotule gauche. IiDbukeur da'ns le-crenou, comme s'ii 6lt~ait tr'op serr6 (au-bout de vingt-et-un jours)-. 4'i5. Le soir, dodfleulr tiraillat as e rbes,,qui chaqu-e foi~se'6ternuine par un~e` ecousse convulsive-du m'enfibir& Tirembffem'ent daris les ja~mb'es;,dePuis les genoum jusque dans les pieds, sans' froid~le soir (au, bo'utde qU ine jours).` Frpid. auix j,ambs jusqu'au'x, gdiouix, d ans' un'e' amc e'chau. Prrit auxjearbes'. Eruption m`iliai -ie ',prulri'teuse-aux mollets. 42.Beaucoup 'de-'d6mangeaisons i a ]ajambe gauiche'. f4,an-p ti'1sdU~or~e se dnns le. mollet droit, le fihat-in, dans- le lit.' El'aricerneis eni marqhiant, en enijaibanit,,danS' les mollets. SILICE. 233 En allant loin, sensdtion comme Si les mollets etaient trop courts, qui c'essent de suite en s'asseyant. Pression douloureuse dans ]a jambe gauche pendant deux heures. 425. Douleur de pincement aii genoa gauche et sur- la jambe' Tache rouge, tres-sensihle, sur la janbe, ou elle cause une donleur cuisante, pendant deux jours. Enflure des jambes, jusqu'aux pieds, qui ne sont point enflNs. Enflure des pieds, surtout le matin, an sortir du lit, moins prononcee le soir; en marchant, cette enflure cause beaucoup de-tension. Le pied gauche est enfl~jusqu'at la cheville. 43o. Enflure du pied, avec rougeur, dans laquelle ]a pression du doigt laisse une marque blanche -pendantquelque temtps; en me~me temps, douleur depuis les orte'ils jusqu'a la cheville. Tension dans i'articulation du pied, meme quand onn est assis. Raideur dans I'articulation du pied, avec lassitude dans ce pied et enflure autour des chevilles.Douleur ' de luxation dans 1'articulation.da.pied. Ardeur briulante aux pieds. 435. La nuit, chaleur brlilante aux pieds. Douleuir,crmme- de Ibrisure sur le coude-pied. F tidite insupportable des pieds, sans sueur, tous les soirs (au bout dq trois jours). Fe~tidit6 aigre insupportable des pieds, sans sueur (an bout de treize jours). Sizeue' qboidanle aux pl7antes des pieds et aux, ortells, qui s'excorienten inarchant. j4o #. Derri6re le talon,gra rde amtpoule,,qui s'e 04 x34 DOCTRINE EHO1IOEOPATIIIQUEO tend aux parties environnantes et cause un prurit vi~ol~ent. E~lan 'ceinens dans le talon et le gros orteil, quand on se tient deb out et assis; Doule~ur au. gras des orteils,. -.4pres tine longUe promenade, cramnpe doulouretise~dans lap-lante dii pied dro it, et surtout dans le gr7os orteil (au, bout de deux jours ) * Raideur, des orteils; on no pout les ployer. 445. De'chirement dans le gros orteil du pied d~roit. Douleu 'r sous L'ongle du gros orteil, et eflanceinent dedan.DO Douleur de'chirante et pruriteuse SOUS 1'ongle d'un orteil.(au bout do seize jours). Le gros opteil droit cause des de'chirome-n-s lanciBians. fElancernens spasmodiqu~es dans los orteils. 45o. Violens 6lancemons dans le gros* orteil.' * En- marchant, deux orteils causent la r"m re dIo uleur quo si ]a chaussure serrait beaucoup (au bout -do -ese'pt.Jo ur s) Vifs 6lancoemons -dan-s les cors. 11I survient, au gros orteil, un co'r qui cau-se. ne douleur tre~s-bruilanto (au bout do n~euf jours). Le co-r est -exti-e^moment sensible au tollcher. *455. En-ise levant, apre's'avoir &6t long-temps as'-sis,'. forte doule-ur &d poitrine -et sorte de pairalysie des jamnbes (au bout de quarante-'huit h-eures) A~pr-es avoifret'6 ion g-temps assis, agitation. da~ns 1e corlps et mal de. tete. Agitation telle, dans toutes les parties,2 qu'on noe pout rester assis, ni continuer 'a e'crire. Lernatin, les mains et les pieds sont comine jnortso. S It IC R 3 'Chaqpie-changenaent do temps se fait sentir: d-ans ]a thte et -dans les m-embt'es..6 '; Un-ora-ge qui approchebon quii gronde fait une forte impression sur le sujet; s'il Mar'che, s-es forces sobt tou tLa-coup briis~ese; ill ne peut plus avanle~r- it devient tre~s-faible, et it est pris d',en'vies de doimir, avec p-esahlteur d& t~e et- chaleur, dedans., Le matin, grande lassitude, pousse~e jusqu'a'* ou,-ý ncr env~ie'do dormir;froid toute la j ournee, aui nzoindre moape'ment. E~rissonnemens en inarchlant dans..une charnbre chaude; au grand air, le sujet a si-froid qq'il trembe(au bout de trente-deux heurs. 11 e.t tr~s.-frileux toute la /~ournee. Froid, interne, continuel., avec cl~au-t d"apptit..465. Froid, au.i milieu d'uneadouleur la~ncinant&. Apr es un refroidiossement, fitold inter~ne conti n uel, rneme ]a nuit, ave. clfau't d'apptiftet Mal1 de te-te lancinant et briudaný. Frequemment, as ajourhnk, t f~t &e AaIeu qui -dur~ent deux minutes. rQuelques secousses non douloureluses "a tavei's cbrips'. pecusse dans lsjambess' vedelmiremeseh-' sation q 4uo esi on se-conait la.taeave' frsoet rissement des cheveux stir la tete, 'quo'iq ue le0, &rp s adt sa c'haleu r naturý611e0 to.Pru rit sur & I', ikUX' &iti' Ites -et t ik cuisses. 1~ ~ ~~pri t tourviln pr tION t ie ops tft -U**9i la t t e. Eruption ~i*toutftle, corpsg, 1ec vvolent pirrit avant, enant et es 236 DOCTRINE JIOMOE0PATHIQTJE. E ruption de taches rouges, gi'andes comme des lentilles, surmonte~es de petits boutons,- sur Ia-poitrifle, les cuisses et le -dos,- qui 'causent petf de-demangeaisons. L'ulce'e cause ]a.me-me douleur que si la partie etait malade au-dessous. 475., Cuissoin dansles nlc~res ý(qui sont d'ord'inaire fi-hdolens). Douleur te~rebrante dans, un ulc6r'e kht jambe (ani bout de quatorzejours). Douleur.cpbmpressivelan~cloante 'dans' l'en'droit d'un-ulce~r-e 'a laj~ambe (a*u bouit-d6 dix-s'eO t'jors). Grande fabilite ac, so donnie'r'des tours'de'rei.ns; d'oiu', lanceme S' dans' Ia. fosse'tte dulcoetir' et f requens voniisseme'ins,. Ia niuit, avec dechiremens &dins 1p; ba si-ve n~tre, cabses, par des dep&ace'mens de'vents. Elanc'emens ýa et la'sur le corps, sem'blables'a'des jpiqiires de puce'('au botde nejours). 48o. La gorge, Ia poitrine, Ia tate, en un mot fout Ie corps, sont douloureux (au bout de v'ihgt-quatre heuires)~,,* Endolo'rissement du corp~s entiei', le nhmtin, dej, sensible, en dormant, qui diminue apr's le r&re-lL et q, a Ind on est 'l 4eve (surtout dan's'le bra s droit et JY'pauje gauc~he) (au bout fde qi'a~tor'ze j"ours)._ý 'Tout le corps'est douloureuix1, cornrne.si on avait requ des coups de poing a b " de qurnte-hu~t heuires). Tout. Je corps est douloureux., comme, ýi IlI.on avait 6te' bri.6, comine si I'on s'etait couche" 'afaux ]a nuit. Grande irritabilite et $ensibili& edoulJoureuse de Ia peau au touLcher (au bout de quatre jours). SILICE. 937 485. Tiraillemens dans les oreilles, les matchoires, les mains et les jambes. Tiraillemens dans les membres, qui tant0t simulent des crampes, et tan t6t sont tres-vifs (au bout de dix-sept jours). Acces: le sujet devient pate, morne, sans appetit; il se plaint, en pleurant, d'un deancement tres-violent dans 1'oreille, vomit, et devient si faible des mains, qu'il ne pent porter une tasse a. 'a bouche (au bout de cinq heures). Acces: d'abord sensation desagreable dans les parties genitales; puis soulevement dans les deux c6tes du' ti'onc, comrne par un tiraillement, qui passe de Mi dans les aisselles et dans les bras; ceux-ci sont alors comme engourdis on raides; I'acces revient tous les quarts d'heure, pendant le repos, surtout quand on est assis et debout, mais non pendant la nuit (an bout de quatorze jours). La silice parait produire la phipart de ses symptomes a lkFpoque de la nouvelle lune. 1490. Grande raideur dans les membres.' Les bras et les jambes lourds, coinme si du plomb avait 6t" couln dedans. Apres une promenade au grand air, le sujet devient tres-fatigu, et tremblant le soir. Grande fatigue (au bout de vingt-huit heures). Faiblesse dans les articulations, qui fait flkchir le corps (au bout de trois jours). 495. Le matin, apres le reveil, grande fatigue. Le matin, en se levant, fatigue extreme. Le sujet est oblio6 de bWiller beaucoup. Long et profond sommeil apres midi, 2 la sortie duquel on se sent Lis (aunbout de cinqjours). 438 DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. Le soir, grande envie de dormir (au. bout de vi"ngt jours). 5oo. Le soir, raiden-r extreme, sorte d'en-gourdissement, par tout le corps, avec anxi~te, qui n-e per. met pas de s'endorrnir. SLes nuits se passent sans somineil, au milieu de r~vasseries continuelles. Le sujet' est efvei~lle toute la nuit; ii ne pent pas fermer 1'oeil. Inzsomnie penda~nt la nuit. De'ux soirs de suite,i est tine heure et detnie sans pouvoir dormir, tant Ai Iui vient d'ide~es "a 1'esprit (au bout de sept jours). 5o5. Sommeil agite, sans douleur. Re~v'eil -fr-quent, et impossibilite' de se rendormiir apres minuit. Re~veil fre~quent, vep froid et agitation, sans reves cependant. Soornmeil agrit6', vec rkveilsý en sursiut; le suj~et panle en dormant, La n-uit, affloy du san g vers la t6te. 5 1o. La nuit, botilflonnement.d~e sang; ptisatiorps -dans tons les vaisseaux. Beaucoup de soif pendant la nuit; Ia bouche est toujours se~che ( au bout de quarante he-ures). Le soir, en s'endor-mant, d-a-bord une secousse dans ]a te'te, puis un battement dans 1'oreille droite. Le suj-et est e'veil16 souvent, ýla nuit, par des frayeurs. Tressaillemrent d~u corps, pendant une heuire et deinie, la. nuit, an milieu d'in somrneiI -sans reves (au bout de-quatre jours). SILICE. 239 515. Somnolence l'aprels-midi; le sujet se reiveille souvent en sursaut. La nuit, r6veil en sursaut, avec tremblenent par tout le corps. Le sujet s'6veille apres minuit avec de l'ardeur,dans 1'estomac et des envies de vomir; puis, rapports a vide, et vomissement d'alinens pris ]a veille, sans gout repugnant (au bout de quinze jotirs). Acce's d'epilepsie? Le soir, apres s'etre couch6 et assoupi, le sujet frappe des mains et des pieds, sans en avoir la conscience, ouvrir les yeux, ni crier, et en ronflant avec force; l'~cume lii vient 'a ]a bouche, ensuite ii reste insensible, comme mort, et lorsqu'on veut le redresser, ii est tout raide; puis ii ouvre les yeux, qui sont immobiles, et ii commence 4 begayer (au bout d-e seize jours). La nuit, deplacement de vents dans le bas-ventre, d'oh constriction dans la poitrine (au bout de douze jours). 520. Le sujet est frequemment reveill' la nuit par une douleur d'estomac avant le caracter'e d'abord de pesanteur, puis de resserrement. Le soir-, en s'endormant, pulsations dans la tate, battemens de coeur, et secousses par tout le corps; pendant quelques minutes. Le sujet se reveille avec de l'anxiete et des deplacemens de vents dans le bas-ventre, accidens quitous deux cessent quand il se ke've et se prome'ne dans sa Chaimbre, sans emission de vents (an bout de huit jours). II se reveille apres minuit avec de l'agitation, 1g respiration genee et la pean seche (an bout de neuf jours). 1 240' DOCTRINE H-IOM0EOPATHTIQTJE. Sommeil aoit6' et re"veil frequent, avec, froid. 525. Le sujet se re'vei11e plein d'anxi~te, a la suite d'un re've penible, sans pouvoir parler, et iil I i semble qu'iI va suffoquet' (u bouit de quinze jours). Yers trois heures dui matin, anxie't6 qui re&,eille. Apre's avon'P ete re'veille' la Pnui t pa r un re've pe'nible, le stijet reste quelque temps dans tin etat d'anxie'te, et los battemens de son cocur sont sensibles ý l1'oreille. Songe pe'nible et inquiktant (au. bout de cinci jours). Songe itiquie'tant. 53o. Songred ans lequel ii se croit aux prises avec des voleurs; ii se reveille baigne' de sueur et e&.touffant (au bout. de quiatre jouirs). Reave doe voleurs et do meurtriers, qti re'veiIle; en s'eveillant., le sujet dit qui'i[ veut so battre. Reves pleins (1de rtiatte', sans colere. Rýeves effrayans, dans les premieres hetires de la nuit. La nuit, reaves pe~nibles, et f-requens reveils par de l'agitation. 535. Re'es et W-'vasseries cks qut'on s'enzdort. Le sujet rio sans cesse "a haute voix, eni dormant, arsm'inuit (au bout de seizejos) Ce qu'il a vui et entendu dans la journ~e'e i revient en re've, mais confusement. Dans une sorte do songe somnambuliquie, ii ap~er.. ~oittr's-distinctemnent dos contre'es e'loigne'os qui'il n'ja jamais vues et des objets qu'i[ desire beaucouip (ubout do' huit jo'urs). 11 reave et re~vasse beauicoup pendant los nuits, se ]eve et so p'romeno dans sa chambre, sans savoir du-. ran t long-tomps ou ili est. SILICE. 4i 54o. 1{'vasseries en dormant; ]a nuit, ii sort de, son lit, commne un. somnambule. IIcroit en re've avoir une attaque d'6pilepsie (au bout de treize jours). Re've, ktant 'a demai eveille; a pr~s le re'vei1, impossibilit6 (le remuer; sneur, grande anxie'te et battemens de coeur; it 6protive ensuite beau'coup de frayeur (au bout de donze jours). Apre's minuit, ii reve d'un spectre qui le pou'rsuit (au bout de treize jours). Etant "a demi e'veiII6', cauchemnar; grave anxiete, dans laquelle it semnble qu'on a tin animal tres-pesant stir soi, avec impossibilit6' de se remuer et de crier (au bout de quatre jours). 5415". Yers, minuit, reveil aunmiflieu d'une grande' anxiete'; impossibilit6 de se remuer dans les premiers mrnonens, quelque effort qu'on fasse; le calme re-.naIit en se l-evant, mais l'anxie'te revient de's qu'on se couche (an bout de trente-.seph jours). Beaucoup de re'ves, historicjnes et amoureux (chez une personne qui d'Iailleurs ne re'vait jamais). Re'ves, la. nuit, surtout amoureux; on re've de maria ge. Son ges, lascifs eL emission de semence (la.-seconde nuit). Songe lascif, tr~s-de'sagre'able pour le sujet (au bout de douze hetires). 55o. Songe lascif, dans lequel on croit exercer le coiL, qui est interrompa pat, une cause exte~rieure; apr,6s le re'veiI, erection et te'te pleine d'idees volup-. tuenses (au. bout dle six jours). Frecjuemiment dans la journ~e', frissons pendant 17. 16 242 ]DOCTRlIN~E OMOEOPATTIIQtJE. un e denA-heure, suivis d'un p eu, de -chaleur, surtout a la. tte et au visage. Pen~dant, pLusieurs jours,., grand froid interne, sanls interruptionl. Fievre; le soir, apres s'etre couch6, grand, froid; on ne- peut s'e'chauffer dan 's le' lit; ii en resulte de ka do~uleur "a 1'estomac (au bout de seize heures). Fievre;,le soir, chaleur pe~netrante, avec soif, qui n'7e~st Pas suivie de sueur., 5 55'. VieNre - forte chaleur "a la tete, avec rougeuir intense dui visagre et soif, pendan't quatre jours de suite, depuis mi'di jusqu'au soir; le Mal de tete cornrnence tine demi-hieure avant la. chaleur. PLiisi-eurs soirs de suite, chaleur "a la face et au 1~obe de l'oreille. Grand boujilonnement de sang 'a la moindre cause. Toutes les nuits, tranlspiration dansle lit, par tout le corps (les premi, res nuits). Toutets les nuits, sueur copieuse vers Ile- matin. 56o. Le sujet est souvent pri's d'agita'tion et d'I'Mpatie nce. 11 a souvent de 1'anxie't6, qui ne luiý perruet pas de rtester, assis. Grande anxie't6 'a ]a suite d'une peur. Le bruit pr'oduit une impression tr es-desagr,6able et cause de 1'anxiete. Le parler "a haute voix incommode. 565. Tout contrarie et donne de- la pxanvaise hu-. rnie ur. Tristesse-, de~couragement., Lassitude inte'rieure de Ia-vie. .9-43 XV. Zinc (Zinicur). Oni broie un, peun de' zinc metallique sous l'eau, et 1'on fait se'cher la poudre grise qui tomrbe -an fon4 dau vase, Tin grain de cette poudre est ensuite trait6" comme je l'ai dit dans le chapitre consacr6 a ]aa pre' pa~r~tioxI des me~dicarnens an Lipsoriques, c'est-% -dire,porteau mrnillionuieme dege'6 d'att~n~uation, ave~c trolls fois cent grains de sucre de lai~t. On- dissout alors utif grain de cette npUVelle, poudre, en imprimant deux secousses 1aladissollxtion, qui sert "a preparer les diinft tiorns au. sextil lion n i~e'e (V-i),2 a 1'o ctillionniene (VIII), et au de'cillionanit'.-e (X)-, en donnant chaque fois.de. 'ecusesla liqueur, pour de'velopper sa~ver-ta inedicinale dynamaique. Cette pre'paratioui de zinc est, dans son genre,, un des meillears,t des plus precieux rn~lica~men s antipsoriqU~es. Jusqu'a' pre'sent je me suis frequemment servi de ]ai diflution, aun sextil-liorin~imeIt ]a dose ordinaire d'uQn on deux~globules de su-cre imbibes de Ia liqueur; mais on trouvera, parmi les malades atteints d'affecift tiops~chroniques, beaucoup de suj~ets tres-sensibles et faibles auxquels ii sera n6cessaire, de donner une dilu ipn, plus forte (1'octiltionnieme et m~n-e la d& ciIlionnie'me ), 'a la dose ýd'un on -tout an plus deux globuiles, de suere. Cette. dose continuera, pendan't trente 1 quarante jours et plus, -h faire tout, lei bien qu'on pu espere-r durne'dicament., On doit a ttendre d'elie,de grands effets, quand ýce~ltin.i-ci a e'te choisi bien homoeopathiquernent. On ncalie u pen ýque po rviln laps de ternips tres-court, l'action trop fovte du*IZI'uc, en fais~int ZINC. 245.1 Courts acce~s de stupeur et de vertige, avec obscurcissement de la vue et faiblesse generate (au bout de onze jours, pendar't plusicurs jours, surtout Papres-midi et le soir). Sentiment de faiblesse dans la tat~e,, principalement an dessus des yeux (au bout de deux, de quatre jours, et davantage). 15. Mal de teate inti'rieur et sourd, dans ]a-moiti6" gauche de ]a te'te. Douleur sourde dans le front, avec impati~ence inaccouturniee ( au bout de six jours). Pression au. front, qui rend 1'exercice de la pensee difficile. La partie. ant~~;ieitre de la tdte est entreprise et comme COmPIrime'e, "a midi on Ic soir (an. bout de trois, sept, huit, dix, onze jours). Mal de te'te compressif dans Ia. bosse frontale droite (an bout de quatre henres). 20. Mal de te'te compressif dans le front, toute ]a teate eftant entreprise, avec envies de dormi~r et mal d'yenx, dans la rnatine~e. Tous les matins, mal de ta'te. coinpressif dans le front (an' bout d~e sept jours). Violente pression, par' momens courts, sur..u~ne petite partie, presque au milieu du front, plus 'a droite qua~ gauche cependant. Mal'de td1e cornzpess'f dans Iqic/rot, souzvent. F~iv-e doidleur coinpressir'e SUr un point peu dtendu dufiront, le soz 0. 2.5. Yive pression, sorte de constriction dans ]a teinpe gyauche (an bout de sept jours). Apr~es- ]a marche en plecm air,prsinds1oc ciput, pendant plusien PS heives. 2,/46 246DOCTRINE IHOMOE-OPATHIQUE. La panlic anu~hieure de la kite est entrepdise et comrnpninee, iusque dans lesyeux, apnie's le diner. Pression -douloureuse dlans ]a partie ainte~rieure de ]a te'te, plus violente dans les deux tempes (au.'bout d'une derni-heure). Seinsation de pression dans Ja ternpe gauche (au, bout d'une demi-henre). S3o. Pression qui se dissipe rapidernent dans ]a tempe droite (au bout de trois heures). Pres~ion continuelle dans les deux temipes (au bout ýEle trois heures et un quart). Pression continuelle, tantot dans les tempes,, tanto't dans 1'occiput (au bout de trois heures.). Press~ioni dans le co't6 droit de 1'occliput. Douleur compressive et comme d'ekartetnent dans le co't6 drhoit de 1'occiput (an bout de troi's heures). 35. Sensation d ouloureuse d'e&artement da,,ns le qCote gauche de 1'occiput, imme'diatement au dessus des ve'rt'e'res du con, (au. bout de six heures). Pression'de'chirante 'a droite, pre~s dui vertex (an bout de trois jours). XPres le cbnerpr'ession dc~hirante dans la tdte, a' la 7eýgion, de la bossefrontale gauche (an bout de qu-el qLtes heures). Fre~quens acces passagers de tirailIlemens compressifs et de'chirans "a ]a partie ante~rieure e't superieure de la tete, mais surtout dans le front (au, bo'ut de quatre, neuf jours). De"chi remens passagers ht a regioncdes deux ternpes. 40o. Dechiremens dans la te~npe droite (aussi au bout d'Z17 quart d'/zeure). IDechirement immn'diatement an dessus de Ia temnpo di'oitc ( an bout (le deux jours). -zli'vc. ý47 D6-chirement convulsif au dessus de la teinhpe gau.che (au bout de sept jours). Ser-rement dldclzirant dans les deux tempes ( 'a dif-. f~rentes e'ooques). d4pres diner, ckchirernent clans les tempes, apec e 'lan~cemens clans l'oreille droite (au, bout de deux jours). 45. Violent de'chirem~ent au sommet de ]a tete et dans I'os parie'tal gauche. De'chirement dans la moiti6' droite de la te'te (au bout de deux et de huit jours) De'hirement dans la partie ante'rieure gauche de la te'te, au dessu's du front ( au bout de dix jours). De'chirernent tiraillant dans la. moiti6' gauche de la tate. Dechirernent clans la partie superieure de la at~e au dessus dafront. 5o. Mal de te'te de'chirant, en avant, dans le front (le quatrieme jour). D6chirement dans Ia bosse frontale droite, jusque dans 1'orbite droit et la paupie~re superieure (le hui. tie'me jour).*' De'chireme~nt dans la bosse frontale gauche. Apre's Ie diner, mal de tate 'a la region de la. bosse frontale gatiche (au. bout de quciques heures). De'hirement derrie~re le sommet de la te'te (Le netivie'me jour). 55. Tiraillement dans le co'te gauche de l'occiput. De'chire~ment dans la partic gauche de 1'occiput (les troisiernc et quatrii~re jours). D'c'hirement h' droite dans 1'occiput (le quatrie'me jour), avec des e~Ianccrnens sourds 'a. droite et en haut (le cinquierne jour). 248 DOCTRINE nOM0EOPATHIQUE. Douleur dans tout le cerveau, comme s'il se d6-. chirait. Yers midi, d'chirement lancinant dans le front, avec fortes, mnais inutiles envies d'etternuer. 6o. Elancemens vifs et dechirans dans la peau da cote gauche du front, au dessus di sourcil droit (au bout de sept jours). De'chirenent lancinant dans les tempes (au bout de onze jours). P'ession sourde, lancinante, sur un petit point de l'occiput. Elancemens sourds, periodiques, dans ]a region temporale droite (au bout de quelques heures). Elancemens semblables "i des coups d' pingles dans ]a tempe gauche (au bout de t'ois heures). 65. Elancement sour(I, te&ebrant, immediatenent au dessus de la bosse frontale droite (au bout de neuf jours). Petits elancemens br1Alans dans le mnilieu du vertex (au bout d'une demi-heure). Sensation dans les sinus frontaux, comme si l'air y causait de la douleur en y penetrant. Maux de tate pendant ]a nuit. En se coucbant, le soir, violent rnal de tete, de ventre et d'yeux (au bout de onze jours). 7o. Apres avoir bui un verre de vin, violens raux de tete et d'yeux. Sur un petit point du cuir chevelu, 'a droite, sensation comme d'une plaie douloureuse. Sensation d'excoriation aimx tegumens de ea tate, sans rapport avec le toucher (au bout de trois jours). Prurit fir~quent, un peu cuisant, au milieu dii cuir cheveli, dans tine petite tendue. ZINC. 2149 Eruption de bontons pruriteux sur -le cuir-chevein (an bout de cinq jours). 75. Sensation comma si les cheveux se dressaient sur, a te'te, principalernent aun dessus de 1 4oreille gauche. Pression presque insupportable a' la base du nez, comme si elle allatit etre erifonce'e dans la td1e (so.-. vent, et presque toujours "a midi). Le resserrernent 'a la racine dui nez est accompan d"'lancemeiis dans les rn)choires. Sensation de constriction 'a la racine dui nez, avec embarras dans le front (le septkrme jour). Le resserremenit "a la, racine dui nez, apres, avoir dur6 u In quart d'heure, passe dans I'oeil gauche. o.Elancernent de'chirant au dessus de 1'oeil gaunche, et en rneme temps, at la. region ombilicale.Le'ger de'chirement lancinant da-n-sle sourcil gau-. che et au dessus.' Convulsion dans l'arcade surcilie~re 'gauche (tre'sprom pternent, et au. bout de- deux heures)., Pression douloureuse, presque suibite, an dessus de l'oeil droit, avec la nieme sensation 'qu~e si les ýaupie~res e'tai'ent ti~r6e.'s en bas. I JVeis le soir-, pression sur les j'eux (auss'i* au bout de'sept jours). 8,5. Tre's-fre~quemnmient, de la pression, au d essus des yeux'..Le soir, pression continuelle dans 1'Neil gauche (an. bout de trois I ours)., Te'nsion comnpressivye rhumiatisrnale dans l'oeil droit. Sensation com-me si les yeux 6taient ref'ou1es, en dedans par une force invisible (souivent) D)OCTRIN~E 10OME0PATflIQUE. IPression aui bord de la pan piere inf~rieure gauche pres de 1'angle interne. 90. Agitation effrayante et douleur intol6rable an dessus de l'oeil gauche, souvent avec grande faiblesse dans ]a ta~te (le sixie~me jour). Malaise dans les yeux (toujours). S ensation de faiblesse maladive dans les, yeux (au bout de quatre heures). Sensation de cuisson dans 1'angle droit de I'm']l et plus tard, dans le gauche (Ie neuvieme jour). Cuisson stir ia paupiere superieure droite. 95. Les yeux, surtout le droit, cuisent -dans, la soiree (le deuxierne jour). Cuisson fourmi'llante 'a la partie inf-6rieure de I'ceil gauphe et au dessous, dans ]a joue (le dixieme jour). Petits M1ancemens semblables "a des coups d'e"pinglte, dans la pau i~e iif~rieure droite,, preis des gJfs, et dans ]a paupie're superieure gauche. Elancernent faw-pressif ft, d chirant d4~ps, ',c it droit (le pr-emier et le siyi~em~e jors). Douleur compressive, 1,ncji1ante, daipý 1'oeil droit (1,e trgi~sieme: jour). 100. De'chirernentlancinant dans les yeux et la te'te (he sixi'rne jour), De'chirement compressif dans l'ceil gauche (le puittrime ej*ur),. Chatouiliement dans l'oeil droit, commie s'ii y"t"i ipwr6 de la poussi~ere (souvent, et le. quatrieme jour). Prurit dans les yeux (le cinquie'me jour). Prurit an bord de Ia paupie're sup6rieure gaucthe. i o5. Prurit 'a Ia face, le soir. Pdleur cde laface. Au dessous, et an devant de l'oreille droite, dans I's 'oIleur semblable "a celle qui rsleatdu coup, quand on ap'puic sur Ia' partiel(Ie on"zi 'i jo ur). Au dessous et au. devant de 1'oreille droite, dans 1,oS, constriction et pression douloureuses, en. mern temps que le front est ent-repri s (au bout de onze jours). De'chirement dans les Os, an devant de Poreille gauche (le sixieme jour)., i i o. De'chirement dans l'oreille gauche. Constriction tirai1Iaute derriere 1'oreille vauche, jusque dans la. Machoire inf~rieure (le troisieme jour). bD~chirement dans J'inte'rieur de 1'oreille droite. Elanceinens dkchzirans tres-lonzgs et tr.-/.9es clans l'oreille droite, pre's dui tmpa'n (le prmier et le deuxie'me jours). E lancemens dans 1'oreilLe droite (le 4eptie~rwp j-our) 1 -15.. Elancenmen~ vjolgns dans les.o~reilles. Grand bqqraon -nement d'oreilles. Bourdonnement dans 1'oreille droite. Bourdonnement sourd dans 1'orelfle-; e, soQiJ, 0on entend le pouils dans les oreilles, ce 'qui gy-ne beauebupp en e'crivant (le premnier et le detixleme jouirs). Ecoulement de pus abondant par roreitle gauche, jour ~t tuit1 1l'oreille est un peti gonfl~e et.chaude a son orifice; en m'm e temps, mal de te'te au cotW gauche (a~u bout de vingt-quatre heures). 120o. Pression douloureuse dans la rnachoire sup&ricuire, le ion g de 1'aile gauche du nez.I Cuisson de'chirante, en dedans, tout au haut de Ia, tnoitiý droite du nez (le premier jour'). !16.2 2~2 DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. Sensation de cuisson au. haut de la moiti6' gauche danez (le quatrie'me jour). Le c6t6' droit du nez est gonfle' (au.1bout de qua-. rante-huit heures). Yif de'chiremient au bord. interne de 1'aile gauche du nez Qje septie'me jour). 12-5. Le'vres se'ches, gerce~es. Les levre~s sont couvertes d'un liquidle 6pais et visqueux (sans goiU1t ni odeur) (le six ie'me jour). Un e'lancenejnt. passagrer dans la. hevre supe'rieure (a~u bout de vingat mi~nutes). Petit eflancement d ans la hwvre superieure (au. bout d'un quart d'hieure). Forte convuls,ion musculaire dans le c6t6' gauche de ]a levre supericure (le douzie~me jour). 13o. De'chireni ent convulsif dans le coke' droit de ]a kevre supe~rieure (le troisie~me jour). Gonflement de la levre supe~rieure (au bout de quelques heures). Bouton plat et rouge, tre's-doulotireux an. toucher, sur le bord du milieu' de la bevre superieure. Eruption de bon tons ' a ]klvre superieure (a~u bout de vin~gt-quatre, heuires). Prurit 'a la le"vre sup~erieure, autour de ]a bouche, i~t au. menton, sans, eruption (aa bout de vingt.quatre heures).I 135. Excoriation, ulceration des coinsrde la bou die. Sensation de chaleur briuilante dans 1'angle interne de ]a bouche (le premier jouir). Un petit ulicere jaUnDe 'a]a face interne de la lkvre inf6rieure (au. bout de qutiare jours). Des petits boutons hlancs, contenant un peu ZINC. 253 d'humidit&, survienn ent, apr'6s avo'ir ba. une petite' qtiantit6 de. yin', " a ~'kv re spre,au men ton et au front (aut bout -de huit jouirs).,.Vif prui'it et rougeur' A toute ]a partie saillante dui men ton (au. bout de deux jours). 140. Presque.au. milieu du menton, eruption de boutons tre's-p ru rite ux. Sons le menton, beaucoup de petits boutons -pu-. rulens, rapproch~s les uns des autres, qui causent un vif.pt-urit (au bout de huit jours)., Tension dans, les muscles ante'rieurs du cou (au bouat dune demni-heuire). Fre'.quent chatoujilement de'sagre'able ýt ]a region du larynx. Chiatouillement au larynx, et d'ancemens- en me'me temps dedans (le troisienie jour). 145. Elancemens dans les muscles dui cou.(Ic septi~mejou r). Elan-cemens de'hirans dans le menton et au col, qui se confondent ens~emble, (le sixieme jour). De'chiremens I ' droite au col., immniediatement au dessous de la machoire. Douleur d~chirante 'a' la par7tie dicite dii col, au dcessous et an pea en arrieredel'oeile(eduim et le nieuvie'me jo-ur's)., D'c'hirement da~ns le coke' gauche dii cou, jusque derrie're l'oreille gauche. i 5o. Convulsion dans, les muscles du c6te gauche du-c6u.-.Sensation de resserrement aux deux cokes dui col, en bas,' pres du, tronc (le septi~me jour). -Douleurs nocturnes dans les muscles., comme si la te'te e'tait, restee long-temps dans me. situation ings taM 254DOCTRINE IIOMOEOPATHIQUE. commode, et qui se font aussi sentir pendanrt, le som-P meil (les sixie'me,. septieine et hufiei~me jours).. De~chirement en forme de cramnpe, ýA, et Ja',-,dan~s la ma'choire inf~rienre, surtout an menton (le",troisierme jour)..Tiraillement et de'chirement dan-s la rang-ee finf&rieure gauche des dents, surtouit des incisives (Ics deuxie~me et dixierne jours). 155. Tiraillem~ent, tanto~t 'adroite, itat at u-., che, dlans ]a dent. molaire ýinf~rieure du- fond (les ut!'oisi neme -e-t onzi'm-e Jours). Douleur tiraillante dans la maichoire,'avec &dcaiieu fourm-illan'te daths log de'nts sai~nes. (an. bout de'*nehuf jours). Dpclzi~rem-ent dans les dents molaire~sgdtichts d'en lhaut. Secousseis9oIlee, douloureus6, dan's u'ne- de nt (au bout d'une heure). Violent de'chirement -on-vulsif dans ]a dent molaire posi~rieure inf~rieui'e- dr Oite (le. cin'qumein jo-ur). i6o. Vif tiraillement, soudain et saccade", dans les dents inicisives duhaut et dii bas, en meme temps. Ff ytiradllement'saccad6 daZS' les deux denltsmo-- lairespost~rieures d'en hauw,, ' droite et ktgauche, ini ndes temps diffireris (les sixi~me et huitimere jours). Tiraillement douloureux dans les racines des. dentsý inf~rieures de devant, et en,Mme tem-ps dau e muscles supe'rieurs du con (tc quatrime'rnjour). En~quens dirailleme71s dams les racines des deni1s incisiv'es (le sepfie'me j~our),, ZINC.25 Tiraillement dans les dents incisives supe'rieures gauches (le troisi~rne jour). j 65. Pression tiraillante dans les dents molaires inf~rieures droites. Tiraillement pulsa tif al tern ati vemen t dian s les dents mollaires supe'rieures et infirieures du coke' droit et dui cokt&gauche. Diouleur tirailiante et cUisante dan's la seconde dent molaii'e inf6rieure gauche, qui sort de son. ak. veole et branle, avec gonflement d~e. l glande sousruaxillaire de ceco c6L6, et senDsation de cuisson da-ns les dents molaires supe~rieures (au botit de hunit-jours). Le soir, apres S'&tre endormi, reveiI su.,bit par um, 61ancernent convulsif dans l~a dernie're dent molaire inf6rieure gauche (le cinqui eme jour). La, nuit, 'Iancemens convulsifs dans les dents molaires potrieures supe'rieurres gauches (les huitierne et neuivi erne jours). 170. Elancernens dans learacines de la dent cani~ne superieure gauche et de 1'incisive voisine,. Ardeur douloureuse dans les dents de- devant suPerieiires- et infi~rieures, et en m'me teinscisn~ ]a face inf~rieutre de la langue. Sai~gnement abondant des genci yes. Sailgle ment par les dents et la gencive (le huitie'me jou r).ý Caisson lancinantle atipalais, inmmediaternentpre~s de-s acines des dents ant~rieures et dans ces racines. j.75. Petit ul-cere jaune A la face interne die la joue gauche, douloureux surtout le matin (le t~roiSeuti ment dle fourrniIlenen-t 'a la fa-ce in'erne de la !566 DOCTRIN~E IOMOEOPATHIQUE. joue, comme STi y avait la' une forte ampoule (tre's" prom ptemen t) La petite 61levation que le palais off re derrie're les dents incisines est gonfle'e et doulon reuse au toucher, pendant trois jours (le huitierne jour). Q neiqules eflancemens passagers au bout de ]a ]angue, avec gobitmetallique (lans ]a bouche, et se're'tion abondauite de salive (promptemen).Augrmentation de la secretion salivaire, veYOUz xnetallique dans la bouche, le premier jour. i 8o. 4dagmentation de la se'cretion salivaire, avec fourm/inileii~t ci la fazce i1?terl~e cesjbites (au bout d'un quart d'heure, et toute la. journe'e).. A diner, le palais et ]a gencive sont douloureux en matchant (les huitie'me et neuivieme jours). Douleur simple au. fond du palais et au voile du palais, surtou~t en baiillant (anu bout de quaranlte-hluit heu res). Grattemen t fr~eqtuent et cu isant au fon d d e Ia gorge, comnme dans uin violent coryza. Aui fond de la gorge, senisation comme s'il s'y trou-vait des mucosites, qu'on est oblig6e de temps ený temps de de'tacher avec effo~rt. 185. Expulsion avec: effort d'un muctis verda'tre, fix6 an. fond de Ia gorge:Ia pariie superieure de Ia poitrine est le'gereinent douloureuse, conime si iell se trouivait "a vif (le troisierne jour). Sans, effortsq une grosse maLsse de mucus blancý tom be des arri e're-nariu)es dans Ia bouche (le onzi&' me jour). Sensation de spasrne et de crampe dans la fossette, du cou on la partie supe'rieure de 1'oesophage; sort ZINC* de pression du haut Pn bas, cornmequadon a,AVal e (au bout de quelques minutes). Yif dechirernent convulsif du phairynxdauns'.8rjus.^ dles gauches du cou (le cinquierne jour). M7al de gorge d~chirant, tiraillant, adroite- et a gauche, en a7Tie~re dans lephaiynx, moins sensible quanzd0on avale a' vide (les deuxieine, septie,me et dixie'me jours). 1190 '. Mal de gorge, comme s'il y avait du gonfle.M ment 'a l'inte'ieur (au bout de six jours). Mal de gorgre en avalant, avec tum efaction des amygrdales; l]a gorgre est gonfle'e aussi 'a l'exte'rieur (au bout de huit jours). Fre'quens rapports "a vide, tous les apres-midi. Eructation, rappor~ts 'a vide, mais non sans efforts, nisans pression douloureuse dans la poitrine. Rapports incomplets, avec pre~ssion dans le milieu de le'pine dui dos (au. bout de onze jours).. 195. 1-oquet, pendant une demi-heure (au bout de quatre jours). Le matin, nausees, comme "a la suite -d'un vomitif (le huitieine jour). Serrement de gorge, avec expulsion de mucus sanaft guinolent (au bout de quarante jours). Faim qu'on petit "a peine assouvir (le sixi eme jour),.: Soif bri'lante (le sixieme jour). 200. Diminution de 1'appe'tit. Momns d'appe'tit 'a diner. Repugnance pour la viande, pour les alimens cuits et chauds. Rerpugnance pour le poisson (qui plaisait aupara. -va nt). Les acides paraissent de'ranger I'estomac. MT !ý58 DCTRIN~E H1I0OE0PATHIQtTER. 205.Tgoe stio0'n d iffi c ile. Apres avoir pris quelque chose de doux, A re-s xnciats a gorge une gorgyee acre, qui cause au larynx.UnDe seris'ation de gr~atternent fort de'sagre'able (a4~o.-hLIt;de cinq jours). Sensatio'n edsag~eable ait cardlia et un pea dans i'cesoplzage (aU bhout d'un quart c'heure). Imme'diatement on'u.dui momns peu. de temps apre~s avoir MAnOg,geane pt'nitude et gonflement dui basventre..Une hbeure et deme' prs ndiner tres-modet~r6 ardeur~da~ns 1'estomac, avec rapports et envies de vornir..210. Deux heures apre~s le diner, sensation de~sain grea15Ve dAan's Yestomac et le ba's-ventre, cmm d vautaccompaagn'e de faim (le Ipremei' ju r). Apres avoir. mangOre.pression et cgargyouilleinens dans la partie superieure du. ventre. Serretnient: frequ~ent ' la regoion pre'cordiale (le Onzienlb.6 jour). IResserrement dans la region pre'cordiale. Prsin tI n~inprecordiale. 2 15. Ardeur "a ]a partie supe'ieure de l'estomac, ht Au. fond de la're'gion pre'cordi~ale, pincement oqui aupg Me nte par une in spi rat io n p rofod a ot d'n heUre). Tiraillement dans le creux de I'estomac et att dessous (le premier et le second jour). 'Vive's douleur's dans l'estomiac etl]a region, p re"cordiale (le qilatri~me jour). D~chireinent et edancement clans la regrion, pre~co7r0 cliale et aiti dessous., frequemnmen t repe'tes (les onzierne et dix-huditime jourls). ZINC.259 220.-Douleurs spasmodliq'ues da-ns les h-ypdcon-. drevs,'alterlnant a've'c Floppression deo h--oit ~e etI gen e de la respiration (.Pro'mptemenQ. lancement dans l'hypocondre gauche Elancement 'a la re'gion de la ra*t~e (le onzieme jour). Elan cethent soUrdcii la reg-Jion`de "la -,ate. A la reguion de!a rate, douleurb compressive,an - cina~nte,pro-fonde', que Ia pre'ssion, sur le poin't'doud" loureux augmenite, (les troisie'me et huitie~me jours)!125. Pres'sion -dans lecokcyt aii-che, sin' les fau'sses Cotes. -P ik Ss iob-n'rtbsýexrianteiIar ion de ]a rate-, Pression et'resscrVernIent dans 1'hypocondr Ie gau che (os preif"her et d'irfquie me jours). Pression et ress~orrernent, parrhbrhIens, dainsPhyom con drýe g taceý..!-Di&hiretn~ehut, 'priession e6t-tirai-li~emen~tpar 'bbs, dans IPhypocO'ndre'dirit (les qU'atr'ieme h uitiemfe et neriine jours) 2 30., Serre mehnCda u ns 1Fhypocon dre droit -et' tou'ts n eii rdrcoe d 1s61a's-veitre; conhie produ1itpa des vent's qu~i se de"pIacetit, et pills sensible pend'ant kx-ino'uverrie6t (I dixie~me jour).,Presson; re'sserrement et pin-cemnent -sur -un petit point "a la region he'patique (les troisie'me et hultierna Pi'essi*6n 'et serrernen t f a r6grio'n da 'f6ie. Pression dans Iec6c t6' droit, sur un petit point des dewnijies-,v'raies'c6tes Ap~ ee- soupr, i ncem es vif'set coivblsifsdans ]a i-egiop he'patiqiie (le onzierne jour)., ýý S5 ih ~ipitd~ panie superieure dui ven~t ve, hdiloite, tali (dess SAIts di~in bril, d o ule ux lun't. ,26o 260 DOCTRINE IEO1WOIOPATHIQIJE. cinante sourde, cause'e comme par tin ulce're interne, que le contact et le mouvement augmentent (les, cmquie'me et neuvie'me jours). Elancemens dans ]a region dui foie et la hanche droite (le sixie'me jour). De'hirement par momens dans, la regoion dui foie (le huitie~me jour). Pression ge'nerale dans, le bas-ventre (le quatrie~me jour).I Pression dans, le bas-ventre, 'a droite, en has, im.nudiatement 'a la hanche (le neuvi'me jou'r).!240. Gonflement dui bas-ventre, qui cauise du resserrement, depuis ]a region pre~cordiale jusqU'aa des-. sous, de 1'ombilic, avec sensibilit6' de la paupiere saperiekire droite (le cinquie~me jour). Pression 'a gauche, dans le ventre, sous [es dernieres W~es, qui augmente quand on attire la peau du ventre vers le dos., avec sensation de tension. Vive pression entre la region pre'cordiale et l'omblilic, augmentant par la retraction de l'ombilic, d'oi'A r'sultent des rapports, que 1'application de la -main dirni nue. Sensation de pression dans le bas-.ventre, jusqu'au comnmencement de I'ure~tre, avec un peude fourmil.. lement. IBeaucoup de vents'avec pression dans Ie has-yen.. tre, apres, avoir pris une petite quantite" d'alhnens (lc deuxie'me jour). 2,45. Vers, le soir, gonflernen t dui bas-ventre par des vents,7 qui de temps en temps sortent inodores (le quatr1i1fle jour). Beaucoup de vents dans, le bas-ventre,'qui ne sortent pas; puis colique venteuse, pen apre's la sortie ZINC.. 261 de table, que le mouvement et la marche augmentent. Apres avoir mange, le ventre est plein de suite et conme distendu par des vents (au bout de vingtquatre heures). forte pression dans les hypocondres et les c4te's du ventre (aussi dans le dos), qui semble dependre d'un ainas de vents, et 9Wi se manifeste dt s le matin, dans le lit; en marchant la douleur augmente, sans qu'il sorte de vents; apr's une selle, elle ne dimninue pas beaucoup; le mal se renotwelle dits qu'on vient a' Marcher, plusieursfours de suite (au bout de deux jours). Pression, sourde dans le bas-ventre, sur un point peu &tendu, a' droite, an peu au dessous de l'orbilic, qui augnente par l'application, de la main, ainsi que par la r7e'traction du ventre, comme s'il y avait uine induration, a "'inurieur. 250. Le matin, dams le lit, r;e'tention de vents', cari sant comme une douleur de colique, avec gargouullernens bnuyans dans le bas-rentre (au bout de quatre jours). Accumulation de vents dans le bas-ventre, qui font sortir les hemorrhoides internes, lesquelles causent une douleur extreme, surtout quand on estcouch6 (au bout de quelques heures). Sans souper, le ventre se gonfle beaucoup, le soir, en allant se coucher (au bout de deux jours). Accumulation et deplacenent de vents dans le ventre, avec colique venteuse, le soir (au bout de douze heures). Les vents tourmentent beaucoup. 255. Mouvement des vents dans le bas-ventire (bient6t). .262 ]DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. Colique venteuse causant Une douleur compres.. sive. Peu apre~s un sooper me'diocre', pression dans le miflieu. duibas-ven ire (le cjnatrierne joulr). Mal de ventre sour(I, corume tin comnme~ncemient de colique. Tension dans les deux co'tes du has-Yen ire (le pr~e. mier jour,. 260. Sentiment de tension an dessuis d~e 1'ornibilic, avec malaise 'a la re'gion pre'cordiale ( an bout d'un quart d'heuire ) Tension donlon reuise dans le co't6 gcauche dui hasyenire, Soulagyce par' tes rap ports ( le premier jour). Parlfois violens inaux (le ventre, avec niause'es et flux de salive; il vient souvent 'a ]a bouchc du i ucuIs fifide, qui de'truit touit appe'tit. Gr-ands gargouillernens bruiyans et fre'quens dans l~e ventrte, sans d ouleir (au bout de douize hen res ). IBorborygmes COnside'rables et fre'qucns dans le bas-ventre. 2,635. Le matin, beaucoup de borborygrnes dans le ventre. Borborygmes et bruit dans le bas-ventre, le matin (au bout d~e deux jonrs) Fre~queDs gat'gouillemiens dans le haut et le bas dui ventre(au bout de sept, neuf, dix joirs). Apr's le diner et ie sonper, pression coninre cais~ee par des vents, - cietla" dans le bas-ventre, qne ]a marche con vertit en e'Ianceincns, et qu'une e'mission de -vents fait enfin cesser. Elancemen~s dans le ix,,s-veniire, qui est gonfle'. 270. Elan cesMens semiblables 'a des COtips d'6pingyle, dans le bas-ventre ( le quatri'Lne jouir). ZINC@ 9. q 3, Vives douleurs lancinantes'dans le ventre, comme si les intest ins e'aient perce's avec des aigyuilles fines, par acces ( le 1i'oisie~me jour). Elancemnent de'hirant en travers, au. dessus de la region ombilicale (le cinquie'tne jour ). Elancemens brcilans dans le bas-ventre ( le huitieme jouir) Eiancem-rent vif, de'chirant, "a gauiche, dans le has-. ventre, imimediatemient apre's la sortie de quciques vents (le sixie~me jour)!27a. De'chirernent 'a la partie supe'rieure du, ventre. Courte sensation de dechiremept en travers dui ventre, imme'diatement au. dessous de I'ombilic ( le premier jour) Pincernent lancinant dews la r~gion ombilica'le.. Pin cement tensif, puis dotileurs lancinantessouirjes dans tout le ventre, plrincip~ilement vers la. ergion prkcordiale, plus sensibles quand on se rem-ue e~t qu'on. retracte le bas-ventre. ( le neuivieme jour) Elancemens d6chirans dans ]a region ombilica'e (le buitie'me jour) 286. De'chirement sourd "a une grande profondeur, dans la partie gauche dui bas-ventre, cau voisinagye d`ý ]a cuisse (Iroite, qui se diriare vers P'aine et se' r~p'ete sotivent ( les sep~t ie'me et huitieme jours ). De'chireinent sotird et partant de la r~gioni coxale6 gauiche, hi une grande profondeur dans le co'te gauc'he dii bas-ventre. Sensation07 de cuisson et de pulsation lente dani Pl'tdri~eur cia cote gauche, stir les fausses cdtes.Dansleco'te droit dii bas-ventre, sensation comme STi se trouvait kIa une partie contuse ( le premiker jour) 2ý64 DOCTRINE HO0MOEOPATFIIQUE. Pression doulourease a" la re'gionpu~bienne, pen'dant quatre fours (le prem-ier jour). 285. Pression convulsive dans la reogion inguinale 'droite ( le huitie'me jour) Sensation douloureuse d'e'tranglement dans la re'gio'n de 1'aine gauche, comme s'iI allait y survenir une hernie ( au bout de quatre heures et demie). 11 apparait une hernie in~guinale (au. bout de tre'ntesept jours) Pression lancinante un pen au dessus de la region inguinale. Etant assis, douleur tiraillante dans la region inguinale gauche ( au bout de cinq, sept heures '). 290g. Tiraillernenta' plusicurs rep rises dans la region inguinale gauche ( les premiers jours) Douleur fourmillante dans la re'gýion inguinale gauche, alternant avec des tiraillern-ens, qui trouble le soinmeil (]a premie~re nuit ). Pression et tiraillement dans ]a region du pubis et 'des. ames, pendant plusieurs jours. Tanto'4t une pressi 6on tiraillante, tantdt an d~c1iremzent dans la regi.On rdnale droite. Pression lancinaizte danZS les cleux 7r;Sio nS nga le s. 295. Douleur compressive et lancinante dans la region ren ale. Pression violente et quelquefois constrictive dans ]a region renale gauche ( les huitiernie et neuvie~me jours) Pression dans ]a r~gion lombaire gauche. Serrement au dessus de la hanche gauche, en ar-rie~re,' dans la region re'nale. De'chuiiementIan cinant daps la region r mn ale dvoitQ. ZINC. 2,65 300. NJ dclhirement par acce~s dans la rn'gion refnale gauche. La r6grion re'nale gauche est douloureuse, comme lancinante et contuse, en se ten~ant debout et en marchant ( au. botit de deux jours) Elaceren aius par' acces, dans la. re'gion'r D ale gauche,( les premier, dixieme et onzie'me jours ). Elancemnent sourd dans le co'te droit dui ventre, en arri~re, pres de la region lombaire ( le neuvie~me jour) Elancemens sourds et pression. dans la re~gion loinbaire droite ( les deuxieme, troisie~me et quatrie~me jours) 3o5. De'chirement dans ]a region re'nale droite (les, huitie~me et neuvierne jours ). La region re~nale gauche est sensible au. toucher (le huitie~me jour). Douleur "a la re'gion re'nale, comme si elle e'tait excorie'e. Emission f-requ ente de vents ( le premier j our). Le soir ( plusieurs jours, de suite ), emnission fre'quente de vents tre~s-bruyans, d'abord inodores, ensuite f~tides, sanisincorn-modit~s cause'es par eux dans le bas-ventre. 3i1o. Mouvement dans le bas-ventre et envie d'aller a la. selle ( te'~s-promptement) Mat de ventre, commne s'il allait survenir de la diarrh~e'e(Ic sixiehme jour ). Mat de ventre "a chaque selle et "a chaque e'mission. de. vents ( au. bout de six jouirs) Apr's une selle s elie, pression douloureuse dans le bas-ventre. 06 ~66 D0CTRIJYIE 110M01OPATHIQUEO Apres une bonne selle, douleur lanciniante dans le bas-ventre ( au. bout de cinq jours ). 3 15. Mal de ventre apre~s une selle copieis~e. ZDiarrhe'e en bouillie, pendant plusien rs jours,' sans douletir, avec senlemnert un pen do tenesrne " a fih, comme s'il restait encore quelque chose at sortir. Dans ]a journe'e, plusieur'g selles molles, pr'ce'd~ese de ma! an Yen'tre; Ia selle elle-me~me est envelop p~e de sang e'cumeux, d'un. rouge clair (le premier j our). La selle est pluis liquid~e et plus facile qu'h 1'o'rdi-- inaire ( au boult de six heures ) (1). S'elle, le premier jour, grumeleuse et envelopp~e' de sang y enined, les jours sulivans, tre's-ferme 'et Pe. nDible. 320. Constipation (pendant tout le temps, pendant le premier temps de l'expe'rience) Constipation, quoiqu'on epronve queique ehvie d'aller "a ]a selle( les troisie'ine, huiti~me et neu.vie~me jours ) Selle se~che, pen. abondante, tous les deux ou trois jours seulernent. Selle seche, qni ne satisfait pas au besoin, qu'on eprouve ( les deuxieune, quatrie~ine, cinquienfie et sixie'me jours ). Selle tre's-dure, difficile ( pendant tout le temps, pendant le premier ternps de 1'expe'rience) (i) Tout rniedicamcnt dont le premier efl'et est d'endurcir et de r'etarder les Selles produit cependant, du'rant les prernie~es heures, des selles quc~iquefois ni~:e ni oll 'es et abondantes, lors-. ju'il 6st pris A% harute dose, surtout par des personnes qui ont babituellement le ventre paresseuXII ZINCW 47.. 325. La, premiere partie de la selle lest duirp,; le reste de'vient m-ouL et sort aise~me"nt ( le treizilre'm jour) Selle visqueuse, pexu aboridante, suivie de t&.inesmle, de chaleur et d'ardeui*'a I 'anus ( le dixime"M jour ). 1.Selle visqineuse, d'un jaune clair, causant des e 'ancemens dans l'anus (le douzi eme jour) IDepuis le rectum jusqu e dan's le bas-ventre, douleur compressive et perforanle, quil ne permet pa~s de s'asseoir ( an bo'ut de quatre ~joiirs). Le rectum semble tres-presse par des vents, e't &ependant it n'en sort pas. 33o. 1EAancein~ens convulsifs dans le rectum, jus-. qu' I a base de!a verge. El~ancemens dans I'anus (le dixieme jour) Elan cement effrayant, rapide corn me 1'&Iair, depuis l'ah~us jusque dans le rectum ( an bout de trois jours). De~chirement par inte'rvalles a% 1'anus ( le quatrimein jour). De'chirement ~ 'a 1anus ( le cinquie'me jour). 335. Cuisson br~udante et douloureuse dans 1'anus (le premier soit'). Le matin, 61ancement fourmillant dans l'anus. Sensation de fourmillement et decompression dans 1'an~us (le sixierne jour ). Fourmillement cuisant dans l'anus. Fourmzillemerit dans 1'anus, cornine s'il y avait des vers. 340. Violent prurit..dans 1'anus (souvent,. partir dui quatrie'me jour) 2.68 D0CTIRI]E HOMOEO1'ATHIQTJE. V~iolent et fr~~quent prutrit dans l'anus ( presque tons les jours de 1'expe'rience ). I Prurit dans l'anus, qui se termine par une douleu'r sourde(le quatrirnie jour). Pression, sur la. vessie, qui ne porte cependant pas Suriner. L'urine cause beaucoup de pression dans la. vessie (au. bout de quatre jours). 345. Emission fre'quente et uxi pea, plus copieuse d'une urine claire cornme de l'eaui jusqu'a' la teinte jaune citrine (les premiers jours). Enormies envies d'uriner; le sujet rend beaucoup d'urine. Apre's ininuit, plusieurs emissions d'urine pea, abondante,1 mais d'un jaune tre~s-clair. L'urine, d'un jaune tre's-clair, depose des flocons blanch Atres apre's un long repos (le premier jour),. L'urine, d'abord d'un jaun'e orange et limpide, de'pose ensuite un sedimnent floconneux (le troisi6.me jour) 35o. L'urine a iine couleur rougea'tre. L'urine de la nuit est le matin loute'trouble et de couleur argilleuse ( au. boikit de deux jours et plus tard ). Apre's une emnission douloureuse d'urine, ii sort d u sag paIur'tre. Prurit dans l'urtetre (au bout de trente-six heures). Elancement 'a loriflce de l'ure,tre (le oiizieme jour). 355. Elancement rapide comme l'&!lair lelong de Treted'avant en arrie're ( au. bout de deux jours) De'hirernent vif 'a la partie rnoyenne de l'ure~tre, d'arrie're en avant( lAe Cinqui enie jour ). ZINC. 269 Le soir, tant assis, de'chiremen t 'a 1'orifice de 1'uretre ( au bout de trois jours) De'chirement tiraillant, dans la partie ante'rieure de 1u'uP tre ( les troisie~me e{ septie'me jours) Tiraillemzent douloureux dans lapartie antdrieure de l'are"tre et de la veig-e. 36o. Tiraillement fourmillant sensible dans l'u-. er tre, qul part du bas-ventre. Caisson et de'chirement "a1'orifice de 1'ure~tre, en n'urinant pas ( le dixienme jour) De~chir'ement et tiraillement dans la partie ant&.am ricure de l'Liretre. Apre's avoir urine', cuisson dans l'orifice de I'ure~tre (le troisi eme jour). D'aboird 'a une grande profondeur dans le-hasventre, pres des parties grenitales, un 6lan cemnent sourd, puis, "a la racine de la verge., un tiraille'ment d~chirant ( le huitieine jour). 365. D~chirement a 1'extre"mite" du gland. La partie ante'rieure de 1'ur~tre cause de Iacuisson, comme si elle eftait ulce'ree, hors des mom ens oii l'on urine.. Convulsion douloureuse %i la racine de la verge. iIlancemens sourds, -a plusieurs reprises, dans le gland, qui remiontent du scrotumi. Frissonnement au scrotum et aux parties voisines, comime lorsqu'on a ]a chair de poule. 370. Frissonnement au scrotum, qui se fronce.' Froncement du scrotumn (le deu~xie~me jour). Plus'i~eu'rs soirees de suite, fort prurit, presque cuisant, au scrotum, que l'action de se gratter n'apais point. Sur, le cokt' du scrotum, un petit boutort rouge, ~7O DOCTRINE 3H3OMCOPATHIQUE autour de la racine d'un poil, qui cause de ]a cui"sson,. et dure trois, jours (le cinquie'me jour). Sentiment de cuisson au, co'le'gauche dui serotum, dans 1'endroit oiui ii s'applique ý ]a cuisse (les dleuxieme et troisieme joi.irs). 375. Sensation d'excoriation au cote ga-inche d1a scrotum et a la. partie correspondante de' ]a -ciisse. Douleur dans l~e testicule droit, surtout qu~and on y touche (le troisi-enne jour). iDancernens passagers, sembl'ables at une pres~sion, dans le testicule gauche, pendant le repos (au -bout de six lieu res). D~uleur tiraillante dans les testicules. Tiraillemlent d~ans le testicule droit, puis, da'ns le gauche. 38o. Doufleur fourmillanlte, tiraillante, dans Iles' testicuile's, suirtout-en,s'lasseyant et se baiss'ant, petidant plusl~eurs jouirs. Tirailleinens frquens, qui rem on tent. de~s testicudes, le' long cdit cordoiz (les deuxieme~, troi-siei-ne jours). Douleur compressive, fourmillante, et tiraillemen~t dans le testicule gauche, qýui reinonte parfoý I e long du cordon. Le testicule droit est r~etracte, un p.eu doffdoureux at gonfle', (les de~ux premiers jouirs). Le testjicule iauchie est retra.cte, un peiirgonflet douILoI~reuyx. 385'. Eredtioxl violente et p.ro]ong~e, avec pression dans le bas.-ventre_. ' Pollu1tions, sans, reves voluiptuecuxdeux nui~t:s d-e suite (esp~echitieme nuits). ýGrande d'is'positian a I1'acte'vWn6ri'0n, qiuoiqe1e ZINC. 7 jaculation soit difficile et presque i~mpossible (au bout de quararnte.-huit heuires). Pi'ession clans les parties ge'nitales et dans, le rec. turn (au bout de treize'jours). Chez tine fenrume en couches, les lochies se suppriiment, et Ie lait diminue clans les se'ins. 390o. Les re'gles, stupprimees (lepuis trois mois, reparaissent, avec p~lieur et rougeur alternatives de la ftace* LObstruction dui nez (au bout de quatorze jo urs) Obstruction des deux narines; en dormant; le -sajet 'est oblige" de rester ]a bouche ouverte, ne pou.vant point firer d'air par le nez (au. bout de cinci jours). Augmentation de la secretion nasale, sans coryz (au bout de d~ouze jours'). Eteriwement, a' la suite d'un fourmillernent de'cliirant clans le nez, le soir. 395. Eternuiiemens frequens, sans coryza. Coryza fluent, pend'ant 1'action dii zinc; ensui"te coryza sec. Enrouement; la poitrine est comme reruplie di rnucosites. En'ronement, avec ardeur, dans Ia trache~e-arte,'e. La poitrine est coin me 'a vif (au bout de quatorze jours). 4oo. Sensation dans, 'a. poitrine, colinme si elle eftait' at viE, avec chale'ur et sucur 1a nit t(a'u bout de treize jours). La tussi'u'lation d~tache beaucoup- de mutcus' de ]a poitrine (au bout de seize heures). Toux courte, excite~e pa,,r un chatonillernent au-. dess'ous du' sternum~ (le quatneibe jour), '9'7!2 -DOCTRINE IIOMOEOPATIIIQUE. Toux le jour et la nuit, avec crachats 6'pais, comme du pus (au bout de dix-huit jours). TOuiX avec crachats muqueux, visqueux., comme (lans tin ancien coryza, et, apres 'e~xpuit~ion, sensation de vacuite' et de froid dans ]a poitrine. 4o5. Le sujet crache, apre's avoir tousse", du mucus teint de sang, 'a laa suite d'un point de co'te (au bout de quarante j ours). iElancemiens dans la poitrine, qui ne Iaissenf pas dormir de toute la nuit, avec pen de soif (an bout de vingt-deux jours). Toux presque toujours, seche, avec des e'l'ancemens insupportables dans la poitrine, et la me'me sensation que si elle allait se de'chirer; on a souvent de la peine "a respirer et parler. Elancernens dans le co'te' gauche de la poitrine, qui deviennent quelquefois tre's-violens. -Violens e'1ancernens dlans le, c6t6" gauche, qui diininuent datis I'expiration, et augmentent dans 1inspiration. 41o. Le soir, e'tant debout, ef1ancemens dans le cot gauche de la poitrine, avec sentimient de brisure dans cette partie (au bout de trois jours). Yifs e'lancemens "a ]a regoion du coe ur, qu'augmnente une forte expiration (le neuvie'me jour) Vifs d'ancemens 'a une grande profondeur dans le cPt6 droit de la poitrine. Le soir, ~1ancemens sous le cocur, semblables 'a un point dec0t6 (le rieuvie~me jour). Le soir, e'Iancemens aui-d-essus du coeur (Ie Vingtquatri~ne jour). 4 15. Elan cemnent sourd "a la partie superieure dii c Ot6 gauche de la poitrine (les cinquie'me et sixie~ine jours). fýIancement sourd dans le cot6 droit de ]a poitrine (le neuvie~me jour). Un. lancement an-dessous du mamelon droit (le -huitie'ine jour). I Douleur lancinante sur une place large comme la main, au c6te gauche de Ia. poitrine, avec la. meme sensation que si cette partie e'tait meuirtrie (au bout de d-ix heures). flancemient soui'd, ht droite, sur les fausses, c6tes (les septierne et neuvie'me jours). 420. Elancemnent sourd sons le sternum, en mnangeant (le chiquie'ine jouLr'). Vif de'chirement lancinant dans le co~te gauche de la. poitrine (an bout de dix jours).I IElanceinens de'chirans un pen au-desso~us de 1Pais-. selle, peu 'a pen. et de plus en plus fre'quens, 'a la. suite desquels ii reste une sensation d'excoriation dans la pa rtie.ý Elanceinent sourd et tension sous l'aisselle droite, dans la poitrine (les septieme et neuvieme jours). Pression, lancinante continue, qni augmente surtout quandbn. expire avec; force, dans le co't6 droit de la. poitrifle' Z125. Yive pression. dans le c6t6 droit de la poi.v trine, pre's de 1'aisselle. Pression dchciirante a' lapartie inf~r'i~eure dui co6tt gauche de la poitrine. Pression par' intervalles, du d edans ani dehors, et tension tiraillante ýai et la' dans le c ot6 goauche de la poitrine. Pression tiraillante (rhumatismale ), qui augrmente pen h pen, imme'diatement an-dessons de la clavicule, pre~s de l'articulation Ott Ibras droit. if. I ,274 274 fDOCTRIN~E HQMO1FOPATHIQUE. De'chirement dans, le coke" droit de la poitrine- (le onzie~me jour). 43p. De'hirenment au-dessous de 1'aissell-e gauche (le troisie~me jour). D~e'hirement sur les., cokes supe~ri~eures droites, presque dans le dos ( au bou~t de onze jouirs). De'chirernent sourd dcans ýa poitrine, au-dessus de la ie'giofl pre'ordiale (le htiiti~me jour). Douleurs tengives suir la poitrine (lc premnier jour). Pression sur la poitrine., qui part de la recgion pile -oo-rdha'e, s'irradie en haut, et disparalt par des rapp~orts (le huitieme jour). 435. Le matin, pre'ssion 5'ur1'lextre'mite" droitc e,a clavicule gauche ( le! di xierne jour). Pressio'n tan tot sur un point, tantot sur un autre, lans ]a poitrin'e. iDouleur compressive dans ]a, poitrine (au byp, d'une, heure et demie),et a'insi al1tern ativ erneut (1es, 'deux~prerniers jou~rs). ]rxeSsi-Onsu~r la, poi~trine, cjui parait comrn me dependreý d'un, rhfrniatismne et d'uri. deplacentient de, ve,,uts. Pression sur la partie supei'icuire du sternum, apres je di1perl~pendanrt, Ionag-te tups (le premier jour). 440o. PresSOsioutr ]a partie iinf~ieure d~e ]I, poitrine, gpn sort~a,,i.t,449 tab~e, pendant lopgNrp I~duin jour). De tu~pei)mps, eIsSOsion su rdivers points dui A tr ga~uch.e de a, apo~itrinle. Douleur sourde, surtout dans le cote droit; le.sag rg parait traerser avec peine le poumno. Pression au idessous (du marnelon gauche,( le leuxiieme jour>, Douleur compressive et cuistn te aut-our. du ma. melon droit. 445. Pelt it iiailirerept aiga autour. du mamelon ga~uche; puius auss-i sensation de douleur eu~sante, qui deogenere en ctisson pulsative. dou lo-ureuse. Pression et 7oppression d& P oitrine ( A-11bout de sep~t heu~re5)-,. Oppression d~e poi-trine (prom-ptement).. La-. respi-ra-tion est pins gene'e q&~al'oDinircle pre mi-er j ou,- )~ La poitrine est opprirn'e le matin' ([e quar ori'~lkoe jour>, 453o. Douleu r pe"riodi pieet'constriactive de poftvioin~ axvec naios~esý,c le mavun (l-e &deiima jour) La respiration esr t-t'~s-faed ei -a -iji3trs Pinicemeuit etcge'ne douloureu-Se dans ]a poitrinej P6,rib-dti~qu'e men t. En, alHarit tangranad) air aP itn'ine est o meser~ rtee par un lien (le deuxierne jour).J. PJe, twUx'soirs dzsuite, resserretn-eent d&poitrin6', ec e'lancemnentsourd etpre'ssoio sur le miiudi se nMUM e pui etit ýetcvite (Ies. cl'uxii6ue et troi-. 4,55. r uen s atte ens ceJ cei' sansait notable (au Ibout d~e' deu'x jtr Le-s;rnaltx de poi-trihe sonDtPi lus'vi-fscpiand l"esuj~et se rernue, qn'il le6ve pielque chose, ou qu'i~l saisit uh,obi.. etA aý&et'`lIes mais Ariýde'urdclans lk c 't adkoi t de Ihicp-oltvi n'e (1b Ae uxkieme jourl). Forte ader'deans 1e,- 4trzM gache dc I'141p ýirhne ~aiissi T6,oai~zille,jour> 2ý6 276 DOCTRIINE HQMOEOPATHIQUEO Ardeur au-des 'sus da mamelon gauche. 46o. Ard cur, un peu aN droite, pIsde Ia r gronpr cordiale, sur un petit point de la poitrine. A rdeur sur ]a partie droite de la poitrine, en apparence dans la peau, qui se re'pand ensuite dans le ocet'droit et sur le dos (le cinquie'me jour). Craquement dans le sternum en marchant. Pression sur l'e'pine du dos, au-dessus dui sternum. rriraillement dans le sternum et I'e'pine dui dos, qui cause une sensation douloureuse de faiblesse en s'asscyant et se baissant.11 465. Tiraillement hincinant dans le sacruni (les troisie~me et quatrie~me jours). Pression bri'dante sur l'e'pine dui dos, un pea audessus dui sacnum (le quatrie'me jour). Douleur rhumatismnale tensive dans 1'e'pine dui dos.I Tension et pression au dessous de 1'omoplate droite, en descendant le long dui dos et remontant vers l'aisselle. Entre les omoplates, pre's du bond de la droite, pression tensive sun 'un petit point. 470. Pression doulouneuse 'a droite, dans le dos, irnmefdiateinent le long dui milieu de l'e'pine. Pression et tension dans le dos, au dessous de l'omoplate droite (le troisie~me jour). Elancernens, sounds dans le dos, au dessous de, 1'ornoplate droite (le neuvienne jour). Elanceifent sourd, convullsif, immn~diatement au dessous et le long de l'omoplate gauche, dans le dos.I Fore pess~n,~idroite, Sunl,'Ipine dui dos, in-~ m~diatemfent atl'omoplate, droite (le septieme jour), 7,,INC. 9-77 475. ElaencemenSsourdls et PreSSio7z au bord inzterne de l'omoplate droite. Yif Iancement dans "le dos, imme'diatement 'a la partie supe'rieure de 11'omoplate droite, quii se fait surtout sentir pendant les rapports (pendant phisicurs jours). De'chirement bri'lant entre1' I pine dui dos et l1omoplate droite (le onzirnie jouir). Raideur et douleur des muscles supe'rieurs du dos, surlout quand on se rernue (la troisie'me nuit, revenant quatre nuits de suite,'et disparaissant aui jour). Sensation de tension, semblable "a celle que produirait un emp1a'tre de poix, pres dui bord interne de 1'omoplate ciroite.' 48o. De'chirement dans 1'onoplate droite (le onzkeme jouir). Tres-vives douleurs rhumatismales tensives, dans les regoions re'nale et lombaire, et sur les, paules (le huitierne jour). Ardeur dauls le coke' gauche et. dans 1'omoplate gauiche (les Cinquie'nie et olizie'me jours). Chaleur briujiante suir la peau de 1'omoplate droite (le cinquie~me jour). Le matin, raideuir et douleur des muscles de la nluque et des muscles supe~rieuirs dui dos, qui revient pendant pIlusieurs matine's, et se, dissipe dans la journe~e. 485.. Le co't6 gauche de la nuique est spasmodiquement raide (le prem-ier jour). A droite en arri'i'e, "a 1'exte'rieur dii cou, un d&.u chirement sourd. IDechiremne nten arrie'l-e, dqim 0e t ri i lecou".ritd IDOCTIRINE HOMOEOPATHIQIIE. Adroite, en a~rri~ere et en bas, avu col,,d'cb're nment lancinant stir un pelit point. Dotuleur au co'te'.d roit d t col, jusqu',a ' JeP~auie,,av-ec raideur de ces partie~s, le inatin, dans 16 lit, qui ýse dissipe dans ]a journe'e, et revient plusieurs mnati-r necs de suite ( le troisieme jour). 490. D "hirernent Ian cinant stir le haut de I'~paule droite. Dfhiernet sur N'paule dr~oite ( le deuxi'i-me jour"). Pression de'chirante, "a gauche, sur lk'paule,- 1i OtIi commence le cou. Tension et de~chirement sourd dans l'artliculati~xx dui bras gauche (le premier jouir). Tension' rhumatismale et dekhirement dans 1Fa`rticulation de I'e'paule droite (le quatrie'rne jour). 4,95. Tension rhumatismale dans ]a tI'te do FI'hm&rus, gau che. Petits boutons, semblables A des furoncles, dans Iesijeolx a'isselles. Tiraillernent rhumatismal, tres's~ensible,Cdu, sornmiet de e'~paule au muscle dehtoide des dIeux, bras,. qui augrrnente quand on le~ve le br-as (Ie deuxi~m'e jour). De'chirement au. dessous du, bra's gauche, jusqu e dan~s 1aisselle ( le cinqUkeme jour). Ardcu r dans I'aisselle gauche (le troisi~me jou1r). 5oo. De'chirement laiicinant sourd dans I' aiss'elle droite. 'Pans les deu~x aisselles, sensation d'rosion suirun petit point, comime apre's un coupR, Deohireinent en arrie're au bras gauce onli de 1'aisselle. Ziýc. Petit de'chi-rement dans le bras gauche, non loini de 1'articulation de 1'e'paule (le septi erne jour)., Un gros furoncleaubtas gauchie (au bout de trentect-u1n jbu rs). 5o5. Ardenr cuisante stir ]a peati du bra's'gauche, au cote" pos~r'ieur et superieur ( le dixieme jour). Dboieur rhurnatism~ale dans les muscles delto~ldes des deux bras ( le premier jour). DWchirement' dans les deiix bras, q'ui desce~ndent des muscles deltoides (le prem-ier jour). De'ifirement, par mom ens, dans le miliieu du bras ganche, sur son cote interne. Douleur sourde dans te bra's droit ( au bout de tr'oijs hemire's). 5i1o. Tressaillement dans le bras gauche. De'chirement dans le's muscles du bras, tout pr'es du. plidu bras droit ( les septie'me et h u it ime M' jours). Tiraillement d~ans le bras gauche, imme'diatem'en't a P'articulation dui coude. De'hirement (lans le bras gauche, im-mediatement 'a l'articula lion du coude ( le Onzierne jour). Piression rhumalismale dlans les de-ux coudes. 5 [5. TirailLement rhurnatismal dans le coude droit. De~chit-rnent dans le pli du bras. Vijf dekchi em nen t dans lavan i-bras gauche, pinci paletnent dans sa inoiti6' supe'uieure. Douleur, tiraillante dans l'avant-brAs gauche, qui a l'air d etre sur I'os (au bout de cinq heures). Chaleur bri'lante's ur ]a peau de Pavant-bras gauiche. 52.0. Eruption de boutonis 'a 'av'ant-bras, qui d6. !z8o 280-DOCTRINE IIOMOEOPATHIQUE. inangent beaucoup dans ]a journee, sans qile la. cha.. leur inte~rieure en soit c ause. Les mzuscles de l'a val-t- bras goauche son2t loulou.reux, quand 072 j toZache et qa 'on tourne le bras, cozmme s'ils avaient r-efit des coups, et lear partie epaisse est quelquefois le sie'ge de d~chiremnens (les deuxieme, troisieme, cinquierre jours, et, plus tard, fre~quemment). De'chirement sourd dans les muscles du co't6 interne de 1'avant-bras droit, non loin du ph du bras (he deuxieme jour). Chaleur briilante sur 1'avant - bras grauche, ]a nuit (au bout de six jours). Tension rhumatismale an' dessuis de l'Itarticulation du poignet gauche. 525. Tiraillement rhurnatismal dans he poignet 'droit. Defchiremerit dans l'articulatiori de la. Main droite (Je troisie~me jour). De'chirement dans l'inte'rieur du carpe. Pression de'chirante dans 1'inte'rieur du carpe gaudcie, pre's de 1'os pisiforme. De~chirement dans le pli du poignet gauche, avec 'des e'Iancemens de'chirans dans he dos de ha main (le sixi~me jour). 53o. D'chiirement lancinant dans le phi du poigynet droit (le septie~me jour). Yif dechirernent 'a l'inte'rieur de ]a main droite, irmmediatement au dessous (le I'articulation. En jouant du chavecin, raidem, et sorte de cramnpe, sur le dos de la main, danis los imuscles extcnseurs du rouce (he premier jour). Cuisson sur lc dos de Ia main droite, juisqu'au des ZINC* 281 sus, de 1'articulation, comme.s'il allait-y survenir iine eruptioln. D~chirement anz dos de la Main d]roite, pre's de l'articzzdation, sar les os m~acarpiens cia quatrii~me et' di cinquie'me doigts, et danZs l'articulation. ellememe. 535. D'ehirement dans 1'os mn'tacarpien du. doigt indicateur gauche. De'hirement dans 1Fos nie'tacarpien du doigrt idi-. cateur droit. De'chirement sur le dos de la main gauche, pr~s de 1'articulation (le troisieme jour). D'c12iremens, tantdt dans le dos de; la main droite, tanto4t dans cehui de la gaitche, souvent repetes. De'chirement dans ]a paume de la main droite, pres des doigts (le cinquie~me jour et ensuite sonvent ). 54o. Dechirement lancinant dans le creux de la main droite, au voisinage du petit doigt. Tension de'hirante dans Ie creax de la main droite (le onzi eme jour). Tiraillement d~chirant dans la paume de la main gauiche, entre le pouce et le doigt indicateur (le troisieme jour). Pression 'a I''minence the'nar de la main gauche. Faiblesse des mains, qui treinbient, en 6crivant (au bout de deux jours). 54 5. Froid aux mains (au bout de, huit heur~es). Fro~id qui rend les mains raides, surtout la droite. La mnain droite est bleud'tre, comme Morte, Pesante et insensible; le pou's y est petit, ti peine Perceptible, fiq0forme; elle parait comnme comzpblernent DOCTRINE HOMdEOPATHXQUE. pa lyse'e etat yt-i se renowr'eile soti vent, tgid tine Iteure. Ardeuir "a Iapeau dui coin de la. main droit'e, au dessou's du petit -doigi ( le' troisie'me: jour). PDchirement sur ]a dernie're articulation 'du petit doigrt de la. main droite (le deuxienme jour). 55o. Deehirement dan's ]a* dernie're phalan g-e-di petit doigrt de la, main droite (le dixierne jour).Vif dechirezn-en't lancinjant dans, I'Articulation sup6 -ricur'e du poiice droit (le deuxieme jour). Elancemens de'chirans dans les articulations me'dianes des trois derniers doigts des deux mains ( les quatrierne, dixie*rme et onzi rnie jours). Pression douloureuse dans 1'articulation me'diane dui doigrt indicateur droit. Tiraillernent de'hirant dans les articulations ante" rienres (les doitrts annulaire et me'luus gauches. 5~50. Pression douloureuse, par intervalles, dans l'articulation inf6rieure du doigrt indicateUi' droit, en dedans. De'hirement dans 1Farticulation inf~rieure dui dojatb indi~cateur droit. De'chirelnelt clans les articulation2s et les phalan.g-es inft;ieures des doigis de la mzain gaitche. A la seconde phalange dii quatrie~me doigyt d.e'I a main gauche, prurit lancin'ant su'r un point (an bout de clouzo heures), oti iS'6l~v'e, dans l'espace (Ie deux jours, un bouton rougre, douloureux, cjui, le quaitrieme jour, s e remplit (Ie pus au sommnet, et- cau'lse une donileu r" p) 6sative, btiUtlante; ap'r'es huit jour's de suppuration, le mal gue'rit. Violent d~echirem.n ~1ext6m'it6'dii petit doigt do Ia" m-'ain goudhU. 5fo. Vif e'lanrcem~eht-'6chirant aiu'biout dti ptnce droit, puis dui gauche( les sixcie[fln'e Ot epi6h, jours). I De'hirement so~us 'on gle' du pouc~e droit (le''cpia-. trieme jour). IWhchirement m-11 bout do~ doigts ihdick~i t Mi'' 6fri dius. Elanacem'ent pelnxetrant dans les~ doigcts' (aiii b6ut de siK jours). Elancemens d~chiraris datis' les doigts. 565. En s'asseyant, defhiremetit en &ýdev t, 'ar6 pine de IFos des ies ( Id de'uxie'm-ejouir)j. Pression donloureuseso1 durdeimfn ediaA6 fiiiiiifa-u" &dssus de la hanche droite. Pression de'chirante danis la han'che gaic~he". Pression tiraillante, imim~liattethhent aii dessti'S'd e la f~esse droite. De'chiremenit lancinant aU commencernebf de la fesse droite, au dessous de la hanche. 570. Dekhirement au haut 'dumsl ia ese gau Iche, en a-mrrir, au d-essous de la hanche!. Tressaillement dans la fesse droite. Lei 1eridoinain d udjour oii ultouisles -ccid'ns dd zinc etaient d6jh- dissipe~s, le *in- fait naiftre ufieý douIdur tii'aillawne dans ]a fesse. Dciuleur con tusi-ve da.il's'es' muscles fessidr-se'd dans ceux de ]a parlie poste'rieure de la cuisse, pveidd~tt detix jouirs ( Les cinquie'me et sixierne joursý). Douleur, en arriere,, h la hanche gauche. 575. Douleur liraillante &'t d~chirante a la. partie post6lreur'e' de la han'che gauche, et ardeur sur ce point (le huitie~ine jour). !x84 284 ~DOCTRINE HO1MOEOPATHlIQ(JE...Dechirement au co~te poste'rieur de la, hanche droite (le onzie~me jour). iDe'hirernent, inmmdiatemeiit au dessous, de la hanche droite (le huitie~me jour). De'hirement, imme'diateinent au dessous de ]a hanche gauche (les deuxie~me, troisie'me et septie~me jours>. Etant assis, violent de'hireinent au cotef externe, en descendant, depuis la banche j usqu.'au milieu de ]a cuisse droi~te, qui a F'air d'etre sur lFos (an, bout de six heures). 58o. De'hi'eznent tiraillant dans la tate du f~mur gauche et au dessous de lahanche (le cinjuieme jotur). De'chirement tout au haut de la, cuisse gauche (les premier et neuvieme jours).,Douleur tiraillante et cuisante dans les, muscles exte-rieurs de la, cuisse grauche ( le neuvierne jour). De'chirernent dans le gras de la. cuisse droite (le Cinquie'me jourI). Tres -grand d.~hiremnent (1(1125 la caisse droite. 5 85. IV~f de~hirernent continuel dansle gras de la cuisse gacuche. Tiraillement rliumatismal clans les deux cuisses, l'une apr-,s l'autre (aussi le neuvie~me jour). Douleu r tiraillante ' a ]afa ce inerne dela cuisse droite. Tiraillement rlzuratismal da71S toute la jambe dro ite. Pesanteur (lans les jambes et dechirem ens dedans, qui permnettent ai peine de se lever. 590. Sensation douloureuse de pesanteur et de paralysie dans ]a cuisse droite, en march~ant (aýu. bou~t cle sept heutres). ZINC. 2ý5 Ardeur pruriteuse au co'te droit de Ia cuisse, droite, un peu au dessus du genoa (le onzietme jour). Le soir, violent prurit ' a]a cuisse et aux jarrets; en se grattant, il se produit des gonflemens sou's-c'uta~m nes, comme apres Ia flagellation avec des orties( le premier jour). Cinq fois de suite, prrit 'a la cuisse, a sa 'paitie exte'ieure, au dessus dui genou, avec des boutons', qui s'ecorchent aise'ment ( au bout de trois jours). Elancernens sourds dans le milieu de'Ia cuisseý droite. 595. Elancement' qui ressefiible A une pression an cote inte.rne dui genou (Iroit, dans le repos-(au bout de quatre heures). Elanc'emens dans le genoa ( an bout d e quinze joins) Le soir-et la nuit, violentes douleurs d'abord dnS la rotule droite, puis dans ]a gauche, ef dans le talon. De'chirenient au.cote" externe de la rotule gauche (au bout de trois heures). De'chinement au bord externe dui ph dui jarret dr'oit, qui s'e'tend jusque dans le mollet (le quatri~me jour). 6oo. De'chirem-ent dans le' genou d roit (le neuvimern jour). Tiraillement rhumnatisnial dans le gen~on droit, qai descend dans ]a jambe (le dixie'me jour). En mnaichant,-douleur tiraillante dans l'articula.. tion dui genou droit, imme'diatcment au. dessus de la rotale (l 'e premier jour). Douleur sourde dans le genoa gauche, qui augad 246 I~DOCTRINIE HONOROPAT11 UIZU. r-eqge et dinmdnue peu "a pea ( au. bout d'une demi.. heure). DOL euxr souirdle, plusi eurs, fjois rep't6e, dans, les g~enflqut~x (e deuxie'me jour)....6o5. Sensation, fre'quente, da~ns Ia jainbe gauiche, com me si le sang s'y arretai t. En, re',ve, le s~ujet croit que les, artic-ula-tions (Tes geno~xi sont doulou re~use~s et presque im mobi~les--, et Iorsq~u'll s'evei'lie plus t't qu'a 1'oriaFe lsgnoux hqj fo~nt r~elle mnentm al., comme, apres une_ grande fatigue, mais plus cependant lorsqu'il se tient traan.ý quilleq~i-e. quan~d. it- se re~m~u?(le detixi~ne. jou r-); Dpuleur tfirail-lante da-ns, la janbe.droilfe, (au~bout de cinq heures)..Tivfaiilernentet tension rhumatisinale dans lajambe droite. $enasaitin.doulouremse.,, comme, de tirailhmeivent et die pression, clans. les deux os.dec la. jamb)'e dro'ite. 6 1o. De'hiremcnt sur la jambe droite (le quatrie'me 3Q1324 De~chirement dans la parti-e superieure dui mollet gpauche. (le huithire m jour). DMchirenemnt clan-s- le- mollet droit, quai se- maifl feste et se dissipe en marchant (le huitie'me jour). ID&.hirene'n t sourd c~l.ans,icniollet'droit-( les troisie'%me et cinquie'me jours). En- machant,7 raideaur de~s m- uscles dur mollet (au bout de deix jo~urs>, 65.ThR*ilk -ena e-t raideur cdamnst i rnleým.eNt-(l~e prentieP jour). Convul-si-on dans le mollet gaucher(atu bout d&ue1 qITes r mintes). Dkouleur de crampe daus le m~o11et gauche (Ia p-rela Elancernent pe'netrait 'dans les jamibes, (au bout de six jours>, Pressioni douloureuse, puis d4&hirement: au Cote interne de Ia. cuisse gauche., entre Ia cheviI1* ect le mollet (le troisie~me jour). I6.,.)o. De'chirement en devant, dam-s ic memb~re i~nfe'rietir gauiche,, en~tre la jambe et l'articulation dupied,,(Ile dixi eme jour). De'hirement 'a 1'cxtre'mite' inf~ricurc dui perone dr oit. Adleur de Ia peau, au dessous dui mollet: droit.(le! troiýsie'mc jour). De'chirement dans le phi de I'articulation du-pied. W.chirenient tiraillant dans he pied droit, jusqul' la ýchevilic., avec: sen timent de. pesa~nte~ur de, cc pied, dans I'etat de repos (an, bout de quatre heures>,. 6,25. Doti Icurs tiraillantes et dechivantes autourd Ia cheville internDe et dans he -te-nm~on d'?Achillej des deux jambecs (an bout de (leux jours). Douleur dans I'airticuiation dui pied; d'oft, qui, lorsqu' o-n rernue cc pied, cause la vem~me sensation. que s'iI se disloquait (au bou' de quatire hetifes) ~enision rhu~matismale dans l'articulation dui pied, gau.,he, en- dess us,, penidant le, re~pos (le prem~ier' jour ) Chet 15, suir he dos dui pied., 'lncentens. bru'lans d a ns Iles o s,(ice' pre m.i~er jo~ur).' "Tchirenient dans lc do's ud, piedi gauche (-Ietroj!siem n, j-1.o1i06, 63o'- DWehi-rem'n ent, dinsl he.-ph d 1axtioulafion dit pied gralnche (he septie'me jour'). 2a88 DOCTRINE HOAMEOPATHIQUE. D6chirement dans le pli de l'articulation du pied droit ( le neuvieme jour). De'chirement au dessous de la cheville' interne droite, jusque dans le talon, le soir, e'tant assis ( au bout de deux jours). De'lhirement et tenSion, d'ab07,clau bord externe, pals au bo7-d interne dii pied'droit. Ardeur au c6te' du pied droit, imme~diaternent au dessus de la cheville interne ( le qua trie'me jour). 635.. De'hirement au bord interne du pied gau-. che, non loin. du talon (le ciniquie'me jour). De'chirement pulsatif dans le tendon d'AchilLe droit (le huiti eme jour). De'chirement pulsatif dans le tendon d'Achille gau-. di~e (le onzie'me jour). Doule.ur e d'chirernent dans les talons; les pieds entiers semnblent comnme detache's du corps (au bout de deux jours).,,. dpri's aroir bit dnvin, douleur te'rebrante insup-. portable dans le talon.-, 64o. IDouleuir particuhiere, en marchant, dans les plantes des'pieds; elles sont comime gonfkees, avec la memwe sensation que si un instrument dente' les grattait, pendant plusieurs jours. D~hrmn asla Plante du pied gauche et dans le phi qu'elle pre'sente au c6t6' interne du1 pied (les quatrierne, huitieme jours). Prurit 'a la Plante des pieds. Sneur copieuse et de mauvaise odeur, aux pieds, qui s'exýcorient 'en marchant.,. Violent de'chirement sous la Plante du pied, dans le' Ph de 1'articulation cm1 petit orteil du pied ciroit (he troisie~me jour). Zt~c~.289 645. De'chirernent lancinant dans les orteils des deox pie'ds (le troisie~rne jour). Elancernent pene~trant dans le' gras des orteils (ani bout de' six j"ours). De'hirement dans l'articulation posterieure dii gros orteil droit (le cinqui~me jour). De'chii'erent l-ancinant (laps la phalange postefrieure dui gras orteil gauiche, jusque dans I'articulation (le sixi~me jour). De'chirement 'a la face inf6rieure dui gros et du second orteils droits (le huiti eme jour). 65o. De'chirernen't lancinant dans les plis des articu-. lations ante'rieures dii gros et du second orteils droits. Douleur, comme de dislocation, dans lai moitid anu~rieure duapied, dans l'articulation de tous les ortells (au bout de trois jours). Douleur de'chirante, tiraillante, danDs La mo'ti6an te~rieure dui pied (au bout de cinq heures). Douleur de'chirante, cuisante, 'a l'extrelmit6 diu gras orteil droit et sous l'ongle ( le neuvie~me jour>. Elancernent fourmillant, comme a** la suite d'une crampe, dans le phi interne de la. phalange ante'rieure dui gros orteil gauche. 655. Elancenient fourmillant dans le gros orteil gauche (hle second jour). Elancement pulsatif A l'extre~mite" du gras orteil droit ( le detixieme jour). Au*x orteils dii pied droit, prurit douloureux, avec chaleur et un pen de rougeur et de gonflenient, comme s'ils 6tLaient gele's, le soi', "a dix heures; le prurit douloureux n'invite pas 'a se frotter ou a** se gratter, parce que cette action menacce d'augn-ienter la douileur, comme d'ordinaire dans hi congre1ation; It. 19 290 DOCTRINE HOM1C1OPoATR1IQUE.au bout d'une demi-heure, tout dispanut, sans laisser la douleur sourde ordinaire qui a lieu dans le cas de conge1ation (au bout de trente-six heures). Les douleurs du. zinc paraissent quelquefois tre e.ntre cuir et chair. Le yin exaspi7re beaucouppresque tons les symptdmnes, z7me cuwand ilsparaissaient deiic~ calm'spai' le camphre. 66o. Le vin et la noix vomique exasperent les symptomes du zinc (surtout I'agitation pendant Ia nuit et la constipation), et les provocuent. Laplupa7rt des symptrnmes paraissent apres le dli7zCr et vers le soil'. Tremblemnent et convulsions dans des muscles isoles ý sur diverses parties du corps (prompterent). Beaucoup de tressaillerens visibles an corps et 'a ]a face (au bout de cinq jours). -Yiolent tremblernent de tons les membres. 665. Crampe dans les bras ct les jambes (au bout de cinqcjours). Un certain malaise, sorte de nausees hlgeres, avec sentiment de tremblement-dans la poitnine, un peu de mal de tete au front, et apesantissement des facul~s intellectuelles, de sorte que le sujet nie comprend pas ce qu'il lit (deux henures apres le diner)..For 7t battementZpar' tout le corps. Sentiment de malaise, de fatigue, par tout le tronc, sans qu'on.prouve rien de pareil dans les membres; sorte de pression " a'interieur des parois du tronc, sans aucune trace de vents, plus forte h droite qu'a' gauche. Douleur de'hirante, lancinMnte, dans tout le c6t6 droit. le mziriu.de.si os de presque touit s, les nebres-, qual lieur 4tepvesqiie touttsoutieri. Elncem ent pen etrant flan-s leg ',v t iuhao fs-{ an bout dii sept jours). Elaneement et de'hirvement dman-8t-mI es* nt0ie-,m, bys jusqu'au bout. des ogts) quiefntsreu s,ýntir quan d on, s'as.seoit: apre's s'e're echatuff6 Apre's avoir mis, le corps en mouvemieii et rnach66 aVec riapidikt6 d~ech'I.Oi-berieht dans 'toti's l e~ 'm.embt-es. Une chaleur* pres'que bii'ilante'se mmnifbstL~, qiianda on, est assis-, sut' une petite ktendue de diverses' patiie dlu corps, par -exempt)e dan-sile phkl.dA, cki~sb Adrbite. 6r75. Pen'dan~t I.* fli, frq eh t et *ioi 1n t prrt~ serublahble A des ji'qfizues'de iiohibreU'ses piic'espýýhuticuli~erern-en t dans he dio et aw ba-is vehtre D 'maangeaison's fr ue I'S MIa eu. Le soir, dans Ilelit, prurit Iafi~n n't sIdir-f*ePr' points de ]a pean, au front, ' a c-lit.is s~b, adti c~b etilies, atix pieds, etc. (an bbut de d&U'x"ouirs), Sensation de p61nfs- -rdrwiteu Iti's O'I'e' clan a i8eIa Iu' sut~ u h~n, G1I Irouge'ur cx.t e r ieitre, ifii.16 vation. un autre, principalement le, sobiqr-, d Aris Ic Ii~ parait prornptemehtde t 6 m'ornc-dc' c.ch tx'Ved ti t-- it b qhi d'uIn mdins ýesse ar 'taý pplicatidti "du doi"gt on de ]a main. (3u6 npd 'e p~its bo'uftibns anibollet iu~~r db~en u, iidmn q efctp t, ji ces~nf r e iw aNs, quýo n s'es8t g r At t6?(le d 61X-i e * jM- i e" apres). Eru 'tionde, botitohs suV10 16,t~$ t 8~ii. 292 DOCTRINE H0Y[EOPATHIQUE. si me orteil gauche, qui, lorsqu'on y touche, causent une pression douloureuse et cuisante (le dixiemejour). En marchant, de suite sensation de force plus grande et de plus grande facilite de mouvement ( au bout d'un quart d'heure), suivie d'une grande faiblesse pendant tout le temps de l'action du zinc. En marchant, grande faiblesse dabs les jarrets et dans le sacrum, toute la journ~e (le premier et le deuxi nme jours). Le matin, en s' veillant, fatigue telle qu'on croit ne pas pouvoir se lever du lit (le deuxieme et le troisieme jours). 685. Le matin, dans le lit, sentiment de pesanteur dans le corps et de lassitude dans les jambes. Le matin, en s' veillant, sentiment de pesanteur et de lassitude, conime apres un sommeil trop lourd. Lassitude, baiillemens frequens et grand abatteinent de tout le corps. B~illemens continuels. Baillemens, et envies continuelles de Mailler, le ratin, apx'es avoir bien dormi la nuit. 690. Baillemens frequens, toute la journee (le premnier jour). Envie continuelle de dormir; le matin meme on peut a peine rester e'veille. Somrneil souvent interrompu la nuit. R&'ieil frequent, la nuit, sans cause (au bout de cinq jours). Le sujet se reveille souvent la nuit, et ii a de la peine B se rendormir; le matin, il a des reves penibles. 695. Raves penibles pendant le sommeil (an bout de trente-trcis jours). Sormeil fort agite, avec des reves effrayans. ZINC. 293 Le sujet est r.'veille' souv'ent, dans la nuit, par dles iA'es leffrayans (]a premie're nuit). Le sommeil est agite', cornme par des songes mubtiplie's et tr es-vifs; le matin, en. s'e'vei1Iant, sentiment de lassitude. Sommeil profond, fatigant, trouble' par des re'ves nombreux. 700. Toute. ]a nuit le suijet re've; i s'e'vei11e detemps en temps, et le matin ii est fort las. Apre's minuit, re'ves si vifs, qu'il. les a encore pre-, sens h 1'esprit le matin. Re'vasseries pendant le sommeil. Re'ves de'gou~tans (an bout de deux jours)., Re'ves de'sordonne's (le premier jour.). 705. Nuit agit'ee; en s evei1Iant, le sujet crie. Re~ve inquie'tant, la inuit, laissant encore de la peur apres le re~veil. Re'veil en sursaut, ]a nuit, par une frayeur, avec secousse involontaire dans la jambe gauche \ (la cmn-.t qui~me nuit).k. Secousses par tout le corps en dormant, soit le jour,2 soit la nuit- (au. bout de trente-deux heures, et de deux jours). La nuit,.agitation-da ns les jambes, qu'on ne peut tenir tranquilles ( au bout de dix jours)..710o. Le sujet est r~v~eilI6, la nuit, par le froid Aux pieds ( au bout de trente-six heures). La nuit, point d'e co'te (an bout (le huit jours>. La nuit, violentes douleurs dans le sacrum. et le ventre., avec e'Iancernens dans le c ot6 gauche et dou.leur tiraillante dans les jam bes (an bout de quarante jours). Fre'queris frissons fcbi'iles qui descendent le long 19.4, DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. du' dos, pendant- cinq jours (aubout. de trois Jours). Frissonnernens con~tinuels,7 avec- augmentation de'ý 1-4 chaleur interne. ~ ~.Ac~sdefivr,dains la journ~ee, plnsiekiks' rep rises; frissonnemens et frisso 'n, chaleur pa-ssagere, par. -outlec cqrpO, vicilent tr'errtblemnentCdaizs. touIs les inembre7's;-sentiment de malaise extTr~me, qui!fait presck~e tomnber. en syncope; sensation _deii'vacuite' dans 1'estomnac,fio rt battementpcir2 taut le, coirps,,'e-v. pzirationm courted e ýchaude, secher'e'ss.e% extre~me,ie I- a bouche, chaleur et se~heresse des mains.. Siieur copicuse, dans, la nuit,(Fau bout de -trentetrois.Jonrs).' Stieur par tautle'orsS Uryto Utsaux. jam~s pn 'dant piu~siceurs nuits i~tý(an' bout de tr6i's'jiours).' '~Tr'ois.heures,apres& le diner, au milie*u due, pression au dessous des fausses Cotes'., s"irtout A.,d'roitet; hypocondrieý, repugnance pourke travail-, et mabt'ise gOnwral., sans auc une. trace cependant, de surcharge_ d'estomac ou de vents ( au bout de cinq jours),. SDisposition "a Ia pares'se (n ot eixjor. Sn diff6rence (au bouti de" treize'j~ours),., Le soir stir/out, lulnettr morose, tqaitrnee. ""Imeretrmem' 1enDt tri-ste,:et chagrixie. Tristesse in'suppo6rtable. plosieurs jours. `~5.M6lanc'ole. ManVAise hunleuir, disposition fy chrleSue ild stipp:orte pas, qu'OD pan~e-an~ton e l Iii',et, tout bkt'if iii est dc'sagrelalle. Grande sensibilit6 au bruit (au bout de vingt-q~ia,ý fre,, qua ra lte' -m1it heuires). ZINC. 295 La moindre altercation produit un tremble ment inte'rieur. Apre's une petite altercation, tremblement qui dure lo~ng-ternps, comme si onl avait froid au corps. 7 30. Imagination tr es-active (le premier jour). La conversation d'autrui, me~me de personnes cheies, attaque les nerfs et impatiente. Imptiece xteme, mais sans m auvaise hmu (le premier jour). Inquid6tude, iinconstance (an bou~t do deux jours). Tr~anquillite-, mais grande propension "a la coI~re, (au bout de dix..neuf jours). 7)3.1,. Grande disposition 'a la cole're, qui ren-d tgsmalade,. Le s'ujiet desire-d'avoir quelqu'un sur lequel iipuisse, exercer s a cokere, sans, mIotif ( le s eptiemte j our). Humneur tre~s-varicahle;s tristesse et m~eIancolie,, h, midii;. le s'oir-, satisfactio"n. et joie( les deuxieai& et, troisierne jours).-. Le 'sujet, est parfois tres,-joycux (lei premier jour) (i). Un e bagatelle suffit pour le faire. fire et aussi pour le'chagi-iner. 7-40.. Grande loquacite' (2). ~ Le caractere esi tr es-gai, surtout le -soir (3). Pendant les premiers jours, mauvaise htimem'th e paresse d'esprit; les, jours suivans, wivacit e't gait'&. Se'renit6" et gailte. (i) Avant de prendre le zinc, le sujet avait C't6 pendant plusicurs jours un peu tL'istC (re'acion, de 1'orgauisne, effet curatif). (2) Effet de re'action. (3) Effet de re'action. !a96 296]DOCTRINE H10MOEOPATHIQUE. X"VI. Charbon v~ge'taI (GCarbo vegetabills). Le charbon bien calcine' de tous Jes bois quelconqepArat se ressembler, quant auix effets qt'Al produit sur le corps humain, lorsqu'iJ a. C'te soumis aux '~thodes de pr fparation que I'omoeopathe met en usage. Je me suis servi dii charbon de bouilean: d'autrcs ont employe' cehui dui hetrc, dans quelques experiences. Autrefois les me'decins croyaient le charbon de' pourvu. de propriete's ine'dicinales; 1'empirismel seul faisait entrer quciquefois celui de tilleul dans, ses poudres compose'es, par exemple, dans celle contre 1'efpilepsie, sans pouivoir alleagner aucune preuve en faveur de 1'efficacite' qu'il hmi attribuait. Ce fut seuleinen t lorsque Lowitz fiu conna^itre les proprietes, chimiques du charbon, notamment celle dont Aljouit de de'truirc I'odeur des substances en putrd'action et de meltre les liqufides "aI1'abri de ]a corruption, que les me'decins commence'rent "a 1'employer sous la forme de topique. uls prescrivaient aux persoflfes qui avaient une mauvaise haleine de se nettoycr la bouche avec du charbon pulve'rise', et cette Meme substance leurservait e'galement pour faire cesser sur-le-' champ 1'odcur desagyreable d'anciens ulceres. Prise aussi inte'rieurement, "a la dose de quelquc gros, dell corrigeait la f6tidit6' des selles, dans les dysenteries d'automne. Cependant cc n'e'tait I1"aqui'une application chimique dui charbon do hois, qu~i, n~incm sans avoir 6te6 "rduit cn poudIre, dUtruit 1'odeuir poiitide de1'eall corompue, et d'autlint mieux qu'oii Pemploic soils la formnc do lnorceaUx assez 7ros. !298, DOCTRINE IfOMOEOPATHIQuE.dit6 de la. bouche; dents braulantes, depuis Iona. temps; golult amer dans ]a bouche; rapports am~ers; rapports 'a vide; nausees continuelles; de'go At d-epttis long-ltemps pouriv a viande;- ple'nitude et presgsic~n a l'estornac, apres avoir mange;.e1ancetnens sous lescotes; enrouement prolonge.; catarrhe et nial de gorgre dans la rougeole; hydiropiAsie de po~itrine; don1-! leur tiraillante dans le dos.; facilit6 a se refroidir; douleur corinme de lu.'xation dans les ~in-embres;- domw' lears contusir-es dans lelmrnenz bres, le mati~n, en se levr-'at;fdisposrition ý 'atrembler; convulsions dan1sd quelque membre, pendant la. journe'e; malaise ' a ] suite d'une de'bau.c-he de yin, faite la veilie; sortieinvolontaire de l'urine, pendant le sommeit; ulc~res f~fides aux jambes, qni1 sa ignent ai!sernent et causent unhe douleur cuisante; insom-nie, causee par de lFagbtatio~n dans le cor'ps. Lorsque le diarbon exerce un-e action trop. for~te, ce qui lui ar 'rive me'me- A petires doses chez unn ma, l'ade- fort sensible, on la cal~me biento't e n faisant flaiorer plusieuirs fois tine dissolution s-atur~e' de camnphre dans l'alcool, moyeni qul parait me'me 1a faire cesser tou~t,-~aiat, quand on le re~pete fr6quem-. inent., Tournoiement d'ans.la tate (au bout de vingt-qcuatre he~ur'es). Vertige aunmoindre nWouvement. Vertige quaind on remue lateAte avec rapidit& ( au bout de quatre jou rs). La te'te tourne toute ]a journee. 5. Vertige qui obligoe as'appuylr (au, bout dc quinize jours). Vertige et de'marche chancelante. CHAWBOJN VJAG]TALO. 2 Vertige. epý!varohant et restant a-ssis (le qulatrie`rme Yertigpe eit se baissant., comma, si la te'te branlait.. V ertige en se retournant dans le lit,,se, baissant, et, w.e gai'garisant. io. Vertige dans le lit, q u.and- on se rOveilleV. 7 I aesoi,.ares, avow d-ormi stiur in Ie chaise, vertige, avec tremblement par tout le corps, et en se: levanht., elalt-corninne de syncoipe,,qui dare mdeme un, quart d'heure apres s'etre couche. -Doeu q imonte* de l'estoma c dans la tlu ui t~e, et qui-pirive des sens, pendant quelique temps. Vertige, seulernent lorsqu'on est assis-,.c~o.mmre si 1.1 t! te b-owa nlIa it. Absence pe'riodique de ]a mernoire. 15. Manqne subit de me'moire; on tie se~souvi~ent pa~s de cc qu'on vient -de dir.e ou dentendre. Len teuir des idees, qui to~urn~ent tou'jours autour du mem'e objet.; en rnleme te mp-Is., sensationi semblable 'a ceile d'un lien, qui serrerait la tkte (au bout de deux jours). La tete:'est, entrepri-se; on a. de la peine a penser. Vertige 6toru'rdissem'ent (e. teoim.e, jou r).. Le inatin, en sortant du. lit, la tate -est fort enitre-. pritse,; on a -de la pein~e' are Iunir- se&spen~se'es-; Pon est co'nuliau-sortir d?'uin. rve; t qui cesse'en. se re-m 'couchant. o.L1e-oc-ciput est, entrepris, cormme li a suite, de l'ivresse. La. teteest -entreprise apr-es le diner (an bout de douze' heures). La' tete est entreprise le soir, apres Ia promenade ýati bout de dix-neuf heur'es). 3o0 JDOCTRrNE 1T0NOE0PATF1QUE. Mal de ta~te; 6'tourd issement,, comme- apre's 1'ivresse, qui se propag'e d'arrie~re en avant, auigmente vers le soir, s'empare de toute la tete, et s'agrave aussi par 1'effet de la marche. L'occiput est entrepris et comme compriemn' du dehors (au bout d'une demi-heure). 2.5. He'betude dans ]a tate, quand on s'e'veille apre~s avoir dormi "a midi. Sensation dans ]a tate semblable 'a celle qui pre"c'de N'6tab lissernent d'un corvza. Mal de tate qui envahit tout le c ot6' droit de ]a tete et de la. face, avec froid et tremblemen't dui corps etdes ma'choires. Mal de teate par I'effet d'une variation subite de froid et de chaud. So-rte de pesanteur au fr-ont. 3o. Mal de t~e sourd ca'l'occzip t. Pesanteur d cans la t6!te. La teAte est lourde comme du piornb. Douleur dans la te'te, comme si elle e'tait trop, pleine. Mal de te'te, d'abord pression a la nuque; puis douleur compressive an front; apre's quoi les yeux pleurent, et Jes paupieres se ferment.. 35. Pression ca'l'occiput, surtout apre~s le souper. Viol ente douleur compressive dans.1'.occiput, toutai-fajit au bas. Mal de te'te gravatif continu sur Ie vertex; les-die-. veux sont douloureux an toucher. Douleur an sornmet de la te'te;- les cheveux sont douloureux quand on y touche. Mal de te'te compressif au somnmet dii c6te6 dr-oit de 1'occiput, avec pression dans Jes yeuix. ICHIRBOW VE'GE'TAL. 3o t. 4o. Sur divers points de la te'te, acces l6gers de cephalalgie gravative, -qui "se dissipent promptement, ' et paraissent e~tre en connexion avec des flatuosites (au. bout de quarante-hiiit heures). Mal de t~te COinpressif dans lefiont, surbout imrn'diatement au dessus des jeux; la te'te fait rnal tout 1'apr~s-midi, lorsqu'on se rernue. Mal de te'te compressif dans le front, qui se- dis-. sipe et revient (an bout de trente heures). Pression an sommet de ]a tate, tous les apresmidi. Mat de tate comrn iessif au dessus des yeux, se faisant sentir jUisque dans leur inte'rieur. 45. Pression dans les deux tempes, et en haut sur la etAe. Pression de dedans en dehors dans ]a tenipe gau-. che, pendant plusieurs hieures. Pression sur le haut de la tate, puis tiraillement dans toute la te'te, ýi gauche surtout. Pression et tiraillement dans la tete, par intervalles. Mal de te'te compressif sur une petite place, autrefois blesse'e, au. co~t6 droit du front (an bout de quatre heures). 5o. Mal de te'te; pression et resserrernent. Pression comme s'il y avaiL qucique chose sur le vertex, on si les te'gurnens de la tate etaient serre~s par un lien, qui s'e'tend jusque sur le front. Mal de te'te: sorte de contraction des tergumens de la tae, surtout apre's le soup Cr. 'Mal de telle, qui 7ressemble a" une contraction des tNgumnens de cel,(t partie. 3o0 2" -DCTRINE 1I0MOEOPA'THIQUE.,Constriction douloureuse dan's la te'te, surtbut en se remnuant.. 5-5. Le tchapeani cornpritne ]a tte, comnme un pid pesant, et qUand on J"'6te, i roste Ila mere siensation quo si la eteto tait serree par un mouchoir Tension spasmiodique dans lo cervoaul. Af'flux du sang vers ]a tete. Afflux du sang vors.Ia ta'te; chaleur du ýfrofit ot, ple~nitudo dans ]aetate. Sensation de plenitudoe(lans.1a tete,, avec chaleur au front, et grand afflux du sang "a la tae (au bout do six houres). 6o. Violent mal de teto pendant cinq jours; en se baissan.tI ii senible que quelqno chose 'soit pr'et a sortir du devant ot 'dui derriereo de ]a tate. En sortant do table, mal deo te~te puilsatif an fronit, et pression 'a 1'occiput, avec chnaleur do la te'to et.rapport 's. Mal do etet pulsatif, le soir.,,dans le lit, avec ge'ne de ]a respiration. En s'efveil lantd'un. long et pr~pfond sormmoil, A midi, battemnent dans los tempos ot pienitudo du cerveau. Api'rs midi, mna1 do te'to pulsatif. 65'. Mal doetate convulsif. Tre's-violent mal de teo ~e 'a occiput, comme si ]a pDeau eftait maladoene dessous, dtii matin jusq'u'au,So~iP'('aun bout do- neutjou'rs). Ma1 o& tete con tinu, dan's Une place lar'g'e commo la main, siir a td to, qui etait chaude an totifcei a~n b-jout Jo6 qu.a, to jou1fs). Le soir,, dans Its lit, violent iinqI doette chP ressI etbA4at 81urtojtut ý orrnet et vers 'le devant, julsquo(lans le front. CHA1B0X V1, G1fTAL 30o3 Le matin, en s'e'veillant, dans~e lit,* au Cote droit de ]a t~ete, sur l~equel on a e'te couch6", et "a l'occiput,ý violent mal de tete' co Mpressif et cuisant, s'emblable a\ ]a douleur qu'on e'pi -uvQ dans le nez quand on ne peut e'ternuer. Cette douleur diminuait en soulevant ]a ete, et elle disparut totalenept lorsque- le sujet se lIeva dui lit. 70. Mal de tte: de'chirement et resserrement an dessus de l'oreille gauche et derri~re. Mal de te'te; pin cement dans 1'occiput. End'olorisse-ment grene~ral de ]a surface dui cerveau, avec eanemns ae li, en dedans. Elancemens dans la te'e, allant dtii sommet vers les tempes.I Quelques e'lancemens dans le front, an dessus de l'an~gle de l'oeil droit (an bout de deux heures). 75. Mal de tate, eflanc-emiens an dessus de 1'oeil droit. Elancernent br1filant sur une -petite ftiendue, "a I'occiput..T6re~bration douloureu-se an dessous de la tempe gauche. Douleur's tiraillantes, ýA et ]a" dans Ia]a e (an bout do deux heur'es). Sorte de tilrail lemneut dan S toute la te'te, qui part de l'occiput (an bout d'une demi-heure'). 8o. Mal do t~e tirai11ant, ca'et Il', surtojit da'ns le front, jusqu'au dessous dehla racine du nez.. Douleur' tiraillante d'une courte dur~ee, mais fr&. quemment re'pe'tee, ati co'te droit (1e 1'occiput (an bout de deux heures e't deinie). Tiraillem-ent de'chirant stir ]aparie sup~rer ante~rieure de la te'te,. 3o 3o4 DOCTRINE HONOEO6PATfiIQTJE. De'chirement* qui traver se Ia tete, au cote gauche de 1'occiput, sur un point peu e'tendu. Tiraillement et dk~hi'rement clan's la partie gait~ che de l'occiput (au bout-de six heures). 85. Douleuir de~chirante au co4te" gauche de Ia'tete, au dessus de la tempe' (au bout de douze heures)., De'chirernens courts, mais violens, "a travers tout le o e~ gauche de la. tete (au bou~t de quarante-neuf heures). Acce~s fre'quens de douleur de'chirante daus 1'int6... ýrieur'de ]a ta'te, vers la tempe droite. D 6hiremen t dans lat moitie" gauche de la te'te, partant de ]a moiti6' gauche du nez. Acce~s de mal de te'te sourd et de'chirant sur le vertex et dans les ternpes'.' 90. De~chirement dans I'ancientie cicatrice d'une plaie, au.cot6,gauche du vertex. De~chirement an cote" droit de 1'occipital (au. bout de quatre heures). Douleurs dechirantes coartes dans le Cote' droit de 1'occiput (au bout de quarante-h~uit lieures). De'chirernens dans la rnoitie" gauche de la tate, avec tiraillement rhumatismal dans le bras gauche. De'chirement dans les teinpes, qui pe'n etre dans les dents molaires. 95. Dd'cliremnent Violent stirtine peie ede cdi, front, Pres cle la, rempe. D 6chirement dans los os de la te'te pendant, quatre jours (an bout do. vingct-quatre heures). Les douleurs de'hirantes dans la etetpartent quelquefois des membres superieurs, d'otitdies'semblent tir en qucique sorte dans la te'te. CHAIU3ON VE~GETAL. 3o5i Fourmillement sur les te'gumens de la ta'te, comme Si les cheveux remuajent., Les cizeveux toinbent beaucoup. i00. Sur le front, pre~s-dqs cheveux, bouton rouge, qui ne cause de la cuisson que quand on appuie dessus.Sus le front, ca et h,la, ruption de boutons rouges, lisses et indolens. Petits boutons blancs dans la peau dui front, semblables "a de petites gltandes (au bout de trois jours). Eruption de boutons indolens au. front (le cmnquie~me jour). Prurit "a ]a face, surtout autour des yeux., i o5. Prurit dans 1'angrle interne de 1'oeil gauche. Sensation cuisante de prurit, surtout dans 1'an gle externe de 1'oeil droit. Prurit dans l'oeil, gauche; et quand on s'est frott6, cuisson, surtout dans 1'angLe interne. Cuisson dans 1'angrle de l'oeil gauche. Prurit "a 1'ceil droit, avec grande se~cheresse. de la paupi ere (an. bout de quatorze jours). Ii i o. Prrint dans 1'oeil droit ýau. bout de trente-six heures). Larmojement abondant et ciaisson dans 1'oeil droit. (au. bout de vingt-quatre heures). Cuisson dans 1'oeil droit; avec, sensation d'excoria.. tion, sur tout dans les angles, et pression dans, l'cil, sernblable, ' celle que produirait un grain de sable. Pression, sernblable 'a celle d'un grain de sable, dans 1'oeil droit, avec caisson. dans les angles, (au bout de trente-six heures). Sensation de pression ctuisante dans 1'angle exter'ne de J'oeil.droit. lio 20 3o6 DOCTRINE H0M0WSOPAtHIQUEO 15. Pression dans les yeux, la 't'te 6tant entreprise (au bout d-e six heures et dernie). Pression de'chirante sur N'eil gauche. Pression sensible sur l'oeil droit, dai haut en hbas (au. bout, d'une derni-heure) Pendant le mnouvement au grand air, pression. dan's les pau-pie'res superieures et dan-s la moitie's~upprieure des deux yeux. Douleur sourde dans l'oeil grauche. 120. Gonflernent de l'oeil gauche. La- pa-upie're gauche semble comine colhlee, quoi-. qu'elle ne le soit pas.I Caisson dans les paupie'res, avec un pe U de rougeur 4 leur bord ( au bout de vingt-quatre heures). Laliinut, im p ossibilit' d'ouvri~r Les pau pie res, quoiqu'on ne piuit pas dormir. Inflammation de l'oeil droit. 125. Les yeux sont ferrnies par de ]a suppuration le matin. Les m iuscles de l'eil sont douloureux quand on regarde en haut. Tiraillem'ent dans la paupie're droite ( au bout de treize'jours). Tiraillernent -Au:-dessus de l'oeiL droit, A travers la teate. *Avec mal de -t'te, douleur dansl'Toeil, conirnt si onl larrachait. 13o. Tressailiem'ent de ]a paupiere gauche''( -au botit--de -ne uf jours) Myopic, pendant quecique temps, ',apreg s'etire Thtigue la vuc. Grande wtnyo*pie'-;- 1e sujt ereconn Jtn, aft pas f nrniam ai deux pas (au bout de trois jours). CRiAU3OlV VEG1ATAL6;o --W. 3ol T~aches n~oires, dev 'ant le's yt Anneaux devant les yeux, dont le. fond est plus, clai~r en dedans. 135. Lueurs~passageres'devant les. yeux, le, matin en. se levant, pendant, an quart d'heure. Pesanteur dans les. yeu x., qui obligj.e a d~e grands efforta-enlisant et eniectrivant., La pr e's - m i digr17an de 1)Apper de -I a fa~ce( au, botit%. de neuf jours) Teint d'u-n ggis jau-ne. Eruption de nonbweux b houtons la face, et au. front., i4o.,Petits bou tonsbiancs isole's auxmdeux tc~mpes (ati bout de 4Uatve.1ou~rs). j~ etit bouton, bl~anc au..has de lajoe Fluxion,.Ia Jo. Douleur iiiraillante dans la joue, pendant deux, jours ( au b~o~utdeK viiiýgiqu a t~re heures) Douleur dans le coke' gauc-ie. de la jotie,,,Gomnrnsi 1'on y e'prouvait de l'ardeur et. ded& t'r~bration tout autour, par' in~tervailes ( au.,b~out de- six jpurs.),. 145. Petit M1ancettient de~chirant 'a' Ia joue dJr i{ e (an, bou~t de trois heures). Douleur aux osde.c la face, aux, deux m&Qhofies..Face goinflee an mouton, pendant deux-.heures.-., D6chir~e~meit dans la.f-ace. Doulcur dechirante "a Pang1e gauche. do la bouceh, et de 14' dans lajoue. i~o, Dehmzn qlacedn, e CWdo.t;d la m'Acoire i 1 ccesclnsl c5tudoid Jiouleur tiraillante dans los. deux.., kes des deux mdchoi,'e, avoc tirailloment dans larte'te) qgti est e tircprise ( aui bout-do deu~x heures. ev4enwIe).b 3o8 DOCTAM H f01oMEOPATAflQUB. Douleur d~chirante dans lapetitefossette'der'rz~ev l'oreille droite. Violent de'hirement saccade' dans 1'os jugal g'au-_ che, au devant,de-1'oreille, le soir, dans'le lfit. Elancemenis isol's, ou secou-s'ses dechirantes dan's eI conduit auditif interne droit. 1 55. Elan cement da. dehors en dedans dans le 4bon-duit auditif' interne gauche (au. bout de' qua rantehuit heures). De'chiremens dans l'inte'rieur d'e roreille drciite. Douleur'dans l'oreille gauche. Sorte de douleur dans 1'oreille droite, le soir. Sorte d'effort dans les de Ux 0oreilles qu osse au d ehors ( au. bout de dix-sept jours). 1 6o. Violent prurit fourmillant dans l'oreille 'interne droite, qui reparait apre~s qu'on y a introdu'it' le doigt'. Le'ger pincemenit daLnsL'oreille gauche. Puils'ation. dans 1'or eille. Tin te m e nt d'oreili e s. Tintein ent dan's loreille gauche, avec vertig to~ur'-;ioyant. 165. L'apre's-midi, tintemnent lger, i A plftsiefi's k-- prse, anfs l'ore'ille gauche ('a'' bout de quaPAftie - et-u-ne heures).' Bruit dans, les oreilles, se~mblable'au c haýnt de s "grillns (le septieme jo~ur-,, Bourdonnement d'or'eilleS. 'Grand bourdonn-ement dans'le's deux oreille&ý(.,Ux bout de trente-six heures>. Parler a haute v'oix< cause une impression' tres-des-~ agr eabJe kI'd- eille. 1,70, Les or'eilles sont comme bouch6es. CHAIRIB0)XVJ'GI"TAL. 309 Le" sujet cr0 it avoir les oreilles bouche~es, sans dimi-. nution de 1'ouile( au bout d'uaij~,emi-heure) Tous les, soirs, 1'oreille ganUohe devient chaude et rouge. Douleur dechirante et brilante dans le lobule ac 1'oreille gauche. Prurit derri ere l'oreille. 1 175. Grand gonflement de la parot~ide, entre Ia joue et l'oreill'e, jusqu'a'Il'angle de ]a nmichoire inf~rieure. Sentiment de pesanteur' dans' le nez. Tiraillement 'a la racine dui nez( au bout d'une (leri-henre. Saigizeinent de nez, la nitit, avec revolution dans, le sang ( au bout de ci nquan te-deux heures) Le matin, dans le lit,, tres-fort saignement de nez, et sur-le-champ douleur de poitrine. iL8o. Tous, les, matins, dix a"d'ouze gouttes de sang sortent da nez. Grand saigrnement d e nez, qu'on peut "a peine arreter ( au-bout, de quarante-huit heures). Pendant deux, seniaines, pinsieurs fois par jour; fort saignement de nez, p.cd' et suivi chaque fois d'une grande pa'Ieur "a la face. Eruption dans, le coin de l'aile dui nez. Croiuites au bout du'lnez. 18 5. Goqflement des lkr-res. -Gonflement de ]a lkvre supe'rieure et de la jone, avec douleur convulsive.. Convulsion clans la lkr-re Sltpe'ieure. Eruption douloureuse 'a Ia 'Ievre superieure, dont la, partie- rouge est pleine de petits boutons.'' Tiraillement de l'angle droit de la bouche, au roenton. 310 DOCTRINE HOMOEOPATHIQuE. 190. Douleur samdqe~ a machoire inf~rieure (au. bout de treize jiows). Ulce'ratidn de PangiI&drmit -do''la, bouche. Eruption d'une sorte de dartre pruriteuse dins, le coin gauche de ]a bouche. Secousses de'chirantes dans leJoke't gaucho de ]a mnaicboire inf~rieure (au bou~t de quatre jours). IDoule-ur ' a a ci dsdns, en ha'ut et en bas. 195. Doulour tiraillan~to dans uno dent creuise. ]I~a1 de dents Itiraillant-et cldchinzant dans les molaire's'dui kaut et dit bas (au bout de quatre houros et dernie, cinq, seize et vingt-six heures) Douleur tiraill-arte dans une des dents incisives Su~perieu~res. Lelger tiraillornent dans les dents rnolaires droites, en~trerme'e'do -violentes -secouss~es. Douleurs tiraillantes fisequeiites dlan~s les d~entsj, qui sont d'ailleurs~saines ( au bout do trois jours). 200. T il'ai1lernns fr6quens da~pa los dents rnolaires plrpuses(au b)ou~t-do trois jours). Yiole-nte secousse tiraillawe4ecanis une dentmo-0-, laire creuse. Tiraillement lancinant chatoulilleux danshIa preini ere dent molaire gauche d'en' hauta( au bout de vingt-six heures). Sweirement douloureux dans les dents molai-res, droites du bas. Pression. doulodireuseA, igauch-e,, cdansles dents rnokiaires dii haut. 20o5. AMald deit's ciaisant dIans los denfts, inciskIoies d~u haiit' et dii bas, qu~i a. son sie~ge d'avauta'ge d'ans la gencive. Q.XAR33ON V3iG3TALD 3,11, A tous rnomens, douleur lancinante dans toutes les bonnes de'nts,- qui disparait prom ptement, etfait place Aiune courte doulleur lancinante dans le bas'ventre,( le troisie'me jour ).6 Douleur dans les dents incisives ariterieures, qui sont saines. Mal de dents, comme apres avoir mange' des choses acides, surtou't dans la. gencive, toutes les fois qu'Ion prend quelque aliment sale'. Douleur rongeante et tiraillante dans une dent creuse, avec gonflement de la gencive. 210o. La gencive est douloureuse pendant la mastication. La premie~re molaire gauche d'en baut cause souvent de la douleur, comme si le- nerf y e~tait 'a vif, avec douleur tiraillante dedans. La genciv~e cause tine doul-'-r" -uisante ( le jour) La gencive d'une dent creuse est gonfle'e (au bout de vingt-et-un jours). La gencive est de'tache'e des dents et sensible. 2,15. La gencive se de'tache de quelques unes des dents incisives du has. La grencive commence " se de'tacher des dents incisives et "a laisser les racines "a de~couvert ( au bout de six jours) La gencive se d6tache des dents incisives du haut et du lbas (Q). Pustule pleine de pus iz la gencir-e. Apre's avoir exerc' Ia succion sur les gencives, sa'live teinte de sang (au bout de deux jours). (i) Chez une jeune file; syrnpto~me gue'ri par le niexcure. 31121 DOCTR't~f9l 10MOE0P ATfl tQUE. a220. En sucant la gencive, ii vien t un gou3tt de sang 'dans la bouche et la salive est sanguinolente ( an. bout de cincjuante-et-une et de quatre-vingt-cinq heures). Dans la. matin~e, en sacant la genci ve; 'dii sang par' vien2tad la boache, pendant deux min'utes, ce qui se r ptepuses jour's de suite, ki a meme heure, (au bout de cinq jout's) En su~ant la gencive, elle et les dents saignent beaucoup. Les dents saignent pendant qn'on les nettoie. Pendant plusieurs jours, saignemens fre'qnens des,dents et de ]a gencive.!225. Mal de dents; les dents sont comme sorties 'des alve'oles, et ]a douleur ressemble'ah celle d'un ubcare, quand on touche lesfdents avec la langue; en mangeant, la douleur se renouvelle. La. langue est chaffg, et blanche. La langue est charge'e d'un mucus jaune-brun. Le bout de ]a langue est chaud et sec. A gauche, "a la.' base de ]a Ian gue, douleUr de crampe ( au bout de trois heures ).- II 2-30. Difficult6' de parler, comme si on avait de Ia peine "a remuer la langue. Faible douleur de'hirante an cotef droit de la ]angrue. Legere augmentation de la. secretion salivaire (an bout d'une demi-heure). Se'cheresse de ]a bouche, sans soif. Le matin, en s'e'veillant, bonche te'~s-se'he. 235. Un pen de chaleur dans Ia bouche, avec alprete' et sekcheresse an bout de ]a Langue (ani bout de vingt-quatre ev. quararite-huit heures). Dans ]a bouche et sur la langue, sensation CHAR3BON VV G]'TAL. 313 comme si on avait bu beaucoup de vin le soir ( au bout de dix heures). Pression douloureuse au fond du palais. Ardeur en haut dans ]a gorge. Frequemment de 1'ardeur et de la cuisson dans la gorge et au palais. 240. Sensation d'ardeur en arriere et en, haut dans ]a gorge, comme dans un coryza (au bout de dix heures). Pression douloureuse en arriere du palais, dans le pharynx. Sensation de cuisson en arriere dans la gorge, comme au commencement d'un coryzam, inais plus vive. Pression dechirante dansla gorge et au ct6k gauche de ]a base de la langue. Grattement et fourmillement tres-vifs dans la gorge, qu'on ne soulage que pour pea de temps en renaclant. 245. Grattement dans la gorge. Sensation d'apret6 et de grattement dans ]a gorge. Sensation de froid dans la gorge, en bas. Difficulte non douloureuse d'avaler; ]a salive qu'on avale ne descend que peu " peu. Les alimens ne descendent pas; le col est comme resserre par un spasme, mais sans douleurs. 250. La gorge est comme gonflee et serr6e en dedans. MAme en n'avalant pas, sensation de compression au haut du pharynx, comme s'il 6tait ritreci ou contract6. Mal de gorge, comme s'il y avait gonflement au palais; difficult6 d'avaler pendant quatre jQurs. 3-o4 3i~4DOCTRINE 11OMOEODATHIQUE. Mal de gorge; en avalant, douleur' dans la. gorge-, comme Si elle e~tait "a vif. Mal de gorge; inflammation et gon Clement de ]a luette, et 6'lancemens dans ]a gorge. 2a55. Une sorte de plenitude et de pression dans le pharynx, en descendant.. Rapports (au. bout d'une heure et demie). Grands rapp~orts,presque continuels. Rapports tre's-fre'quens, tant apre's avoir mange" qu'avant, surtout dans I'apres-midi, pendant huit jours (au bout de quatre jours). Fre~quens rajpportS at vide, toute la journ~ee, ou dui moins tout L'a)re~s-rnidi.!260. Fr~qutens rapportSa'i v ide, apr' es de courts pincemens cans le bas-venre ( au. bout de trois hbeures et dem-ie, de quatre heures et demie). Rap port's toujours a% vide, surtout I'apre's-inidi, avec beaucoup de vents dans le bas-ventre. Rapports douce~ites. Rapports ainers et qui grattent. Serrement de gorge et afflux d'eau clans la bouclie. 2,65. Goluit sale' dans ]a bouche, toute la journ~e (au. bout de quarante-huit heures). Rapports acides, apre's avoir pris dui lait. Une sorte de soda continue1; it revient sans cesse des acides "a la bouche. IDans la inatin~e', fr~quente sensation comme 51 quelque chose de chaud et d'~cre remontait dans ]a gorge. Amertume dans ]a bouche et rapports. 270. Gou~t arnarescent dans Ia boucheI avaqnt de inanger et apres. On perd le gouAt dui caf6. CHAIMON ViCiTAL. 315 f 4 ~VIC~AL 1 App6tit moindre et pas de golflti, omme dans le cor~yza. Appeftit peu prononcel, avec chaleur dans la bou-* che et s6cheresse au. bout de la. langue ( au bout de quarante-deux heures). Le matin, on ne'peut rien prendre jusqu'AI diner; le diner semble bon, m~ais on ne peut souper.. 275. Le defaut d'appetitest accompagne' d'un sentiment de faiblesse dans les muscles des mernbres (anu bout de trois jours). Defaut d'appe'tit et nause'es, meme a jeun; apres avoir mange, nausees plus fortes encore, avec anxi~te', dtourdissemens, obscuircissement de la vue et langue blanche; vers le soir, le sujet fuit oblige' de se coucher, sans avoir envie de dormir (au bout de six, sept jours), Point de faim: on pourrait rester sans mangrer. Peu d'appetit: on est rassasie' de suite; on 6prouve comme de ]a douleui' dans ]a region pr6cordiale. et comme de ]a vacuit6' dans 1'estomac, pendant une derni.-heure. Apr's unl d6jeuper me'diocre-, ple'nitude et sartiftA sur-le-champ (au bouit de trois jours). 2.80. Defaut total d'appe'tit, avec langrue charg~e et gm'nde faiblesse ( au bout de six heures). De'faut d'appe'tit et rapports frequens (1a telte kwtan entrep~rise)., Vers midi, diminution de 1'app6tit et nause'es, (an bo utt de trois jours).. A midi, peu: d'appeftit et legeres coliques (au bout de quatre- jours). ILe matdn, une Izeure ciprw~s 1 e rveil, nctuse'es et Malai'se Cdan7s lestomnac. 316 DOCTRINt OVoI0E0PATHIQUE.!285. La nuit, nause~es. Fre'quentes envies de vomir, sans cependant qu'on vomisse..Nause&es,'avec envies de vornir (le quatrie'me jour). Nause's continuelles, sa'ns appetit et sans selles. Ap'res avoir mang6, le 'sujet e'prouve de grandes nausees, un poids sur lestomac, puis une vive dou.. leuir tiraillante autour de lombilic. 290. Repugurance pour le beurre. Apre's avoir man ge, h oquet douloureux, dans le pharynx. Apre~s un diner frugal, hoquet a plusieurs' re-. Prises. Apre's avoir man g6, grands battemens de ccur. En -sortant de'r table, lassitude, (le quatri e*me jour).!295. Envies irre~sistibles de dormir apr's. le diner, et quand on ferme les yeux, a~rdeur aux paupie're's (le se-ptimernjour). A'prIls le dziner, ventre tre"S-goinflý ( le ieuvie~me jour ).I Quand oni mange, ou quand on boit, il semble que le ve6ntre va crever. En mangeant et apres,pin cenment dans le, has-. ventre. Tons les apre~s-rnidi, apres avoir mange, grande pesanteur dans les jambes, pendant huit jours. 3oo. Apre's avoir mange" peu, gonflernent et p1.'nitude du bas-ventre, avec borborygmes. Apre's un dejeuner frugal, on est de suite plecm et rassasi6' (au bout de soixante-huit heures). Apre's un dejeuner mode're, ple'nitudej, rapports, 1)esanDteuli'generale; on e6crit lentement et avec peine (au. bout d'une derni-heure)., ClIARBON ViGPVAt. 317 Apr~s avoir mange, mal de tate, Apre~s -tn diner frugal, hoquet "a plasieurs reprises, et e~n s'asseyant', couirb6 en ~deux, petites tranche'es, ai gauche, le long des ve'rte'bres du dos (au bout de trente-six' heures). 3o5. Peu de vin e~chauffe beauco up. Apre's in dejeunier frugal, sueur ge'nerale. Apres avoir man ge, goutt acide dans la bouche. Spasme d.'estomac et rapports continuels, qui lais-! setun, go't acide 'dans laboce Sensation presque bru'lante dans i'estomac., 31oý.Ar~deur continuelle dans l'estomnac.ý Sensation d'ardeUr* et- de grattemnent -dansl'Pestomac, qui rernonte jusqu'd la gor-ge; sortý de soda. Battement A la r~gion prkordiale. Pression 'a. la re"gion pre'cordia-fe, q~u*ie cause ýd~e 1'nxie~t6 ( au. bou't do quatre j ours).' Pre'ssion contunuelle, douloureuse; "ala regi &on pr& corcdiale: et dans le* haut dui ventre, conmme, dans r, estofliac, le soir, apr~s sept heure-s. J3 Y5. Sensation de pression a'I a rgondol'st.." mac, dans l'apres-midi, qui cessa. lorsque des 'Vent's sortir~eft, tavec.bruit dans le ve.ntre(abotd qu aft ranite-huit heures).,Sensation d'e pression au dessous de Na.regn precordiale (au bout de vingrt-quatre heur'es). Tressin letrnc omme s'ily avait I'qelu chose de malade; elle augmente. quand on yr touche,,, Le soir, douleuir dans la recgio n precordiale, qui est maeme douloureuse. an toucher; en rnmehterneps nausees,.et de~gou't en- songreant A manger. La re~gion de 1'estomac est tres-sensible. 3x~8 DOCTRINE. HOMoEORAT1RQUE. 320.,L'estomac: est pesant, et on ~pirouve~ comme un. treinhiement dedans. L'estomac; est cornme. lo~urd et doulourowx., en m-archmit et restant debouto. Sensation de constriction au dessous de re'stom- ac,Spasme et constriction d'estomac, Mmme-Ia nuit, qiii rernonte jusqu'a' la poitrine; a'vec gonfle ment dii ventreq le sujet ftit oblige' de se pLoyer ent deux, sans pouivoir se coucher, parce que son. etat s'aggravait alors; ce spasme rev ena-it par acce`., et coupait la respiration.. Constrictiona doulo-ureuse. le long de ]a r6-gion p~r& cordigale,. `ý droite, Ic matia,et l'apves-inid-iL 325. Au dessousý de la region. pre~cordiale,, serre,.* meat -douloureux,. qui augmnente beaucoup par Ila pxression du doig-t. Douleur courte, mnais vi-olente;, dans lecockedrit sous les fausses c. Otes.0 Iimm6diatenient att, desso-us de Ia regions pre cordiale, et de lh des. deax cotes,, dechirernentJ In" cinant, tre'srdouloureux., qui s'irradi~e derrie're les Elancernent, viol~en-t dans la, region hUpatique (anu bout de quarante-huit'heuires). Do~uleur lanecinante compressive sonxs le. sein gauche (an. bout de de~ux jours). I ý 11 33.o. Sensatioivcontinamelle de pression. et d& pinicement d-ans fle as-ventre. Tranche'es:. MuIl de, ventr-e com-me, api'es an,' ejroi~disieement,;. aiiagmente avant 1'&rn~ission-d'un, v.eDnt, e r on tinu e',e n co re a Irjsr.e -CHAABOX VAGATALO 31g. D echirernent dans le ventre,, seuletnent pour tin instant, mais tre~s-souvent. 'Coliques, qui traversenw le ventre commne un eclair. 335. Le -soir, dechirernent danis le ventre-, cornme, une colique. Douleur dans le bas-ventre, comme Si ofl s'tait -donne' un tour de reins, rn'me iorsqu'on n'exe'cute jqu'un petit travail qui oblige, "a lever tin peu le bras'; ]a m'me douleur reparait quand on touche au "ve~ntre. Le sujet ne peut se coucher sur le coke, sans quoi ii est pris de la me~me douleur que s'ILs'e~taist 1uxti, oI. donne' un tour de reins, principale-ment dans le z&t6,gauche du bas-ventre. En sortant de table, soinmeil, et en s'6'veillant, ten/ indans.la region du foic, comme si la peau e'ait lat trqP courte. Tension continnuelle bas-.ventre. 34o. Tension du bas-ventro par des vents accunnu1~s., mai Is qui sortent facilement et en aq$?ez7,grjande abnac,1apr's, - rmidi ( an bout do ~quarante hen res). Jour et nuit, sensation coinme de pl~n~itudox et do pression dans le bas-.ventre, ravec rapport6. Gr~ande anxit6 dans le bas-ventre. Serrement douloureux, par, des vents fixe'S danw lajpartie gauche d4 ventre, sous les faus.sews cVtes7 pres du dos.. Los ven ts.-so fixent ýt et 1a' dans le bas-ventre, -sous les fausses cokes, dans la recgion-do la yessie, -produisent dii Serremieit, de Ilapuession) %et sortent pe~u a .320- DOCTAINE It0MOE0PATMQUE. peu, avec une sensation' de chaleur dans le rectum (au, bout de quarante-huit heures). 3-45.- Colique: serrement fre'quent dans.Je hasventre, surtout au c&te droit. -Serrement et pression 'a une grande profondeur dans le bas.-ventre. Colique: serrernent dan2s le -bas-ventr~e. Se'nsation comme si le ventre e'tait tire' en bas par I'eff et - c sa pesanteur; le sujet e'tait oblige' d'aller pioye' en deux (au, bout de trois jours) Pression. douloureuse dans le bas-ventre (.sur-lecham~p). 35,o., Pression. douloureuse sous les, fausses cotes,,a,.res le..dejetiner. Pression. douloureuse sourde dans lec bas-ventre, au cote' droif', sur une petite etendue. Sensattion de'sAgre'able de pression dans''le ha'sventre, sur lequel on serait tent6' de laisse'r tou'jours ]a main appliquee. Pression dans Ia regio n inguinale droite.:Pression douloureuse dans le bas-ventre, avec un pen de;tenesme et, emissiohý de vents ehauids, qui 1A calment (au bout de vingt-six hen res). 3-55.,,Pression douloiureuse dans 1'anus- (au bout de qnarante-.huit heures)., Pression. doulocureuse,,ei cuisante au 'dessous'dii Pression. -douloureuse dans le vxteav *, borbo~ rygmes et emission de vents inodores, chauds,- hnmidesY,quifont ce'sser~le nial-de ventre ( au, bout de trois quartsdher) Pression-douloure-use dan's le ýcot6 gauche du basod CHARBON VVEGETAL. 3.2 ventre; les vents circulen t-dans le ventre, avec pincement. Pincement et pression, 'a qne grande profondeur, dans le c6to droit da bas-ventre, vers la hanche (au bout de trois heures et demie). 36o. Petit pincement dans le ventre, en s'asseyant. Apres avoir pris des alimens'sains, en petite quantite, violent pincement autour de la region ombilicale, que des rapports et une emission de vents dissipent promptement, Pincement douloureux dans la region inguinale droite (au bout de dix heures). Douleurs de pincement sur diff~rens points dubasventre, qui se dissipent souvent avec rapidit6 (au bout de quarante-huit heures). Les douleurs de pincement dans le bas-ventre ne se manifestent presque que l'apres-midi et le soir, et sont ]a phupart dii temps causees par des vents, dont la sortie les fait cesser. 365. Pincement dans le ventre, pendant une selle louable. Pincemens Lancinans, sourds, dans le bas-ventre, qui ont I'air de se diriger de bas en haut, et de dedans en dehors (au bout de trois heures et derie). Douleurs lancinantes et de pincement dans le c6t6 gauche du be,-ventre. Douleur fourrillante, lancinante, dans la profondeur du bas-ventre (au bout de vingt.huit heures). Douleur lancinante, augrentaut par la respiration, dans le c6te gauche du bas-ventre et de la poitrine. II. 2 ]D0CTRU1ME TIMOPOATHIQUE. 370." Elcan cement de~chirant danjý le bas-ven~tre, jusqtu'At ombilic. Doul~eur deceuirante dans le ba 'S-Ventre, qmi rexnqnte veris]1.om~bilic. (au bout de quaraute-hifit hen res). A Ard e ur dthms le ba s-ven t re., ArdeUr fautouir de la re~gion omlbilic.ale. Douleur bi-l~llante ' a ]apeat1, pres de j'rblc n se renouivelle. soLelve., (aU bout (le qitatre heures). 3,15. Au dessous du no~mbril, place qui cause une douleur cornme d'excoriation., Dou~le-ur d,'excoria lion aii bas-ventre, sensible nime au touch-er (ati bouttide quiatre heures trois qua~rts). Fixa 'ti~on' de vents dans Li partie gauche du ventre, enhauit, du ct6t d(I dos stirtotit. Des vents gonfient le veutre, dans I'aprre~s-niitli (atli bout (dC cilnq jours). Des -vents exciten't, par intervalles, un sentiment comine deI r~lysic dans la cuiisse gauch e-(au bout de cinq jours). g8o. Coliqu Le venteuse, avec 6rnission de vents inod ores. 'Co'lique ve'nteuse; les ve'nts circuilent dans le yentre, e-t Il'on ressent (les 1flncemnens Isoleos, ca' et la' surVtou lt d'an's leCocM6 gauiche', pres Jdu dos. Grande(16Ianuit6 de. vents, avec borborygmes,1I'apres-midi (au bout de Irente-'six he'Liees). Les wven'ts circuflent clans le ba-s-ventre (de suit-e)., Le's TOAenCtsCi clent dans Ie bas-ventr-e-, profoid6'385.. Les )efts circal~ent (lansle -kbas-veflft'e, et-if en sort, avec ousans bri'it, qUi sont unpen humidos.* CHARDON kL. 3ne Qarouillement da*ns le'c-tW gauche dn bas-venitre. Borborygmes, brujyais, et lents, dans leý ventr6' (au bourt de trois heures- et dernie).' Grand bruit dans, le bas-ventre, pendaint hui't join (au bout de tt'ois jours). Borboryg-mes brnyans. aIa region ombillicaIo.. 39o. Borborygrmes, bruyans dans, le ventide, avec un peu de pincement. Apr~s d~es gargouillemens, &'nission dTune grande quaiitite' de vents. Bor-boiygme.s by'ayans dlans le /3as-'ven7tr'e, avec emission non, bruyante'de ventsý presque inodores, chauds et humides. Emi'lssioli d'ne, gran'de quantite" de. vent~s bruyans et inodores, avec rapports f~reqiiens ( au bout de qua~itre joulrs).1 Des vents circulent dans, le ventre, et ii, ep sort qUelcpxies, uih; cjti n'ont pas d'odeur (au. bout d'une dem i-hieure). 395. L'a~res-midi, ii se de'veloppe tout-it-coup une grande qti~ntite" de vents, qti sortent sans difficult6 (au b*out de trente-six heur~es). Le matin, en s'eveillant, sortie d'une 6norme quau"? tit6l de, vents, inodores. Les alirnens, nmeme fiaciles, "a digrerer, e!ngendrent beaucoup dle ventt~s,, quii ballonneýnt le ventrel. Ven~ts d'o 'deur putride ( au- bout d'une" heuire ct demie).,GQrw 4Q. qtugnatit6- de- vents d'u-ne tres-wrn-auvaise odetlir (au bouit de vin~gt-quatre heures)., 4po, Au, ýnilicuea d-e.:coliques, qul poussent veiis- le sacruim, et de It, vers, le bas-ventre, emnission de 324 D0CTRLN1A HOMOE0PATHIQTE. vents tres-f6tides et enfin humides (aii 1out de deux heures). L'envie d'aller a la selle est dissip6e par des vents qui sortent bruyarment. Emission de vents, avec ardeur ' 1'anus, et mime sensation que si on devait aller "a la selle. Ardeur, a droite, dans I'anus (au bout de six heures). Point de selle un jour, et le lendemain deux selles. 4o5. Selle dure tous les deux ou trois jours. Selle en bouillie, qui cause de 1'ardeur dans le rectum. Ardeur dans 1'anus en poussant une selle copicuse, dare, non liee. Selie visqueuse, pea abondante, mal 1iee, avec inaction du rectum (au bout de six jours). Ardeur dans 1'anus, avec sensation desagreable de s6cheresse dans cette partie (au bout de sept jours). Ii o. En travers du bas-ventre, douleur tiraillante avant dalLer "a la selle. Le soir, quelques eIancemens violens dans 1'anus. Le soir, un Mancement tre's-douloureux, partant du coccyx, qui traverse le rectum et I'anus, et qui semble produit par une aiguille chaude, pendant une demi! minute (au bout de six jours). Dechirement dans I'anus, en allant A la selle. Une selle dure sort avec une douleur dechirante dans l'anus. 415. Elancemens, semblables 'a des coups d'&pingle, dans le rectum, en allant t" la selle. Prurit A lFanis, et ardeur dans cette partie, apre's ee4 tre fi-otte" CYIAR13ON VikiTALS 2 32.5 Prurit "a 1'anus, le matin, dans le lit, qui auget par 1Faction de se gratter, apres laquelle on 6'prouve de 1'ardeur. Cuisson "a I'anus. Yiolentes douleurs d6chirantes dans le rectum, et 6coulement de sangr puv, pendant plusieurs jours (Y) (au bout de sept jours). 420- Sensation subite de plenitude dans le rectum, comme Si on allait aller 'a la selle, mais qu'i se: dis-" sipe prompternent. Mal de ventre et douleur au. sacrum, comme pour aller a laselle. Une sorte de colique 'he'morrhoidale; violente envie' d'aller 'a la selle, fourmilleinent "a 1'anus et vive pression sur la vessie et le sacrumn, reve nant. spasmnodiquement par acces;- malgr6' les envies pressantes, it ne parait cependant pas vouiloir survenir de selle; mais it 6clate de violentes douleurs dans Ie bas-ventre, en devant et en arri "re, avec ardeur dans 1'anus et sensation, comme-si'Ia diarrhe'e allait's'e'tablir; en. essayant d'aller "a la selle, apres une douleur de ce genre et beaucoup d'efforts, ii sort un peu de mama_ tie'res f~cales, en petits morceaux mous, ce qui dissipe sur-le-champ le tenesme et le mal de've'ntre. Apre's le dejetiner, besoin d'aller "a ]a selle; Ies mnatieres, quoiqu'elles n-e soient, pas dures, ne sortent qu'Iavec beaucoup d'effo~rtsd Grand besoin d'aller 'a la selle; la. selle est cepen-w (i) Chez une jeune fe'mine, qui n'avait jamais rien eu de semblablei U6 DOCTTLINE H HW1(,OPAT~flQUE. dant pe-qcopieuge,,e~t dure (au bouit de cinquawie be ires). 425. Selle tres-tard, 'a dix heures du soii, avec borborygmies dans le ventre (au bout de quar~iamecjuatre heures). Lýa premiere semaine, selles. rares, dure, wtos le-s deLux oU trois jours seuleme~nt. Pour la sec~onde f ois,, sell~el e soir (au bout de quator-ze heures). Selle dur'e (au. bout de soixante-deux, heures). Se11e~dure, et sortant beaucqup plus tard qul 'prdinaire, avec -de gra'nds effo 4s au bout de treptesix heures)., '3o. Constipation absolue, s~ans in cowmolditis (au Ito'ut de~soixa'nte-sept heutresy. Envies inuttiles d'all~r "aIa selle (au bo'ut, de~qiatrý" vin.gtsLeres).' In'tile:e&ivie'd'aller a la''u i seile; it ne sort qv, ý des vefave resion doi ouese 'dans le rectum. ILe, sQir in utile envie d'alie.r h la selle, (anhu pt. 4e tente-six,ere) la" pre'xniere semaine, vn allant ' a lselle',, ii sort' d'apor~d d ein ucosit~s, puis eh ati~res diir'es, et enfn aesxntires A]oes; a puis quoi, mal de yen-!. tre'de~chir'ant. `35S61le accompagn~ed'une gad~pýift'd M~6sites. Ii sort beau coup d e mu',c'u's d q rectum,,"p~endant plusieurs jours. Les selles sont entoure~es de mucuns jaunattre,disft pose en filamens, et qui sur Ia fin est tout-ht-fait sango, inolen~t. Diarrhe'e (au bout de quarante-huit heures).<ý $P,10 I.LIS. Jiquide q"'4 INor d i Ai~areaetns (au bout do viigr heures).4 440. Af flux du sang ve~rs l'an us. Ecoulement de, sang 'achiaque selle. GonflernTent des hemrno'ihoides "a I'anus, qui ým-t' do-ulou reuises (au bout de (leux jo1trs).La derziiei'e partie (1eIa. setle' est teinte de sang., Une humour A-.re et mordicante sort du reecturn,(,ani bout de vingrt-quatre heures). 445. Selle 'acre, avec Iangtie chargree. La nuit, ii sort de l'a-nus iine g-rande quantit6' d'hurneur visqueuse, d'odle-ui peu prononc'e La nulit, sii-internent' (It - perine;depitis Fa'u jusqn'au scrotumi, avec pru rit, ct e~wria~tion'. Excoriation au perin~e; P endroi t:est- di6iioCrux et pruriiteux an touchei'.ý Excoriation "a l'anus. - 45o. Dord~eur '1ancina~ntUD-Au 1prin~e, p r,s.ddaFa - ntis (au bout dedo(elix, heure'e tt A(I-ife'.o Pin cement d'ars I'n us,-hor-s' dlsmones oiui 1on va ai la s'elle. Apre's la sellej mal deý venitre6ý plu-sieurs reprisesv; qui se dirige vers le sacr~urnet fa vessie, presqUe cornme quanrd on a iwis de Ia, rhubarLbe.' Apre's Ia scile, mat doI ventre qUI pousse au~recturn. Apre~s la s'elle, serrernent dou'loureu'x dans le venitre. 455. Le matin, apres une selle dure, petu-abom' dante, pincernent lancinant et ptivies imncopIte'ls d'aller a Ia seloe; sorte (10 pressio'n sur le P'ectqm, pendtamt t~ute la, jouqrn'e(ati J~ut Ldequa i ov~. 328 323]DOCTRINE IIOMOEOPATHrQUE. Apres ]a selle, vacuit6' compkete dans le bas-ventre, qui se fait sentir surtout en marchant. L'urine est rougeatre et trouble. L'urine est rouge comme du sang (le-deuyi~me jour). L'urine est cbarge'e en couleur. 46o. Urine rouge, chargree en couleur, avec Apret6f au larynx. Urine de couleur fonc~el, comme si elle e~tait m~l~ee 'de sang (au bout de deux. jours). Urine rougea'tre, trouble. Sedimnent rouge dans 1'urine. Urine tr~s-ab~ondante et d'un jaune clair (an, bout de vingt-quatre heures). 465. Urine d'une -odeur tre's-forte. Urine abondante, apre's qu'on a peu. bu (an bout 'de' six heures) L'urine coule en moins grande quantit6' (an bout 'de quarante-huit heures).4 Le sujet est oblige' de se relever plusieurs fois, ]a -nuit, pour uriner, et ii sort davantage d'urine; eniweme temips, pression sur ]a vessie. Souvent, dains la journee, press.ion sur ]a vessie; cependant on peut retenir 1'rine. 470. En urinant, on ressent souvent des de'chir~emens dans l'ur'tre; les dernieres gouttes sont du mucus, et cau~sent de la douleur en sortant. Le matin., apres avoir urine, de'chirement et tiraillement dans l'ure~tre. Prurit et cuiss~on au prepuce. Violent prurit au prepuce, "a Ia face interne duquel se trouvent une amnpoule et 7.1ne plaie excori'ed CIPARDON V]ME'TAL. 32 Fourmillement dims les testicules et dans le scrotum. 475. Prrint le long dui Scrotum, aui bait de lai cuisse; la partie suinte (au bout de. vingt-quatre heures). Gonflement di scrotum, qui est dur au toucher., Pollution qui e'branle vivement et douloureusernent les nerfs; cule est suivie d'une ardeur des plus vives dans la partie ante'rieure de I'uiretre, et, en uninant, d'ardeu'r de'chirante, qui dure long-termps, et que renouveile une Ie'gere pression exterieure. Erection con tinuelle ]a nuit, sans aucune sensation ou. ide'e voluptueuse. Itrections ion gues et fie'~quentes pendant trois jours de suite. 48o. Ere ctions frheque ntes (u. bout de' ingt-quatre heures). Absence totale d'appetit-Ne'nenrien; le matin; 1'ima gina'tion me'me ne peut le faire nai'tre ( au bout de Vingt-quatre heures). Vive cuisson aux parties ge~nitales cIle)a femme, en devant, le soir. Ardeur aux parties ge~nitaLes de la femme. Douleur cufisante aux parties ge'nitales de la femme, avecflueurs blanch-es abondantes, pendant-deuxjours; puis, apparitio~n des r egles, qui avaien t cesse' depuis plusieurs mois; elies coulent trois jours, mais entie~rement noires; ensuite, tre's-peu de fineurs blan-,ches, sans cuisson. 485. R egles," cinq jours trop tot (au bout de Yin gt. et-u n jours). Im mediatement avant 1'appari tion -des re~gles,,mal 39 D0CTJ411 00EF~I~E d~e ventre, sem-b)lable - 4.des spasmoes, depuis le ty),-. tin jusqu'au sohr Pendant les re'gles, tr's-viQlent w.na)j&de tqs-tequi fermp enlikremnept les yeux. De'chirement dans le bas-ventre, pendant les rggies, Violent prurit d'une dartre, avant 11'apparition des reglese 490. Le matin, PDen se vant, 0ueu rs blapchesaThodate.*, tre`bAquides u ee~aissent plus ensui3~e dans ]a jquyn~ee., Ecoulernent de mucxu, blainc pir le v~cip (qln bout de quatre jours). L~es flueir~s bkipcho scp~ient~ apr~s ayvoir uvixn4'(Ie do~uzi~me jouir). Ec~oulenint ye rda',re par Je v.in(lesj.i-ni JtI'). Icoulement de mucus -sanguinolent par le y~i.(le seizieme jour')., heure..,La -nap--nrkgauche,st.obstru "e (an batiL d'o~ne heure et deiwie). Eternaement suivi dWobstruction de, la nArine ga Uche,. Augmentati o n, de 1'humnidt6 du niez (I) (an bout de trois heures). Eniclifrene ment. -500. Frquens Sternuelne7?S, avec clzaiouille-inent continuel et violent, etjourinil/enzent clans le net, 44.) lpvtsin Ibýspwdtioht de r~obstruction. apre~te6 catarrbale, dans'10lezte et le hau~t de' la poi+ trine, la nuit, dans Ic lit. Jtternlueniens violens, r'pite's (ati bout do ci'nq hen res).I Eternuernens tr~s-fre'quens, sans coryza-. 1i-ternuernent, avec larmoye-ment de 1'.ceil gauche, qui occasi~one de la cuisson dans 1'angle interne.,Vi'olent 6~terntiement,ý suivi* d'unje forte dpuleuircuisante Sur le nez et dedans, avec Iarmoyertnent dep yeux, comme s'il allait suirvenir u-n gran-d rhumne do cerveau; cotte douleur dans le pez se rnaniffeste au.ssi en se mouchpant.,5,o5. Thritation pruri~teuse dans 1,e ne,' cag mentation do la secre'tion (au bout de sept'hemtes9. F4iirrnillerenieit dains la -narine dsoitp, kcon lemcnt do muicus nasl u- iods' rneinlmy~ metdoelNeil droit, toryza'. Envies inntiiles- d'@ernuer, qui revien nenit tantot plus et tanto~t moms ffortes. Pternutiernot, qui produit des 61lantieenwns d ins- le bas-ventre. 1t'rnquemenit,qui a p o uy su ite un e ur-deur dans vune -,g man.d e p airtitii acWt droit td ~bas~ventve.!51o. Sen-satI-on'd'un coryza eoiin'irbnený,4nt', Aia racine dLI nez. Prles'sion douloureuse'alaIa acine dii nýz Ctt danits Ies narines, cornme Si onl avait un fort -coryz'a; tcepen-"' dhmift ['air -traverse le fezý. Inutiles envies de'~ternzer, apec fourrn~illethzeht 4dan'S- la nat'ine'gdache; ce'Ile-ci delvi~et eh~Auife hamide, et apr~s qa'on s'est mouch, Ia' navine droibte reste bouc'h~e; en me' m,,e tem ps, i6g~re.6ensntiIn )cle 332- DOCTRINE ITOMOEOPATHIQIE. Foryza., fourmillement et cuisson dans le c't6 gau' che dui palais (au bout de cinq heures). Coryza fluent, avec eternuemens (presque sur-lechamp). Tous les soirs, coryza fluent. 515. Pendant plusieurs jours, ]a nui't et le matin, en s' veillant, irritation semblable 'a celle d'un coryza, qui se dissipe dans la joiirnee, ' 1'exception de quelques eternuemens accidentels. Fort coryza, fluent. Coryza et catarrhe (an bout de sept jours). Enrouement, Il soir (au bout de douze jours). Catarrhe, qui permet "a peine de parler haut (an bout de huit jours). 520. Le soir, grand enrouement subit, avec asthme considerable, qui permet "a peine.de respirer an grand air (au bout de six jours:). Apret6 et enrouement da larynx; on ne peut parler haut qu'avec de grands efforts. LIg4re prete de la voix, comme si le larynx 6tait etrrci (au bout de trois jours). Grande apret6 di larynx; ]a voix est creuse et, rauque, et elle manque quand on veut faire effort pour parler; cependant ii n'y a pas de douleur dans la gorge en avalant. Aprete' sur Ia poitrine et irritation fr)quente qui porte ' tousser. 525. Grattement dans lN gorge (an bout de trois jours). Le soir et le matin, grattement dans la gorge, qui provoqtue une toux seche. Grattement dansl ]a gorge, avec un peu de toux et CRlA117301V1 GWTA.E333 l~armoyement surtout de,1'ceil gauche (au bout de trois heures et dernie). Fourinillement dans la partie superieure de la tra-' chefe-artere, comnme s'i sy trouvait quelque chose qui excite "a tousser (au bout de trois heures ). Q neiques l6gers acce~s de toux (an. bout de cinq Minutes), qui se re'pete~rent; le troisieme jour, a la neme heure. 53o. Le sujet a quelque chose sur ]a poitrine, qui y adhe~re; ii eprouve de la toux se'che, le soir, apre~s s'etre couch6'; ii a duz fourmillement et du prurit dans le larynx, sa respiration est sifflante. Apr~s ]a cessation dii coryza, la poitrine est si op. pressee qu'on ne peut r'ester au lit la nuit, faute d'air; boujilonnement et stertoration dans la poitrine, les mati~res s'en de'tachent difficilement, et ]a toux va jusqu' a provoquer le vomissement. On est oblige de totisser apr~s avoir mange" jus-. qu a se rassasier. Fre'quentes envies de tousser, par suite d'une Irri tation fixe~e au haut de la poiti'ine, qui paraissent &tre en connexion avec I'aprete' et le grattement dans la gorge, et e'tre causees par eux (au bout de trois jours). Prurit dans le larynx, qui excite hi tousser (avec expectoratiou visqueuse, sale~e), le soir, en se mnettant an. lit, et le matin, une heure apres qu'on s'est leve"..535. Irritation qui excite h tousser, semblable h celle que produirait la vapeur da soufre, avec serreinent de gorge. Frqunsac~sde toux courte (au bout de trois, heures trois quarts). 334 IDOCTRI~tHOMQUOPATHIQUE. Irritation qui'porte a tousser, en arri~re,1 dans la gorge, avec toux. courte, et qui 7re~'ientfd'equemwnment, Grand fourmillement dang ]a gorge,o qu'on, di~miniie pour quelque~temps en arracha~nt des mucosites, avec affloUx abonudant de slalive, La trache'e-airtere semble tre extraordinairernent seche, pendant plusieurs jours (au bout de trois jours>, 54o. Sensation d'a'pret6 au fond dP ]a cgorge (au bout de trois jours). Sen~sation 1pontinuelle d' aret~dn ogae fourmi[Iement, et toux fr~equente-, rauique, A demii inVOlontai~re, qui occasione (le la dou~leut' dans ]a partie suipe'rieure de la poitrine. Apres un fourm;illetnent et une irritatio~n dans lagorge, quelques secousses profondes de tonic, danag lesqutelles la poitrine et doulouireuse, comme si on s'appuyait dessus. En toussant, douleur sur la poitrine, coIXIJ3CSi Ices pa 'rties etaient a vf. En tous'sanlt, OIancernens douloureux dans la te'te, 545. En toussant, vive douleur Ai la reogion dii cartiage thyroide et dans le larynx, comme si cs par,. ties e~taient excorie'es. Tou x an moindre refroidlissementi le matin, en quittant le lit, OH quarid on passe d'une chambre chaude dans Une froide. Le soir, avec de 1'irritation q u-'i*,porte "a tous,5er, frisslonunement et tirailleme~nt dans les joues. Le soix', touix dans Ie lit. La, tonic est ra uque, ct sins nulle expect~orationl (au bout de trois jours). CHA1IBOTN ViCGTkL. 3.,;;-s r. 3 3-A S 55o. T"oux spasmodique; tro~is on quat'e, acces par jon r. Le soir, toux sp~asmodiq'ue pendant- cinq he'ures (apr~s avoir marche" vite?) (le seizierme jour). Le soir', toux qui excite le'vornissernent et un ser. trnment (dC gorge. Toux. fatigatite, avec asthme et ardeur-stir la -po',iCracha ts rnuqueux, tire's dui larynx par une touxk 5,55. Crachats muqueux, en morceaux- entioers, verts. Douleur cothpressive d~chirante dans le tdt. gauche de la poitrine ( ati bout de vingat-s ix hen res). be roatin, dans le lit, (le'eh-'Crngf qul s'etefident d~e Ia poitrifle ani dos, dans les bras et I'oreille gauche, a~vec chialeur interne, surtont dans la teate. Pouleur tiraillante (rh~umatisinale) sur les fausses c'tes (Iroites. De',chirernent (lals le co't6 (iroit de la poitrine. 56. Douleuir rhumatismnale depuis les fausses cokes gauches juisqn'a Ila han cie. Dou~leuir' rhurnatisniale cornpressive dans Iec c't6 droit., sue les fausses co~tes, pendant un quart d'heure. Ti raillementdouilour~euix dans a poitrine, les ~paules et les bras, plis a cgauci e qu'a' droite, avec sensation de chaletir et. afflhax dui sangr ve's 1la. tee, qui est froide,anl toucher. Douileute sourde, d'ah~ord dans le c0t6gauche, puis dan,s Ie co~te'(iroit de la poitrinie, plus sensible en expiratnt qu'efi inslpiraflt. Doulur sonede aut C t6 droit dele a poitrine (au bouit die six hieui'es). .336 ID0CTRINIE OO]IoEoPATHIQUE. 565. Elancement sourd dlans le c6t6' gauche de la poitrine, vers les fausses c6tes. Douleur lancinante dans la regcion dui coeur (le septie'me jour). Au-dessous du c~te' gauche de la poitrine et dedans, dIancemensconstrictils, qui coupent la respiration (le troisie~me jour). D~ouleur lancinante sourde, et comme de constriction, dans la region dii coeur,.qui disparait "a la suite d'un. gargouillement dans le c6te' gauche (au bout de trois heures et demie). Douleur lancin ante, plus vive pendant la respiration, dans le coke' droit de ]a poitrine (et dui basventre). 570. En se mettant au. lit, quelques e'Iancemens tr~s-sensibles 'a ttravers ]a poitrine, qui arr6 tent la res.ý piration. En respirant profonde'ment, dancement profond clans le cote droit de ]a poitrine. Elancernens violens, sourIs, a* une g~rande profondeu'r, dans' le co~te' droit de la poitrine. Forts 6lancemens sous le sein gauche (sans froid ni chaleur), qui em pechent de ddrmir et de marcher, et qui continuent numre dans la pos~ition assise. Douleurs, plutot briullantes que lancinantes, dans la region du coeur.. 575. Vive ardeur dans ila poitrine, comm-e s'iI y avait des charbons ardens (presque sanis interruption). Douleur bruilante le long de la fossette dui cceur et suir, le cokt6 gauiche de ]a poit~rine. Ardeur et afflux dui sangr dans Ila poitrine. Boujilonnement chaud dans la, poitrine, avec anxie~tel me'diocre, ayant pour cause ume accuimula CHAIU3ON VIEGiTAL. 337 tion de, vents dans le bas-ventre ( au bout de neuf jours). Ii sernble que le sang monle toujours vers ]a poitrine., avec froid dans le corps. 58o. Afflux du sang vers la poitrine, le matin, en s'fVei"lant, et langue chargee. Banemens de cceur, surtout quand on est assis. Frequens battemnens de cocur; quelques palpitations rapides. Le soir, en se couchant, battemens de caeur, et pouls intermittent (au bout de seize jours). Enormes batterens de coeur, pendant plusieurs jours. 585. Oppression et constriction spasmodique de poitrine, pendant trois ' quatre minutes. Douleur dans la poitrine, comme cause~e par des tlents qui se-deplacent. Resserrenent de la poitrine et respiration courte, tenant en apparence h des vents qui remontent (aw bout de quarante-huit henres). Sensation de pression et de reti'6cissement sur la poitrine, paraissant venir du bas-ventre et etre causee par des vents (an bout de huit jours). Sensation de resserrement sur la poitrine, qui -dis.. parait aussitot apres des rapports. 590. Pincement sur des points peu,tendus dans la. poitrine, dependant de vents (an bout de dix jours). On perd ]a respiration en se retournant dans le lit. Un asthrme violent oblige " marcher plus lente ment que de coutume, On se r6veille fatigu6e et avec une grande oppression de poitrine. 11. 22 338 DO CTRITM -H0MOE OPATHIQTJE. Le matim, en sortant du hlt, 1Ia poitrine et les epaules, sont comrne comprime's. 595. Douleur en disten-dant ]a poitrine. Le soir, en se couchant, difficult6' de respirer et battement dans Ia tete. Q uand on commence 111 s'endormir, ]a respiration s'arrete tout de suite, et le vertige augmente. L.'ral"inne-est froide; froid aussi dans, Ia gorge, dans Ia bouche et aux denlts. Res~piratibn difficile, surtout etant assis. 6oo. Acce's fre'quens de constriction de poitrine, qui suspendent ]a. respiration par momens. Sensation fre'quente de pression sur Ia poitrine. Pression sur lie c.te gauche de ]a poitrine. Pression don loureuse au haut du co't dro~it de la poitrine, jusque dans, l'om-oplate du nmerne.c0 e. Douleu r sourde, dan s tine peti te e'ten d te, su r le sterinuniD., iinrndiat'ement au de~sszs deIa fossette diicoetir, qui aiigrnente'quand on se baisse et qui'on y touche. 6o5. Sensationz deJfidblesse et d'aff-ection dans Ia. -1-En s'eveillant, on se sent Ia poitrine comme fati. gu~e. Prurit au dedans, de la poitrine. Prurit Ian cinant "a la -region dui coccyx, le soir, dans. lie hlt SenO.ation de froid, d'e'n.gourdissernent et de ten, sibn-afis'acrum. 61o. Douleur tensive et raideur dans, le sacrum. Y ive douleur au sacrumni; le.st 4 ljet'ne pent s&a'sseoir,' parce qu'il Iui sernble alors avoir un 'pieu dans le dos,; -i est oblig&";de, m.ettre un couissin sun sa chaise. Pression de'chirante dans le sacrum. 0 c MA R t 0 "IN v I -*, a i T A L. 339 Doilteur comrn)essi ve,-dechirante, dans le cote g~auche, jusque dans le dos; 'le' long.de Ila hanche gauche. f DouleUr dkcliiranite d ahs, Ie' sacrurn, qul s'etend parfois kers les hmnches (an bout (le-troi'A joursý). 6 15. De'clkir'cment par ititervalics dans les hahchL3, (an ku.b,6t (leftrois j-ours).. Violeute ardeur 'a I'ext~i'ieur, stir la hanche-dreitK. 'Do~reur ornpre~sIvOet fir. rla-ýi~ve- a fc rri;ju descen'd jirsq6Iaa, cocyx (,Au td vrit~qua life i rr s). - De'ch ire-meit~auvbag dtudog~ile lorng IISaC~r uiPesancm ei r d'a na e-.,(Ib- e7-(t opp 1) egMs0' n-de poitifh"e -ý.626I ~irI'lleme-,nt dan s:le, dossurtou tqUand -on THiraillernent rhuinatism-at dwitn--ledos-, su'rtoutlens~a~sn~pend'anm1)'t pisiui A j6-ur(an bou.t-& qnaPression doulour.4 weuIse Ilong yde la vpqirti-ein1f~ieukeý dttitos,ari bout do trois hetires). Doulour (lamsa e -cbte" dtif d8 ýcoimne cohnfig,?V6. P.I-ession e t c o tis;t,4di rtio nduloltrcets8 le long bde Ia l)arti(e inferietire deIc 'ejpine du dos. '~62 5Ti~s~iailemeutmu tusclAa'i re daxi lg, t~g~Ardeuir 'aIla pat-tie supe'rieure et gaucedii u d~s'ý>-~E~ri~~rnna fial Isoro " e,qtii coujj le 1a~-tspiralili, ia flint. I eArs avoir Iav6 0,rinsdelaucaiedtir roha i 'n at isgrnai]e a, uh ant tt.d&-17&ripa tb~~e e(an b6ttf de vingrt-six heureTs). Dh~tilu matisimldb du tntLlo( laegfju. che, en e&ri'vant (an.bout ide'giv, h~el)V, S) 346 D0CTRIN9 10OMEOPATffIQUE. 63o. En retirant le bras gauche en arrie're, v*io.0 lent de'chirement dans 1'ornoplate. Sensation brulante stir 'ornoplate droite. Ardeur-da' aisselle droite. Ardeur sur 1'articulation de 1'e'paule (au bout de trois heures). IDouleur tiraillante dans 1'articulation de e'6paule gauche. 635. Douleur tiraillante clans 1'aisselle et l'paule. Tiraillenaent douloureux dans les deux articulations des e'paules, tant lorqu'on se remue que quand on reste en'repos (au bout de seize heures)..Tiraillement rhurnatismal dans 1'aisselle droite. Violente douleur dechirante. dans 1'articulation de 1'6paule droite, surtout en se remuant, avec tiraillement dans les humerus. Douleur de'chirante dans I'articulation de lke'paule. 64o. Dechirement dans 1'articulation de 1'e'paule droite, qui se renouvelle souvent., Faiblesse, cornme paralytique, de e'~paule et dii bras droit (au bout d'un quart d'heure). 'Elancement dans l'aisselle droite, le jour et la nuit. De'lziremnent dans les muscles postSerieurs du cou. Douleur compressiv'e, d,&hirante, dans les muscles, c/ucou. 645. Violente douleur compressive dans les rnuscles dui coti, "a droile. 1.Douleurs d~chir-antes danZs les muscles du cd6te gauche de la nZuque, surtout en, se rernuant ( au bout de trois jours). Sensation de pression doul'oureuse dans les mus-n d~es de la nuque (au bout de quatre jours). CHTkARDON VEGE"TAL. 34iL Douleur brudante, sourde, dans les muscles de la nuque, h droite (au bout de quatre jours). Pression dechirante dang les muscles de la nuque, du c6te gauche, qui dure deux jours (au bout de trois jours). 65o. Pression douloureuse au col (au bout de six jours). Douleur tiraillante dans ]a nuque, qui remonte vers ]a tate, avec nausees et afflux de salive 'a ]a bouche. Les glandes du col se tume'fient et deviennent douloureuses, surtout les posterieures, du c6te de la nu. que. Prurit lancinant au col et h la nuque, et plaques rougoes sur ces parties (au bout de trente-huit heures). Petites taches rouges ineggales, eparses, avec prurit douloureux, au col, 1e soir (au bout de quarante heures). 655. Douleur compressive, tiraillante, sous 1'aisselle droite, qui se fait surtout sentir quand on se remue. Douleur brcilante dans l'aisselle droite. Prurit, excoriation et suintement dans les aisselles. Douleur contusive sons le bras droit. Tiraillement dans le bras droit. 66o. Crampe dans les bras. Tiraillement sourd au c6te interne du bras gauche (au bout de quatre heures). Le bras est tres-pesant. Les deux bras sont lourds en marchant (au bout de cinquante-quatre heures). Douleux' tiraillante, avec ardeur, au bras (au bout de quarante-huit heures). 665. Douleurs tiraillantes,'de haut en bas, dahii' taut le bras.droit (au bout de cinq jours). Ardeur au haut du bras, l'abord dans le ga uehe, 341. DO CmmTzIorUM OB 0PAT-4MQVE. puis dans. le droi~t ( au bout de cinq he'ures) D~lchirernent dans le bras~gaUcie (au bout de qua.,tre, heures). Acce~s isol~s de de'chirement daus le bras gauchie (Ont bout de quatrejours). Violenit de'ch-irement dims le bras -droit, surtout en le renmant (au lbout da. cinq jours). 670,. Uni gros furoricle Suir le.'bras, lntoure de beancoup de bouitons pruriteux (au bbut (le-sept jours). Prurit cuisant et cowntiniel ai la partie itiferieurec et interne (du bras gtcli, uefatioi ese goe apaise pour quelque temps (aii bout de cinquanitequatre heures)..Do~uleunr comme co~ntusive dlans les deux articula-. tions d-e Ilvanit4)ras. -Ardeu r au couice droit. Douleur tiraitlante dans le cubitus, vers le poignetr (au -bout de vingt minute s). 5;. oueu. iaillate lehmate, dans le' radius gauche.(au. bout de qua,-torze heures). Douleuir tirailleante, dechirante, ati co~e t6 u~i de, I'avaiit-bras gauichie, pre~s (ItucoudeI o& Se trouve iin enciroit qtii est donIfout'eux qujand on -presse sur 1'os (au bout dec trois hieures et demnie). Prurl~it ardenit 'a 'avant-bras, pres dti. coudeý. Dechirernent clans tout 17avant -bras droit (ani bout de vingt heures). 7triadllern en d dc/z~irant depulis le coude gawlze jusqu'?t la mainz ( au bout. de q tara te-huit hi~ feLn -S 1'avant -bras s'etendlelit jusquie dans,mla i aiue e dkoizgts, s&ntautj),,ejdejn~t býs moaverlens;. Sensatio~ipaon medev~aralysie i~Jq poigrnet, CHARB0Of VE GJTALi. 3 Sorte de-douleur de dislocation dans ]a m-ain dvoite et I'articulatLion du poignet, corinme si on avait fait un grand effort en saisissaht qucique chose (au bout de trois joui's). Les mainset Ic'k.spblrias s'engou rdhssen't, surtout la nuit, de sorte qu'on ne sait out les mettre; is s'engourdissent. aussi dans la journee. Tendance des mains "a s'engourdir. 685. Le matin, en se lavant les mains, A semble qu'elles vont s'engrourdir. Froid glacial aux mnains (au. bout de quarante-huit hetires). Dans certains mouvernens, sensation dans I'articulation dui poignet gauche, cornme si les tendons etaient trop courts. Sensation dans les mains comme si ]a force miuscntlaii'e y e'tait affaiblie; elle est surtout prononce'e en ecrivant (au. b out de six heures). On e'crit lentement et avec difficult6' (au bout d'une heure et demie). 690. Dechiienzen1tcdans le poig'net droit ott gauche. Er-uption cie petits boutons pruriteux auxiimains. Douleuir contuisive sur le dos de la main gauche,. Pression douloureuse sur Ie dos de la main gauche (au, bout de qulatre jours). Tiraillernent dans tes os, nietacarpiens de la main dr-oite (au. bout de trois quiarts d'heure). 695. Petit gonflement dans le phi de I'articulation dii poignet. Yiolentes demangeaisons dans la paume des niains, ]a n'uit. De~chirement dans I'inte'rieur de la main gauche, at par tir de la base du petit doigrt. 344 ]DOCTRINE HOMcliOPATHIQUE. Violent de'chirement dans l'articulation poste'rieure du doigt indicateur gauche (au bouit de vingt-huit heures). Douleur de'chirante dans les doigts de ]a main droite (au bout de six heures). 700. Douleurs dechirantes dans plusieurs doigrts, le soir (an bout de quaranre-huit heures). Le'ger d.~chirement dans le quati'i~me 'et le cin-. quieme doigts de la main droite. Le'ger de'chirement dans 1'articulation. mediane dui doigt indicateur droit. Le'ger de'hircmient briullant "a 1'extdrenite' du pouce droit. De~chirement tre's-le'ger dans le pouce droit, qui a 1'aird'e'tre dansl'os (au bout de quarante-huit heures). 705. De~chirement an bout et sonzs ocyedu quatrieine doigt de ]a main gauche (au bout de quarante-huit* heures). Dercbirement dans les articulations des quatrie'me et cinquie'me doigts. iDechirement sous l'ongle dui pouce. De'chirement dans le petit doigr de ]a main droite, que le nwouvement auginente. Tiraillement dans le doigt: indicateur droit, en avn, vers le bout. 710o. Douileur perforante an coke' interne de l'articulation. mediane dui doigr, indicateur gauiche, pondant le repos; mais, quand on fle'chit le (loigt, petits e lancemens, semblables 'a ceux que produirait une echarde, pendant six lieu res. Douleur te'rebrante dans l'articucalation posl6'rieure dui doigr me'dius et daus celle dui pouce, pendant le repos. CTIARBON VEGETAL. 345 Douleur lentement pulsative dans le phalange anteri'ibre du pouce. Pulsation sur le dos du pouce, pendant quelques minutes et aI plusieurs reprises. Douleui pulsative dans 1'os metacarpien du doigt medius. 7 5. Elancement d6chirant dans Ics articulations medianes des doigts. Ih1ancement dans 1'ar ticulation posterieu re du doigt in'dius gauche (au bout de trois quarts d'heure). Elancement semblable " celui que causerait une echarde, dans La phalange anterieure du quatrieme doigt. Elancemens dans un doigt, en se levant de dessus sa chaise. Elancement subit et profond dans La phalange anterieure dui doigt in'dius droit (au bout de quaranteet-une lheures). 720. Elancement dans l'eminence thenar, qui part du poignet. Tres-petits eMancemens dans la peau du doigt indicateur droit, renouvel6s par.la flexion du bras (au bout de deux heures). Ardeur dans larticulation lostei'ieure des doigts medius et annulaire droits. Violent prurit au cite6 externe di pouce gauche. Les doigts de La main droite sont paralyses et faiblesi, quand on empoigne un objet (au bout de trois jours). 725. Dechireement dans la hanche droite. Douleur compressive de~chirtante an dessous et le long de ]a hanche gauche, vers le dos et le sacrum, qui se repete souvent. (au boat de deux-heures). 346 DOCTRINE O190TIEOPATHIQUE4 Forte douleur tircilliante et parafrtoique qui partdii bas-venZtre et dlescen1d dans hafambe~ga~uclie. Tressaille went musculaiire 'a lI arti~e superieu Ire et poste'rieure de acis ute e matin, dans le lit.,En marchant, des e~Iancernens traversent la cuisse de.haut en bas (au bout de douze jours). 730. Elancernent sourd au haut de, la cuisse. Arclenr Atla cuisse,'la nUit, dans le lit. Sensation d'ardeur au.cote' externe du haut de la ciii sse. Ti rail lem ent rhumatismal dans ]a cuisse gauiche, le soir, dan~s le lit, qui dinilnue en se con chant snz' cette cuisse. IDouleur de'chirante dans le milieui de la cuisse., qui revient fe'~qneniment.. 735. A Ia partie infi-Srieure et externe dIe Ia cuisse gaucehe, (louleur de crampe, en marchiant, surtont en levant Ia cuisse et montant un escalier; Ia 1)artie est dIon lonreuse aussi au toucher (au bout de trentecinq heures). Engouordissemnent des cuisses en marchant. JRaideur clans les cuisses, an dessus des genoux, Ie matin, en se levant. Raicleur et tiraillernent dans ]a cuisse gauchie, qui est comme paralysee et luxe'e (les qualre premiers jours). Contraction douloureuse dans la cuisse, jinsqu'aa genoti, qui oblige "a flicir Ia jambe en niarchiant. 740. Sensation dl'agitation dans Ia cuisse et lajambe drites 'i force 'a cherchier sans cesse une nouvelle position sur la chaise.. Agitation dans la' jambe gauche, avec douleurs tiraillarites dedans (ani bo~ut de cin quanrte. deux heures). CITIA113O]N VIEGETALP 4 341 7 Dould'lr dd,4'-es deux - n jambes, "tant assis et couch -e asret.o u es m e.t t re. Dechirem e O'd-ans la cuisse et la jambe doites. De'chi reineýn-t,,'d a ns la cuisse et la jambe gauches (au. bout de vingt-neu[ hlefres). 7~45, Dunileuirs de'chirantes daus ]a cuiisse dlrpte jusque (lans la jambe (au bout de trente heures).* les doulenres de'chirantes dans Jes membres inf6 -rieurs semblent etre accrues Palr une forte accumut" lation de vents. Pesanteur dans lesjambes (au bout de cinq jours). Faiblesse dans les jambe.s, qu'on ne pent soulever, de midi au. soir. Engourdissement et insensibilit6' dans les jambes. 750. Engrourdissement des jarmbts (le troisi~rne jou'r). IDouleur tiraillante dans les genioux, en se tenant debouit. Tension dans les genotix et les rarticulations d~es pieds (aii bout de cinq jours). Douleur de paralysie (lans le genon, en s'asseyan~t et- se levant, ainsi que pendant la nuit, quand on est coulche,, ou- qu'on se retourne., on. qu'on e'tend les genoux. Paralysie dans les genoux, apr~s la marche. 755. 'Vive douleur dans F'os, apres un coup 1e'ger au, genon. Douleur dans les ge noux, en montant tin escalier. Senftiment die faiblesse et de lassitude (Thus les genoux, en in-archantu et se tenant d-eLout. Faiblestse, et raideur dans le grenou. 'Grande faiblesse- et sensation de paralysie dans les deux mernbres inf~r~ieurs (an bou~tde qua r'auite heur~es> -348 DOCTRINE IIOMOEOPATIIIQUE. 760. Forte ardeur sur le genou droit. Douleu r brildante au cotk interne du genou gauche. Apres s'etre Iev6 de dessus une chaise, 6lancement dans la rotule, et sensation comme si le genou etait gonfl'. Pression de'chirante dans le-s deux genoux et dans les jambes aussi. Sensation de tiraillement dans les membres inf&rienrs, les jambes surtout, " partir des rotules. i 765. Tiraillement rhumatismal dans les deux cuisses, jusque dans les os des metatarses (au bout de cpiarante-cinq heures). Dechirement dans la jambe droite. Dechirement dans la jambe, depuis le mollet jnsqu'a la cheville interne. Dechirement dans les deux jambes: on ne pent les laisseren repos, et pendant une demi-heure, 1'apre'smidi, on est sans cesse a les etendre et h les retirer. Sensation de paralysie dans la jambe gauche. 770. Point tumefi6 et douloureux au toucher, an mollet. Tuneurs sous-cutanees pruriteuses aux mollets. Crampe violente dans lajambe, surtout A la plante du pied, en allant au grand air. Crampe violente, ]a nuit, dans toute la jambe, surtout dans la plante du pied. Crampe dans la plante du pied droit, le soir, apres s' tre couch6. 775. Dechirenent dans 1'os, au-dessus de la chevile interne du pied gauche (an boutde quatre heures). Tiraillement dans les pieds,- surtout etant assis. Douleur dechirante an-dessons des premiers orteils du pied droit, que la marche augmehte. CTIARB0X VEGJiTAL. 349 De'chireme'nt dans 1'orteil du-milieu du pied droit. Yiolent.d6chirernent sous les ongles des orteils, depuis le soir jusque dans ]a nuit; ii s'etend jusque dans les plantes des pieds (les quatre premiers jours)., 780. Douleur dans le gros orteil droit, sous I'ogle. En marchant, douleur dans les os du me~tatarse, comme si on les brisait. Agitation dans le~pied gauche; le sujet est oblige' de le remtuer sans cesse. Ardeur "a la. plante des pieds, apre's s'e'tre tenu de.bout. Sneur abondante des pieds (an bout de neuf jours)~.785. Grande anxiete" et chaleur, pendant les donleurs. Lassitude extreme apres les douleurs. Les articulations paraissent incapables de soutenir le corps (au. bout de cinq jours).0 Brisure de tous les membr~es (au b-out de vingtquatre heures). Le matin, dans le lit; apre's s etre 6'veill6', grande donleur contusive dans les membres, qu'on soulage e tendant ceux-ci, et qui se dissipe pen ipn pu la sortie du. lit. 790. Tons les membres, ainsi que le dos, font mal (avec grand mal de tate et faiblesse extremne). Engourdissement des membres. Les mernbres stir lesquels on se couclie s'engouirdissent aise'ment. Fourmillement par tout le corps. Le rnatin, dans le lit, e'lancernent an-dessous deg cotes gauches,- qui s'6"tend en rayonnant dans le, bas'ventre, ]a region pre~cordiale et les deux Cote's de la poitrine, degenere en pression, an larynx, et aug-M 350, DOCTRINE HOMOEOPATH1QUE. mente pendan t l'expiration; qn~l nd ii a' cegss6,ThP'ressio n exerce'e stir le ibas-veiitre le renouivel le. 795. Ibancemens pruritetix au coke` suvr1equel on, est couch6, le -soir, dans le lit.' Prurit sembiable h celui des picffires de puLces 8ur plusieurs parties (Il cot-ps. En s'e&hauffant dans le lit, on ressent de p~tits'et h6gers efIancemenls par touit locbcrps. Prui'it, et e'Iancemens "a pluisieurs partiebs dri corpis. Violens'prurit aux bra s, i6ux mains et enire 4es doi grts, qi Ampche de doirnir la nuitmaissAh~ eruption". 8oo. LA"rujption ortie'e pendant qu'Lie]q~ues se6m ai n--es (au bout de quatre jotirs).Prurit et ardlea-ir sar der, points (lit C'O'psati cs, "a ia p oi tri n e, A?1 0'orfliicA, au x' c'ii sýe~se tc. Ardeur ht diverses parties dui corps', Ia unit, dans 1-6 lit. Le'geres douleurs brcilantes sur divers pO inthts d 6.1A pea U. Ca' et ]hi sur le dos et aux c616s.9, ainsi qu'ancot`6 droit du bas-.ventre, sensation' d 1ardeuir bri'u 1a n t h ]a peau, semblable 'a celle que produirait uP' siina,p'isime (a'u bout de0 douze.he ires). 8oA. Raideur clans les ge'nouix et le~s articulatfibnsl des cuisses, le niatin, en s eveillant. Tension dans les genouX et la mainf gauiche', comnm'e si ces parties'avaierit e"te'faitigue~es par' Uf m'ouvernent violen t. Doaleur tiraillanle clan s Ic iembres.' Do~uleur tinraiante datns pr'es-que toutes ks,iartiesý du' corps-, principalernent' an dessous'de la poitrin-,, a. l1P nuque et dan-sies bras. CHARIBON ViEG1*TAL. 35n1 Douleurs tiraillantes et de'chirantes ýsur' divers points d6 corps. 8 1o. Anx (louleurs tiraillantes et defchirantes dansB les ~ ' mebe sen joignent peu~a peu de legerement br Uilan tes. Tii'aillement dans le dos et les pieds, seulem~ent quand on est assis., Tiraillement dans Iles articulations de ]a main, de 1'avant-bras, et des e'paules, que le mouvemnent disSipe (0).,Dkchirement dans divcrses parties du corps,.la nuit, dans le lit. Sensation rizunatis'Inale par tout le coips, avrec froid aux mains et aux pieds. 8 j, 5. Le matin, en s'e'vei1Iant, sensation de~hirante' dans l'~lpaule gauchie, puis dans IA main d~roite, dans le c6ted droit de la makchoire superieure, dans les dents incisives. Fre~quentes dotileurs de~chirantes, ch et lit, par exemple, (lans la moitie' gauche du visage, puis d~ans Ia partie' gauche de 1'occiput, 'dans la-cuisse, gauche, dans I'e"paule gauche, avec for~te pression, dans les bras et les-jambes. Lorsque les douleurs de'chirantes, bru'lantes'' et tiraillante's affectaient 1'inte'rieur de Ia poitrine meme pour unf temps tres-court, elies produisaient, un sentiment vagu~e de ge'ne de la respiration. Une excoriation, qui s'd~ait de'jh presquxe recouverte de'viderne, comm-ence se depouiIler de niouwveau et 'a sumnter encore. ()Surlout pendant le vent d'est. 35!a DOCTRINE IOMOEOPATITIQUtE. Un ulcere gueri se rouvre, et au lieu de pus, donne de la serosit me'le'e de sang; lendroit est dur et douloureux au touchier. 820. Le pus de 1'ulcere est d'une horrible f6tidit6. Le caute~re exhale one humeur rongeante. Apre's avoir e ion g-terps assis, le matin, on se sent les merbres lourds et raides quand on se heve, symptOmes que la marche dissipe promptement. Inaptitude aux efforts corporels. IMlanque d'energie des miouvenens musculai'es (an bout d'une heure). 825. Lassitudle. Apres que les douleurs ihumatismales ont dur6 environ deux heures, ii survient un grand sentiment de lassitude dans les parties qui en etaient le siege. Lassitude,, le matin, dans le lit (an bout de quarante-huit heures)l Sentiment de grande lassitude, le matin, au lit, surtoLt daniisles articulations; ji se dissipe en sortant du lit. Le matin', lassitude, paresse, tremblement dans les mernbres, et grande disposition "a suer (au bout de deux jours). 83o. Disposition " trembler par tout le corps, avec faiblesse. Yers midi, faiblesse generale, tendance " s'appuyer la tte; vide de la tete, avec sentiment de faim (au bout de douze heures). -Le matin, sentiment de grande lassitude, avec tremblement dans les membres et autour de l'estomac, corme apres avoir bu trop de yin (au bout de yingt-quatre heures). Accts de faiblesse subite, allant presque jusqu'' ]a syncope. CHARBON VEGETAL. 353 Tre's-souvent, acces morn entanis de syncope, allant presque jusqu'A faire tomler ' la renverse; parfois aussi avec vertige; ensuite coliques, comme s'il allait survenir de la diarrhee; mais ii ne vient qu'une selle ordinaire (au bout de vingt-quatre heures). 835. Acciss l'enfant a la voix rauque; ses yeux se distorden t quand ii veut parler, et pleurent ensuite; rongeur des joues, douleur en avalant, respiration bri'rlante en dormant, toux, vomissement de lait, caprices, cris frequens (au bout de quelques heures). Lassitude apre~s une promenade courte et lente au grand air. Pendant la promenade au grand air, ii survient tout ' coup de la lassitude, qui se dissipe bient t (au bout de trois jours). La lassitude se fait surtout sentir en marchant; elle est moins prononcee tant assis, et alors on ne l'eprouve gu re que dans les bras, en ecrivant. Lassitude, surtout dans les jambes. 84o. Pans la matin~e, faiblesse qui semble Atre le resultat de la stupeur. Lassitude, le soir. Le soir, paresse, somnolence, inaptitude ' tout. Baillemens. Pandiculationsfr~quentes et biillemens (au bout de deux heures). 845. Frequens baillemens et pandiculations, qui font dui bien (an bout de cinq jours). Envies de dormir et batillemens nultipliis. Enr-ies cle dornzir, le matin, &tant assis, qui se dissipent en nzmachant. Apres le diner~, sominolenice, sans qu'oii puisse dormir. lie 23 354 354 DOCTRINE HOMOIEOPATHIQUE. Grande somnolence dans ]a journ ee; le sujet est oblige' de dormir dans la matine'e et 1'apres-rnidi; ]a nuit, son somrneil est plecm de revasseries (au bout de huit jours). 85o. En sortant de table, sommeil, de plusicurs heures, non interrompu, mais trouble par des reves inquie'tans. Sommeil. semblable -t celui de 1'ivresse, apre's avojir mange'. Envies de dormir de tres-bonnc heure, le soir. Sommneil semblahie i celui de I'ivresse, le soir. Lorsqu'Ion se met au lit, le soir, on est pris d'unc anxie'te qui permet 'a peine de rester couch6' (au bout de dix-nieuf jours). 8 55. Le sujiet s'endort tard, vers tine heure sen.. lement., La nuit, on ne peut dorm ir, quo ique les ycnix tombent de somimeil. La nuit, on ne peut dornii-r, ni cependant ouvrir les yeux. Le soirgreand froid aux p-ieds et anix mains. Le soir, avant de s'endormir, frisson-itterne, avec tremnblement, sans froid, et en nie'ne ternps beancoup de rap ports. 86o.- Le sujet s'e've~i1Ie souvent la nuit, avec froid dans les jambes et les genoux. 11 se re~veille souvent, la nuit, ayant chaud et soif. Le soir, apres s'e'tre couch6', les yeux font mal. La nuit, pesanteur dans les jambes et dans le dos, qui sembic eftre l'effet de Ia lassitude. La niiit, rual de te'te. 865. Le soir, avant de s'endormiir, sensation de ti-. raillement dans les deux janibes. 'CRARIBON VýGE`TAL.35 Le-,Soiit', tau lit,,agitation d'ais les deux jambes; on est oblig6 de les, etendre souvent. La nuitl dans, le lit, les, cors, font e'prouver une sensation douloureuse. On ne peut rester tranquille la nuit, qu.'en rameinant les, deux jambes, vers, le ventre. Le soir, dans, l,e lit, mal de tte;!- ela~ncement qui traverse la tate, depuis le f-ront jusqu' a1rocciput (au bout de seize heures). 87o. La nuit, le sujet est reveille' plusieurs. fois par des battemens, dans ]a tate et de l'anxie't6, comme s'il allait avoir une attaque d'apoplexie; quelques instans apr~s son re'veil, i-I s'apercoit que c'est une illusion, p'a"r)ce que les pulsations dans, la; taete'ne se font plus sentir; mais, en cherchant a sommedller pour attendre. c6 qui--hlliarrivera, ses, j'ambes s'e retire'nt vers le haut de son corps et le dos Ise vo Aite, mouvemens tous deux involontaires; ii sent que s'il tardait plus long-temps 'a s'eveiller, ii tomberait en syncope. Le, soir, apres s'etre endorni, dans- le' lit, reveoil, a plusieurs reprises, par une sensation comme d'af. flujx dui sang vers ]a tate, avec he'rissement des cheveux, anxie'te accornpagnere d-e frisson, et -se~i-% s-ation par tout le corps., comrne Si l'o~n pro-merlait Iat main dessus, cornrne si des fourmi's couraicut:sui, lA' peau, a chaque inouvemient dans le lit; en m, mem-e temps,l'ril est si sensible, que le moindre bt'uit y retentit dausl'inte'rieur. Le soir, pendant lec sommeil, illusion de.I'oui6e on croit entendre quelqu'un qui s'approche dui lit d'o' reveil avec'anxikt6 La nuit., un -bruit re~veille en sursaut, avec-frisson* dAns le~dos* 356 356 DOCTRIN~E JOMOE-OPATHIQUE. Le sujet panle beaucoup en re've, et se r6v'eille e'n conservant le souvenir de ce qu'il a re've'. 875. Nuits rernplies de songes (au bout de seize heures). La nuit, songes vifs, mais dont on ne conserve pas le souvenir. Beaucoup de reaves ([a premi~re nuit). Beaucoup, de reaves vifs, inquie~tans (]a denxie~me nuit). La nuit, un reave lascif, tre's-vif (1a, seconde nuit). 88o. Re'ves effrayans. Reaves extremement inquie'tans. Soinmeil agit6', 1rves inquie'tans, et, ]a nuit, pression au-dessus de 1'estomac. Sommeil agit6, reveilfrequent, et, le matin, dans, le lit, mal de tate, avec ardeur brfilante, ý,a et la', dans le corps. Insomnie, "a cause de l'agitation dans. le corps. 885. Sommeil agite,, r6veil frequent (1a premine~r nuit). Sommeil agite' par des reves nomibreux, jusqu'apres trois heunes du niatin, 'epoque at laquelle le sujet est reveille' par de -violentes coliques, qui pe'sen't principalernent sur le sacrum et un peu. aussi sun ]a vessie, avec gargouillemens daiis le venrite. Somineil fort agite', avec des reves inquie'tans, juisqu'ht une heune. Somrneil agit6f, qui ne restaune pas; le matin, le sujet e'tait en transpiration. Sommeil plus long qua' l 'ordinaire; le matin, prunit h l'anus, qu'ofl augmente en se grattant; apres. qu'on s'est grattef, cuisson (aui bout de trente-deux heunes). CIIARtO VEGETAL, 357 890. Froid f6brile, le soir: on ne sent pas ]a cihaleur. du po1e'e (au bout de qtiarante-huit hetfres). Anxie't6, sous forme d'u~ne fhe'vre; les, mains deaw viennent froides, et le corps tremble. Le soir, grande anxie'te et sensation de chaleur, qvioique le sujet soit glace' quand on le touche. Povds, faible,7 d6prim6'. Poul's fre'quent (au bout de deujx heures). 895. Frissonnemensý fre'quens; frissons et ftroid, surtout pendant les nuits. Le soir., lassitude, frisson f~brile, et, avant de se,coucher, chaleur passag~re (au bout de dix jours)-. Frissons et chaleur vers le so ir (au bout de douze jours). Le soir, chaleur bri'lante generale, avec grande lassitude et re'vasseries la- nuit (.au bout de vingt-..quatre heures). Toute la journe'e, beaucoup de chaleur, miais froid continuel aux pieds. 900. C haleur dans le -lit, la nuit., Le sujet ne peut dormir la nuit,,." cause d',une grande chaleur dans le sang. 'Grande tendance "a la sueur.1-.Augmentation de la sueur, le matin en s'e'veillant (e troisierne jour). Sueur chaude., le matin (au. bout de vingrt-.neuf heu res). 905. Sucur d'odeur aigre (au bout de huit jours). Fre'quente et abondante sucur au visage (i). DI6Iangeent de l'umeur (en sortant de table). (i) Cbez un enfant a~ dc deux ans. ~58 D0CT1UJýUE H0MO1V0PATHIQUEO I ndiff6rence; le sujet ne, prend part t rien. La musique, qu'il aime,lui depa oue i jouriee 910o. Anxie~t6eso~rte d'oppr~ession, pepdanv phur,sjurs. jours. Grande oppi~ession et, plenitude. Le soir, agitation. Le soir, anxi't` croissa~nte 'pendant.ph sieurs heures, avec 1eapcoup de chaleur an visAge. Paresse d'esprit,hinaptitude a penser (awn bouta-de 91.Au riviieu, d'une grande paresse d'espi exaltation de 1irritabihite et alteration de 1'hureur ordin'aire (au. bout de dix jours) Iriritabilit e,xcessive, com me si, on se tiLtro empresse', ou qu'on se fut t ivre avec exe~s "a s 6gd - ýcnpatioins Mauvaise hurneu"` ar gan'de 'irnpressionagbii au, bbn"t de quatre heures, et uin -quart ~ 9,20. Mauvaise humeur, iffiatien', dcisespoiy';1e sujet a elnvie de se de~truire. *Griande twai'ase humeur, &inslalynai"ine lk-li zi~ejour).. 'emtre muas Disposition' % e etrede muv hs urne',r A a tae kLant entreriseI-uzneur'irri1table, violente. lufraisehumeur, dispositioinia,~e, f~cher, t e Ia journee ( le troisilrne jour). ~5. auvisehumur rexrme, isposition, a se mettre en colere., 'CHAWPR Q~AW11MA-Lj 3 Acce's de cole're involontgtires ('au bQutA de* trente-,*i heures) Sasceptibilit,disposition' "a pleurer. Grand e susceptibili Le etfirri ei~t, qui ordinaire.mont aussi de'grin.re en gY.hI' pue'rile,; le rire prod nit une detente' gene'rale, surtout dans les muiscles des.bras, ot des mains., Gait6' immoderee, rpais facilit6 extreme "a changer 93. -Aer6 'eprit, 6g'ret' et sentiment g& ner-at de bien-'tre (i) (au bout de. quatre eures) XVII. Charb~n anim'al ((Carbo aniunalis). Pouir pr6parer le charbon animal, on mnet dans de's 'cbat'bons ardens-un inorcea'u:d''p-ais cuir de boeuf, qvi'on laissc briuier j'U'squ'h ce qu'il ne jette plus'' a mo'ifldlre flamme: alors on place- pronipteme Int I le m-or~celanroug'e do feta entre'd'eux pl'aques de pierre, afin qu'il s'e'teigne de suiite, sanis quoi ilcon66 tintie'ait hi briler, 'et son charbon' se dItruirit - rnde 'partie.' Qtielque' ressexnblaice que, le charbon 'anihnal pui~ss~e avoir avec le charbon ve'getal, dans son'action' sur Phomme, cependant ii donne nais~sance h tant'de' sy -m ptrn~es particuliers et diff~rens de ceux q'u',engendre ce dernier, que j'ai cmi, utile d'ehi pr6se~ntei' ici le tableau. (i) Apr~s une grande ple'niLude dans la t~te, semblable i' telle qui a lieu dans le coryza, 4e kgers maux e4oeetj x Ae~n,4.r Eq Alf. 1-dif zembwres et ducorps 36o 36o DOCTRIXNE TI0MO0EOPAT~IIIQUES On le prepare de me'me que les autres m6dicamens, anfipsoriques, et on le porte ainsi jusqu'au de'cillionnie'me degre' de dilution. Deux ou trois globules de sucre, imbibe's de cette liqueur, forment une dose suffisante. Le camphre est 1'antidote et le calinant de cette substance, qtiand elle produit des effets trop violens, chez des personnes fort irritables. Yertige; un voile noir se re~pand devant les yeux. Vertige, avec nause'es, quand on se redresse apres 3 etre baiss6'. Vertige; vers le soir ( 'a sept heures) quand le,sujet redressait la te'te, tout toui'nait autour de Ilii; ii e'tait oblige' de rester touj ours assis, courb6 en;avant, et quand ii se levait, son corps devenait chancelant; ii 6prouvait des 6tourdissemens, et iA lui semblait que tous les objets fussent en mouvement; etant couch6 I]a nuit, ii ne ressentit rien, mais les ineines effets eurent lieu de nouveau, le matin, en se levant. Sensation dans la. tete, comme lorsqu'on entre 'dans sa chambre en venant d'un gr'and froid et qu'on s'approche de suite d'un poe'1e chaud; sensation semIdable 'a celle que produirait ixne planchie appuy~e' contre le front. 5. Le matin, en s eveillant, mal de tete, cornre apres une de'bauche de vin. Pesanteur de teate. Pesanteur de teate, surtout "a 1'occiput (et " a ] tempe gauche); ]a te'te est entreprise, Afflux du sang vers ]a te'te, qui est entreprise. Mal de te'e; pression 'a occiput 10o. Douleiir compressive sur un point de 1'occiput., C11111DON IMMAL.' -361 Mal de te'te; pression, dans, les deu'x tempes. Douleur de pincement h la partie inf~rieure de la tempe. Douleur te'rebrante dans 1'os temporal jusque dans le jugal. Doule-urs perforantes, tiraillantes, "a la te'te; quand cette partie se refroidit, les douleurs augmentent, surtout vers 1'oreille (au. bout de sept jours). 15. ftlan cement dans la te'te, surtout dans -1a tempe. Violent de'chirement dans les, parties exte'rieures de la te'te. De'chirement au. c6t6l droit de la tate. Le- Cote gauche de ]a tete est douloureux, comme STii 6tait malade en dessous. Tout ce qu'on porte sur la tate cause de la Comn'pression; la cravate me'me gene (au. bout de dix-huit jours). 20. La nuit, douleur 'a Ia te'te: et au cou,j coinme si tons deux. etaient engourdis et Iuxes. Chute des cheveux ( au. bout de douze-jo Iurs). Sensation,'comme s'il y avait daus le front, au dessus des yeux, quelque chose qui empeche de voir en haut ( au bout de six beures) Douleur lancinante, compressive, de haut en, bas., au dessus de 1'cxil gauche, dans la paupie're et la moitie' sup6rieure du globe oculaire. Elancement dans les yeux. 2.5. Pression dans les yeux, le soir, 'a la lumiere. Pression dans l'angle interne de I'oeil (au bout. de soixante-douze heures) Le soir, les yeuix sont offense's par la lumiere, Faiblesse dans les yeux. '364 IDOCTUWlIE U]O1WOE0P4~THIQUE. Douleur bri'lante,ý cuisante, dans l'angle externe,d e 1'coeil. 3o. Sensation de~sagreable dans l'Neil gauchie,, c.omrnme. s'i at ent-quelqu-e chose'qui ernp'he de voir; on est obligre de se.l'ssyer a chaque, instant,; ]a 'pupille,est extre~memnent dilat~ee, avec presbytie; on ne. voit distinctement aucun objetrp proch6e.. Eru'ption cuivr~e'e aIa face (i)..Eruption abondante ai Ia face, sanSs sensatiozR. ýEriiption, coxrirne de tachesý rotiges, sur Les joues. Frefquentes chaleurs passageres dans les joues, avexc rougeur. 3i. L'Va Pr "s-mIdi c eur au visage et ], a. tete. La peau. des joues est. douloureuse auto'up de I 'a -boiuche6 etl au rento'n ('apr%,s s'tre as).,DoulIeu'r de cape dans 1'int~r~rd 'riI gauche..,Cranipe, dans I'oreille, presque dans Ic pharyn-x, A gauche, qui ge~ne la keglutition. Ti1railleinent dans 1?oieille. 40., La nuit, tinwmemht d'oreillescontippetL ~Deri~e oreille droite,, sorte de tumeur.,dui p6 rioste, qui cause des e'lancemnens, Tois, les spiis,, '.p~ariir de cinq heures., Gonflement, dans les parotides. Saignement de nez,(Iematin, 6tant assis). Gonflement du nez et de 4a bouche. 0 O(i-Vatiteur de cette observa'tion pre'para le tharbon animal d'une autre manie~e. 11 prit de la viande exempte de gras,,y ajouta utin ter's de sdn poids de sel mran, et fit grille'rle xn1ainge dans un briloir 'a caf6. CHARB0 A](IMAL., 4. Y6sicules t la kre inf6rieure. Lvres gerces. Raideur au. c6t6 gauche dji con. Les glandes du cou sont gonf1es. La gencive est rouge,gonfl6e eL trsc1ou1oreuse. 50. Douleur daris La gencive inCrieure; le% dents.den bas branlent. Les dents branlent; on y 6prouve des d6chiremns, surtout e soir, dans le lit. Les dents sont trcs-branlarites; on ne. peut mAcher sans douleur les alimens rueme les plus; IUOUS(. aii bout de douze jours). Les dents dii haut et dii basbranlent et sbut trop longues. - IJne dent creuse cause une douleursourde, et produit Ia mrne sensation que si elle tait trop]qnue; cue est doiiloureuse quand on mord, et plus ercor le soir, dans le lit; ii vient beaucoiip de saliye' t la bouche. I 55'Tiraillemens et 1 dans Le dents les ant6rieures. * 7 Tiraiilment dansles dents, avec chaleur passare au visage. Ysicules sur lalangue qui causent La mrnedou4eurqu'unebreilure.. / IYisiuIes dans la bouche, qui causentune ardir bxxfinte;ati bout deviugt-etunjours). Sensation d'ardeur dans Ia gorge. 6o Pressiun dans la gorge. t s6cheresse la langue. iPress ion dans Ia gorge, seu1eent ei ava1ant Pressionj int'ieure dans k iharynx, jusqe Atus l'estornac. '364 IDOCTAflMEtIfOMOEOPATIIIQUE. Mauvaise odeur de la. bouche. GolAlt amer dans la. bouche, tous leas matins. 65. Quelquefois de 1'amertume dans ]a bouche. Goi't putride et un peu amer dans la bouche-.,, Goh't amer et acide dans la bouche. Goi At acide dans ]a bouche (au bout de cinqjours). L'appe'tit se passe promptement Iorsqu'ou mange. 7.Froid inte'rieur, en commen~ant "a manger. Apre's avoir peu mange', de bon appe'tit, pl6nitude de 1'estomac. Pression dans 1estomac, apre's avoir man g6'. Apre's avoir mange', asthrne. Peu de temps apr es avoir mange. anxi ~eteagita tion dans le dos, sans douleur. 75. Apre's avoir mange', battemens de ccur. Rapports ayant le goiuit d'alimens pris depuis longtemps. Rapports, frequens. Vers le soir', sensation de'sagre'able dans le. ventre, -avec bouff~es, de chaleur qui rernontent'(au bout de dix jours) Nause'es1, 'quand-on s'asseoit apre's avoir beaucoup rnarche6.. 8o., Pesanteur 'a l'estomac, rm'me.jen Violente pressio'n dans l'estomac, 'le soir,- au litl apres.s'e~tre, coucb"; -le sujet, pour se soulager,-fut oblige' d'appuyer ]a main sur. la region'- stomacale (au bout de seize heures>. En - respirant profonde'ment, pression. rapide, courte et douloureuse, "a]a re"goion pre~cordiale.Doule~ur at la region precordiale, comme apres- une toux violente ( cornrine contusive) au bout de'six jours)/ CIdtARB6N ANIMALO 365, Gargouillemens, dans, 1'estomac. 85. Borboygines brayansdans 1'estomnac, le matin,' en s'7 veiltant. Pression "a la r6gion du foie, rn'me 6tant assis.Vive pression doulou reuse, presque de'chirante,au. foie; la, partie est douloureuse Mm~re au toucher. cornme si elle e'tait "a vif..Pesanteur dans le bas-ventre, meme "a jeun, pen-. dant plusicurs jours. Tension douloureuse dans le bas-ventre, avec o. leur sous, les, Cotes, en y touchant, comme si la, par-. tie e'tait malade en dedans, (au, bout de dix-,huitjours>ý 90. Grand gonflement dui ventre. Le bas-ventre est toujours fortement distendui par, des vents. Lesujet est tre's-tourmente par des vents. En marchan t, chaleur ardente dans le bas-ventre., Coliques, dans la matine'e.,95. Coliques, comme si la, diarrhe~e allait survenir.! Borborygmes bra yans clans le ventre et l'estomac (de suite). Borborygrne bruyant dans les gros intestins, qui remonte jusqu'au dessous de I'estomac, et descend ensuite. Apres, avoir bu (dui lait chaud), borborygmes dans oe't droit dui bas-~ventre, tantot en haut, tantot en bas, avec envies inu til es de rendre des vents.' Fermentation dans, les, intestins. i oo. La bernie sort; elle est, douloureuse quand on y touche et qu'on mnarchie. Gargouillemens da'ns le rectum. Emission fre'quente de vents f~tides (en se promew. naut, apr6s le souper). 3.66 366 DOCTRINE, HOMOEOPATHIQUE. Fre'quente pression sur lerecturn; mais'il -nesgort, que A-es'vents,ars quo~i la pression, re'parait de suite. F~requentes, mais inutiles, 'envies d'aller 'a la se'lle, darns:1a partie inf~rieure du rectum. A05. Au bout de vingt-quatre hieures, selle peu abondante, dure et en morceaux'. Avatnt d'aller 'a la, sefle, tiraillement qui part de 1'anus et traverse le pudendum - a'u bout de, vingtdeux j outrs) -En allant a ]a selle, de'chirement interne qui parlt du pudendurn et remonte dans le'ventre (au, bout dle vingrt-deux jours). ]i'oileurs, semblables 'a de's coups d'e'pingle dans 1'an us, en allant 'a la selle. Apre~s ]a s~econdle selle, dans une rneme journere, grande faiblesse et dotilir (lans les intestins, cornme s'ils e~taient serre's ensemble dans un e'tau. i io. Constriction douloureuise de 1'anus (au bout de v~ngt-septjotirs). Apre's avoir e'te "aIa selle, envies d'uriner (urine d'od~eur tr~es-forte), puis grande lassitude et envie de. dormir', sans qn'on puisse dormir apres s'etre co~ufff. che';, le suijet e'prouvait des secousses qui le re'veiIlajeint sur-le-champ,2 et apre's le r,6veil,il avait does tintemens, d'oreilles, comme s'il allait se trouver mal; ensuite frisson. Un liquicle visqueux et inodore sort du rectum. Un liquide visqueux et inodore suinte abondanv. ment dii pe'rine'e, dex'rie~re le scrotum. 2Le, sujet s'e'corche aise~ment le siege en montant 'a cheval; 411 s'y formie de grosses ampoules* -CHARBON. ANIMAL, 361, Ar..Un furoncle survient ht 1'anu's (au. bout de seize jour's). Grand gonflement des he~morrhooides,, qui, cause'nt une donleur bruilante, en mharchant. De~chirernent en trave's, au dessus du ýpubis, qui traverse en suite dii pudendum "aI lanus (an-bout de quaitorze jon rs). Pression stir la vessie, la. nuit. En-vie soudainie ('urifler% i 20. L'urine coule en beauc'oup plus grande quanlm tite. Le matin, apre's le re'vei1, 6mission fort abondaiite d'urine (au bout de treize jours). line le~gt're pression fait sortir 1'nr'ine presque involontaire'ment (au bout de seize jour's). Pollution n-octurnp, pour ]a premiere fois dep'uis tre's-long-temps, avec: des reves vohilptuetix", sans' t6rection; apre's le re've, spasme douloureux le long de' 1ure'tre, surtont "a sa partie poste'rieure. Flucurs blanches (auit bout de quatorze jours). 125. Ecoulenient par le vagrin, qui, teint le linge en jaune (an. bout de vingrt-et-un jour's)..,Coryza fluent (an bout de dix jour's). Enchifr~enem-ent: on ne pent respirer par le nez,. Sensation anu(lessus (hi nez, Capres avoir niang6, comme s'iI allait survenir un coryza; cette sensation auigmente le soir. Douleur dans la trachee-arte're, comme quand -on a beaucoup touss6. i 3o. Le matin, secheresse de hIn gorge) qui produit Ia'toux; celle--ci cesse d&s qn'on a crach6. Totix avec expectorationt 368 DOCTRINE 1103OEOPATHIQUE. Toux qui coupe.Ia respiration, comme si elle allait s'arreter. Le soir, toux grasse, surtout dans le lit. Le mauin, anxiet t sur la-poitrine. 135. Astlme, apres avoir mange.. Etant assis et en ecrivant, 9i ancemens sous le sein gauche, qui ne permettent pas de rester assis, et qui cessent en se levant. Le soir, dans le lit, stertoration pendant une heure dans La poitrine. Tubercules douloureux dans les seins. Sensation de froid dans ia poirrine(au bout de sept jours). 14o. Le soir, battemens de coeur, sans anxiete(au bout de vingt-quatre jours).Douleur au coccyx, oui se manifeste une douleur brilante, quand on y touche. Vif e~1ancemenL dans le scrotum. Elancernent au dessus du sacrumn, en respirant profondement. Douleur dans le dos, a la.a partie inftrieure. 145. Tension dans ]a nuque. Raideur dans la nuque. Les deux aisselles rendent beaucoup d'humidit6 (au bout de vingt-deux jours). Violent prurit dans raisselle droite. Remuement dans le bras, moins sensible quand on s'appuie dessus. i5o. Douleur tiraillante dans les bras et les mains. L'articulation de la inain est comme luxe'e. Douleur dans les articulations des mains, qui sont comme raides quand on les remue..E7?gowdissemnezt de lca n ain, dan~s la journe1e. CI-TARBON ANIM AL& 36~ La main gauche est engourdie, le matin, dans le lit, ce qui se dissipe apres qu'on s'est 1eve'. 1,55. Engourdissement, d'Abord des doigts, puis aussi de ]a main entiere. De'chirement dans les mains (au~bout de dix jours). Les articulations me'dianes des doigts sont'-dou.-. lou01r'euses quand on les fle'hit. Raideur dans l'articulation posterieure daidoig'ti mn'dius-, quand on le remue, Prurit 'a une verrue au doig~t. i 6o. Tiraillement et de'chirernent dans les muscles de la cuisse. Q neiques e'dancemnens sensible-s dans le jarret gau-4 che, en se promenant. La nuit, tiraillemens, sans douleur, dans lajambe gauche. Tiraillernens par saccades dans la jambe. Tension douloureuse dans les mollets, en mar-* chant. 165. Pendant plusicurs jours, crampe dans les mol. lets, le matin. Un pied se renverse en marchant, comme par faiblesse de 1'articulation. Le matin, fourmillement lancinant dans les pieds, semblable 'a celiii de l'engo~urdissernent. Gonflement inflammatoire du pe, qui 6clate a 'uNo des orteils. Le matin, le gras dii gros, orteil est gonfl6',. tres-~.chaud, doulourcux, comme s'il avait e'te gel6, comm-e 1 70. Vives demangeaisons dans les orteils qui ont e~te gele~s aut refois (au bout de Vingt-quatrejo s) Crampe, tre's-souvent, dains les orteils, pendant le HI. 24 37o 370DOCTRINE IIOM0EOPA.T1IQUE. j~our.; iorsqu,'on marche sur un chemin raboteux, 1 semble que les orteils, se renversen~t.I ~i".ousl' es menabr'es sont comnine engourdis, et principalement la te'te.,A-Do-vledrs 'co mpressives dans les articulations et les Prurit qui s'e'tend par tout le corps', su~rtout le so.i'r, 117 5. La nuit, beaucoup de douleurs, dans les articulations (au. bout d~e vinigt heures) Songes tres-vifs stir des objets de science; tenision d.1e-Fesprit en re'vant; 'on, exe~cute des travaux litt&" raires en songe, et on panle hauit.,-,:sommez troubl!d par des 7A'vasseries viv-es'. Sommeil. tres-agrite et re'vei1 fi-eqnient. i 8o. NuitAfort agit~e.e; d~s, deux heures, et demnie dui 4-Ho 1',agitation in't rieure a clrs~l omeil'. Sommeil fort agrite; irnpossibilite de s'endorxnir.4,yantA-%leu~xihen re-s du matin. Le matin, on peuit ý peines'&blauffer.:Grapd: froid aux. pieds, dpineuf heures du matin jusqu'a' trois heures apre m~id-i. >Le,,so ir froid~aux pieds, et aux mains. 1 85. Le soir-, grand froid aux pi~eds, lorsqui'on, se metj.au lit (au 'b~ouQt de dix heurves) Sentiment de froid, le soir, en se mettan~t an liC, pukis,su'eu~r en. do'rman-t. 'aLarlUit, chaleur et moiteur de la peau (au bout de dix-huit jotirs). 'Fort~e ýueur pendant ]a nuit (aum bout de six jours). A 'abord de 1'indiff~rence, puis beaucoup de d-ispo-t sitfion 'a se passionner. CAUSTIQIU-,F,. 3,71 190. Le sujet prend tout en mauvaise part. Galt6 excessiveP XVIII. Caustique (Causticlun.) 'La chauxI'P tat de marbre, doit son in~olubilite6 dan's l'eau- et sa douceur "a tin acide dui plus bas, de.gr&; qui est combine' avec elle, et que le marbre,laisse degager, souis-la, forme de gaz, par l'action.-de' Ia, chaleur rouge., Cependant, ainsi ca'lcin6, e der,.nier, outre dui caloricjue latent, a admis dans sa composition. une autre substance inconnue "a la chim'ie., qui,com munique a la- chaux vive ses proprie'tes caustiques et sa solubilite'(lalS, 1'eaii. Cette substance, quo~iqu,'elle ne soiL pas el 'le-mrne'e un acide, peutit tre sepa~ree pa-r )a distilla L ion, au. moyen d'un acide, 1ir quide fixe., qui se' combine avec ]a terre en verta, de son affinit6' plus forte, e't on1'' obtient alors "a l'ehta, d caustique aqueux..On prend un rnorceau de chaux relcemment calla cinke, dui poids d'environdeux livres, on le plonga Peocdantune minute dans un vase plein d'eau distil[6jej puis, qn.le mnýet dans tine terrine se'he, oii il -ne UaPd& pas h se re'duire en poudre, an milieu d'un gran~d&d6 gIagernent do chaleur, et en exhalantune ode-uln.par, ticuuif'ere. On p~ren-d deux onces de Lnette pouidie tineo, on la-m1e, (l-ans uie capsule de porcolaine echaqffiej aveq uneidissolution de deux onces do birsulfate-po., tassique, pre'al able ie nt chauff& au rouge, et foadui d-ans -deux onces d'eau bouillante;- on int'roduitk1 magma, 6pais dans uine petite cucurbite de verre, omt colic l-e chapiteau avec une vessie mouuhlle, ýon adap-te ~tceluirci un. recipient "a dernii plongre dans l'eau,,,ýe on distille jusqu'a' siccit6, en approchant peu atpu 372 D0CTIUT E IOMOEODATHIQUE. un feu de charbon de ]a partie inftrieure de l'alambic. Le produit s'edIe*ve ' un peu plus d'une once et demie, et ii est clair commre de 1'eau. II contient, sous une forme concentr~e, a substance dont je viens de parler, c'est-h-dire le caustique. Ii a l'odeur de lessive de potasse, cause de ]a cuisson sur la langue, produit une vive ardeur dans Ia gorge, ge1e conme de l'eau quand ]a temperature baisse beaucoup, et favorise singulierement ]a putrefaction des substances animales qu'on y plonge. Le muriate de baryte n'y dccle pas l'existence de la moindre trace d'acide sulfurique, ni loxalate d'ammoniaque celle de la chaux. On met une goutte de ce produit dans un petit flacon rempli aux deux tiers~de quatre-vingt-dix-neuf 'a cent gouttes d'alcool; on imprire deux secousses, et l'on continue de mane jusqu'a ce que la dilution soit arrivee au deicillionnie'me (X ). Un ou tout au plus deux globules de sucre, imbibes de cette derniere dilution, sont une dose suffisante. Ainsi adninistr6, ce puissant antipsorique continue souvent " agir pendant plus de cinquante jours. Dans le second-volume de ma Matierere mndicale purej'ai indique, sons le nom de teinlure caustique, une preparation bien moins pur~e de ce medicament. Mais je n'avais alors qu'une connaissance fort imparfaite deschangemens particuliers auxquels ii donne lietichez l'homme bien portant.Apres avoir reconna les vertus antipsoriques dont ii est dou~, je compl& tai le tableau de ses symptomes, et de cette maniere je suis: parvenu a mettre les hoinceopathistes en etat de J'appliquer conyenablernent, cc qu'auparavant CAUSTIQUE. 373 on ne pouvait souvent faire sans courir risque de graves erreurs, a cause dii petit nombre de symptomes que j'avais signales. Lorsque F'action du caustique est trop orageuse chez des malades fort irritables, on la calme en faisant flairer une ou deux fois de 1'esprit de nitre dulcifi6. It est probable qu'on pourrait aussi se servir pour cela de la teinture de caf6 cru. Lorsqu'on est pres du malade, ii vaut mieux, au lieu. d'administrer le medicatnent a l'interieur, se borner 'a faire respirer un globule de sucre irnbib6 de la dilution au decillionnierne; l'action alors ne dure que quinze, vingt ou vingt-quatre jours, et l'on peut donner 'a temps un autre antipsorique plus appropri6 aI 1'tat actuel des sympt mes. Le caustique peut, apriss 1'usage d'autres antipsoriques, 'tre adrinistr6 de nouveau avec avantage, si Iketat des symptomes 1'indique homoeopathiquement une seconde fois. Les cas dans lesquels ii s'est montr6' le plus efficace sont ceux oii existaient les syrptomes morbides suivans de ]a gale: pression sourde dans le cerveau, qui rend la tate entreprise et comme pleine; e'ancemens dans les terpes; raideur lancinante an sommet de'la tate; M'ancenens "a la tte; lueurs passagcyxes devant les yeux; taches noires qui passent devant les reux; commencement d'amaurose; suppuration, des yeux; bourdonnerent et biuissement dans ]a tete et les oreilles; eruption au bout du nez; anciennes verrues au nez et aux sourcils; dents douloureuses, chass'es de leurs alveoles; iongue suppuration d'un point de la gencive; fistule dentaire; affection mucueuse dans la gorge et la partie posterieure dq paO 374 374 DOCTRINE HOMOEOPATHIQTJE. lais; crachats muqueux, qu'on est oblig6 d'arracher avec efforts;- gonflement des glandes dui cou, sembla. ble an. goitre; nausees qui vont presque ju~squ'a" la syncope; pression et sensation penible dans,1'estomnac; douleurs spasinodiques d'estomac; pesanteur d'estomac, apres avoir rnang6 di pain; pression " a - partie superieure dui yen ire; ventre gros chez. les enfans;- gonflement du bas-ventre; deplacernent d-e vents, avec selles dares; lorigrue constipation;- dechiremens dans, le rectumi, en allant "a la selle; envies pressantes, d'uriner, avec soi~f; ýinission izwolontcdre de l'urine,jour et nuit; efinission involontaire de l'urifle, enZ toussant,, eternzuant, marchant; pollutions fre~quentes; de~faut d'erections; retard des re'greso; ecouleinent par levagin; obstru~ctioncdes deux narinzes; toux courte; elancernens ait cceur'; raideur doulou-. reuse dui dos, surtout en se levant de dessus sa. chaise; tiraillement et dechirernent dans les% omoplates; ftrailiement dans les bras; pression douloureuse au dessus dui coude; sentiment de plenitude dans ]a mnain, en saisissant un objet; e'laricement depuis le doig't jusqu'7au coude.; froid aux pieds; e7iflure des piedls; demarche pen assur'e chez un enfant, qis 1aissia tomber "a la moindre cause; batternens, de cocur; agitation dans le corps; anxietef; nie'Iancolie; ýidkes attristantes, ]a nuit et le jour; pleurs. Vertige, en marchan t. T/ertige, en avant et de c6te'. 'Vertige, en fixant trop long-temps, un point. Vertige, quand on regarde en haut,:assez fort 1pour faire tom-ber h la renverse; ens-uite verti~ge et chute., snins cause. 5. Ve~figlo,'qui,-diwninue ani grand air. (AU STIQUED 37S~ Vertige instantae, en s'asseyant, comme s o allait tr~bucher (au, bout de trois heures let. dem~ie) Vertige, le matin, en se levan t du, lit; ii faOhit-se recou cher. Yertigt~, comme apres avoir pris des liqueurs, rspi-W ritueuses "au bout (de trois heui~es et demie) Ver'tige, semblable 'a celui d'un homme ivite; id-ees decousues. 1o. I1 semble tonjours qu'on va, tomber, et cependant on n'e'prouve pas de vertigre. Pesanteur de ]a te'te, vertigre et tournoiement, on est debout et assis. Faiblesse dans ]a te'te, avec vertige., Esprit comme offuisque par un nuage (an bout 4e~ quatre jours). La tate est entreprise, toute la journe'e, depuis Le nialin, comme lorsqu'on entre, dans une chambre ou~ seche di inhge; cet ktat auginente en. qe haissn;itilne se dissipe pas en allant au arrandaims cesse en restant tIa lrnaison. 15. Le malade se troinpe souvent de lettres et de syllabes en parlant. Te'te chaudie, entreprise (au bout de sept jou rs).. Faiblesse de la pens~ee, succession lente des id(1ees. Faiblesse de la memoire. Distraction, absence de pensees. 2o. Inattention, distraction. Le sujet est distrait et incapable' d'attlention. Impossibilit6' de fixer son atten tion sur' riei., Absence momentarnee de pens~es, dans Iaq ek'Pe semble qu'on re'fle'chisse, quoiqu'"on ne soný6e''. ai'riem (au. bout d'une demni-heure). Ein fa:sant quelque'chose, it semble. toujouT ~sqW~on ait une occupation Plus iinportantq - I. exnpli, a 376 376 DOCTRINE flOMOEO0PATIIIQUE. cependant savoir quoi: sorte de manque de rnemoire (au. bout de trois quarts d'heure). 215. Sorte de stupeur et -d'ivresse dans la te'te ( an bout de vingt-quatre heures). Etourdissement dans. la te'te. Etant assis et en lisant, douleur stupe'fiante 'a 1'exte'ieur du front, qui ne cesse pas en se levant et marchant (au. bout d'une heure et dernie). La te"te est instantane~ment entreprise, tendue, 'douloureuse; le'ger mal de te'te'pulsatif, qui cesse apres, avoir mange'* Le matin, te'te e'tourdie et coryza. 3o. Le sujet s'e'vei1Ie avec un peu d'6'tourdisSem inent, ayant ]a tete entreprise et douloureuse. Mal de te'te, comme s'il y avait queique chose entre l'os, frontal et le cerveau, on comme si la te'te etait creuse derriere lFos du front. Parfois une pression profonde dans la teate, qui est lourde. Mal de tate grcwatjdcans la bossefrontale (droite). Mat de teate dans les texnpes; pression du dedans an. dehors, jour et nuit, avec nause'es qui vont jus-. qu'a~u vomissement (au bout de neuf jouirs). 35. Pression douloureuse dans, le c6t6' droit dii front et dans les deux tempos. Douleur compressive dans le c6te' droit de la t ete, jusque dans,1'ceil. Mal -de te'te gravatif dans, la temnpe droite. Mal de te'te gravatif au bord supe'rieur do l'os ternPoral (an bout d'une heure). Constriction doulourense dalis la.tate. '4o. Pression len te an dessns de 1'orbite du c~t6 droit. -Au grand air, rnal de tate compressif, constrictif, CATSTIQUE. 37 dans le front, qui augmente h rnesure qu'on marche plus vite, et disparait tout a coup en se baissant -beaucoup. Au grand air, tiraillement compressif dans le cote droit de 1'occiput et les muscles de la nuque, qui augmente en marchant vite. Pression tiraillante douloureuse, en avant, dans le front. Pression qui cesse rapiderent, an vertex, presde la suture coronale, et qui semble produite par la chute d'une pierre tranchante. 45. Yive pression dans le c&te' gauche du front. Le sujets'eveille le matin avec un mal de tete ]ancinant, qui dare presque toute ]a journ~e' Lorsqu'il remue beaucoup le bras, en se baissant, ii est pris tout ' coup ciune douleur compressive dechirante au haut de la te e, sur 1'os frontal. Douleur raidissante, qui reemonte de la nuque dans la tete. En se baissant, sensation dans ]a tote, comme si tout cc qu'elle contient allait en sortir par la partie anterieu re. 5o. En inarchant au grand air, sensation comme si le cerveau etait libre dIans le crane, et branle par la irarche. Mal de tate: tiraillernent et tension entre les yeux (au bout de quarante-sept jours). Tension dans la tempe droite, et dans N'oeil, qui etait comme paralyse. Tension au c6te gauche de la tote. L.a peau est tendue a' lat u~e. 55. Pouleur tiraillante dans 1'occiput, DOCTRINE H0OMQEOPATHIQUE. Fr6quemrnent, un tiraillement au coke gauche dAm sommet de la te'te. Violente douleur tiraillante dans ]a temp~e, qu'i va peu at peu jusqu.'au. plus haut degr6e', et qui ensuitte disparait tout d un coup (au bout de vingyt-quatre heures). Enfluire du coke' gauche de la. tete, avec de'hirement dedans, surtout (lans le front et Ia tempe gauche; ]a douleur cornmenca le soir, et alla toujours en augmentant ( le dixie'me jour). De'chirement dans la teate, pie le mouvement et le repos n'atignientent ni ne dirninuerit (elle dure pend-ant plusieurs jours, plus ou moins vive). 6o. Douileur uniforme an haut de ]a te'te, comme Si le cerveau e'tait dechire' on ulcere ( au. bout de trois heures ). Mal die teate de'chirant, lancinant, qni commence' dans le front et s'e'tend "a tout le co*te' droit de la. tke. Q uelqnes e'lancemens au coke' droit de Ialetde, pendant une demi-heure. h!ancemens lents et vagnes dans le cote' gauche de Iatte, an-dessns tie Fcei. Iiancernent raidissant depuis la partie inif6rieure tinfront jnisqu'au sornret'de la tate (an bout tie dix jours). 65. Elancemens sourds dans l'os temporal gauche, qui chaquie fois se re~pandent en cercie, ap'res quoi la donileur diminue et cesse (an bout tie neuf-jours). Elancemenls dlaiiS les teinpes. Elancernens violens dans le derri~re de la tate, pendant une demni-heure, (au bout d'une derni-m heure) CATTS~Q13E Douleur pulsative, battement tr~s~-d-oulburentx dans les arte~res'clu. cervean. Battemens -dans le vertex, nter ed'lne mens, par acces. 70. Violent batternent dans le front, pendant trois jours, plu-s sensible 1'apres-midi ( avec raideur dans la nuque) (au. bout de douze jours) Mat d e t~e compressif dlans la tempe droite, Cqui devient pulsatif en marchant.. Douleur compressive pulsative dans le front, semný blable " celle que produirait iine pointe mouse Bruissement duisangr dans la ta~te, le soir (au. bout de neuf jours). Mat. de teate an-dessus des orbites; sorte de battement sourd des arte'res dans la te'te. 73. Douleur convulsive dans le coke" droit dui front et dle la tate. Douleur pincante et convulsive "a travers la tete. En r'entrant "a Ia maison, apres une promenade au grand air', mal de tete br i~lant dans lefr-ont, commn e sieI cerve~au 6tait enflamme'en av'ant. SLa nuit, mat de tete inte~rieur, comme s'il y avait un ulce~re en dedans (au. bout de trente jours). Etant assis-, douleur' subite 'a l'occi~put, comme sl quelcjue queique -ch-ose y e6tait defrang6re dan~s les m uscles. 8o. Sensation "aIl'os occipital, counme si les parties e'taient encrourdies on mortes (au. bout d'ann quart d'heure). Sensation de rainpement sur le vertex (eau bout d'une hen re). Corrugation dii cuir -chevehi lde X'QCciput verts le front (au bout de treize jours). 380 DOCTRINE HOMOEOPATIIIQUE. Chute des cheveux. Prurit lancinant a diverses parties de la tete I aux deux parie'taux, an front, "a la joue droite, derriere l'arcade zygomnatique gauche, du c~te de l'oreille, et en haut "a lFos occipital, 85. Le cuir chevela est douloureux au. frottement. 1-ochement involontaire de la teate (en kcrivant), comrnmeSi quelqu'un appuyait dessus par derri~re. Conv-ulsion visible dui sourcil et de lapaupie're gauches. Tressaillement dans le sourcil gauche (au bout de deux jours). Tiraillernent dans l'arcade dui sourcil droit. 90. Eruption de boutons an. dessusts dui nez, entre les sourcils. Prurit au-dessus de.s yeux. Prurit surtout aux paupie'es. Prurit, senublable "a celui que causeraient des piqiures de puce, dans l'angle interne de 1'oeil gauche, qui oblige "a se frotter./ Prurit 'a la paupie're inf~i'ieure et 'a sa face interne; de's qu'on I touche on qu'on se remue, ii survient de 1'ardeur. 95. Prurit voluptueux "a l'angle de N'eil droit, qui obligre A se frotter, pendant une heure,(au bout de hui t heures) Pression dans les reux, comme s'ily a ctit du sable dedans. Pression inte'rieure dans les yeux, on sorte de distension de ces orgranes. Pression et de'chirement (lans les yeux. Vouleur counpressi'e clans l'ceil, qui augmeizte par le Qontact, 382 DOCTRINE HOMOEOPATHTQUE. Le matin, les yeux sont d'abord sees et arides, pui ils se. remplissent d'eau. Lesycuxpleurent, me'me dans la chambre, mais surtout aui grand air. Larmoyernent non- ordinair-e des yeux. dans la charnbre, sans qu'ils soient rouges. Toute ]a journ~ee, les yeux son~t sensibles "a 1 la hi.. mi're, et I'on est oblige' d'en cligner., 120. Douleur cuisante dans Ia paupiere gauche, le matin ( au bout de quatre jours). Cuisson dans la paup i~re. Cuisson dans les yeux, comme s'il y k~ait en, re' de 1'eau sale'e. Les.paupie'res sont rouges, les yeux semblent pesans, on y eprouve une pression douloureuse et de Le mpatin, n sveiIlant, douleuir pruriteuse dans, 1'angle interne de I'oeil droit, comme s'il 6'tait 'a vif, on comme s'iI y e"tait tomb6 diu sel, qui oblige im-- Perieusemnt 'a, se frotter, rnais queý le frotterenet augrmente beaucoup; les larmes coulent en' abondance, sans rougeur de l'oeil. 12z5. ~Qhaleur clans les yeux..,4rdeur dans les ycux, sans ro ugoeur.. Ardeur 'aIa paupie~re gauche (a b-out trlois jours). Au bard des paupie'res, arderur -clouloureuse, comm sior~s'~titurie avec de ]a poudre. Inflammation des yeux, avec ard~eUr et pression douloureuse (au bout de quatrejours). i 3o. Chassie dans les coins des yeux.. Les yeux sont enflarmmes; on y eprouve (le ]a pres, sion dans ]a journ~ee, et le rnatin uls sont collh's par de la suppuration. CAUSTIQUE. 383 Les pupilles semblent d'abo~rd se r'tr'cir,. et elles, s'agrandissent au bout, de dix "a douize heures.. Dilatation des pupilles. Presbyopie, le premier jour; on ne pent plus fire sans lunettes.I i 35. Etincelles de feu devant les yeux, m~eme' en pi n o u r. Quand on cligne des yeux, on apercoit des. 6tin.celles, "meme en plein or Pendant qu'on est couche6, me~me lies ye-ux ou-' verts, de petits corps ronds voltigent an devant. ItT seinble so~uvent, surtout quand on regairde en lFair, que les, yeux soit avetigle's par une trop* vive luimi~re, et qu'on, n'y petit plus -voi~r (au bouit decleux,heures-). Trouble devant les yeux. * 4o.."I1 semble qu'uine pelliculie onu un nuage soit -tend "a deva~nt les yeux; le trouble auginente quaiil on s' essuye et qu'on se frotte. 11, passe.-dn ioir, devant les yeux, pendant une de.mhi-heUre (av! bout de c'inq jours). Ob' scurcisse~ment fre~qu ut cle ]a viac, comm e- si los,yeux-etaient couverts d'une pellicule mince. Le matin, en se mouchaant, obscurcissemnen t de Ta vue, Cornmme. sitete membrane, partie, doel'anfglo -intomne de l'oei~l, s'e'tendait jutsqu'a la, moitie' de la r'p~pille'. Ense mouchant, obscux-cissemont deIa vu-e, -p'our un inslan-t. 145. En lisant, queiques lettres deviennent inxvisiblIres'. 11 somble qu'uno nii~ee d'inscctes passe deva-nt les yeux. 384, DOCTRINE HOMOEOPATHI{QTJE Obscurcissemnent dle la vue,, COrnie si zinc gaze &iait tendue dev'ant lesyeux (e'tant debout). Les yeux sont qUelquefois comime voile's par une gaze. Tremblement devant les yeux, comme s'il y avait une gaze devant. i 5o. 11 semble que quelque chose descende de la te'te dans 1'ceil gauche;- la. vue e&ait comme "a derni obscurcie, et ]a chan~delle paraissait sous, ]a forme d'une multitude de points lumineux dans un cercie noir (aui bout de douze lieu res). La face a tine apparence fort malade (au. bout de sept jours). Yleint tr~s-jaune ( au. bout de vingt-et-un jours). Mauvais teint, couleur jaunattre autour des tempes, et le'vres bleu~tres. Afflux du sang au visage, avec chaleur, rou'geur et prurit rongeant, auquel. succedent de nombreux petits boutons, rouges. 15 5. Boutons, rouges, au cokt" gauche du front, 'a la. tempe gauche, sur le nez et. au, milieu du menton,, pleins, de pus, et causant une douleur lancinante cjuand on y touche; en gue~rissant As se couvrent d'une croiuite. Petite e6ruption aA la. face, plus sensible au toucher qu' a la vue. E~ruption 'a la face. Grande demangeaison 'a la. face. Prurit h ]a te'te, au. nez et au menton (au. bout de quarante-huit heures). Go. Erption' laface de v's-icules brcilantes, donnan t, lorsqu'on y touche, une se'rosite' 'acre, qu formiý -ds crolfltes en se desse'chant, CAUSTIQUE# 4385 Enflure de ]a joue, qui cause une douleur puisative.I Batternent douloureux et'convulsion dans les miisdles desjoues, mais peu sensibles 'a la viie (au bout de trois jours). Douleur courle, violente, tiraillante, dans la joue droite, puis dans 1'oreille di mernie co't6 (an bout de deux jours) Eruption de boutons a' lajoue gauche, qui causent de vives demangeaisons. i65. De'chiremens et Mlancernens danDs la joue. Elancemnent "a la partie inf~rieure de la joue. Ala partie supefrieure des jones, devant les oreilles, douleur briuilante, comme s'il allait survenir une eruption. Prurit an lobe de l'oreille, corn re par une petite dartre ( an bout de cinq jours ). Turneur derrie're les oreilles. 170. Douleuir tantOt tere'brante, tanto~t pulsative, derriere l'oreille gauche (le qua trie~me jour'). Tension derrie~re l'oreille.I Pression douloureuse "a l'apophyse mastoide. Elan cemens aigus, par untervall es, "a l'apophyse mastoide droite. Elancemens, semblables 'a des coups de couteau perforans, derriere 1'oreille, "a l'exte~rieur, sonvent avec sueur subite qui inonde le corps, durant huit minutes, plusieurs fois par jour ( an bout de sept jours)..175. L'oreille externe est gonfhe'e, avec constric-. tion doulou reuse. Douleur lancinante et briAlante au bord extcrnie (le l'oreille, surtout le soir, clans le lit. if. 15, 2 386 DOCTRINE H'Ok~OEOPATHIQUE. L'air s'i~nttoduit dans 1'oreille pendant Un ii ap'port. Prurit lancinant "a la partie ante'rieure du conduit aiiditif dr'oit. Prut Aitdn' s i'o'reille gauche(au bout de trois j-ours). r8o. Le soir, douleur dans le conduit' auditif droit (an bout de qua rante-huit heu'resI En s6 nettoya~nt 1'or'eille, le conduit audiotif cause la mr e oucuAqe"'I " tait h vif.j Senvsation comme si quelqecoefiareot pour sortir de 1'oreille. Douleurs dan's les oreiflles, commbe si touit ce qu'elles renferme'nt all1a~it sortir-; espe~ce de de~hirement M *16 de prurit. L'oreil1O i~nternle- suppure et coul'e, avec mauvaise, odeurI. 18S5. Quelques rapides d'anciemens cl-ans l'oreille droite, par intervalles. Le soir, en se, couchant, sensation coinme de retre? issenient dans 1'oreille gauche et dans tout le c6t6f gauche de' la tate; on n~e pent s'endormir sur cecoe en y portant la main, ii semble que ]a chair soit repoussee; mais u-ne p~ression plu's forte soulage. L'oreille d-roite est comrn e bouchiee. Le conduit auditif est gonfl6', et ii en sort u-ne liumidit-6 sAnguinolente.0 Douleuti-edechiran-te, lancinante, dan's 'oreilIle,' alvec bourdonnernent. 190o. 'D 'hirement dans, le ty m-pa-n, avec ple'nifud'e et tension dans la ete. Bruit dans, les oreilles; chant clair, comme celuii d'un grrillon entendu de loin, puis- battement dans 1'oreille, et ensuite reprise du chant (au. bout de huit heutres ) CA1J5TiqUE. 3z57 Roulement sembia'ble h c-elui- du- tonneiri-e da'ns, Fo'rilledroite'.. Boardonnernent dans les0oreilles (au. bout de ciinqjours). Bo~urdofinement dans les oreilles, avec duiroet de FO, uie'. 195. Dans la journ~ee, fre'quenis bourdo'nnIrern'ens d'oreilloS*.' Les sons retentissent dans 1'oreille, et on entenid d-ifficitaleen-t. R~sonnance dans les oreilles, toils les, matinsi.. Retent'issement de 's paroles et des pas dans les oreilles (au bout de vin*gt-quatre heures). Tiraillement depuis- l'angle externe de l'oeil droit jusqu.'at' aile droite' du nez.,200. Eruption de boutons "a la base dui nez-. Phusieurs jours, de suite, le sujet rnoaclhe n pea de sang, le matin( au bout de Yinogt-quatre h-eures) Gr-and saignement de nez par la. narine gauche(aui bout de huit hieures). JViolent saignernent de nzez (au. bout de sept, neuLf jours). Fre~quemnment, gonflernent dui ne~z le matin, qui se dis~sipe le soir.!205. Eruption de boutons sar le bout da nez (au bo ut de cincj jours) Pruint dans le nez. Prarit azi boaut'et aux ailes da nez. Tre's-fort prurit an nez. Chute des poils desý'n~arine~s, q-uien1etaient f~urnies a b o n'da mM-6nt.',210. Douleur h Ia jiartie' inf~rieutr'edifinez:, coinme s'il a~vait 6te6 excori6 p'ar u'n violent'cc'r~yza'. 388 DOC'TRINE HOMOEOPATFITQTE. Excoriation inte'rieure dui nez. La cloison inte'rieure tlu nez est douiloureuse au toucher. Doulenr~h ]a kevre, comime si elle- 6tait excor~iee. Sur ]a 1J~vre supe'rieure, tache rouige, qui parait comme gercee, et qui cause uiie douleur bri'lante (au bout de cinq jours).2 15. Quelques, boutons le long de la 1hwre sup&. rieUre. Uice're qui cause une douleur briullante, en dedans de la 1kvre supe'rieure. Sensation spasmo(Iique dans les le'vres. Gonflement de ]a lkvre inf6rieure, avec 6,ruption, qul cause du fourmillemnent et des MIancemens. Excoriation dui coin gauche de la bouche (au bout de sept -jours). 220. Eruption de boutons dans le coin gauche de la, bouche, qui causent une douleur fourmillante et lan cinante. Eruption de boutons dans le co~t6 droit de la bouche, qui causent beaucoup de douleur en mangeant. Prurit tout autour de ]a bouche. Bouton entoure" d'une aureole rouge an menton, non loin de ]a 1hwre inf~rieure, et qui suppure ( au bout de vingt-sept heures). Au menton, droite, douleur bri'lante" et de~chijante (an, bout de trois heures).' 2,25. De~chirement an. menton, en dessous. D6chirement au milieu dui menton, dans l'os. Touleur tensive et tiraillante au dessous du rnenton. Raideurdouloureuse dans le cdtd droit dus cou., CAUSTIQUE. 389 flaideur du co't6 droit d a cou, avec tension doniloureuse. 230. Pression dans, la fossette du con, en faisant tine inspiration profonde. Serrement et tension dans, les muscles du co u M eme pendant le repos. Douleur de pincement au co't6 droit dii cou. Tiraillement d'abord de la branche gauche, puis de ]a branche droite de la maichoire inf6rieure vers son articulation, et de ]h dans la direction du coin correspor~dant de la bouche. Endo]lorissem'ent: dans 1'articulation. gauche de la machoire (au bout d'une demi-heure.) 2z35. On nepent ni ecarter les md'cloires, ni onvrir la bonclze qn'a~'ec beancoup de peine; ii sem~ble r avoir dn go1q/lemient on de la tension sous la mdclzoire inftrieWre, an col. Douleuir fourmillante dans la ma'choir~e inf6rieure. Donlenr-s arthritiqnes dlans la, mdchoire inftrienre (ati bout d'unle cetni-heuire). Doule'ur bri~lante dans la inaichoire inf~rieure. De'chi-rement dans les racines des dents inf~rieures, le matin, qui se renouvelle toutes les quatre miInutes. 240. Mal de dents; de'chireinent jusque dans la tete et N'eil gauche. Douleur fourinillante et de r~einUemnent dans, les, dents molaires inf~rieures, qui s'e'tend jusqu'a 1'o-. reill~e (au bout d'une heur-e) Douleur t&tbrante dans tine dent molaire inf& 1-ieure, j Iusque dans Ie'nez et aPl'eil. Douleur tiraillante datis la secondc mnolair-e droiLe, U~o DOCTRINE IIOMOEOPAýTHIQUE. qu~ semble sie'ger suIrtout "a sa face externe,tu remonte jusque dans la temnpe. Tiraillernent dans les dents (au bout de -vingt-six heures). 2-45- Violent~e due iailntavec priirit, dans les parties des gencives ou man 4qiuent des 4epts. Douleur *tirai ~ante sourde dans Ja gencivre inf6 -rieure. Dechiremen~te' Ian~emnent et pression dans les dents, jour et nuit, avec gonflement rouge de la. joue (comme. dans 1'erysi*p1e l 'a laface),et gonfle-. iipent de la genc cj ui spu pendant sept Mlal de dents lancin~ant (au-bout de seize jour~s) Elanc Iem ens dans''la den t, quand on rnord qu'elquie chbsýe,( au bout de douize hetires) 2 50. ElanDcemens sourAs dans les dents rnolair~es Su.peri'eures, qui se dirigent en ha'ut. Elance'mens sotir'd9'da'ns es dnsmlIrsif rieiires, qui se dirigcent''en'bas. Une forte secousse dans lIe;s'dents (presque sur-le-. chahp')..{' Mal de dents pitisatif, avec douleur 'a.1a gencive, qui ne permet pas- qu on mange de ce* cot6., En mangeant 'et buvant, douleur brfilante 4aris un~e dent creuse..255. Violent mal. de dents, avec cuisson,, le matin, puisbaWttemiexat dans les dents; la gen~ci~ve sa ignle-nsuite, et le mAl de den~ts se dissipe (au bout de vingtil trois jours). 4alde dents, comme si elles e'taient ulcelr6es, la nuit, et, meme le jour, en remuant la bouche. Pressipn 5ourqe, qui se mble s,'exercer'du deh9, qs, CAOSTIQUEO 9 sur les racines de's deiux dents mpdaires apie'rieures du haut, "a g'auche ( au bout d'une derni-heiure'). Pquleur dans les molaires superieg1res et Wn& rieures du c6t6' droit. Mal de dents, avec crachemnent d'upie grde quan~tit' de safivp.( ati bout (le vingt-quatre heures). 26o. La gencive ante'rieure ct poste~rieure est gpnMle et doulourcuse..Gepcive douloureuse, sans -mat de dents. Sensiliit',douloureqise' de5 dents, lorsqiqpri y touche. Le tz~, es dents et ]a gencive ýont tr`Srsensibles., Doulcur dpns les dents, lorsqu'on otivrp la bouche. v.05. Les dents incisives sontbran~ante$. Quciqucs dents branlent. /Sraizjeient doqlozureux des dents incisiv'es., Qonflem~ent de la gencive. Gonflemnent dans!a gencive, avec ardeur auvpf-i fad ýie~s genitajces.,,ep.u~rinAqnt (au bout dq seizp jovrs) 270. Gonflernent h l'inte'rieur de'.a j~oue, oU!j;1ý0o eprnuve de la g4sown en machant. Langue s."he et soif'aii. bouit dedix I,4enire) Dop4eura,au..c~w,,gapicha. ed]a langue, rncrM e si P'on s'y 6tait mordu(au bout de cinq jours). Ala partie ante~ricure da~ palais. p~int quxi,,Irsque J41Wgpgi ytouche, cause Jýa merne dou~lciw ques'il etait ulce'6e (au bout d'une demi-heure.). fin poin-t dit. palais cause laice,4me, dogeulewque Si etait ulce're'( au bout de seize h~eures). -;2.,,. 11 survient 1e petits boutons au bodd~ a l langue. 39.2 392 DOCT1RINE HOMOEOPATH-IQUE..Ampoule'douloureuse "a la langue. Ampoule doulloureuse au. bout do ]a langue. Douleur comme de bnJilu re au bout et sur le bord de la langue. Sensation d'ardeur et de grattement au bout de la langue et dans la grorge; la douleur au bout de la langue, est semblable ýa celle qu'on eprouverait apre"6 avoir mis quelque chose de brcdlant danis ]a bouche, Ui la salive afflue en grande quantite'; ede dure'toute ]a journe~e, et ne se dissipe pas en mangeant ( au bout d'un quart d'heure). * 280. Dans la matinee, nausees, avec afflux de salive aqu~euse dans la bouche ( le deuxie'me jour). Af'flux d'une grande quantit6" de salive. D'abord gratternent sur la Ian gue, puis Atpretef dans la bouche, corinme si iell etait tapi~sse'e d'une pellicule. Soda; en mterne temps, graltement dans la gorge. Sensation d'ardeur et do gratternent, dans ]a bouche. - 285. Grattement dans la gorge, surtout le soir, qui se fait sentir en avalant. Se'cheresse dans ]a gorge, qui se fait sentir en avaIal~t; apr~s q!uoi, grattement dans Ia. gorge. Le matin, se~cheresse dans- la gorge ( au bout do quia tre jou rs). Se'cheresse dans la gorge, sans soif. Toute la mnatinee, grande se'cheresse dans la bouche, sans soif. 2909. S6cheresse dans la bouche et aux kevres, inais sans soif (au bout do six jours). Bouche 1)ateuse et muqueuse (au bout do quatre joui's). CAUSTIQUE. 393 - Lia bouche est comme grasse. Sensation de froid, qUi monte z'apidement de ]a, gorge et se re'pand dans, tout le palais, avec afflux d'une grande quantit6" de salive (au bout de deux heuires).I Mucosite's danis la gorge, qui'on ne peut de'tacher qu'avec effort. 295. Sensation d'excoriation derrie're le palais. Pression derrie're Ic palais et "a I'e'piglotte. Mal de gorge, cotmre si Ufl miorceau y etait restef engage6, avec douleur lancinante. Cuisson lancinante dans ]a gorge et 'a la luette, qui augmente en avalant. Mal de gorge, comme si elle d'ait h~ vif. 3oo. Mal de gorge et au larynx; ]a gorge est Apre et cause de la cuisson, soit par elle-ineme, soit en parlant et'en avalant. Mal de gorge, qui est cornme tume'fiefe et apre (au bout de deux jours). Mal do gorge, qui cause une sensation de gratte.. ment; quand on avale, ii semble que le bol passe stir tine tumeuir. Mal de gorge,- comme Si elle e'tait de~chir~e' ' I'in. t6rieur: la douleur nie se fait pas sentir en avalant, mais en se fatiguant la tete, en soulevant et por~tant. Pression sourde dans l'cesophage (en quelque sorte sous le sternum), comme si on avait avale" une trop, grosse bouche'e. 3o5. Le matin, en s'6'veillant, pression Strangu.. lante dans, l'oesophage, comme si onl avait aval6 une croute de pain m~al broy~e.' Sorte de mal' de gorge; ]a gorge semble e~tre trop 6troite et gonfle~e. 3n94 DOCTRIN~E 9103EOPATIIIQUE* On est oblige' d'a~valer sans cesse; i4 seinbie -qtje ]a gorge ne soit pas assez large, et on y sent do ýa se'choresse en av~aJ~nt.,qFaq~qemeP~t Xensible "a loreille 2 dans Ja profoý-r deur de ]a gorgre. R.eum~poup O soif, plusieurs rnatilies 4e suite, 3i1o. Soif vive, pendant plnsieurs jours ( an bout de de ux jours). Pen. d'appe'tit, Mnais beaucoup cle soif, surtout apres avoir rapge& Diminuti'on dui go4',tdes alhnens. pu4ncp pour les,,chqsesures La viande donne des nansees et ~o~nme deýs pnvio de vomir; le ~sujý,t ne, pent manger que des c4ises 315 a, Un5 pote de boulimie. Point'de fairn; pour pen qu'o n rnangQ on esi~tr4,~sajsi6 4~p spite et cpmme, trop plein, avec Ia mrn.me sensa-tion que si 1'estor-nac ne voulq4 ~riem adnmLttr et 01s'i q trouvqit rniet e epas rrangpr. Peu,'d'app,t4;.mais ce qu'pn Tnp i-g, rrP~p~e boi~ Sensation cont i nnelle de satie~te et docant d'ap-7 pt uiq l '' arsfaim et bo A gt ddes i (apuec',ppe'tit, sans iutre ipcornpapdit6; PP a ~ fairn, pai~~ qnon amgenppa At paspen dan~t jr~s jotyrs.(au bou t de quaitre 320. On a parfois de 1'appe'tit, mais ii sembl;e qi'.'q or.~pas, wiangoer, al eendant,py'ppvr 4ode dw Rapports ayant le go^it ds~i~s ~,,.lr y an t egouht des al-irp -.i q ~ res apres le repas.. C AAUSTIQUE Rapports 'a vide toute la journ e. Rapp-orts comine d'a'limnens qul nonz point OAg dli gere~s. 32.5. Rapprsi vide et irzsipides, d'air seiilem'ent. Rcipports tres-frequens,.Ia plupla4 cm dqteMp5 aiy-,i4 (au~ bout dle neufjpurs) Vi oleps apports avec gol4 aust "rg ( ot4 quatorze jgours), dans I'apre's-midi. Rapports incomplets c-i~s n'ari* t vg jxiq~a miý)ieu dilcq~'ou, ii s s'arre"te~nt.. On es~t toujours cornme au moment d'6p-rpuyV' rapport, sans cependantlen avoir, ce qui cakusý. tpqI4e sortes d'incoixurnndites..3.30. Serrem~eut de gorge, phusieurs fois dan a~sl mnatmee;Pleasu quil rexponte' de 1'esto maca u~e sa~ypg,salee (au bout de dix-sept joujrs). Une sorte de ser~ren~ient 4e gorge.ou 4e pituitq. l soir, e'tant couche', ii remont~e de 1'estjoln~ac 'u~e uq= fraiche qu'91i est oblige' de cr,,cher sans g~,e Nause'es (sur-1e-c~hamnp), T ýises, av~epanie'te. Avant le diner, fairmiav~ec e~xn 4 ~p~:,.35,. Une denP--1ippeuýe a la~ ppe ~ p iesmidi. Envies de vornir, sensatipon de yaqpi~te,ý,,ts.'~~ c 0 Ugot aigrelpt eet Un.peu m qdays la houqoe. ToLIS les matins, -natisee~. 'To ut apesrmidi, jjscp'4Li sirzjausep en vies de vomli-' (an' bout de. ~ixjours). ý99c~e spivi de. fr'qan rp~t ~ii~(u-,oýQt4 e.,treFnie.eures). 340, SenfiM jnept de d~gQ9 t dans la gorge. On est pris de naws'es en man.ge~pt. 396 396 DOCTRITNE HOMOEOPATHIQUE. Nausees, apres un souper priS avec appetit. Apr~s avoir man ge',il semble que les alimens sont rest6s dans la gorge.. IApr es avoir mange', le golult des alimens reste dans la, bouche ( le troisie'me jouir).. 345. Sensation comme si l'estomac &tait malade, avec gonflement du bas.-ventre (au bout de quinze jours). Le sujet mange trop avidement. En mangeant, pincement deochirant dans le venti'e, qui disparait aussito't apres la. sortie d'un vent (au. bout de six heures et demnie). Le suijet se sent frileux en sortant de table. Pen apres avoir mange, ii est frileux, avec des 'de'chiremens de la region pre~cordiale an bas-ventre, goiu des alimens dans ]a bouche, rapports ayant la saveur des alim'ens, te~te entreprise et diarrh~e'; ii estoblig' de se coucher. 35o. Apre~s diner, froid, avec chaleur 'a ]a face. En sortant de table, frissonnement. Apre's le~repas, beaucoup de chaleur au 'Visage et dans'le's yenx (a'u bout de uinit jours).' Apr'es avoir mange", la gorge est I)leine de muco.site's. Soda, apre's le souper. 355. Chaleur et rougeur a~t ]a face, apre's avoir mange (au bou~t de quatre heures). Gargouillemens dans le ventre, apre's avoir reinphi 1'estomac ontre mesure. Apre's le diner,- fre'querment une forte pression sur la poitrine, sans liaison avec la respiration, 'et qui se fait surtout sentir en inarchant (dans les trois prernieres, sernaines". CtAUSflQtTE 39,1 Apr~s avoir naiag6, le bas-ventre devient tre'sgonfl6. Apre's le diner, sur-Ic-chamnp, envie d'aller ai ]a selle; les matie'res sortent avec effort, et sont duires. 36o. Apres le soupel', anxie~te et tremblemnent. Apre's avoir bu et inange', le bas-ventre devient plein suir-le-champ, avec agitation et tiraillement dans le ventre. Apre's avoir man ge', eancemens dans lecockt' gau-. che de la poitrine. Apre's le diner, prurit 'a 1'anus. Apre's le dejeuner, pression 'a. 1'estornac (au bout de cinq jours). 365:, Le matin, "a jeun, pression sur 1'estornac, et peu de temps apre~s, sensation de constriction dans le bas-ventre (au bout de deux jours). Pression dans l'estomac, le matin, apr~s la sortie du lit, et seulement lorsqu'on est assis. Pression au cardia, qui augmente quand on s'appuye sur le coin d'une table, qu'on panle beaucoup, qu'Ion lit "a hauite voix, qu'on est couch6f sur le dos, ou. que 1'air frappe sur le bas-ventre. Tension douloureuse dans ]a re'gion pre~cordiale. TJension' et pression dans la partie supi'rieure dui ventre...370. Pression dans la 7-egionpre~ordiale. Grande pression 'a Ia region pr~cordiale. Spasme d'estomac. Spasme d'estomac, sorte de pression et de constriction, le matin, en s'6veiIlant, aprtes un songe in-. qtiietant, avec nausefes et afflux de salive hi Ia bouche (Ie vingt-et-unieme jour). 359 DOCTRINE HOMOEtOPATHIQTJE. En respira'nt profgndement, in cement A la re'gion pre'cordiale. 375- Saisissement-hala region pre'cordiale. Pression rnesure'e, refroidissante, a' la region precordiale (au, bouit d' une heure et demie). Lorsque la douleur d'estomac augmhe nte', le su1jet frissonne. Douleurs d'estomac, qui dimninuent i~n'sie couchant. Elancemens "a gauche de la r,6gion pr'ecordiale, qui semblent contracter le coeur. 38a.. Pression c on tin Lie, Iandcnante, A ]a' re~gon precordiale (au. bout de deux heures e't demi6). Le matin, peu. apr~s la sortie du fit, violentes douleurs' d'estomac, que tout mouveinefit brusque augmente, avec chaleur dans le coke" droit'de' ]a teate; le sujet est obligef de se cowcher (au bout de -vingtsept jours):Ia douleur lui semble etre tantot dans 1'estomac, tantOt dans la. poitrine. /Pression dans 1'estomnac et le bas-ventre, au dessous et au. dessu's de 1'ombilic, avec trois selles diar. rheiques pendant la nuit, et une douleur pe~riodique dans le dos, jusque dans le cote" dro'it du ventre,qui arrete ]a respiration (au bout de deux jours). Pressilon, le s~olir, dans le ven'tre, qui rernonte jusque dans Ie pharyn-x,(au bout de dix jours.). Press ion d ans Icfe bas-venitre, plusieurs apres-midi de suite, tellem ent' forte, quiela fen-i'me n'e pent s'occuper des soins de son menage. 38-5. Pression dans Ie bas-ventre-, semiblab1l a cell qe, produirait un fardeau (au bout, de vihgt'qudtre he~ures). Le matin, en sortant du litp pression douloureuse CAIJSTIQUE. 390 'dans le bas-Ventre et reg'pirafion c'ou'rte (au. bo'ut de: quatre jours). A gauche, dAns le bas-v entre, ballonnement qui s'fend jusque dans 1'ain'O(au bout de six jours). Le soir, tension du bas-ventre ( au. bout de" dix. hei r'es>. Ten~sion d~ans le cote' droit du bas-ven~tre. 390. Couche' sur le d/os, le sujet eprouve de' la p-tession.,.de Ia tension d~ouloureuse dansý le folee. Cons-triction. convulsive dans le ventre:, A midi (Adi bout d-e neu~fjours). En respirant, douleur dans le bas--ventre, conntie s'il e'tait serrt' avec une corde (au bout de huit jour.s). Le bas-ventre est tendu douloureusernent; le s~ujet est oblige' de relacher ses ve'temen~s; enmnieme tem'ps, douleurs semblables h: des spasme~s dans le bas-ventre..Le ventre, gonfl6', cause inte'rieureinent une sen.-i sation de pressionll, surtout quand on fait une inspiration profonde (au. bouit de six jours). 395. Bas-ventre plein et dur, le soir. Beaucoup de de'placernens de vents, avec: selles duyes,(Ia premiere semaine). Sensation de vacuit6' dans le bas-ventre, qu'une pression. exerc~e'e al'exte'rieui' soulagre (au bout de virkn gt jours). Garg'otillemens sensibles Ft1orelille, dans le basventre. Gargouillemens bruy~ans dans le bas-ventre, quand..'on est asssau. bout dtine heure). 4oo. Cr~aquement et cirepifation dans le bas-ventre, a~vec sensation inte'rieure d~e froid. Emint assis et pen ch6' sur sa: chaise, tressaillement 4oo 4oo DOCTRINE TIOMO3EOPATHIQTJE. Oil Convulsion musculaire au bas du co't6 gauche diu ventre (au bout de quatre heures). Le matin, mal de ventr-e (stir-ic-chamnp). Pin cement douloureux dans le ventre, avec pa'leur de la face. Dans le bas-ven tre, autoiir de ]a region stomacale, violente douleur bridlante, qui at-rache au somineil, mais se dissipe de suite. 4o5. Un 6iancemient violent dans le coke gauche du bas-ven tre. Un de'chiriement tre's-douloureux danis le foie, le soir (le dix-septieme jour). IEtant con che', douleur lanciqante sourde sur le c't f doit dui bas-ventre. IUne: douleur lancinante dans le coke' droit dii basventre, sous les co'tes, le soir (au bout de six joir's>. ilancemens violens, vifs, lents, au coke' droit,, imim'diatement au-dessus des dernie'res vraies c6tes. 41o. Longs e'Iancemens continuels dans le basvent re, qui empe~chent de rester assis. flancemcons sourds ati-dessous de la dernie~re fausse co'te. Vifs IancernenS dans ]a loinbe gauche, "a Ia dernie~re fausse c Ote, ani dessus de 1'os ihe'on. Yifs e~Iancemens dans la lombe droite, au-dIessus de i'os des iles, qui rnontent en serpentant vers les Cotes, miais se dissipent rapidement, comme une cornmotion e'1ectrique. Vifs d'ancemens au-dessus de ]a hanche gauche, hi la derniz're fausse 0~e 415. En respirant, co'liques et 6mrission de veiits. Le matin, coliques, puis trois selles molles, et 02 DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. de dur, un noyau par exemple, dans le rectum (au bout de trois jours). Frequemment, une douleur subite, penetrante, compressive, dans le rectum. Pression dans le rectum, toute la journee. Jpreintes dans le rectum, comrne s'il contenait des mati~res qui voulussent sortir. Prurit et eiancement dans le rectum. 435. ilancement dans 1anus (avant le repas). Prurit fourmillant ' a'anus. Jour et nuit, prurit eno0'ine c2 l'anus (au bout de deux jours). Violent prurit dans le rectum et dans les parties genitales (au bout de seize jours). Fourmillenoent dans le rectum (au bout de quelques heures). 44o. Grand abce's douloureux pres de l'anus, qui rend beaucoup de pus et de sang. Douleur dans le p~rinee. Forte pulsation dans le perinee. Constipation (an bout de vingt-quatre heures). Pendant qu'on eprouve le besoin d'aller "a ]a selle, cAainte extr'me de ]a part du sujet qu'il ne lui survienne quelque chose de f~cheux. 445. Tr s-fre'quentes envies d'aller a la selle, avec beaucoup de douleurs, anxiet6 et rougeur de Ia face; cepenclant ii fnesort rien (au bout de quatre, dix, trente jours). 'Fr~quens besoin id'aller, la selle, sans qu'il sorte autre choseb que des vents (an bout de trois jours). Les selles sortent mieux quand on est debout. Avantd'aller a la: selle, douleur tournoyante dans ie~ba.venrtre. CAlJSTIQUE. 403 En alkant ' a ],selle, 6lancernens dans le rcu cinquienme jour). 45o. Apres avoir efte a la selle, chaleur' au visage, et disposition a suer, avfec anwiete~. Apres avoir 6te t a asellele soirgrnde niete sur la poitrirne et gonflement conside~rable da 'bas-e ventre (au bout de quatre jours) Apr's. avoir kt6 'a I'a selle, fr6quernment des nau.sees. Apre's avoir e't6 i"'a ]aselle,tremblernent, *fai~blesse etbattemens de eceur. Aprsaoir " t' la selle, pouls serr6 battere~d couar, et ardeur a l'anus*. 455. Selles en grum'eaiix; enrsuite le rectum se resserre, et le r'este'des matie'res' sort mou, sous la forme d'un ttiyau de plume ( au. bout de s'ei'ze ý}ures). Selle difficile rnoul~e, accompagn~efeae s~nc pt de mucus, sansi 'l aasse d.,irhQde4 (au bout de dix jours)-. Selles avec du -mucuis blanc (au. bout de six jqprs). Les mat~r~s fk~sortQ,t, yec la ere eua tion que si on allait seulement rendre un ypn p ýe~e'adem-ii liqui~des. 116o. Diarrh~c la nuit. De'chirement dans l'uretre. Douleurs dans la vessie; le s-ujet ne p~eut pa's urin.er; s'il,r~enidlquielques 6gout~tes de-liqui'de, ii 6p'rouve de -violentes douleurs dans les voies urinaiires; en niemie temps, constipation et spasn l dans'le'resctum. IL/nC7eM4 e~penldant et apr~s la'.si6tie' do, 1'Kie; ardeur dans le pudendurn, se mbable 'a ceikl&' qii 04 4o4 DOCTRINE HOMOEOPATHTIQUE. causerait de l'eau sake'e (aui bout de onze, dix-sept j ours). 465..drdezir cans l'ak~tre, en urinant (au bout de quatre, qua ran te-huit heures). Sensation comnme d'ardeur dans l'm'rtre (au bout de trois jours ). La nuit, ardeur soudaine dans 1'ure'tre. Ardetir d'urine apre~s une pollution. Douleur tiraillante clans l'ure'tre. 470. Fre'quentes envies d'uriner. Emi*ssion abondante etft~qtente d'urine (aIL bout de quatre, cinq jours). Tr~s-fre'quente emnission de peu d'urine, sans douleurs nil envies d' uriner. F1,'qize7tes envies d'uriner (au. bout d'une heure). Apre's avoir urine', envies d'uriner encore. 475. Inutiles envies d'uriner; s'il sort quelques gouttes, le sujet e'prouve de vives douleurs dans la vessie et (apr~s avoir heamicoup marche pour se soulager) (des spasm-es danis le rectum (le ving-etunieme jour). L'urine sort involontairement en toussant et en se mnouchant. Fre~quentes envies d'uriner, la nuit (au bout de quinze jours ). L'urine s'e'chappe, la unit, en dormant ( au, bout de sept jours). Urine souvent d'un b 'run fonce". 48o. L'urine devient trouble et nuageuse- par le re& p05. L'urine est plehie de inucus tre's-extensible. Vif appe'tit ve'ne'ien, avec e'loignement pour touti travail,,. CAUSTIQrEV 40 5 Excitation del'app etit veonerien (tm bout de quielques heures). Petites erections, firequentes, le matin, apr's, le coft (au. bout de vingt-quafre heuires'). 485. Convulsions' volu ptueuses du -memhbre viril, qui est dans un 6~tat de demni-e6rection.Impossibilit6 d'entrer en e~redtion impuis-safice (au bout de vingt-sept jours). L'appe'ti t vene'rien est peu a ctif (au boutt de ttenMedeux jours). Pollution et ensuife ardeur dU'urinie.' Pendant I'ejaculatLion, dansie' coilt, iisort *dui-*sang, avec le sperm'e, ar'1ur'tre'(au bout de vingt"q-atre jours). 490. Plusi'eurs nuits de* suite, une olluio;ii'e pendant le s6 iieild&e l'apres-rnidi ( chez un irhp'ýni-ý sant) ( an bout dle' troi s jotirs'). Pollutions fre'quentcs chez un, hoinmne a a " a~ bo'uit'se PA jours). 'Le.scroturn lSue, et cause de la detnaiige-a~iso. Dechirernens dans les testicules..Ela~nice'men~s dla'n~sle testi~cide droit ('at bogit de six 495..,Doulew' coinpressiv cldans lesieste$icules,. A' inicli. SDouleur comnpressive,, -dans le, esticul-e droit, comime s'4 ayait 6'te6 coptus, P~ru~ritau~x test iculesi eova la pean da ia tve1rgo.,,Do~ueur d6chirante- pruriteuse, ` la cloison dui scrotum.;Doulear briMante dants le inebevii 5oo'.- Graude's tactics irdoges au itheembrc vi ril. 4o6 DOCTRIN~E HOMOEOPATHIQUEE Am poules sou~s le prepuce, qui devie'nnent d'es -1-. Ceres suppurans. Cro U~tes pruriteuses " 1'inte'rieur up~ue Prurit an fi 'let dii gla~nd.. Areur daps les parties, genitales de la. fernme. 5o5. VL'&oulement menstruel a une mauvaie odeur, et excite. du pruritau pudendum (au bout de, onze jours). 13".rgles, retard ent' de dix jours., puis icouJant plus cornphaerneent. Les rnenstrues, jadis, bie~n, reag1es., retardebt,,do deux on trois. jour~s(an kýoult deo pzejours).)JLeS regles, q ui 6tient attendues, retardent. (d~e suite). I,5r "gles~,-qui retarde nt toujours de~deux ~a,,trois jo~ujs, av~ancept de onze.(le vinogt-,quatrieme j'our).' 51io. Ecoulernent de sang plus, abondant-,par,,les. r~gles. Apre qu le re~lesontfini de couler, q-4 pe u.,de sang so montre encore de tem~ps en temps-,,pendant plusicursjoufrs-. ''a om h1An1; 1A,:1. a Avant les r~aIes, de16tco 6: 6 Mimev8i, toi e n non' A 1'apparition des, re'gles, coliques, sans diai'rI~6~ d ell i P6&in t -iTns`4do6A'et lesa~crt'im, st'rtodtiten se remuant. avant, douleur tiraillante V,00* dans 111 ýtt-~veihl6 5 1 5.0 PdlA ý 4ei te,&g- slres; 1s a'nnefibcb u lie as`Ilid nuir So-rte 'd.cle d'b"leur tancinante'an. des~oug, d, iiin gauche, pendant les reogles. Pendant Jes,i6*1jeS,-.,,fdu;leu1r dans, lielbas"'entfe, comme s'il..tiit,,br~i$s0enirdekix, avec d~Iei~~ontu 4o8 DOCTRINE HOMoEOPATIIIQUE. 535. Coryza et enrouement, qui empe'che de parP ler haut (au bout de quatorze jours). Aprete dans la gorge et cuisson sut' la poit'ine, par 1'effet d'une toux violente, avec grand coryza sec et fluent (au bout de trente-deux jours). Obstruction Gdanez. Coryza sec; forte obstruction des narines; le sujet ne pent respirer ni par le nez ni par ]a bouche. Violent coryza et toux avec douleurs dans ]a poitrine,, reveil frequent.a nuit, tiraillemens dans les membres et froid, (au bout de trente-trois jours). S54o. Violent coryza fluent: les yeux sont coll's le inatin (au bout de treizejours.) Violent coryza fluent (qu'on n'avait janais eu), pendant quinze jours, avec toux doulou reuse la nuit et mal de tate pendant sept jours (au bout de quelques heures). Catarrhe;la gorge se seche la nuit, et le nez est bouch,6 quand on reste couchb (au bout de seize jours). Catarrhe, toux et grattement dans le larynx. Qppression de poitrine et respiration courte. 545. Astlme spasruodique. Manque de respiration, avec faiblesse des cuisses (au bout de neufjours). E.nparlant et marchant vite, la respiration s'arrd'e, et on est subiternent oblig4 de reprendre haleine. Granrfde oppression du cocur, avec m lancolie. Oppression douloureuse de poitrine (I'apr *s-ridi) qju'e la 'danse dissipe (au bout de seize jours). '550'.'Oppression de poitrine; on est oblige de faire fr quemnient des inspirations profondes (le premier jddr). Inspiration difficile et profonde. CA.USTIQUE. 409 Constriction douloureuse (les deux cokes de ]a poitrine, qui gene la respir -ation et aff-aiblit le ton de ]a voix. Ii semble que la poitrine s6it. trop e'troite. Sensation stir laepoitrine, comme si les vdtemens etaient tropserres (au bout de douze jours). 555. Le matin, respiration co~urte et pressi Ion douloureusedcans le has-yen tre, qui se dissipe pendant la journ~e (au, bout de six jours). Oppression des deux cotWs de la poitrine, comme. s'ils, etaient serres. Acce's fre'quens de suffocation en respirant; ii semble qu'on a la trach~e'- artere serr~ee, de sorte que la respiration s'arre^te tout 'a coup, etant assis. Difficulte" de respirer, avec tussiculation. Respiration courte, avant 1'invasion d'un acc~s de toux. 56o. Douleuir dans ]a fossette dui co'u en arrachant des mucosite's de ]a gorge. Le matin, on a la gorge pleine dle rucosite's,.qtu'il faut arracher avec effort. - Frequent besoin d'arracher quelqu'e --chose dii, larynx. - Le matin, en s'e~veillant, toux se'che, prolong~eý, coinme at la suite d'uin refroidissement,ý qui no per-- met pas de s-e rendormir (Ia premniI're nuit)...,Toutes'. los nuits, 'a partir de~deux hieures, acc's d& toux pendant deux heures, avec crachiats aboudans; toux 'rare et do peu do duree dans, la journieo (au bo-ut dei quelques jours). 0 565. Forte toux, la nuit aussi. La, toux r'vei~llo, le soir et lI,,m atin: ptu: ou. point de toux dans lajourneo.' 410a DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. Frefquente toux excite'e par un chatonillement (au boutitde quatre jo'urs). Un fourmillernent excite 'a tousser; on tousse aossi en se baissant pou. r prendre quelq'ue chose "a terre. U,,n, chatoujillerent excite sans ces'se A tousseri, 570. Fort- ra'iement sur la poitriineien touss~ant (aft bout'de vingt-quatrc heures) Toux avec ra'lemen'tai chaque respiration j pendant la mahin~e', comine s'il y avait beaucoup do. inuco,site's d~ans le- co'te djoit de la poitrine. Toux se'che, avec grattement dans, ]a gorger (adu bout de ving-t-quatre heures). Toux seche', cre~use, composee de cibq'nq 6 ix efforts, avec sensation de, cuisson tou t le long do Ila trache"e-artere, qui coupe presque la respiration- (Au bout d'un quart d'houre). Lapoitrine cause de la do a lear en toussant, coim~e 575. Toux rauque, surtoutleoinatin ot le lsoir, znaiý. ridn la uniti Toux crouse, surtont la nuit et le, matin,; avec du.i mtwIu-s t~ris-adhe'ýront sur hi ~poi~tri-ne; cellb-ci, pxendaht la toux et apr's, cause des 6'lancemens comme si elle e~tait-extor-ieo; 6n nie mtempjs, coryza sec et obstruction des narinos (ad bout do vingt-quatre jo~urs)j4 -Douleur (en toussaýn t: audes'sus -de la hanehe ga&)uj. chle, '-cOnmne s'iiy;avait IA juol-que chose, qini 4ouihit Prkgsi;6n -dorudolnieus;6 cans Ic cote gauichie: -de la; poitrino, "a la dernie're c~te (au. bout, de~tmt,-eii-trjcs' jours). Prerssirondaws, iids.;mnutles oostauil, en, tr'&S ersd la poitrine, quand on so penche', en avant, CIUSTIQUEO' 41 i 5,8o'. Le,sloir, sorte de pressioin douloureuse dans le cote" d roit de ]a po'itr'ine,, (au bout de quatre j our.) Pression, sur, le Cote' droit dcl1 a pbitrine (au bbut de vingt-quatire heures). Pression Su~r La poitrineihimm'diatemn~nt audessus, d e I'a r6.'g~i,'or.pre'corcha-l-ee(au bout de quelques hepvres); Pre~ssion douloureu~se au, dessus dui cart~ilage ý y ph~o*We. Pression dechirante, en a~vant, sur Ia poitrine, q'4 no, se fait,prnsque! s ntir, QQ qpi du moins n'est jamais p~lus vive qu au grand air,. 585. Endolorissement de Ja partie,sup-rieure de ]a poitrineiesdrte de tira'ill~ement danstinteiietr Pt pieai pres cdAmmA quand on a couru,ou 4ant6 trop -fo~rt), av~eiune sensatio~n de, pesanteiir sir la-poitrine (ýAi b~out de'tr'ois, heur'es). ou ~he,* ui prod uit de'ardeu~r 7,q r Ia poitri*npe Do6uleur* brildan~te sur la. poitrine., et j,Elancemelns nocturnes, qui-i ne su~spendent pas, la itato r es hbm On a4esdoiips de quteati, se font sentir en devan t &nd.te`"coe, giu~h-e'd e'" xo - piration profnde et se liran -axnraau dlA poitrine. -cA 412 DOCTRINE flOMOEOPATmIQUE. Elancemens sourds dans le c6te' gauche de ]a poit rifle, en face du cartilage xyphoildc. -Elanceniens dans ]a poitrine, semblables 'a des cotips d'e6pingle. -Quelques elancemens dlans le cdte droit de la poitrifle, en inspirant (an bout d'une demi-heure). 595, Elancernens dans le' fond de ]a poitrine', en inspirant profondement, pendant une heure, 1'apre'srnidi (au- bout de quatorze jours). Elancemens q'ui s~e dirigent du fond de la. poitrine vers le dos., Elancem~ent A~igu, proLonge6 pendant huit minutes, au dessous dI s'c'rum, en inspirant et en expirant; pui s eIancem~enIt'I q'ui dure Ito ut l'api6s-ridi,ca'vec, une intensite' variao'bl, Se'fait sentir suirtout pen~dant e'expirat ion, dans le steriwm, et se z'attache en quel~que sorte, a un e1an~ernent sourd C't con'tinuel dans' la region aXifllaire gauiche, q'u'i se faift' 'galement sentir surtout dans l'expiration. En1allant au' grand air, coups d'6Pingle sur ]a poitrin'e (au bout de di~xheures). Etlanceinens a' la poitrine, sous, le, bras, jusqu' a Ia prcgion precordiale, qui s'accornpagnent, d'anxiWt,; ensuite ii survient des gargouillemens danas le. basventre, et des pincernens dirige~s ers la poitrine, saca. Cid~ens qui cess~reptj apres une,,6mrission. de,,vents (an bout de Vingt-neufj*ours). 6oo. Petits e~lancemens aigus soqs la peau dela p~oitrine. Elancemens aigus sur ]a poitrine, pres du m~me'. Ion, quhaquefois;,se portent rAlpidemerit vers 1'om-. bilic, surtou-t pen~dant i'inspiration. CAUSTIQUE.. 43 Elancemens sourds le long de l'aisselle, qui se di. rigent vers la.poitrine. Fortes demangeaisons autour des seins. Douleur comme de luxation dans les muscles inf&rieurs gauches de ]a poitrine, en renuant le bras gauche (au bout d'une demi-heure). 6o5. Battemens de coeur qui causent de 1'anxidt6, avec constriction mesuree du bas-ventre. Battemens de cceur, avec faiblesse (an boutde quel" ques heures). Le soir, grands battemens de coeur, avechbeaucoup d'anxiet6, qui raccourcissent beaucoup la respiration (le sixieme jour). Douleur tiraillante sourde "a la region du coccyx. Douleur convulsive dans le coccyx (au bout de sept jours). 61o. Douleur contusive dans le coccyx. Douleur comme contusive au sacrurm, vers le soir, pendant plusieurs jours, et durant laquelle apparaissent des flueurs blanches (au bout de trente-et-un jours). Douleur au sacrumr, qui se fait sentir a chaque mouvement du corps. Violente douleur au sacrum, en se remuant, comme si on s'6tait donne un tour de reins (au bout de deux jours). Douleur de pincement et de serrement dans le sacrum et les fesses. 6r5. Douleur compressive de crampe dans le sacrum et la rbgion ren ale, en s'asseyant (le quatrieme jour). Douleur cuisante dans le sacrum, 'a la suite de la4-i quelle so manifeste une pression dans le bas-ventre, 414 414DOCTRINE HOMOE6PATHIQUE. commne si tout voulait sortir par le rectum et les parties genitales; sorte de colicjue venteuse (par l'effet d'un tour de rein?) Pulsation fre'quente dans le'sacrurn. Raideur dans l'articulation; du sacrum (au bout d'un quart d'heure). Elancemens pruniteux isole's dans le sacrum. 620. Prrint dans ]a peauu dui dos (au bout de dix heures). Beaucoup cle prur'it sti-r le dos et aux mollets. Coups d'e'pingle dans le dos, 6tant assis. ti1ancernenzs dans, le d~os (au bout de vingr, vingatsept jours). Un 6lan cement dans, le dos, et en suite mal de dos (promptemen t). 62.5. Tiraillement et comnme douleur contusive dans, le dos A de hIa la douleur se rendit dans le sacrum et le bas-ventre, oi A beaucoup de vents s'accumuIh'rent,7 avec des tranchees, et lorsqu'ils sortirent, un ecoulementdle flueurs, blanches appanut (au. bout de vingt-cinq jours).-.Th~chirement dans, les verte'bres, dorsales, entre les omoplates, qui' s'e'tend jusque dans l'omoplate droite-, et de hIa aussi dans la gauche. Douleur compressive et commie de crampe, dans, le dos, ch la region re'nale. IIViolen-te douleur compressive, accompagn-ce de de' chbirement, au bord de 1'omoplate droite, qui se clirige -vers le dios, augmente Iorsqu'on porte en arriere. le bras ýet IpL tete,' ain~si qu' a chaque rnouvement dui corps, pour ipeu que Ia 1)artie Mrn Inc soiL e~branle'e, e.t se fait surtout senti r tre's-vivement quand on tourne ]a te~te A gauche. C&U-STIQUElf 4,15 Un furoncle sur le dos. 63o. Yiolens coups, d'e'pingle dans,1'oncoplate droite. De'chirement dans 1'omoplate droite. Douleur entre les omoplates, comme si la partie 6tait raide (au. bout de cinq jours), ~Raideur dui col et de la nuque, avec douleur "a 1'occiput; les muscles e'taient comnme lies, en sorte q~ue le stijet ne pouvait pas le moinsdui monde remiter ]a te"-e (au. bout de douze jours). Raideur de la nucque: on ne peut remuer la te'te. 635. Frissons dans, la Duque, jusque dans le cerveaui, le soi r (an bou~t de dix jours). Tension dans, les muscles de la nuque, en redres-,sapt brusquement le corps et tournant-Ia teote. La nuque fait mal, comm-e si elle e'tait contuse (anu bout de quatre jours). Mouvement convulsif dans ]a nuque, qui se dirige vers ]a* tete. Eruption mili-aire 'a la nuque, entre les omoplates et sur la jouc, avec prurit. 64o. Une dartre tres-p ru rite use et humide ~ la jone. Pressi'on str 1'~paule-,Raideur dans les aisselles. Yifs e~lancemens sur le haut des, 6paules, a, droi~te Dechirement dans ]'articulation de l'e'paule gauche. 65S Douleu~r tiraillante dans, le mnuscle deltoide, jusqti" ] a clavicule, tanto't dans Fun et tanto't dans, 1'ant!re bra-s. Les parties charnues cia bras sont douloureuses, 416 4i6 DOCTRINE IIOMOEOPATHIQUE. comme A la suite (lUne luxa'tion (au bout de sept jours). Douleur compressive dans le bras droit. Tirailleinent dans L'um~rus gauche. Pincement, avec sentiment de froid, qui se termnine paz' de I'ardeur, dans le m-uscle deltoide. 65o. De'chirement tiraillant dans le muscle deltoide du bras droit. Douleuir lancinante 'a 1'hume~rus gauche, pre's de sa tete, qui se dirige au dehors. Douleur tiraillante dans les muscles de la partie inf~rieure du bras gauche (au bout de six heures). Dechirement dans, l'hume'rus, jusqu'a l'articulation dii coude, oji elle se fait surtout sentir. Tiraillement (lans, le bras droit, qui parait lourd et coinme paralyse' (au. bout de quatorze jours). 655. Dou~leurs tiraillantes, dans les, muscles dii bras.I D'cbi~rement sourd dans le bras et la main (au bout de vingt-quatre hen res). Violent de'chirement dans ]a main et le bras, jusque dans le dos. Tiraillernens arthriticjues, a'et la daris le's articulations du bras, les 6'paules, les poignets, qui parais.& sent s'accroiltre par le mouvement. Elancemens isole~s dans le bras gauche jusque dans, le sein dIi meme cote. 66o. Elancemnens dans le bras, dans le muscle deltolde,*qUand on porte qucique chose. Douleur lancinante dans le bras droit~en le levant. Elancement de'chirant lent dans, le bras droit, (lepizis l'aisselle jilsque dans, Ia main (au bout d'une heurfe et un qjuart). eAUSTIQUt. 17. Le bras gauche se retire spasniodiquement ' plhsieurs reprises. Apr~s quelque fatigue du bras gauche, qui etait faible, le suijet y ftit pris de convulsions pendant deux minutes; puis le bras devint tre~s lourd; ensuite survint une sensation dans les muscles, jusque dans les jambes, semblable h celle que lrodlirait ine souris qui court, ce qui fit cesser les convulsions-ddu bras. 665. Grande faiblesse et pesanteur dans les bras. Pesanteur dans le bras droit, semblable "a ]a sensation qui suit un violent coup sur la partie ]a plas epaisse de l'avant-bras. Le bras tremible Iorsqu'on le tient ettendu en sou. levant quelque chose. Defaut de force et presque paralysie du bras droit, avec sensation de raideur, surtout en 6crivant. Erurat aux bras. 670. Violente douleur dans l'articulation du conde, comme Si on y avait recu uri coup. En s'appuyant sur le bras, tressaillement exterieur A I'articulation du coude (au bout de trois heures). Douleur contusive dans le pli du bras-et les muscles pectoraux, qui augrente [par ]a pression (ati bout de vingt-quatre heures). Douleur dans le pli du bras gauche, quand on dtend le bras, comme si un tendon etait trop court. Dechirement dans les os de 1'avant-bras. 675. Sensation de froid et d'engourdissement dans l'avant-bras droit et les doigts: he sujet ne put mirne pas se r6chauffer la main sutr un poeIe. Paralysie des avant-lras, qui sont si hoa!rds et si raides qu'on pett " peine les souhever. IT 6 "27 418 DOCTRINiE I0M0E0PATHIQTJE. Gonflemfent 'a1'avant-bras, qui a F'air d'e'tre sur le perioste, et qui ne fait mal. qu'en appuyant dessus.2 Constriction donioureuse dans les, muscles de la parlie inferieure de l'avant-bras gauiche (au. bout de sept heures),. Elancemens, iiraillans, doulouroux, dans les m-uscles dela: partie inf~rieure de 1'avant-bras droit (au. bout de neuf heures). Endolorissement tiraillant dans l'articulationi de la main gauche, au. dehors, (au. bout d'une derniheure). En- travaillant, douleur lancinante dans le poignet dro~it, cornre s'il e'tait luxe" (au bout de dix jours). L'Varticulation de la Main droite cause ]a mn'tne douleur que si elle avait e'te foule~e (le dix-hnithinne jour). Dopuleur tiraillante depuis l'articulation de ]a ma"in d'roite jusque dans les doigts. Dans les, os, du poignet, derrii're le petit doigt, tiraillem-ent douilou~reux qui se'~tn,~taesl M/tcre jusque dans le petit doigt, an bout duiquel. ii est plus vif que partout ailleurs; en 6tendant la main l, Iaouleur est encore plus forte, et cell fait contracter inVOlontairemen t les doigts; c6 tiraillemen t s'IVempare ensuite des autres, doigts des deux mains, et les fait tons courbe r plus on moins. 685. Petite's secousses tremblotantes, dans 1'avantbras droit, en 6crivant (le deuxiemc jour). Trernlle'ment des nmainS (Ic Vingt-et-bie~niemcjour). Granide pesanteur dans la main droite. Sensation de paralysie dans la mainj- droite, pendant plusieurs sewaines. CAUSTIQUII. 419 CASTQUf 1 Froid des mains, qui s'6tend dans le bras gauche. jusqu'au coudei 690. En remnanit les bras, 6'laiicemens convulsif's dans les, muscles de ]a main gauche, en travers dui dos de celle-ci (au bout de neuf heures),. Lorsqulon remue les mains, les muscles de la main gauiche sont saisis, en travers de son dos, d'une ten-. sion douloureuse, semiblable 'a celle qui aurait lieu. si ]a main dtait luxee (ani bout de vingt-six h eures). L'inte'rietir de la main gauiche est coinme~plein, quand on cmpoigfle qucique chose. La nuit, enflure des mains; on y eprouve un fourinilleinent. Dekhirement dans les mains et les doigts(a bout de vingt-quatre heures).' 69.5. Sensation spasm odi que- dans les inains. Faiblesse spasmiodique dans les mains, le matin, en s'eveillant. La main s'engyourdit: on y 6'prouve des fourr-nillemens (au bout do cin~q jouirs). Les (loigtS sont frequemninent comme morts, -sum'tout le matin. Les doigts sont morts; ils deviennent glaceps, blancs et insensibles. 7-oo. Engyourdissettlent des doigts', qui sont insensibles et r'aides. Defaut de force dans les mains, dans une chambre trop chaude. Convulsions tiraillantes des doigts, en kcrivant (le quatrie'me jour1. Plusieurs fois, des espe'ces de, secousses `e1ectriqtres dans le bas-ventre, qui passent dans, les doigts et les font plier. 4-20 DOCTRINE HIOMNOjEOPATHIQtrr., 705. Donleur briilante dans les articulations des doigts (au bout do trente-deux heures). Les articulations poste'rieures des doigrts sont ten-. dues, quand on les ploie, dans la mrnatine'e. Douleurs tir'ailicin7tes dlans les articulations dles doigts de ]a main gauiche. De'chirement passager dans le doigrt indicateur gauche., De~chirement dans lFos me'tacaipien des deux pouces. 71 o. Douleur soils les oIngles des doigts, quand on saisit quelque chose. Douileur corn me con tusive au bout des doigts, par exemple dui ponice taut Ot de I'uine et tantOt de 1'au-. Ire main, comme s'il allait s'ouvrir (au bout do trois henres et demie). De'hiremen t a Uboit de tous les doigts des deux mains; tremblemnent des mains'. Elancernent fourmillant (lans l'articulation de la mnain (Iroite, ainsi que dans les second et troisi erne doigts. ti1ancemens dans le petit doigt, qui vont ensuite en remontantI et ressemb lent ý des coups de conteau; en meme temps, douleuir et anxi~te autour dii cceur (au bo ut de seize jouirs). 7 15. Prurit entre les doigts ( au bout de quatre jours). Prurit sur Ie dos de la main gauche. Beaucoup de demangeaisons dan S les paumes des mainis. Prurit aux deux mains. Prurit aux dernie'res et moyennes articulations des doigts de la main gauche. CAUSTIQUE. 49,1, 720. Dartre pruriteuse sur le dos du. doigi annulaire.4 Le bout d u: pouce s'ul cere ( au bout de quciques jours). Pression douloureuse au dessus de la cavite' cotyloide, qui n'augmente pas par le mouvement. Pression. tiraillante et douloureuse dans la. haniche droite, en s'asseyant et en marchant. A ]a. region de ]a hanche, au. dessus de la cavite' coty-bvoide, tres-violentc douleur, comme si les musces taient serre's avec des pinces froides: sorte de pincement etde tiraillement, avec sensation de froid, qui se termine par de 1'ardeur, me'me pendant le repos. 7-25. Dans, 1'articuiation coxo- f6morale (gauche),sensation extr~rerneent douloureuse, comme " a l suite d'un. faux pas, ou. comme si quelque chose s'e&_ tait luxe', par acce's, qui disparait et revient tout h coup (aussi au bout de trois quarts d'heure). Douleur brcdlante et fourmillante dans, la region des hanches. De~chirement dans la. cavite' cotyloide de 1'articulation de la hanche. De'h'irement, qni descend de 1'articulation. de ]a hanche dans ha jambe, en s'asseyant et marchant (au. bout de dix heures). Tiraillement dans la jamnbe droite, avec mal de gorge, le soir. 730. Elancemens dans ]a hanche gauche, qui semblent avoir lieu dans F'os. Elancemens aigus, lenis, qui dlescendent de 1'articuhlaion de ]a hancho et de la rotIde, et qui sont 422 DOCTRINE HOMOEOPATmIQUE. plus douloureux pendant le repos qu'en inarchaut (Au bout de deux heures). Douleurs convulsives, qui descendent des fesses dans les cuisses (au bout de cinq jouvs). Excoriation autkaut cdes cuisses, ca"l'inte~ri~eur. Prurit aux deux hanc'hes.ý 7 35.. Une dartre pruriteuse aux fesses (au bout de six jours). Prurit aux fesses et 'a la partie posterieure des cuisses. Prurit aux jainbes...Pouleur dans les deux fessesoen sasseyant, comine 4i elles e'taient raides.,Les, jambes s'engouirdissent aise'znen ix 74o. Le matin, dans le lit, agitationz fatigante' dZans les cleux jambes, penzdanZt des keures entie'ires. Agitation dans ]a jamnbe gai~iche; ]a nuit, le sujet ne savait oiui la mettre (an bout de seize jours). En comrn-en~ant 'a monter (par exemple sur une, echelle), les jamubes trembhlent; mais, en continuant Q~jgavai11er, le tremble-ment ces'se. A la parhte superieure et interne de la' cuiss *e,sen., satioIn de lassitude- extreme p'rononc~e suroAtpendant le repos du membre, et qui oblige h le chian-" ger sans cesse, de placei. Douleur dans les muscles des jambes, cornme s'il~s etaieint paralys's on force's (I'apr~s-inidi et le soir). 7,45. Les cuisses sont comrne paralysees, ens'scyant et en rnarchant. Douleur contusive dans lesjamnbes et les cuisýses, le matin, dans le lit. Grande pesanteur doulonreuse da~ns l.es jambes. I Le m'atin, 'apre~s s'e'tre re'veille' clans le lit, la-ssi CATYSTIQtTE. 423 tude extreme des jambes, qui disparait presque aussit't' qu'on est 1eve' (au bout de trois jours). D~oul~eur dans les jambes, qui a l'air d'e'tre d~a's Jes os. 750. Varices aux jambes. Convulsions dans les deux'jambes. Convulsions au dessus du genou gauche-. Chaleur rapide A la partie interne de 19:'buisse gauche. D'c'hivemnens dans le milieu de la cuisse ýgaticice-, en s'asseyant, qui cessent quand on se 1eve de d-essus sa chaise. 755. Pendant tin orage, violent tiraillement et de"' chirement depuis les orteils jusque dans ]a cuisse, aux deux jambes. La peau des c'uisses et deos; jarbes est pleiLne. de veines d'un rouge fonce', qui la rendent comme ndr'-; bre'e. Prurit aux cuisses. Au cot6 sup~rieur interne des aines dRune* femme, dans l'endroit oiui dies se touchent en marchant', cuissofl douloureuse..A ]a pkrtie interne et supe'rieur 'e de ]a cuisse, le long du scrotumn, sorte d'excoriation ou d'usure de la peau, avec prurit et cuisson quand on se fro"te' (aii bout de quarante heures). 7,60. Pru-rit lancinant h Ia cuisse, en dehors. Un e'lancement dans Ia cuisse gauche, qui r 'empiate jusque dans -la poitrine, le soiir, en marchant. Un e'Iancement dans le genou, en marchant (au bout de dix jours). De'chirement 'et e'lanceme'nt dans le genou, qu i ernpechen't de marcher et de dormir, la nuit. 42,4 DQCT.RINIPA TIOMOLOPATHIQUE. Elancem~ent lent et de'chirant, depuis le pied jusu'au genou, et depuis le dessus du genou jusqu'" 1'articulation de ]a handie, le genou restant sans douleur (au bout d'un quart d'heure). 765. Beanicoup, de demangeaisons sur la rotule et.sur le coude-pied.,Prutrit, surtout dans le jarret droit (au b~out de trois jours). Douleur ati genou, commne s'il e'tait ulce'r6, qui s'etend jusqu'h' la cuisse (au bout de Yingt-sept j ours). Douleur d'abord tiraillante, puis convulsive, dans, le genou. IDechirement dans le genou droit (au bout de quarante-huit beures). 770. Douleur firaillante et convulsive dans la rotule gauche (au bout de deux jours). En marchant, craquement douloureux dans le genou, cornme s'il etait brise" on Iuxe. En marchan t, douleur dans l'articulation du pied, comme s~i1 eftait luxe" oa bris6'. Le pied droit' est douloureux dans IlItarticulation, comme s'il e~tait luxe", Iorsqu'on fait un faux pas ou qu'on se penche de co'te; en meme temips, l'articulation craqne. En se rediessant, la rotule cause de la douleur, comme si elle ti'tait raide (au bout de quatre jours). 7,75. Raideur dans l'articulation du pied. Tension doul1oureuse et raideur dans le jarret, en marc hant. Apre's ]a promenade, lassitude extraordinaire de l'articulation du genou, et pesanteur des pieds. Etant assis, et en commencant "a marcher, reaideUr dans les tendons dui jarret, comnme 'a la suite (lune C&USTIQUE. 425 crampe, qui se dissipe quand on continue 'a marcher. Lassitude dans 1'articulation du genou, plus en montant un escalier qu'en miarchant sur un sol uni. 780. Crampe dans le mollet, le matin, dans le lit (au bout de vingt heures). Sensation sourde d'engourdissement dans les deux jainbes et le gen ou, le matin (le quatrieme jour). Tiraillement dans les articulations dI genou et du pied (au bout de douze heures). Douleur tiraillante dans la jambe. Tiraillement en inani&re de crampe, qui se fait sentir de haut en bas dans tout le c6te externe de la jambe droite, quand-on est assis et debout. 785. Douleur tiraillanLe dans 1'articulation du pied; en s'asseyant.et se levant, it semblerait que ]a jambe va flechir. Tirailleinent dans le pied droit, le soir (au bout de dix heures). Dfchiirement sur le coude-pied gauche. Violent dechirementdans le gros orteil. Vive douleur compressive dans 1'articulation posterieure du gros orteil. 590. Violens coups d'epingle dansl'articulation anterieure du gros orteil, en marchant et en restant tranquille. Un long Alancement dans le gros orteil. L'ulcere "a la jambe est entoure d'une aureole enflamm6e, dure, et donne moins de pus que de sang, d'une odeur tres-fitide; la douleur empeche de dorinir la nuit. Forte pression sur la jatnbe, de haut en bas. Tache rouge douloureuse sur la jambe, qui s'6tend CA1JSTIQUE. 4-27 Violent prurit sur le coude-pied (au bout de seize jours).I En marchant, le matin, le -talon est comme engourdi (au. bout de vingt-quatre heures). 810o. Un peu de frottement cause de gross~es a-mpoules aux pieds. Le gros orteil est douloureux, comme s'il 6ftait ulc're'. Le talon s'ulce~re. Ampoule au talon, qui disparakt peu. 'a pen, au miflieu de vives, demangeAisons. Violens e'lancernens dans un cor au petit Qr~tei1,(aii bout de quatre jour's). 8i15. Douleur te'rebrante dans up cor. IDouleur bri~dante dans un cor.. Froid aux pieds. JLes pieds sont tre's-froids. Froid douloureux aux mains et ~ a plant1e dOpieds. 8,20. Froid aux mains et aux pieds. Touit lecocte gauiche dui corps dpvient froid (au bout de deux jours). -F roid et frisson dans tout le cot6. droit du corps. Fourmillement dans les bras et les ja'mbes, com~me s'ils ailaient s'engourdir (au bout de cinq jours). F~roid et engourdissement de tout 0c ctegauche du corps. 825. Les parties molles de tout le co'te gauche'dti -corps (rne'me dui pied et de Ia. tae) so nt -comhme ruortes et coinme 's'il n'y avait pas de. sang daris la peati. Tout le co~t6 droit dii corps est comme mouki. Q uand on reste un quart d'heure sans se rbu'voit', 428 DOCTRINE U1OM3OEOPATHIQUE. assis on couche, toutes les articulations deviennent raides, et on a de la peine "a se remettre en mouvement. Apres une promenade lente, an grand air, le sujet s' chauffe beaucoup. Chaleni' passage're et malaise apres la promenade (au bout de quatre heures). 83o. On size heaucoup en nurcitant au grand air. Apres ]a prome-nade, sueur sur le dos et sur le bas-ventre, qui dure Iong-temps. Apre~s avoir march6 un pen en plein air, lassitude et inaptitude au travail (au bout de six heures). Les douleurs paraissent s'agraver en marchant an grand air et le soir. Les incommodites qui s'eitaient manifestees en niarchant au grand air, disparaissent dans la chainhre, et ii ne reste plus qI'un pen de pression douloureuse an front. 835. Grande disposition "a se refroidir; frisson par tout le corps, apr es etre reste quelcues instans expose a un courant d'air. Le sujet est plus sensible i l'impression de I'air (en mai) qn'en hiver. II est tr es-sensible aux courans d'air, qui lui sont fort desagreables et occasionent en lui des douleurs compressives. Grande sensibilit' an froid (an bout de dix jours). Souvent, froid interne, avec froid aux mains et aux pieds. 84o. Le sujet est toujours on dispose 'a frissonner on en sueur. Les effets primitifs paraissent 'tre plus lents ' se CA.USTIQIJ!. 14-29 manifester qu'aipr~s 1'administration d'autres rniedi-. camens antipsoriques. I Toutes les parties du corps auxqueliles on touche causent la me'me douleurque si elles avaient requ des coups de poing(au. bout de deux jours). Chaleur brcdlante "a l'endroit oiut 1'on porte la main. Serrement douloureux ýh. et ]a au corps. 845. Tanto~t sur un point du corps, tanto't sur un autre, douleurs passag~res, qui semblent lancinantes, mais aussi constrictives (a~pr'~s la cessation des re~gles). Sorte dIe douleur 'lancinante (hum les articulations, apres un refroidissemnent. Douleurs lancinantes dans presque toutes les parties dui corps (les premiers jours). Douleur lancinante, trves-passagere, (lans le doigt indicateur droit et le second orteil gauche. Tiraillement dans phusicurs parties dui corps, qui s'ek~ve jusqu'au degre' dui dechireinent. 85o. Douleurs artlzritiques dans tous leS inembres (au bout d'une demi.-heure). De'chirernent dans tous les membres, tanto't dans 1'un et tanto't dans l'autre, tanto't violent et tanto't l& ger, mais cependant continuel (au. bout d'une heure, et de me'me pendant plusicurs jours). De'chirement, surtout dans les articulations, et de ]Ai dans divers os clii corps, mneme dans phusieurs ai la fois; ]a douleur n'augrnente pas par une pres.. sion du. dehors. De'chireinent dans plusicurs parties dui corps; des articulations, ii s'e'tend dans les-os longs, mais c'est dans les articulations qu'il se fait sentir avec le plus de violence. 43o DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. Tiraillement dans les doigts, les plantes des pieds et les orteils. 855. Tiraillement dans los rnombres, Sa et MB. Pression douloureuso dans los bras et les cuisses. Douleur contusive dans los bras et le corps entior, quand on est assis; ello se dissipe en travaillant et en allant au grand air (au boot do douze jours); * Noeuds sous ]a peau, dont le volume s'e'Je've jusqu'a' celui d'une noisotte, au cote droit de ]a poitrine, sous lo bras droit, au c'te droit du dos et dans le pli du bras; ils causont une douleur lancinante quand on y toucho, et de ]a cuisson quand on appuie davantage dessus (au bout do vingt-quatre heures); plus tard, des e'lancerens s'y font sentir sans qu'on y touche, et n'augmontont pas par 1'application de ]a main. Un bouton (au doigt indicateur) dovient une verrue. 86o. Eruption gen'eralo do petits boutons pointus (chez un onfant a la marelle). Eruption do grosses ampoules sur ]a poitrino et le dos, avec anxiet6 do poitrine et fie~vre; cetto dornie"re se comipose do froid, do chaleur et do suour. Grosses ainpoules douloureuses sur le c6te gaucho de Ia poitrine ot du dos, qui cr"vent; le tout adu milieu d'une grando chalour f~brilo, avoc fievre et anxiete. Eruption de boutons sur diverses parties di corps, avoc prurit rongeant; apres qu'on s'est gratte", chaleJur ardente. La nuit, chalour seche et prurit par tout le corps. 865. Prurit ' divorsos parties du corps. Pruritpar tout le coips. CAUSTIQUE. 43t Prurit lancinant sur ]a peau. Prurit lancinant, semblable 'a celni que causeraient des piqi ^res de poces, qui oblige a se gratter, sur le dos, aux aisselles, aux bras et aux cuisses, mais principaleinent sur le dos des doigts. D'anciennes taches hepatiques brunes s'61eventau. dessus de ]a peau, et causent un prurit rongeant. 87o Sur le front, la nuque, les omoplates, lesbras, le bas-ventre, mais surtout les cuisses et dans les jarrets, boutons gros comme des tet'es d'.pingle, sans liquide, creux an sommet, qui causent un prunit violent, et br Uiient apres qu'on s'est gratte; le prurit se fait sentin particulierement au chaud, surtout dans le lit; mais, dans un endroit frais, et avant qu'on se gratte, les boutons sont caches sous la peau, " peine visibles, et de couleur blancha'tre; l'action de se gnatten les fait promptement saillin, et ils laissent ensuite des taches rouges plus e'tendues qu'eux, pendant cinqjours (an bout de seize heures). Acces: d'abord douleur dans le dos, comme tirail. lante et contusive, qui passe de kt dans le sacrum, puis dans le ventre, o U` des vents nombreux s'accumulent, avec de grandes douleurs; ces vents sortent plus tard, et en merme temps i ty a ecoulement de fiueurs blanches (an bout de vingt-cinq jours). Douleur spasinodique (spasmes hysteniques), tantOt dans le bas-ventre, tant0t dans l'estomac, la poitrine ou le sacrumn, qui obligent ' se courber en deux; la femme ne pett se redresser sans prouver les plus vives douleuns; elle ne saurait merme supporten ses vetemens sun la region de l'estomac; les alimens de facile digestion, et en aussi petite quantit6 que possible, detenminent, au bout d'une heune, les 1139 - 432 l)OCTRINE foMoV0PATFIQuIP. douileurs, les plus vives dans le bas-ventre et dans, l'estomac. Des applications chamudes peuvent seules soulagrer, encore merne setilement d'une inarniere i nstantanke; le bas-ventre a F'air d'e~tre bourre', et de vouloir &clater, avec tendlance continuelle, mais mDutile, 'a avoir (les rapports(au bout de quelques joiirs). Acce's de spasme; en sommeillant, le soir, dans, le lit, 7l suijet sent qn.'il ne pent rernuer la langue; ii se eve stir son s6ant, en criant, mais retoinbe, de suite en arrie're, tend los, bra's et les jamnbes, puis Ics, remue, tourne les yeux et grrince (des dents; la salive liii couic de la. bonch'e; -1i est glace'; an bout d'un. quart d'heure ii revienta' lmi, rinals est pris alors d 1utne tre's-arandlc anxie't6'. trois quarts d'hieure apre~s,, l'anxie'te revient, avec hesitation de la langue; une gorgree (lean frloide dissipe t6us Jos accidens. Acce~s de, spasme; le matin, dans Ic lit, chaleur; apres qn' on S'est ]eve, sensation de fraichieur dans le bras, puis-1 secousse dans cc bras, et en me~me temps fortes convullsions5 dans la partie supe'rienre dui corps, dans, lc troric et dmas les, bras; le suj'et ne perd pas connaissance, inais iti 'prouvc (le l'anxie~t6 (an. bout de treize jours). 8 75. Le soir-, convulsions dans, les memibres. Acce's: le soir, dans Ia chambre, ]a te'te tourne involontairernent 'a droite et 'a gauche; e~tourdissemnent et anxie'te; les yenix deviennent moines, et de ]a chaleur se, fait sentiir par tout le corps; mais ic grand air dissipe aussit 0tuslos accidens ( an bout de VingCtneuf jours). Au grrand air, le suijet tombo tout 'a coup sans connaissance; mnais ii revient "alui presque sur-le-charp (ail b~outdWune. heure).e CAUSTIQJEP 433 Tressaillement continuel dansla peau du c6tedroit du corps, et dans diverseg autres parties (au bout de dix-huit jours). Le soir, agitation insupportable dans les membres (au bout de onze jours). 88o. En s'asseyant, agitation dans le corps et anxiete au coeur; le sujet est oblige de se lever et de faire quelques tours. Disposition d trembler. Tremblement general. Le matin, en s'6veillant, sensation de tremblement par tout le corps. Bdillemens etpandiculations rep tes (au bout d'une heure). 885. Violens bdillemens, toute ]a soirie, sans grande envie de dormir ( au bout de douze heures). Frequens et violens bdillemens, que pr6ce~de souvent un hoquet interrompu, depuis onze heures ddu matin jusqu'i trois heures apres midi. Pandiculations, surtout ]a nuit. Le sujet vacille a gauche et h droite, et il lui semble vaciller encore davantage en marchant; sorte de d6faut de solidit6 des membres, comme dans l'ivresse. Acces de syncope, apres s'etre mis au lit (an bout de douze heures). 890. Chute des forces, comme dans la syncope. Faiblesse dans tous les membres, qui. permnet a peine de marcher, et qui oblige a laisher les mains 6tendues en s'asseyant. Grande fatigue: on ne pent se toucher A aucun membre. U* 23 434 DOCTRINE IIOMOEOPATHIQIJE0 1?atigue extr~m~e, avec sneur, en m'ar~chant,Tla~prfesmnidi- (au bout de quarante-huit heur'es'). Fatigue et anxie'te. 89 5. 1Le, 'uj e t-s e sen t u'n' pe u faliblIe, eftin" peii -de travail suffit pour l'accabler. Faibles~e plaralýytique des membre~s '(au- bout de trois heure's)'. Apre's avoir peu march', Ilassitu de' tell e 'on n'e peut trainer les jambes (au bou-t de detix joutrs). A midi, grande lassitude,ý qui se dissipe eh mar. ch-ant 'al'air., Le matin, dans le lit, lassitude corn re si on allait se renidorinir, ihAis, qui cess e quiand, on se k'Ve 900. Envie de dormir et somnolence presque in' surmontable (au boatt de.vingt-quatre heur-es).. Dans la journe'e, grazde lassitude quiporte.~ ador_ni(au bout de seize heuedsijus) On sedrt. apr's. le d'iner,, et, le soir on a envie de dormir de tr es-bowne. heure. (au bout. de trois jours). L'apre's-midi, somnolence extraordinaire. On dort plus, Ion g-temps qu'a l' ordinaire, et l,'on a de ]a peine a* s'e'veiller cornpletereneit le niatin ( au bout. de tro'i's'jogurs). 905 Le -matin, on est tre~s-endo*rmi (an' bout'cle' neufjaours). Sommeilprolon g lematinD. Le'thargie..Ten'd~ance extreme Ai dorinir; on pourrait do~rmir t oute hefire, pa~is le sommeil -ne res'ta'ure pis.-, So'mnolen-ce, 8urtout etant assis mais a~ugssie marchant. 9-T0. L soir, grande fatiguequi oblige &o k u cher; cependant on ne peut s'ndormir aVa~nt u~ne 4CAUSTTQtJE. Z Ih ji 3ei6, a~e uit 4 Toutes les nuits,, on s e6veille vers detix heures, e-t La nufit,'insoffi-hil causee par uhie-chale'ur sechý. On dort jusqu'a' minuit,'c:pe mo -n ou contusive par tout le corpas 'e~peh~&,de se ireniormir, pendant trois, nuits (au. Io'f e' obz~e' jous., 915?lj~ I t a~h e a ncEulsse sur, lesquels on-a ete'-cdik~h6, casp hcouieur contu-%ý es~ ~ '"h~' i f &ietourner souvent., Lanuit, on ne t doruji,r icuedue " jourls).., On se r6vlne aU(emi da~ns ta niav,ýc une psn teur d'eýstorna~c, qui. n~e s.eý fa it Plis, sentir, le inatin, En s'i'veillant, apres avoir dormi le sboir, grandes nausees. lesM orbies a' bputidie six (ýourstit inte uparut. La nuit, i cus ea ine dof eurtira T6LtfiA nft iale iV!a dnati slur, utdins, s'les aiet engoau b di tS' x, cu rjs.1,l'eso~t;l 436 436 ]DOCTRINE JIOME1OPATHIQUE6 douleur est plus vive le matin, apr es qu'on s'est 6veill6'..925. IDans la chaleur dui lit, d~chirement insupportable dans le bras drolL, et surtout da~ns son' articulation. Pendant seize nuits, soinmeil fort agite", dura~nt lequel le sujet pleure de temps en temnps. Somnmeil plecm de rteves. Beaucoup, de reves confus. ev'es inquietans. 930. La nuit, revcs inquie~tans, dont on conserve un souvenir exact ( au bout de cinq jours) Somnmiei agite, et reves ayant pour sujet des disputes(la Premiere nmQzit). Le sujet se reveille p'lusic'urs fois en sursaut (e quatrieme etcinquie~me nuits) Re" veils fre~quens, comme par une peur (Ia pre-' La pewr'.redeile'sow'ent la nuit( au, bout de troi~s, douze jours). 935. Le sujet nit bruyammen't'en s'onge. Songe effrayant, causant u~ne. anxie'te dont. on. a de la- 'peine a se rernettr-e apres s'etre 6veiI16, et qui ne permet pas de se rendormir( au bu-d igt-et-uin jobu-rs) Agitation, la nuit, dans Ic lit, avec pleurs viollens, anxiete et p aroles confuses. Le sujet jette des cris plaintifs en dormant,, et s'endort ensuite si dou'cement, q~uon n' entend plus sa respiration. Un' jeune gar~on ne pent s'endorrnir, plusieursi soirs de suite, 'a cause des ide'es inquie'tantcs qui lui viennent sans cesse ý Flesprit; on lc de'cide difficile-ar inent aV~ coucher, le soir. CAUS-TIQUE. 437. 94o. Songes inquie'tans. Toutes!es nuits, grande agitation; quand le sujet adormi quelques instans, ii est r~veiII6 par une anxiet6 extre~me, qui lui perrnet ai peine de rester tranquille pendant dix. minutes; ii est oblige' ensuite de s'asseoir,; sa teate touirne involontairement 'a droite et ýi gauche, jusqu.'al ce qu'enfin i s'endorme de las-, situde ( au bout de douze jours) Anxie'te et agitation, qui ne laissent pas dormir Ia nuit ( au bout de vingt jouirs).La nuit, en. dor-mant, le sujetfait de grands mouvemens des bras et des jambes. Le ma tin., en s'6veillant, anxie't'.. 945. Le matin, en. se levant, crrande fatigue; le suijet est oblig6' de s'asseoir pour s'habiller; an bout de quelqkie temps, tout se dissipe. Sommeil agit6, la nuit, avec sneur generale abon4ante (an bout de quinze heures). Le sujet s'e'veiIle le matin, a quatre heures, baigin6 de sueur par tout le corps, sans soif ( an. bout. de six heures ), et vingt-quatre heures apres 'ii eprotive un. pareil'acce's de sneur, le miatin. Le sujet s'6'veille souvent, tout le corps baigrne d'une legere. sueur, qtil augmente apres qa' il est reveille (la premie're nuit). 11 est oblig6', les nufits, de se retourner sans cesse, et le matin ii efprouve iine he~gere sueur. 95Q. Le sujet s'e6veille souivent; 'a chaque fois it eprouve dui frisson. A. minuit, grand froid inte~rieur, surtout dans les bras et les jambes, avec douleur contu'siv e dan's IQ dos, jusqn'au. matin; puis, sueur ge'nerae, avec bodrdonn fe men't et pesanteur d'ans la tt~te; on- ne 438 DOCTRID{E ROMOEOPATHIQUE. peut ensuite rester debout j. q'71ii(u otd vingt-neuf jours) S'en'sation comme Si un vent. froid, ýoufflait les epaules, aunmiifeu duidospartie qui resteffi, iieie aupres d'up o ceauff_ý 1F'roid par tout le corp5L au grand ajr,,qpi n'eqst eepen'dant pas froicj. Beaucoup de froiod. hI 'in terieur, ciaRs ` jUrnD (1-a premiere seipmaine).. 0,55. Froid dans diverses partie s du corps., Frisson f~brile continuel sur le dos.. Frissons fre'quens,.tan ta dans un, brasY tant t dans une jambe, onl par tout Jib corps. F''risson r'apide, qui deIa. face s'e'tend-sur; la, poitrine;,.j~usqu'au geno~u. Frisson qui descend de la. face, le, long du. dos' Juls_ que dan's le g~enou..960. Acce~s iso1, s de: f6risson dans le do~s j u sq'uý' pre sci~e an esusdu bas.-ventrea, Sanschaleur nsulte 6ui p~ndant.' FI&detrisn artotle corps; sanZs soV/et sans,chaleur ensuite( au bout de'deux, troi,ving t'd ix hrdis) jrsmdi@ -a quatre heures,'d'ab'ord froicf dans lesjambes, jusque dans le dos, avec la ssit'ude,' pendant oisiaeures; suP afnsersans chaleur e as s~oif (au bout de-six'jours) ýEtat febrile:tanto~t des frissonnemens, tanto tod ]a chateur "a Ia face. Fr oid f~brile pendant une heure, uis chalti4' dans 9~L~retner9 nuit, roid, ýptciaer, ei U. -1 A.-I 'I CAUSTýQlq.ý., 09,verurs, le,. matim, imoiteur de la pea~u; ensuite u-n pea de, r~epps et de sommeii ( au bout de troisyjours) Tous les soirs c1haleur pendant deux heures, p~rtit' d~e ix heures (au bout de sept-semnaines). Ch4alei~u qcui. se repan~d par tout le. corps, sans, si~n~e sa~s oi(au bout d'une 4~eurenqat. P3-Ui fralcheiur gefne'rale quis'ablit pea 4pe, ye ba ilemens et pandiculations. Le matin, on est baiga6 de.,sueur. Sueur nocturne, pendant deux nuits de Suite,,( aq, bout de trente-six heures). 970. Sueur, nlocturne, plusicurs nuits de suite.(au bo'ut de QnZe jou~rs). Sucur nocturne, d'o'deur digre, qui baigne tout le corps ( au bout de vingt-six jours). inap~titude au trav-ail ( au bout- de dix, vingt heures) Long silence de d6pit (au bout de six heures)., Le sujet est me"content de 1ui-me'me, et ili a 17air sombro. 95Caract~re facheux. Lje sujet qst de tres-0mauvaise humeur et jparesseux. Mauvaiese humeur toute ]a journe"c, rn'contentement de soi-me'me et souci~s, quoiq~u'i1l n'.y ait, pas inaptitude aux travaux de tete. Irritabilit6', disposition h se fRcher, nut gou~t pour la musique. Mauvaise, humeur toute la journe~e; tout ce qui entoure lc stuje~t fait une impr~ession d6saggr'able Sur lui.. 980. Les douze prernieres heures, galte, caractý6re' 446 DOCTRINE HOMOEOPAkTHIQUE. ouvert, affluence facile des idees (I)-; mais, au bout de vingt heures (le matin, en s'6veillant, et'toute la ratinee), tete entreprise, anxiet6, disposition i trembler, somnolence, pesanteur et pression ' l'occiput et ati front, pesanteur dans les membres, avec douleurs presque continuelles dans les articulations et les muscles des doigts, des bras, des 6paules, des genoux et des jambes. Tr~e*s-mauvaise humeur(au bout de quarante-huit heures), Mauvaise humeur, envies de pleurer. L'enfant pleure pour ]a moindre chose. L'esprit est tant t dispos, et tant0t, peu de temps apres, morose. 985. Irritabilit6, morosit6. Tres-mauvaise humeur, humeur fort irritable (an bout de quatre jours). Disposition ' chercher querelle (au bout d'un quart d'heure), Caracte're acari tre, grande disposition ý gronder, a disputer. Mauvaise humeur, et grande propension h s'emporter apres le sommeil de 1'apres-midi. 990. Abattement et depit, sans chagrin (le premier jour). Disposition ' disputer et A crier, sans chagrin. Opini trete. Humeur querelleuse et tracassie~re. (i) Jusque I" ce paraft tre un effet curatif de la force vilale reagissant sur une disposition contraire de 1'esprit et du moral,qui existait auparavant. CAUSTIQUE. 44" Humeur intraitable; tout est pris en mauvaise part. 995. Les nerfs sont tre's-attaques; irritabilit6', dis-0 position ai ]a cok~re; le sujet est frileux, et le mouvement 1'6chauffe de suite. Agitation de l'esprit, comnme si 1'on 6tait menace' de quelque maiheur, ce qui empe'che de travailler le soir. L'esprit est trouble" et un peu tourment6'. Adnxie'tM toute la journ~e, comme si on avaitfait oa si on craignait quelque chose de inal, comme si on avait eprouve'~ an maiheur. Commiseration exage'ree; le recit des souffrances d'autrui, des cruautes exercees, sur d'autres per-. son nes, met u ne femme toute hors d'elle-mme'ne, ]a fait pleurer et sangloter. i000. DO'couragrement, me'lancolie, abattement extre~me et decouragrement. Th'faut de couragre. Disposition 'a la crainte pendant ]a nuit. Lp sujet est extremement craintif; I'approche d'un chien lui cause une si grande peur, qu'il tremble de tout son corps; le moindre bruit dans la rue le plonge dans 1'anxiet6, et en voyan~t des petits garý,ons grim-s pes sur un arbre, ii tremble qu'un niaiheur'ne leur arrive., 11 s'occupe de pense'es de mort, avec agritation et grands soucis. t~oo5. L'anxie'te et la crainte lui font desirer la mort. En fermant les yeux, ii n'apei'~oit que des spectres hideux. Grande anxie't6 pendant la journe~e ( au bout de. treize jOuI'5). Crainte excessive h chaque.eve~netnenti 442. DOCTRINE H0MOEOPAMflIQTJE. Le. matin, dans le lit, depuis 6 qaeu~ usu~ sept,,a.n x i e"t6e.xtreme ( au bout de s'eize jours) 10o1o. Apgoi~ses, quan'd on 6proujve des mnaux phy.. siques. 4,ýxei't'4 des plus gra~ndes, pendant douze heures. Quoique des discUssio-ns (politiques, par-exemple,,), aient lieu devant le sujet, it reste cependant assez tranquille, et quoiqu'il -se sente blesse", iti -vite d'en parler e1 dP so. passionner (la. premaiere heure). Toute ]a journ6e, le sujet est de bonne humeur et tre's.dispose a causer; it voudrait toujolurs avoir quelqu'un avec qui it pitt s'ent~retenir. Toute la journ~ee, grande gai'te et satisfaction de xj:4. CigU6i (Coniuarn rnacula4mm). On prend Ia cigue entie're, au mom-ent ou' eliet va fleurir, et on, en exp rime le, su-c, qu lon. me'le avec patesgales d'alcool.. Proc'dant alors comnie 1'homoeopathiie le fait a i1'6ga~rd des sucs de plan-tes m ndus. inalt~rables par ce proce~di,' on en insitile, deu~x gouttes dans, un, petit flacon aux d~eulx tiers, zdml e cent gouttes d'alcool.,, on houche le, flacoa, et oni lui' imprime deux secousses duL bras; ensu~ite -op Porte successivement ]a liqueur jusqU'au de'cillio~nnieme degr6 (X) do dilution, en continuant tou-1 jouirs a op~erer do Ia. meme ma.niere. 9Yap e u toerck et ses nombreux imitateurs ont publie", dans une foule d'6'crits, sur los propri@6s' (i) Ces trois derniers sy"WpLmes, sont--un effet curatife. 4~-i Iicg. iest facilo.de jug-.e -,que:cette, piant 'd- djecis yer t; s icdinaIles,ass.eznergiques, #4,iqqdequelqpe',,*_eipqu ~que. sppn uag9 ait.pu trp E2Qfltre 1e~s naladiqs, Jes 1A~afeses, du mpims dans les cow.m..encemap ýnens, 4 flp1 t rpa fQlfls rai qW4'ýussi SQUye-fl, plus frequemment 9pt i 1ne l -cguadm~ pis;rOe 'ado'seý 6eve'es et re'pe~tees, comnme c'etait alors 1'usage greneral, produisait des maux irre'parabIgs et pauts~itlab.,or1~ ci'!in l.sszagrand npn q. d Ii 6aiIr~xy~' i't M o popýhi,e d'eýýp~iqqer 1asr pr~en,ýntxe ppig -d'ne, suhst 94.pqchisap~t, au 'qr 4'i~eytuIrspqtwla plupart consciencie x, dPs~ e-, ffe t s Ala fois salutaires et Si per'nicieux~..E seI~ puvitd np~trer, que, pour tir~er un parti avitggeux des m pa~u4hr~qiqups:, e purg tq'iz av~c jieLUr' qcq~ur it, ne fap~t pas,, comIwe qn1a P ma~heups~m~it fqit jp~qu'h ce lour,Ie prescrire ~ de. doses s~Qwen1t, rppýtes et a'uss., fortes que p05 -lu, oin de I, est n gcess~ire de, com ncipar ew~iie~r, lur. irnodpe ýp&ial dj'ac~iom ~,:r~leshoxnnes qui, JQ,ýAisse~at d'une bonne - ýpte6, de, n'y avy9.h' eiasi ite re-, vo uprsque ans les ktats. niorbides dont es syrnqp~t 4neq reý~sernl4ent b4,aqpoctup au'x,1e~rs, eIý de leszacmirnistrer a, qs,-peti es,dpses.,-d14, s, un grand 't~at de dilutioig,, apres payoir -diveloppp, convenable;nnt leur puissance edicinal~e Gette, mi bode 9pQ1tras~te.inf nivpent avercelle, qui con~,4ste h donier jusqtA'A cent quarante grains d'es~. trait J,u9 isqtu'a ur y~e~rle. de sic, de cigu **, et 4. repqter ce doses effrayantes jysqu~', six fois daps le cours de,! la jource; taseq l1asuivant, le wn'deciin hpo. 444 DOCTRIJNE H0MM30PATHIQUE. mceopathiste ne s'expose at aucun mecompte, et ne craint pas de sacrifier Iles malades par centfain es, comme on le faisait, autrefois, en prodignant le medicament. Il n'y a pas plus de trois ans que j'ai reconnu, ]a cigue" pour un des plus puissans antipsoriques; jus-. que la', j'avais e'te6de'tourne' de l'employer par tan't d'exemples qui e'taient bien faits pour inspirer de la, reserve. Souvent ii faut, pour qu'elle de'ploie ses effets bien-s faisans, qu'on en ait fait pr'ce'der l'emploi de celni' de quelques autres me'dicamens antipsoriques. Le mieux est de don ner deux globutles de sucre i'mbibe's de ]a dilution au, decillio'nnie~me. Cette dose agit pendant trente "a trente-cinq jotirs, un peu momns long-temps que les autres reme~des antipsoriques. On calme ses effets quand ils sont pat, trop violens, en faisanlt respirer de l'esprit de nitre dulcifi6', et parfois aussi en faisant prendre un pen de caf'6. Les cas dans lesquels elle s'est montre'e le plus efficace, quand ii existait autant d'analogrie que possible entre ses sympto~mes et les symptornes les plus caracte'ristiques de ]a maladie chronique, sont ceux principalement oii pre~dominaient les d'ats suivans:vertige en regardant antour de soi, comme si le malade allait tomber de coke"; mal de' tete lancinant chronique; acc~s de ce'phalalgie de'chii'ante, qui oblige 'a se coucher; pesanteur de te'te; e'lancernens au, sommet de ]a teate; points obsours et bandelettes colore'es dev'ant les yeux, (lans ]a chambre; sensation de fro'id dans les yetix, en allant au. grand air; p rurit sous les yeux, et, quand on les frotte, ardeur cub. sante; rnyopie; presbytie; aveuglement par ]a lu-n mie're dit jour; chaleur 'a la face# erup-tion pruri'. SCIG'UE. 445 tense 'a la face; prurit 'a ]a face; MIancemens dans 1'oreille en allant au grand air; dechiremens et e'lan.cemens dans les oreilles et autour; bourdonnement et tintement d'oreilles: e'Ian'cemens tiraillans dans les oreilles, de dedans en'deos bruissemnent dans 1'oreille; accumulation de 'c~rumen; induration des glandes parotides; obstruction du nez, Le matin; obstructiorn des deux nari 'nes; obstruction du nez pen. dant des ann'e5; 'sentiment pe'nible de se~cheresse dans- le nez;- efcoulement de* pus par le, nez; 1ewres seches, 6cailleuses;, douleur tiraillante dans les bonnes dents? en allant au grand air; douleur lancinante dans, les dents; de'grutition involontaire; grattement 'd 'ans la goirge;fr~quens rapports a" vide-, touteleaidjurnefe;,rapports bruyans; rapports ayant le goiuit des alimens; -so~da qui remonte jnsqu'ai Ia gorge.; ple~nitude, da~n.s la, fossette,dui con, avec sensation de rapports qui vont survenir, sans qu'iI en paraisse;P le 'pain ne vent pas descend re, et ne. plait point; nause'es chez les femmes -enceintes;, boulimie; apres avow mangr6, ardeu-r qui rernonteslans le. pharynx; pesanteur d'estomac, apre"s avoirn-imang& cns triction douloureuse "a 1'estomac; spasme d'estoznac; de'placemens de ycnts;,boirborygme's et gargouilI lemens dans le ventre;.resserrement da bas-ventre;sensation de cuisson dans ýle bas-ventre, en marchant surj e pav6,; le matin, en s'6veillant, plenitude dans le bas-ventre; tournoyement etremiuement dans. Ia region -ombilicale; coliques lorsque des vents veulent sortir; selles tache'es de sa~ng; Selle dare, bus les deux jours seulement; diarrhee;, constipation,,ýapec yains efforts pour aller a' la selle; dechirement dan1s l'ure"tre en uriflant; pressiori sur la vessie,ý comme sA 446 DOCTRINE HOMOEOPATHrIQtE. I'urib e-' vbouait sortiwr de suite;:en 'urin ant, 1- 'drine s'arvk6 te tut-ýh-coup 'et n'e coule plus -de nouv e-au 4n'du bou-tde q'uelcjues iri~tanS; rine 'epai~sse, fro-iibiee&en bha'T&l6'c;impuissa'nce et difu 'Pet~b;~e~in ijpA thirnt ttop- peen de- fe-mrnps"d e*fa Ud'6fi~ei'hdans bas ~Pdsmes hrhTiq&;~e~sionve rs le grand'es~ levres spa'ine6 "h y Pie'r"fute's; qpmd6bu't~rit par wufniteuemenoit aii-ces-S-Iu9a 44 dii 1 pd ndii''U"i, ý 1Id -ivefftrý ehftier 'Se ýobfl6Ia- 8'enl~ij i ooi~endte Aa'di I 061tf-fte' et d69 e" Ila ii e m'eýn' 9s 1Vf6 ff~ font Jenr4 d cn s Fte C`O g eih; prhIri t fx pri ies gnitales,'en deai; re gi~n 'ryvr'g'Il as uef oflet'il"hra6urariante(a'ns ]a cu'isse", p'e'dauit 16-9st'glesr ge rd P pt bdnda* ~;tot dhiez lk`s~uj]ets scrofuletx; ithii~ne' e. iatin e;ýrs e, veiian't; asthm--6le rnmatt~;--r'e ratiloh courte en-laI ch~a'n't; 61'Ancemeiiie~.d-a'isle ste~rniTý'm'; secoi~iss 9as dP- I. J~oitrire; po~'rssio'ft et; omp'r6S iond~stsd~h 6669; tefn'lion- dari-s- -a nht6jule;-.doiilefi' tursah da I c e~r 't, 6b te - g-- 6t'vic`a1&sif 6rure cuisson- dairnf le4 aisl~eIIýs; siieur a la Um es-mains;diikutra~illan~tedidanrs"e16Ianches I; lasstd nslsgid Mip~tioh d'e" g-pies i se d6ifir` fr~oid' Aitbpi' ds 6 nti,-ýrbrie tl~~fi te e'h Ad'in 0abhd eidiricWfr&el n ie~git~e'~ hIis idr6 es u' H~tkit&1s, Sur- e d-a t t,e g alic ie n ribhuies tahs b 9i ~au, co'rps 'aoys i;;-* d'hyst Ofie"'et d h14--6 6b.'nd[Hie',a c e s, ~ emnqtii pag-r-te'n-t d e1' Ist 6 ffc, ' -ofrsle'g6 fes ga i thoeg,, ts-'6tenide'ntjuscjue;d~in1e'',,dog; la sli b A bpaW, toilt 1 le ccwp1sl s'ntout dqnrs; ids jam' S CIhc;a nh i subit 6H, hht diý6ln-chntkjif~L;gm Inloen'66 le",soW, av*b 0dc OhdiS'id' "d '"9 "des i t. 61es'nIU eLijf s'endocrt tairdle sodir','danis sn i rer~I~~ or 13!CIJE.447 vassee,*-s, beaucbtip de' reves, penidailti a fltO dis&po-ý sition "a s'effrayer; dego i't pour le travail; h'ypo'coiidre; deco~iiiageImMnt'; di~po'sitiori iu cdiagrai 4n7 au. de~couragernent, 'a l'hypocondre; irritabilift'., ['ertige dans lequel tout tourne e'n' ron~d, q'u'"a ncd6on so 1e~ve do dessus, sa chaise. Vertige, apres s, etre baiss6,qun on so redresse, tormme si la't`46 A Uait "claier. 'Vertigo, Sur'tout 6tant couche, coinme Si le lit tournait en rond. Le rnatin, en so levant du lit, vortig'e (au bQnt.de treizo heur'es). 5. Yrtige- en descendant un escalier;.le: sujetfu obliore' do se tenra.mr, et resta* quelquie temnps, sanis savoir ou'ii ii ta-it. Yortige, qui; enltreprend la teite..Vertigo,ý tel quo tout, se'mble tourner eft rbn'd-.:De'malrthe- chanicelanto. I rog. Natd ' ie 'e6d~h itn~6woire. De'faut do me~moire en s'6'veillant apres a'voir- dor'nm'i EftnrPAan i, ks -e~jire'ssio -S p-roir-e-s fne-s`& preseiitent pas, avecpeine ce gt&'on lt Sttfip'ar;on dd I' el' pn'o ic&dinprtn~dirc ie qu on lit* AP., wvoir bu, gds~itio'n' d'h-'ý"bC"tu'd'e "dajin1i ''I'at -.4egtin ýrm~el1)rofond, enseeanti lolr'd6 et enfMri~rse 448 448 DOCTRIJNE HOMOEOPATHIQrJEf Le-sujet est deux jours eftourdi; tout tourne autour (le liii. 20. Grand 6~tourdissement en inarchant. Apoplexie. Apoplexie se'reuse. Pesanteur de te'te. La te'te est lourde.,25. En marchant au grand air, simpleimal de te'te; le sujet est he'bete'; at qui a lieu auissi le mnatin, jusqu'ati dejeuner..En allant an grand air, mal de te'te, pression sourde; le sujet est oblige' de se frotter le front (au bout de deux heures et demie).I Sensation-dans la moitie' droite du cerveau, comme s'dl s'y trouvait un gros corps e'tranger. Pression douloureuse dans ]a nuit, "a droite dui cerveau, d'avant en arri~re (an bout de deuxheures). Mal de te'te d'un seulA c6t6', qui augmente peu "a pen, ressemble "a 1'impression que prod uirait un corps lourd dans la. tete, et augcMente Iorsque 1'on tourne les yeux dui cote' malade (au bout de deux, trois heures). 3o. Mal de teate en marchlant; chaque pas retentit dans la t~e.t A~chaque pas, pincement au sommet de la. tete,,, sans douleur, sensation qn'on n'e'prduve pas en restant assis. Le matin, en s'eveillant,- sorte de mal de te~te, comme si le cerveau e'tait de'chire', surtout dui c OAt de l'occiput (an bout de dix heures). Mal de teate, le matin, en s'e'vei11ant; ii senbie. que ]a tete est trop pleine et qu'elle va e'ilater. Mal *de tate journalier, "a cause des selles trop pen abondantes, accompagne'es d'e'preintes, qui cepen.pendant deviennent journellement plus frequentes., 45o- DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE..Chaque fois qu'on, a mange', tension da'ns la tate, et sorte de compression exerc~e' sur'1es deux ternpes; lesjet, est oblig6 de s'appuyer ]a t te contre une table. Pression douloureuse, "al'exte~rieur, auifront,(au bout de trois heures)..5o. Pressi-on stupe'fiante 'a 1'ext~rieur de la te'te, au front.(au bout deo nze, cinquante-quatre heures). Mal de te^te sur le haut de 1'os frontal; pression' semblabie "a cello qu'exercerait une pierre (au bout de trois jours). Mal do te'te, saisissement dans le front, qui semble venir de 1'estornac, et sensibilite' telle* du cervead, que lo bruit et l'action de parler suffisent poury causer un 6branlemerit douloureux. Le matin, apre's s'e'tre lev6, mal do! tate; lcrnens de dedans ený dehors, au. front. Mal do t 6te;' Man cement dans le front, toute ]a journee; cependant lo sujet ne fut pas oblige' de soe 1ý 'her. 55. Mal de te'te se~mblable 'a des coups d'~pingle, pdnrdant une bonne heure. Mal de te'te; e'lancemens. de dedan-s en -dehors, au frofi-t, avec disposition 'a se coucher, 1'apre~s-rnidi. flancem Iens dans le front. A midi, douleur lancinazide au front, d Pe de dan s en del0ors. Eruption de plusieurs boutons durs sur le front, dont un devient aussi gros qu'une noisette, dad~s 1'espace do quinze jours, et cause de la douleur 'a son sommiet, quand on y touche (le premier jour). 6o. Eruption, sur le front, de' boutons qui causent par eux.rnernes une tension dou'loureuse, et. autou r desquels, quand on y touche et apres, survient une douleur dechirante ( les deuxieme et troisilrne jours). Eruption de boutons sur le front, qui causent pal' e UXm enes une douleur ten sive et tiraillante (le quatri eme jour). Prurit rongeant au front, que le frotternent dissipe pour quelque ternps seuilement (au bout d'une demiheure). Chute des cheveux. Dilatation des pupilles (au. bout d'une heure). 65. Reftrecissemnent des pupilles (effet curatif ) (aiu bout de trois heureset un quart). Presbytie (chez un myope); ii. distingruai t bien des9 objets assez e'1oigne's (au bout de trois heures et de.. mie). Myopie plus forte q'ue dans les temp s ordinair's; le'sujet ne pouvait reco~nnAitre que des objets tres-. rapproch6s (effet conse~cutif ) (au. bout de vingt-neu~f heures). Illusions d&op tiqu6; les objets paraissent rug. Faiblesse de la vue. 70. Obscurcissernent de la vue. Ce~cit6, imme'diateinent apre~s s'etre endormi au soleil. L'apre's-rnidi,7 apres s'etre plaint de maux de tate e t d'y 'eux, l'enfant perd pour quelque temnps- ia fa. cult6" de voir: plus tard, cette ce~cite", de courte du-. raee, reparailt encore. 11 sem-ble qu'un filu flotte devant l'oeil. droit. Le sujet y voit mhomis dehors que daris la chambr e5.En lisant un e'crit pen e'loigrnr de N'eil,2 ii semft 459. 452 DOCTRINE HUM OEOPATHIQUE. ble que les lignes se baussent et se baissent (an bout de treize heiires). Nuagyes et taches brillantes devant les yeux. Rougeur des yeux. Teinteljaunatie du blanc des yeux (le'dix ieme jour). Chaleur dans les yeux. 8o. Proerninence des yeux, Les yeujx pai'aissent mornes. Tressaillennent, de la paupie~re sup~erieure. Le matin, M'ancement dans 1'angle interne des yeux, dont les pauipi eres, sont: coIIlees'. Ardeur "a la face interne des paupie~res. 85. Le matin, les paupie'res s'ouvrent difficilement; elles sont colhe'es., Yeux pleins de chassie, le matin. Prurit autour de INOei gauche. Elancement pruriteux dats les angles internes des yeux, quze lefrottement nefait pas cesser- (ati bout d'une heure et demie). Dou/ear cuisante dats l'angle interne de l'ceil, comrne s'ily e'tait entflt' quelque chose de caustique: lPa~il larrnoye (au. bout (de quatre heures, et demie). 90. Pression dahs l'angle interne de 1'oeil, seinbiabMe 'a celle que causerait un grain-,de sable. Pression dans l'Neil, surtout pendant ]a matine'e, cornmes'il y 'tait entre un grain de sable; le blanc de Neoil est rouge et enflamme'; les larmes qui en coulent causent une douleur cuisante aux paupieres. Pression, darts lesyeux, surtout en. lisant. Quand on ferine les yeux pour dormir, le soir, dans le lit, ce mouvernent cause une sensation de~sagireable 0 une pre~ssion douloureuse. CfGUE. 2, b3 Vers le soir, ardenr dans les yeux, avec pression an dessus des orbites (au bout de six heures). 95. Douleur tiraillante, dans les yeux, qui sont rougaes. Mouvement des yeux, comme s'ils e'taient refouhe~s au dehors. Prurit Ian cinant, qui dure long-ternps, dans Iajoue droite et an c6te' gauche du visage, en descendant; ii ne cesse qu'apr~s qu'on s'est grratt6" plusicurs fois (au. bout de deux heures et dernie). Un petit d'ancement traverse le c6t6' droit de la face, le long de 1'os 5ugal ( au bout de deux heures et demie). De petits edancernens traversent la joue droite, en se dirigeant vers le coin de ]a bouche ( au bout de cinquante-six heures). joo. Bon [fissure de la face. Face bleukire, bouiffie. Couleur bleue de la face. Teint malade, /pale ( le septie'me jour). Le ma tin, grande pa~eur de la face. io5. Douleuir 'a la face pendant ]a nuit. Apre's s'e'tre Iavef Ie visazge, quand ii est sec, la peau cuit, comme si elle eftait excorie"e. Un petit bouton survient sur une ancienne tache he'patique ' a ]ajoue. Gonflement 'a Ia poinmette et hi la gencive sup&rietire, avec tension douloureuse (le, troisie'ine jour). Douleur lancinante, de'hirante, imme'diatement an devant de l'oreille, 'a la jouie, le soir. i io. Derrie're les oreilles et l'apop~hyse mastoide, tensioni doulouretu~e de la peau, metnie sans qu'Ion 454 DOCTRINE HOMOEOPATHrQUE. fasse aucun mouvement (au bout d'une heure et demie). Elancemens derriere les deux 6reilles, surtout dans l'apophyse mastoide, et ensuite douleur sourde en cet endroit (an bout de cinq heures). Secousses aigus, du dehors au dedans, dans 1'oreille interne, qui se font surtout sentir quand on avale, et sont alors plus fortes (au bout de trois quarts d'heure). Douleur lancinante et de pincement dans l'oreille, en buvant. Sensation, corme si l'oreille interne s'6cartait violemment. i 1. Pression vive et subite dans 1'oreille. Douleur, tan t0t tiraillante, tantot d6chirante, dans l'oreille interne. Violent prurit dans loreille interne. Cerumen couleur de sang. SensibilihM doulow'-euse de l'oui'e, qui fait que le bruit cause de la frayeur. 12o. Le moindre bruit cause une secousse gen6 -irale dans le corps. En se mouchant, ii semble que qucique chose passe devant les oreilles, qui sont ensuite comme bouchees. Bruit an devant de 1'oreille droite, semblable "a celui d'unc chute d'eau, pendant un quaft d'heure (an bout de quatorze heures). Bruit dans l'oreille, comme si le sang bruissait en traversant le cerveau. Battement du sang dans l'oircille. 125. Tinterent clair dans l'oreille. Bourdonnernens dans les deux oreilles. CIGUE. tx55 Convulsion datig le nez. Convulsion instantan~e'e 'aa racine dui nez. Fo'urmillement pruriteux dans le nez ( au, bout d'une he *ure et demie). 13o. Douleur cuisante et lancinante dans la cloison nasale, quand on serre le nez, comme s'il s'y etait de'veloppe' un bouton. Finesse excessive de l'odorat. Sorte d'odeur de goudron au. fond dui nez; le sujet a aussi le gocit de, cette substance dans la bouche. Saignement de nez. Fre'quens saignemens de nez. 133'. En e'ternuant, saignement de nez. Fourmillernent sur le dos dn nez ( au. bout d'une heure et demie). Fourmillement pruriteux. sur le bout dui nez et dans, les, narines ( 'au bout de trois, heures, et demie). Un. bouton. suppurant dans, le phi de 1'aile droite dui nez. Tremblement de Ia Ie~vre inf6rieure. ix4o. Prurit "a la, levre sup~rieure. Ampoules au, bord de ha partie rouge de la kevre superieure, qui causent une douleur cuisantle. Ulceration des hevres, apres de la fi'vte,. Petits e'lancemens au. menton, qui rernontent dans, la ma'choire (an. bout d'uue demi-heure>% Violent prurit autour dui menton. 145. Pen apr~s, avoir bn, tiraihlernent, mrai~s non douhoureux, des ma.choires, vers 1'oreille et ver's ha tete. Tiraillenuent an, c6te" droit dii cou, qui descend jusque dans 1'articulation de 1'e'paule, pendant he.repos,(Ic troisieme jour). CIGUE. 457 170. Beaucoup de soif, tous Ies apre's-midi. Salivation. Salivation abondante. De'faut d'appe'tit. De'faut total d'appeftit, et grande faiblesse d'esto.. mac. 175. Sur-1e-champ, diminution de I'appe'tit et dui gou't de ftimer. iBe~aucoup d'app6tit pour les choses aigres. Goi't aigrelet dans la bouche.I Goiuh putride dans la bouche, en mangeant et avalant. Quelquefois ii survient, sans cause, un gocit amer dans la gorge (au bout de onze heures). i8o..dmerturne dans la bouche, et surtout dans la gorge ( les quatri eme et sixi~me jours). Apre's le dejeuner, gou~t amer et acide. Rapports fre~quens. Rapports, incomplets, qui causent de la. douleur 'a 1'estomac. Fr~queins rapports a' vide, le matin surtout. 185. Rapports aigres, le sohi' Rapports aigrelets, avec ardeur dans l'estomac. Rap ports putrides., Rapports ayant le gotuit des alim-ens, in~me si'x heures apres avoir mang6. Rapports qui ont le golult de cc qu'on a mange. 190. Beaucoup de rapports A~ vide, sans, goiuit ni odeur. Soda, ayant un gouit de rance. Le soir, soda. Hoque~t. Apres 4oir mange', envies de vomir, puishoet 458 IDOCTRINE HOMOEOPATHfIQUE. cependant le sujet a de 1'app6tit, et ii trouve aux alimens le gou't qu'ils doivent avoir. 195. Nause~es, mal de te'te et vomissement muqueux (le troisieme jour). Envies de vomnit et rapports, avec lassitude. Na se~es., envies de vomit'. Nause~es fr'qu en tes et de'faut total d'appe'tit. Envies de vomir. 200. Nause'es, le matin, qui se dissipent apd~s avoir k I a laselle. L'apre~s-midi, avec maux de teate, nause'es et vomissement muqueux, auquel suicce~dent beaucoup de r1apports. Violent vomissemen t. Vomissemen t fr6quent, avec de~aut absolu d'appetit. Apr's le d.jeuner, grande lassitude, et relachement des muscles du ventre. 205. A pres avoir mange', nausees, avec sentiment de sati't.6. Apre~s avoir mange', le tiraillement dans la tote et 1'engourdisse-ment dui cerveau diminuent (au bout de quatre heures et demie.). Apre's avoir mang6, ppessonet, forte pression exte'rieure sur le sternumn (au. bout de quatre heures et dernie). Apre's avoir mange", gonflement au hau~t dii yentre, avec pression d-ans l'estomac, qui coupe la respiration. Sueur en mangeant et b~uvant. 210. Apres le diner, mal de ete dans la nuque, le vertex et le front; pression, avec nauseres. Apre's avoir mang6, rapports aigres. CIGtTE. LS Apre'savoir mange", labouche s'e rem plt d'eau acide..dpres. atoir mange', an liqaide acide revieit' de l'estomac. Apre's avoir mang6, la bouche est toute acide. 2 15. Rapports incomplets apre's le d6jeuner. Q tiand on a mange' quielque chose, une sorte de chaleur sourde rem onte de 1'estomac dans les bras et jusque, dans les. doigts; ensuifte les mains deviennent pales, froides, et insensibles. Ape'~s avoir pris un peu. de lait, le b~s-,ventre se gonfle rapidement. Ape'~s avoir mniang (le soir), mnal de ventre 'a Ia region ombilicale, comme si les intestins 6taient contus (au bout de douze heures). Une demi-heure apre's avoir mange', douleur tirail.. lante dans le bas-ventre, a le r-6gion ombifica16! 22o. Apres le diner, tiraillement douloureux dans le bas-ventre, 6tant assis (le troisie'ne jour). Le matin, apr's avoir mange, mal. de ventre, et, toute la journee, grande plenitude dans 1'estomac et sur ]a poitrine (le quatrie~me jour). Pression ý la region pre'cordiale, domme si quelque chose y tournoyait, et ensuite quelqties MIancemens dans le coke' de la poitrine, le matin aussi. Pz'ession et anxiet6, sensation com me de ple'nitu'de dans la region pre'cordiale, entremedlee d'e'Iancemens ý qui augmente par I'inspiration et les, mnouvemens dii corps. Pression qui rernonte de la region precordiale jusque dans le pharynx, coinme Si Ufl corps ron d cher-. chait "a sortir (Ie deuxieme jo'ur). 22!a. Douleur tiraillante depuis la re'gion prekcordiale jusque dans le pharynx, avec respiration courte CIGUE. 463[ Vif tiraillement dans ]a partie ant6rieure du foie. Douleur semblable a' une d~chirure dans la r-egion ditfoie. 245i. En marchant, on'ressent une pression doit. loureuse dans le foie'ý Pression douloureuse dans le coke" droit dui bas-. ventre et de ]a poitrine, qui augrmente par l'inspiira. tion (au. bout de seize heures). Le soir, apres avoir man g6, grand ballonnement et (lurete' du ventre, avec saillie de I'ornbilic, qui rend le sommeil agrite'. Raideur dans le c ot6" droit dui ventre, en. respirant profonde" nent. Pression. et tension douloureuse dans I'hypocon.. dre gauche, jusque dans le co't6 dui bas-ventre. 250. Apre's avoir dorini (A midi), le bas-ventre se gonfle. L'apre's-midi, bas-ventre plein et gonfl6' (le deuxieme jour). Elancemens de'chirans dans le bas-ventre, semblables, "a des coups de couteau (le quatrieme Jour1). Douleurs lancinantes, passage~res, dans le bas-venti'e (le huitirnie jour). Elancement dans le coke' gauche dui ventre (le second jour).!155. Elancement semblable "a un coup de couteau. dans le bas-ventre. D~chirement sourd dans un petit point, irnm6 -diatement au dessous de I'omibilic. Le mat in, plusieurs jours de suite, dou~leur d~ch i. rante et cuisante, par mornens,- depuis la region de 1'estom-ac jusque dan~s le co^ t6 du ventre, colmme si tout ce qui est dans le has-ventie allait en soati1 0 462 DOCTRINE UOMCIEOPATHIQUE. De'hirement dans le bas-ventre, au dessw du pubis, jusqu'a 1'anneau inguinal. Gargouillemens et borborygmes dans le Ventre. 260. Apre~s un froid de deux hetires", avec mal ' ala tete et nausees, le matin, ii survient des coliques. De'hirementdans'le c6t' gauche du ventre, comme s'il y survenait un tubercule. Hors des repas, pression continue dans le fond du bas-ventre, comme s'iL y avait quelque chose de lourd. Oppression cans le bas-ventre. Pression et ensuite fermentation dans le bas-ventre. 265. Piession et saisissement dans le bas-ventre. Spasme cans le has-yentre (le sixieme jour). Le matin, en s',asseyant, tiraillement dans le hasventre et pression qui s'etend jusqu'' la partie sup6 -rieure du ventre. Apres avoir bu, sensation de tiraillement cans le bas-ventre. Le matin, au sortir du lit, tiraillement douloureux dans la region ombilicale (le troisie.me jour). 270. En marchant, douleur tiraillante dans le yentre (au bout de trois heures). Mal de ventre; douleur cdn'tusive tiraillante'clns les intestins, etant assis (au bout de neuf heures et demie). Contraction et tensi-on convulsive du bas-vent're, en remontant vers, la poitrine; douleur de pression et de pincement, qui dure quelques mlinuites (le second, jour). ConstrictiGn douloureuse dans le bas-ventre, qui pousse a aller 'a la selle (les deux premiers jours). -;CIGUtE. 463 Douleni' au dessus des hanches en marchant. 2 75. Douleur dans le bas-ventre en riant. Chaque fois qu'on a rnang6, pincement dans le fond de L'abclonien', avec bon appe~tit. Coliques, avec diarrhe'e (le douizieme jout'). Sur-le-champ, 6mnission facile de vents. E mission violente do ven ts. 2-80. Emission d'une grande qua-ntit6 do vents (au bout de dix-huit heiire's). De'chziremens- dans le ventre, av'ant tine emnission de vents. Le soijr:,gonflement dui ventr-e par des vents, avec coliques et froid a Un pied. -',Pincemo nt douloureux dans le ventro, qui n'a ce. pendant -pas lieu imrn'diatemen t avant ni do s'uite aprtes qu'on a 6te' 'ala selle. Douleur d-6chirante "a uno grande profo-ndour dans le ve'ntre, avec appe'tit et sommeil pendant la nuit. 2,85. Elancemien's dans la partie-superieure du vontre., le matin, en s'eveillant, plus fortes quand on.srem ue. Violentes coli'ques, avec fi-oid., -Colique des plus violentes. Doiileurs insupportables dans le von tre. Q neiques secousses d-O dedans en-dehl-ors ve'rs los muiscles dui bas-ventre, s-emblable A deles quo lI'enfant produit chez une feinm'e enceinte.2-9'0.Des e"lancemens aigus, seplat-6'Pat, 'edocourts. inter~valles, so font sentir do hbis en hatut, dans les muscles dii bas--ventre, a% gauche, S~ouis1'ombilic (au bout do trois heures). Leger pincement dans Los muscles du bas-ventre, 464 DOCTRINE HOMTOEOPATH!QUE. au. dessus de I'ombilic, quand on penche le corps en avant (au bout de trois henres). Elancernent dans Paine en se levant de sa chaise. 'Douleuir dans Paine droite, comm 'e si elle 6tait tu., rn~fiete, et, quand on y touche, comme si elle 6~tait malade. Douleurqui pousse au dehors, dans 1'endroi t d'une hernie (le second jour). 2x95. De~chirement dans le mont de VWnus, 6tant assis. Fre'quentes e'preintes, sans re'sultat. Toujours envies d'aller a Ia selle; mais on n'y va un peu quo deux foist p-ar jour, et los matie'res sont liquides.I Fre'quentes envies d'aller "a, Ia selle dans la journe'e; chaque fois ii no sort que tre's-peu de niatie'res. Envies fr~eque'ntes d'aller a% la selle, nais it sort peu d'excre'mens mous, et le vontre est plus gonfle' ensuite.I 3oo. Fre'quentes s~e1Ies diarrhe'iques, commo de J'eau, avoc emission copiouse d'urine ot grand nombre de rapports a% vide (an bout do vingt-quatre heures). Avec coliques, sello liquide, meMlee de parties du-. res, qni sort avec des vents bruyans (le septie'me jour). Solle avec mucus tre~s-f6tide. Tre's-fre'quentos sellos diairrhe'iqties, coin me de l'eau, avec: beaucoup de rnatie~res non digoreres; en mmern temps, pinicem-aeit, dans l'estomac, qui se repand at travers leventro (le qiiatrie'me jour). Q uatro selles liquides, avec des morceaux durs (le sixi~rno jour). CIGUE. 465 3o5.Les rnatires fcales sorten t t linsu dausuijet,l pendant qti'il dort (]a deuxie'me nuit). Selle de matie~res non digerees (le neuvie'me jour). 11'sort des matie'res non digore~ees avec les selles. Du sang sort avec ]a selle dti matin. Avant chaque selle, de'chireinent de -courte dur'e dans le ventre. 3 1o. Frissonnement chaque fois qu'on va "a ]aa selle. Diarrhee.. Diarrhe'e affaiblissante. Le suijet rend des vents froids. Constipation. 3 15. Gonflement dui bas-ve ntre. 'Gonflement des glandes du mesente~re. Re'tre'cissement considerable dans un 'Point dui colon (T). Ardeni' daps le rectumi, en allant "aIa selle. Plusieurs ilancemen.s dans J'aiius, hors des.moinens oi iPon va 'a ]a selle (le cinqtiiemre jour). 320o. Pression, 6preintes et de'cbirenaent dans le rectum, pendant la sortie de vents avE* les selles., Pruri't 'aranus. Urine rouge. zlrdeur dans l'ur'e*tre, le matin, aussitdt aprd's avoir urine', pe~ndant une derni-heure. Ardeur dans 1'ure~tre, en urinantit(le on~zieme jour). 325. Ardeur'dans l'ure'tre. Violent e'lanceme~nt dans l'uretre,' qui s'e'te~nd jusqason orifice. Elan c'emeiis convulsifs dans 1'uretre, en a'rri~e.e (i) 'Ce symptorne et le precedent ont 6'te observe's apr~s, un court Usage de Ia Cigile A iute dlosse. II. 30 466 DCR& H01IE0PATHIQUEO Un'e vive: presion. sur la vess~ie. Pression en. manie're. de crampe ' 'ala region du col de la V~essýie, dedehors en dedans, avec de vifs e'lancei~nens, peu. de temnps apres avoir urine; cette sensation (Jure plusieurs heures; elle est plus forte en marchant q.u'en r estant assis (aui bout de quarante-huit heures).,33o. G randes douleurs dans L'uretre, pendant Fe'mission de 1'rin~e, qui entrain tuj ours, un mucus trouble et visquenx. Ecoulemnent de 1'urine accornpagne de grandes douleurs. De'hirem~ens pendant l'emission de 1'rine. Ischurie. Strangurie. 335. Diabe'tes. FY-6quentes kmissions d'urine la unit (anu bout de dix heures). Plu sieurs nu 1it.s de suite, le suajet est oblige de se relever "a deux heures du matin, pour uriner. La fnuit, ii urine dans son lit in-volontairement. Tre~s-fre'qiIns be-soins d'urin er, avec iin.co'ntinence d'urine (le troisieme jour). 340. Besoin frequent d'uriner, toutes les demi-heures. Apres avoir urine' envie cuisante d'uriner (au bout d'une deini-heure). Pisse m~e'n'tde'sangai Pissenient de sango frequent, avec asthrne. 1Ecoulernent de- mucus par 1'ure'tre, mie^me apr es avoir urin6 (les quatrieme, cinquieme et sixiemejo urs). 345-. En urifiant, pression sur la matrice et dechii-eme n t. D~iernnt a.'tra'vers la verge, sans uriner(~qa trie~me jour1). ICIGUE. 467 Prurit 'a la verge, au prepuce et au gland, contre lequiel le frotlement est impuissant. Douleur comme si on plongeait un couteau dans le milieu du scrotum, h travers le testicule, jusqu'au dessus de la racine de ]a verge, qui revient souvent, pendant un court espace de temps (au bout de ciniquante heures). Le soir, douleurs de pincement et de d6chirement dans les testicules (le onzieme jour). 35o. Appetit ven6rien insatiable. Trois nuits de suite, une pollution (ensuite reveil de l'app6tit venerien). Pollution (]a premiere nuit). Emission de semence, meme en badinant avec des femmes. La liqueur prostatique sort pendant les efforts pour aller ' la selle. 355. Grande eruption de boutons au mont de V"6 -nus, qui sont tres-douloureux au toucher (le troisieme jour). Violent prurit au pudendum, jour et nuit, et aussi dans le vagin, qui oblige a se frotter, et qui n'est jamais plus forte qu'imm diatement apres les regles; apres qu'on s'est frott6, douleur comme si la matrice 6tait refoul6e en bas. Dechirement entre les grandes kevres, en urinant. Les regles, qui ne font que de paraitre, s'arrAtent, d'oihi resulte, jour et nuit, une douleur tiraillante dans le dos, qui descend jusque dans le sacrum (le vingt-quatrieme jour). Suppression des regles. 2,6o. Les re'gles retardent de sept jours. iAant'apparition des regIes, toujours de la chaleur 56che par tout le corps, sans soif. 468 DOCTRINE IIOMOEOPATfl[QIF. Avant 1'apparition des re~gles, tin reve inqui~t anDt. Avant I'apparition (les regl es, douleuir dans tous les membres; grrande envie de pleuret' et agritation; ]a fenime s'inquiete et se tourmente pour des riens. Avant 1'apparition des 'rglres, e6lancemens sous la derni "re Cote droite, 'a ]a region du foie, surtout lIorsqu'on est couche', la nuit, et principalement en respirant (le vingt-troisieme jour). 365. Les re~gles paraissent le dix-septi~me jour. Apre's I'apparition des re~gles, constriction douloureuse dans le bas.-ventre, qui disparait en allant au~grand air. fýcoulement par le vagin (le second jour). Ikcoulernent par le vagin de mucus blanc et 'acre, qui cause de la cuisson (i). Pincement daiis le bas-ventre, avant lXecoulem-ent muqueux par le vagin. 370. Frequens eternuemens, sans coryza. (au. bout de cinquante-et-une heures). Ecoulene~nt abondant de MUCUS nasal, pendant.plusieurs jours, comme dans un coryz~a. 11 ne coule du nez que de I'eau. Coryza et toux, par laquelle se detaclze guelque chose qui 71W Sort pas, ifaiS qu'on r-ejette plus tard par une toux Mg??re. Violente fie'vre catarrhale', avec inflammation de la gorge et de'faut d'app6 Lit (au bout de peu, de jours ). 37 5.'T nrouemnent. Une petite tache se~che au larynx, qui cause uni (i) La cigrue doit agir curativeirnent d'unc manie're puissante clans. les cas de ce genre. CIGUE. /169 foiirrnmillernent et un chatoujillement ayant pour r&sultat ninetoux se'che presq~ue coiitinuelle. Prurit clans la gorge et env'ies de toasser- an pea. Gratternent et prurit dans ]a poitrine, qui excitent une toux seche, presque continuelle. La toux devient pe'niblle quand on est co'u che', et elle d"onne en comtnen~ant lbeaucoup de secousses comine pour vomnit. 3 8o. Toux qui fait, mal dans la te'te. En toussant, l'enfant se plaint de mal au ventre,, Elancemens dans ]a tate en toussant. Toux s~clie avec enrouemen t. La toux est moins se'che, mnaIs onq ne peut rien expectorer. 385. Petite toux seche. Toux la nuit. Toux violente. Coqueluche et asthme. Coqueluche la'DUnit. 390. Coqueluche avec crachats mucjueux teints de san~g (i). Toux des plus violentes, qui oblige h. garder le lit. Toux, comme provoque'e par' un chatoujilement derrie,'re le mnilieu dui sternum (au bout de vingt-. quatre heures). Forte toux, qui' semble provoq~uee par un chatonillement an milieu dui sternum, avec expectoration (au bout de Yin gt-quatre heures). Expectoration'de pus. 395. P~lenitude sur ]a poiti'ine; quand le sujet (i) Apre~s lusage contitimt( pcidaht plusieurs scminnies. 470 DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. tousse volontairement, ii ne se detache rien, et des e'ancemens se font sentir en haut dans le sternum. Respiration lente. Respiration difficile. Respiration courte dans le repos et le mouvemnient (au bout de sept jours). Respiration courte, sifflante. 400oo. Asthme. Asthme frequent. Un acces de suffocation, comme si le haut de la gorge se remplissait de mucus. Acces comme de suffocation,avec la meme sensation que si un corps etranger s'in troduisait dans le larynx. Respiration difficile et violentes douleurs de poitrine (apris trois 1 quatre semaines d'emploi). 405. La respiration (l'inspiration surtout) devient tres-difficile: il semble que ]a poitrine ne se dilate pas bien (au bout de quatre heures). Le soir, dans le lit, respiration extremement difficile; respiration lente et penible (au bout de dixsept heures). Le soir, quand on se couche sur le c6t, dans le lit, gene de ]a respiration, avec beaucoup de douleur dans la poitrine, tiraillement et dechirement dans toute son etendue, et forte pression sur le sternum, qui coupe la respiration (le troisieme jour). Tension sur ]a poitrine et pression dedans en inspirant. Toute ]a journee, douleur de poitrine, pression sur le sternum, et douleur tant6t dechirante, tant6t lancinante autour des mamelons et des seins, avec frequente oppression de poitrine et respiration courte (le quatrieme jour). CIGUE. -4v. 4 1 o. Quelqnefois, hi la region du coeur, pr-ession coinme si le coeur allait e~tre e~crase, avec oppression de respiration (l'e t~roisi~m'e jour). Pression de'chirante sur les deux c6te's de)Ia poitrine, qui augmente par 1'inspiration (au bout'de quatorze heures). Le mat~in, pression douloureuse sur le sternqm, avec difficult6 de r'espirer, quand on est d~eboult (je troisie'me jour).' Defchiereýn ent en mani~e.ede crampe d'Ans 1I~qC~t droit de la poitrine (au bout de trente-sept hetV~s) Ardeur A ]a r6gion du sternum. 415. 'Raideur dans' le sternum, en remuant l Corps. Douleur dans la poitrine, comme si elle e6tait en.foncee. Douleur contusive s ur la poitrine et daup le dos. En marchant au grand air, coups d'e'pingle au Cote dro it de Ia poitrine (au bout de douze heu res). Douleur pulsatiye, acnatau. haut du co dro'it de la poitrine,. en se rapprochant dui milieuq., 420. Pression faihlement lancinante aux dewc 't's de la' poitrine, qui se fait surtout sentir Jlorsýqq'pn s~e couche sur le ventre (au bout de neuf hep es4, Point de cote. Forts 6lancemens dans le' cohtsemblabl4 die coups de coiuteau, qui ex*citent des plaintes a44ute voixe Yiolen tes douleurs de poitrine. Yiolente d 9uieur de poitrine, avec forte toulx (1). ()Sympt~me contre lequel 1'opiurn fut utile. 472T DOCTRINE HIOMOEOPATHIQUE. 425. Se'cheresse de la poitrine. Inflammation d'un squirrhe du sein. Petits e1ancemens dans ]a poitrine, soUs l'aisselle gauche (au bout d'un quart d'heure). Le sein droit devient dur; it est douloureux au toucher, et des e1ancemens s'y font sentir ]a nuit. Prurit aux deux seins; le frottenment rend la peau rouge, 6cailleuse, avec sensation d'ardeur. 113o. Prurit agr'able, mais violent, aux deux mamelons (au bout de quatre heures). Prurit lancinant sur toute la poitrine, pie l'action de se gTatter dissipe seulement pour un court espace de temps (au bout d'une heure). Eruption sur la poitrine de boutons qui soxit douloureux au toucher. Carie au sternum. A'pres avoir buforts batteinens de cceur. '435. Battemens de coeur frequens et visibles. Elancemens dans le sacrum et tiraillement a% travers les verte~bres lombaires, 6tant assis( au bout de tr-ois heures et deinje). Tiraillecmenta travers les vert~bres lorubaires, pen'dant la station (au bout d'une demi-heure). Doulcur dans le sacrum, en se renversant en arriere. Douleurs dans le sacrum. 440. Le matin, en s' veillant, sensation de chaleur dabs le dos, en descendant. Tension douloureeuse dans le ddos. Au dessous des deux omoplates, tension doulou-.repse dans les muscles, pendant le repos, qui augmente beaucoup cuand on 16ve les bras( au bout de vingt-quatre heures). CIGUE. 473 Elancernens sourds entre les oroplates. Douleur tiraillante dans 'ornoplate droite. 445. Tension douloureuse dans ]a nuque, pendant le repos, avec sensation de secheresse dans le pharynx. Tiraillement pulsatif dans la nuque,"a I'endroit o& elle se continue avec l' paule droite(au bout de huit heures)..Douleur tiraillante dans le bras, qui s'e~tend vers le haut et vers le has, et se fait sentir surtout en remuant le bras. IDouleur tiraillante paralytique dans le bras, pendant le repos (au bout d'une heure et demie). Dechiremens "a travers- Jes bras, le soir, dans le lit (le premier soir). 45o. De'chirement et M'ancement alternatifs dans le bras,,pendant le repos, qui se dissipent bien par le mouverent, nais reviennent ensuite (au bout de trois jours). Douleur dechirante dans le coude ( n allant au grand air). Pesanteur dans les articulations des avant-bras, avec de petits dlancemens. Douleur dechirante au pli du bras gauche, de dedans en dehors, pendant le repos (au bout de cinquante heures). Tiraillement sourd dans les avant-bras, plus fort pendant he repos que pendant he mouvement(au bout de soixante-douze heures). 455.. Douheur contusive au cot6 extern-e de I'avantbras gah'che, sensible surtout quand on y touche (au bout de soixante-deux heures). Douleur de cranipe (ans les muscles..,des avant 474 DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. bras, surtout quand on s'appuie sur les bras (au bout d'une demi-heure). Fourmillement pruriteux dans 1'avant-bras, ue le frottement dissipe pour quelques instans sedlement (au bout d'une'heure). Engourdissement de la main gauche, surtout dans la paume. Douleur tiraillante paralytique dans 1'articulation du poignet, pendant le repos ( au bout d'une heure et deemie). 46o. Petits eIancemens dans les articulations des poignets au bout de dix minutes). Douleur lancinante de luxationi dans I'articulation de l'os metacarpien du pouce gauche avec le poignet, principalement quand on ferine ce doigt. Craquement dans rarticulation du couce et de la main, surtout le soir. yifs e1ancemens dans les articulations mecqianes des doigts, pendant le repos (au bout de huit henres). Coups dý6pingle sous les ongles des doigts (le septieme jour). 465. Secousses dechirantes dans 1'articulation posterieure du pouce(an bout de quarante-huit heures). Violent dechirement ' 1'un ou n alautre doigt. Raideur spasmodique des doigts, en coupant avec des ciseaux. Prurit sur le dos des doigts. Taches jaunes aux doigts (an bout de cinq jours). 470. Teinte jaune des ongles des doigts (au bout de. six jours). Mal d'aventure, avec inflammation, douleur cuisante et pulsative (le huitieme jour). CIGUE. Le soir, en. marchiant, ]a haniche droite est comnme lux'6e. Prurit e'norme entre les cuiss~es. Do uleur dans' lesý ischions, en se levant de dessus sa chaise, et non en s'asseyant. 475. Elancement profond, soutenu pendant longtemps, a 1'insertion du muscle grand fessier droit (au -bout de trois heures et dem~e). En s'asseyant, quelques, elancemens sounds, "a1'extre'mit6 superieure du f~mur gauche', pres dal trochanter, qui n'empechent pas de marcher (au. bout d'un'qu'ari d'heu're). Sorte de bourdonnement et de bruissemnent dans l es' jamrbes..Enflure des cuisses. En s'asseyant, Olancemens semblables "a des coups d'epingle dans les muscles de la. cuisse gauche( au. bout de vingt-six heur'es). 48o. Petits 6lancemrens pruriteux au. cotefpost&.? rieur de la cuisse, qui sont surtouttres-vifs quand on est assis ( au bout de limit heures). Tiraillement sourd dans la c~uisse droite, pendant le' repos, que le mi-ouvement soulage (au bout d'une heure et tin quart). En marchant' au grand air, douleur de crampe dans le Is muscles'ante'rieurs de la. cuisse droite (au bout d 'e treize heures~s Petit 6gratignem'ent au Cote poste~rieur de Id cuipse (au bout de douze heures). DWchireme'nt sourd 'a la partie ant6rieure des deux cuisses, en marchant.' 485. Doulleur dechi'rantea~utour de I'articulation du genou'. 4-76 476]DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. Douleur de paralysie dans le jarret, comme dans I'hydropisie dui genou. Douleur arthritique dans le genou, toute la journee (le quinzierne jour). iDouleur sourde dans le genou grauche, en marchant. Autour du genou, vive douleur de lassitude, pend~ant Jine derni-heure. 490. Douleur sourde dans le genoa gauiche, en rnarchant (le deuxie~me jour1). De'chirement autour de la rotule, O'tant assis ( au ibout de deux heures et in quart). En marchant et uie~me en restant debout, auIL grand air, douleur enorme, qui fait jeter les, hauts cris, autour dui genoa. gauche, cornime si la rottule e'tait. contuse ou brise'e; puis, en faisant effort pour marcher, chaleur par tout le corps ( au 1)0ut de dix heures ) En marchant au grand air, d'ancemens sur le tendon exte'rieur, dans le jarret droit ( au. bout d'une heure). De'chirernent sir'Ia jambe, le soir, dans le lit (le premnie'r soir). 495. Douleur de crampe, tant Ot dans la jamibe droite, tanto't dans ]a gauche, en macchant au grand air ( au. bout de trente-sept heures). 'La jrnibe faiit m~al, cornme si elle e'tait contuse (le quatrieme jour). En 'tendant ]a jambe, 'tant assis, pression Sur le perone (au. bout die trois heures et derniie) LUne place con tuse (depuis dIouze jours), et jusqu'alors non (louloureuse, "t aljamb~e, devient bleue'etc'auie (cl ]a douleur au inoinIih' mouvernent on y ressent CIGIJE. 477 comme dos, coups de couteau; mais, en marchant et en y touchant-, ]a douleur est contusive. La nuit, convulsion et agitation dans les pieds, et apres chaque secousse, frisson. 5oo. Raideur tir'aillante et douloureuse danis les moliets. Tiraillement au coke' intemne (Iui nollet gauche et sur le couide-pied droit (au boLIt de huit heures). D~chirernent dans l'articulation des pieds, depuis mnidi j~usqti'au soir, plus vif quand on s'asseoit qu'Ien marchant. De'hirernent au co'L6 interne du lpied, qui rernonte dans ]a jamnbe, au grand air. Douleur sourde dans 1'articulation du pied. 5o5. Dechirement sur le coude-pied, le soir, dans le lit ( le premier soit'). De~hireme nt sourd qui remonte de Ia ebeville ex-.terne dans la jambe, au grand air. Elancement, d'abord leager, puis vif, aux deux chevilles diu pied droit, qui dure deux.jotirs, reveille la inuit, et finit par s'6tendre j usque dans le m-ollet4 plu's lent iorsqu' 7on est assis, ii devient pius frequent et plus fort en marchant. Fourmillement (douloureux danis la plante du pied, en s'Iappuyant dessus; 1'e'lancement devient Plus vif en marchant. IDe'hirernent dant les plante~s des pieds, en mir~chant. 51o. Grand prurit et eruption de bontoiis pruri.. teux aux plantes (les pieds. Le matin, dechirement dans le gras dai gros orteil, quand on est, debont et assis ( le troisie'mee jour ) 478 DOCTRINE FOMOEOPATHIQUE. Etant assis, en s'6veillant, douleur dkchirante et bri'lante 'a l'articulation posterieure dui gros orteil. Douleur bru'lante sous les orteils, quand on est assis. Engourdissement et insensibilit6 des pieds. 5 15. Engourdissement des jambes, quand on est assis. Quand on se keve, le matin, les pieds tremblent. Eruption de boutons suppurans aux jambes. La podagre se manifestq. L'enflure des pieds est douloureuse, et ne se dis. sipe pas pendant le sonmeil. 520. Sensation comme de contusion dans toutes les articulations, pendant le repos, peu prononce' ou nulle quand'on se rernue. Ca' et la dans le corps, elancemiens lents, pruriteux, cuisans. Elancemens semblables ' des piqlures de puce, qui se succe'dent rapidement par tout le corps, ca et 1h, nais sont toujours iso1es, et ne paraissent janlais deux h la fois. Le soir, dans le lit, prurit rongeant, qui debute chaque soir par un elancement, et ne se fait sentir que dans ]a moitie droite du corps, principalement quand on se couche dessus; ii produit de I'agitation dans tous les membres; quand on se gratte, ii diminue promptement, mais ne tarde pas "a reparaitre sur un autre point. Prurit aux membres. 525. Sensation Jancinante par tout le corps. Prurit aux cuisses et aux bras. Eruption fine, t peine visible, a la face, sur le dos et LJ le reste du corps, qui cause de la deman cIGuE. 47 9 geaison, comme Si 'quelue chose courait osI peau. Fourrnillement et prurit de~sagre'able dans, les glandes, Fourmillement dans fa partie malade. 53o. Elancement dans le gonflement glandulaire'. Douleur lancinante et cuisan'te autour du gonflement glandulaire. Le soir, res, glan'des'devien'nent d'ouloure'uses. Augmentation des douleurs, q'ui deviennent insupportables, dans la. partie souffrante. Ichor''f6tide qui s'exhale de Nle'ur~e. 535. Les bords, de l'ulce're deviennent'noirtres, et ournisn un ichor f6tide. Saignement de 1'ulcere. Atfgtnentation dela d'ouleur dans,1'ulc* re. Tension douloureuse dans 1'uce~re. La toux ca'use ce la douleur dan's 1'ucere'. 54o. Gangre'ne froide d'une partie de l'ulc ere. Canie ca~ch~e~ da'ns, les os, surtout au milieu des' os longs, avec' douleur b'rulante, ronge ante. Inflammation de 1a peau du cor~ps, entier, qui cause une ard'eur brilante. De~chirement dans, div-erses parties, du corps (Ic quatrie'me jour). De'chirement dans tous les, me'mbres, ressemnbl~ant presque ' a une douleu'r de 1uX'6iiionD 545. Coul'eur bleu` du. corpsý en tier. Hydropisie'. Dissoluti"o n putride des hunieurs. Phthisie pulmonaire. 55o. Faiblesse nevveu6se, CIGUE. 481 Acce'S; 6tant seul 'a la maison, en vie de pleurer, qui de'ge'n eire en sangOlo Is Iruyans; puis incur pas. sag~re devant les yeux et vue, toute trouble; On est oblige' de s'arre'ter en marchant; usd'tente generale dans les membres et mal de te'te sourd. Acc's, ordinairement apres avoir mange.; ii commence par des ba'i11eniens; e'ancernens dans le sternurn, et en nMeme temps pression 'a ]a region pre'cordiale, M me quand on y touche, qui passe de IA dans, Ie dos, avec M'ancemens dans la region. renale. Convulsion semblable h une pulsation dans le basv-entre et dans le sacrum. 57o. Une soi'te de raideur dii corps; le-miouvement des membres, de Ia nuque, etc., produit une sensation de'sagreable. Grande lassitude. Le soir et le maIm, lassitude extremne par tout le corps. Le matin, en s'eveiIlant, lassitude, qui se dissipe quand on s' 'est lev6. De~tente g'n'rale de l'esprit et dui corps (le quatrie'me jou'r). 5.75. Brisure, ge'nerale (au bout de seize heures). La station est tre's-pe'nible. Lassitude tefle, qu'on est oblig6 -de se coucher. 'Douleur de lassitude dans les articulations. sensation de resserrement dans les os des jambes et des bras, qui rend las., 58o. Lassitude et pesanteur dans les jambes-, surtout dans les genoux, comme s'iLs allaient s'affaisser, avec tremblemeut. En s'eveillant apres avoir dormi 'a midi., puise 482 DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. ment des forces; les bras et les jambes sont comme morts. Le sujet est tre's-sujet d se donner des touws de reins. Faiblesse de tout le corps. Chute des forces. 585. Paralysie. Apres une petite promenade, on se sent 6puis6, las et comrme paralyse; tat dans lequel revient la disposition a l'hypochondrie, a la melancolie (au bout de dix heures). Syncopes. Les personnes les plus robustes et les plus actives perdent toutes leur forces par l'usage prolonge de la cigu, et sont obligees de garder le lit. Perte de toutes les forces (jusqu'h la mort). 590. Paresse et insensibilit6 (torpeur). Emnoussement de tous les sens. Absence du pouls. Le pouls se fait sentir au sujet dans tout le corps. Fr&quens bkillemens, comme si I'on n'avait pas assez dormi (au bout de soixante-douze heures). 595. Le matin, en se levant, on est tout endorini. On ne peut pas se reveiller a l'6poque oii l'on se Ieve ordinairement. Le matin, en s' veillant, lassitude et somnolence, pendant deux heures. Le matin, pression douloureuse dans les os du bras et de la cuisse, qui force a s'endormir. Somnolence dans Ia journe, et cependant on ne peut pas dormir. 600oo. Somnolence pendant la journee, dont on ne 4.84 DOCTRINE FLOMVOEOPATHIQUE. 615.'Re've dans lequel on eprouive beaucoup de confusion. Images vives et voluptuenses penDdant le sommieil. (1a, prernii "re nmt). 'Raeves vifs et pleins, d'anxie'Le'(1a dcuxie~me nuit). BReyes effrayans la. nuit (la troisie~ine nuiQ). Bteves effrayans pendant le sommxeil dui matin,(Ila premie're nail). 620. Apre~s minuit, dans tine sorte de demi-sommeil, Pense'es tre~s-attristaD tesI, pA causent presque une an goisse momizelle. Re~yes de disputes et de voics de fait. Re'ves, desagre'ables et in quie'tans. La nuit, cauchemar. Le suj*et pletire beaucoup en dormant. 625. La nuit, violent p~rUrit "a 1'anus, aux fesses, au P erinDee et le long dui scrotum, qui oblige 'a se relever souven t. On a trop chiaud ]a nuit, et on est oblig6. de se relever. Sommreil jute rrom pa. On s'e'veille de trop bonne heure. Tremblemen t. 63,o. Tremblement dans tous les membres. Trem~blernent continuel. Soubresauts des tendons. Convulsions. Convulsions dans ]a partie souffrante et dans tout le corps, avec dlanger de suffoquer. 6 35. Frisson (s-ur-le-champ). Frisson. F roid et fri-ssonpar tout le corps, sans chaleur ni pendant ni apres (aui bout cle cuinze, hen res). CIGUES,4,$5 Froidt et frisson par tout le corps, sans chaleur ni soif'(an bout de cinqtianyte heures). De temps en temps, frisson par tout le corps, puis acceleration du pouls, avec chaleur et soif. 64o. Le matiri, froid et frissonnement du corps, avec; serrement dans le cervean, vertige, indiff& rence et abattem'ent (an bout de deux2, tro is heures). Le m'atin, froid pendant deux heures, avec: mal de te'te et nause~es (le troisieme jour). Piusieurs jours de suite, le matin (vers huit heu. res), frisson qu~i dui'e une heure et deinie, Sensation de froid,un treimblement dans to~us les mernbres, qui oblige 'a rester continuellement au soleid. Avec nause'es, froid au corps, mains froides et'. chaleur au visage./ 6 145. Frissons depuis trois lieures de I'apres-rnidi jusqti'hlcinq. Fievre. Fie'vre qtiotidienne. Pouls grand et lent, entreme'lef de pulsations'petites et rapidles, sans re'guharite. Pouls lent et faible. 65o. Pouls in6gal, sous le rapport de la force et de' la vitosse. Vitesse du pouls. Diffirens acc's (de fievre. Fie'vre lente, avec perte totale de I'appftit. Fi~vre aigue" (mortelle). 655. Fie~vre; forte chaleui', avec sneur abondante, soif, de'faut d'appe'tit, diarrh6e et vonfissement. L'apre's-iuidi, sensation de chaleu~r qui parcou I"t tout. le: corps.,,sas1)i 486 DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. Chaleur. Chaleur interne, surtout "a ]a face, qui est rouge, sans soif. Sensation de chaleur interne et externe(apr~s le sommeil). 66o. Chaleur continuelle. Chaleur normne. L'apres-midi (cinq " six beures apres le frisson et le froid), une sensation de chaleur bri'lante parcourt tous les membres, ce qui fait disparaitre le mal de tate, et la disposition a I'indiff6rence et i la tristesse; le sujet s'interesse vivement alors ' tout ce qui 1'entoure (au bout de sept, huit heures). Transpiration. Rougeur au visage et par tout le corps, sans chaleur notable; mais sueur generale, surtout au front. 665. Le soir, forte sueur etant assis, sans cause, avec chaleur au visage. En commencant a* dormir, des qn'on ferme les yeux, on eprouve de suite un peu de sueur, menie pendant le jour, lorsqu'on s'endort sur tine chaise. L'enfant demande de bonne heure, le soir, " se coucher; ii a ensuite tre~s-chaud, et sue beaucoup, au milieu d'un sommeil agite, avec trembleinent violent, et respiration courte, stertoreuse, gemissante. Sueur nocturne. Sneur copieuse apres minuit. 670. En s' veillant, on se sent couvert d'une sueur legere par tout le corps (la troisieme nuit). Sneur locale, f6tide, cuisante, avec eruption de petits bou tons blancs, transparens, qui, remplig -487 CIGUT. 4A d'un liquide 'acre, se couvrent d'une crou~te, et ressemblent aila gale. Anxi'te". Anxi~te' hyste'rique.4 Acce's d'hyste~rie,,avec, froid et une sorte dw'z1nouvernens spasmodiques. 675. Anxiett i la r6gion pre'cordiale. La moindre cause suffit pour 6'mouvoir et faire plaisir. L'esprit est dispose' 'a ]a tristesse et hors de son assiette ordinaire (le premier jour). Mauvaise humeur; disposition a se facher pour des riens. Mauvaise humeur continuelle et chagrrin. 68o. Pense~es extremement attrista~ntes et. de's a~grables apr~s avoir mange", le matin; la tete est entreprise au. front (au bout de vin gt-neif heures)., Tous les apre~s-midi, de trois "a six beures, grande mauvaise humeur; en me'me temps, sorte de paralysie dans tons les membres,2 indiffi~rence; le sujet ne prend part "a rien. Grande disposition h se fAcher, ht se m'ettre en cohere. Des Wdes afttigeantes, se presentent 'a l'esprit. De la tristesse, putt que de la gatt6". 685. Inaptitude anu travail. Indiffirence, Absence de toute sensation agr6able, Iitidi~ff6re~ice hypocondr~iaq~ue et abattemnext, en al]ant au grandair (aubout d'.une heutre). Craintif, larmoyant', de'sesper6 (le quatrie'rne jour). 488 DOCTRINE HOMOEOPATHTQUE. 690. Misantropie a l'approche des hommes,, et ce-0 pendant repugnance At rester seul." Plong6' dans ses re'flexions, le. sujet tremble pour le Pre'sent et l'avenir, et cherche la solitude. Hulieur chagrine: tout ce qui entoure le sujet fait une impression de'sagre'able sur lui. Disposition "a Ia mauvaise humneur; on ne sait que faire, et on trouve le temps longr (au bout de huit heures). Re'vasseries le mnatin (au bout de vingt-quatre beures).I 695. L'esprit est plus gai: disposition h causer (i). Le matin, sentimnet de bien-e'tre et de force (2) (au bou t de vingt.-quatre heures). L'esprit est libre et dispos (3). Confusion des ide'es. iDelire.. 7oo. Dc'mence, de~1ire. XX. Potasse (Kali carbonicuin). On humecte une- demi-once de cre'me de tartz'e purifie'e avec: quciqUes gouttes d'eau, de mnaniiire At pouvoir en former une petite boule, qu'on enveloppe dans tin morce au de papier et qu'on laisse ainsi Se' cher; apres quoi on chauffe peu a peu. cette boule jtisqu.au, rouge, entre des charbons ardens, puis on ]a retire du feul, on ]a met daus une soucoupe de (i) La disposition contraire, qui avait lieu auparavaurit, dispa-. rut par ]a re'actior curative de 1'organisme. (2z) Reaction curative de l'org-auiSmfe. (3) Re'actioii cur~ative de l'organisme. POTASSE. 489 porcelaine, et, apre's lavoir con verte d'une toile, on la -Porte "a la cave, pour qu'eIle y attire l'umidit6' de 1'eau. On ]a laisse ainsi une quinzaine de jours, pendant lesquels, tout ce qu'eIle contient de chaux se de,_ pose. Une goutte de cette liqueur claire (r) est ensuite traite'e comrne je l'ai dit da~ns le chapitre consacr6 a ]a preparation -des reme'des, antipsoriques, c est 'a-dire qu'apres I'avoir brove'e avec trois fois cent grains do sucre de lait, on ]a dissout et on Porte suiccessivement la dissolution j usqu'au de~cillionnie'me degre de dilution (X). Ce n-i'dicament est un antipsorique tre~s-puissant, que nul autre ne saurait reniplacer, comme on en Jugera d'apr~s, le tableau de ses symptomes. 11 s'est principalemenit rontref efficace dans les, cas o1'drominai~ent les 'tats morbides suivans; vertigre, qui sem'ble provenir de 1'estoinac; e'tourclissement; te'te e'tonne'e; d~f-aut de ineruoire;afflux du sang vers la te'te;'bruissernent dans la teate; mal de te'te quand on va en voiture; pression douloureuse 'a I'occiput; aridite'(de la chevelure; chute des cheveux;grande disposition ai se refroidir l'exterieur de la te'te; cha.. ~eur fugritive 'a1a face; teint jaune; bouffissure dui vile (i) Cetite lessive dc potasse suffit pour notre objet. Je dirai ici, u~ne Lois pour toutes, qyie je me suis appliqu61 'a simplifier au. tant que possible la manie~re d'obteniii' les substances destiniees aux usages de l'honiceopathie, et j'ai d~crit le proce'de qu'on doit suivre pour cela, aFin quo chiacun puft partout se procurer des substances semblables "a celles qu'emploient ses, contfreres. J'ai laiss6 de 0~t des proce'des pe~nibles et dispcndieux, qui ont pour but de purifier d'unc manie~re absolue' les substances, non pas par affectation, nmais uniquenient pour arriver at cc but, qui Fctait tout pour moi, 490 DOCTRINE fOMOEOPATHIQUE. sage; cweuglement " la 1umiere; taches qui voltigent devant les yeux; larmoyerent; occlusion des panpie'res, le matin, par de la suppuration; faiblesse de 1'ouie; durete' de l'ouie; elancement dans 1'oreille, elanceniens du dedans au dehors dans les oreilles; emoussement de I'odorat; mal de dents seulement en mangeant; mal de dents lancinant; accumulation de mucosites dans la gorge; goiit acide dans la bouche; perversion dI gouit; go-it amer dans la bouche; rapports fre'quens; rapports aigres; nausees; envies de vomir, avec anxie'te; bonlimie; goi't tres-prononce pour le sucre; nausees apres avoir mange; phenitude de 1'estomac apres avoir rnannge; tension audessus de 1estomac; pression dansle foie; douleur en se penchant, corme si le foie se derangeait; inertie et froid dans le bas-ventre; coliques semblables aux douleurs de 1'accouchemcnt; production de vents abondans; de'placemens de vents#; pas d'e'nission de vents; emission continuelle de vents; prurit 'a I'anua; hemorrholdes 'I l'anus; inertie durectum;-sortie difficile des selles, qui sont mouhees et trop volumineuses; pression donloureuse dans le rectum, avant ]a sortie d'un vent; constipation, et sortie difficill des excremens; constipation; constipation tousles' deux jours; mucus qui accompagne les d6jections alvines; auxiete avant d'aller -A Ia selle; fr6quentes envies d'uriner le jour ct Ia nuit; engourdissement de 1'appetit venDrien; defant d'appetit venerien; defaut d'erections; absence des pollutions; reygles qui paraissent trop t6t; 6ruption pruriteuse et excoriation entre les cuisses pendant les rstgles; &couletnent par le vagin; obstruction des narines; coryza sec; toux; toux la nivit; crachement de pus; crachement r POTASSE. 491 de -pus par la toux; spasme de poitrine en toussant; difficult6 de respirer;, sifflement dans la poitrife; asibme le matin; astlime spasmodique; batte-. mens de coeur; douleur au sacrum; douleurs au sacrum h la suite d'une chute; tiraillerent douloureux depuis le sacrumjusque dans le milieu du dos; douleur tiraillante dans le dos; raideur entre les omoplates; raideurdans la nuque; faiblesse des muscles de ]a nuque; pression sur les e'paules; engourdissement des bras; d'faut de force dans les bras; lassitude dans le bras, le matin, dans le lit; raideur de l'arti-. culation du coude; tremblement des mains en 6crivant; ilouleur paralytique dans I'articuiation de la main; de-c/2iremnent nZocturne dans iesjarbes; frisson fourmillant dans les jambes; froid aux pieds; sueur fitide des pieds; engourdissement des membres; disposition au frisson pendant la journee; disposition 'a se donner des tours de reins; defaut de transpiration et impossibilite de suer; dartres;grande disposition a sueur en marchant; envies de dorminr de bonne lzeure le soir; raves; revasseries en dormant; reves inquietans; convulsions en dormant; chaleur le matin, dans le lit; sueur nocturne; mauvaise humeur; disposition " s'effrayer. On verra rarement un malade atteint de plthisie pulmonaire ulcereuse guerir sans cet antipsorique. Souvent, apres ]a potasse, l'acide nitrique est indiqu6 homoeopathiquement. La dose est d'un 'a deux globules de sucre, imbibes de la dilution au d~cillionnieme. Mais lorsqu'elle prod nit trop d'excitation, chez des sujets fort sensibles, 'on se trouve bien de faire flairer l'esprit de nitre dulcifi6, ou la teinture de caf6 cru, qui test plus 492 DOCTRINE HOMIE0PATI{IQUE. puissante encore. 11 n'est pas rare qu'au lieu de cette dose, on ait rec'ourS. avec le merne succes, chez les ýsujets sensibles, "a l'inspiration d'un globule de sucre imnbibe' de ]a dilution au de'cillionnierne. JVe /t ig e clans la tite, surtout imatin et le soir' (les sept ieme et neuvie'me jours). Vertige, surtout apre's a-\'oir mange. Grand vertige, merue etant assis ( au bout de trente heures). Je7erige etant assis; le sujet chancelle 'a droite et "a gauche (avant de manger). 5. Vertige en se retournant. JVerlige en toarnant sitbitement le corp.s el la tdte. Perte de connaissance telle, pendant deux minutes, deant assis, que le suj~et serait tomh6, s'il ne s'e'tait retenui (au bout de dix-huit jours). Etat comme d'ivresse (au bout de quatre jours). La t~te est entreprise, souven t. io. La tate est entreprise, comme apres 1'ivresse, et- comme si les oreilles e'taient bouchiees; avec nan.sees qui von t presqu~e jusqu.'anu vomnissement (an bout de trois jozr~s). Le soir, ]a teate est comme pl~ine et h'b~Le e( au bout de quatre jours). II est (lifficile de fixer son attention sur un objet de~te~rmine. Souvent on ne trouve pas 1'expression propre, et P'on se trompe en parlant. De'Mire jour et nuit. 1 5. Le sang monte ' a la. te, ce qui plonge comine dans l'ivresse. En parlant beaiicoup, sensation penible dans 1'occiput, qui cesse eon appuyant sin' les yeux. POTASSE. 493. Faible.%se d anis [a tte. Acce's de mal de tate, d'un' seuil.co e, 'a droite et 'a gauiche, avec lassitude et detente, allant presque jusqu' ala naus~e,* le soir ( le cinqui~me jour). Mal de tote, comme si. quelque chose, remuait dans la ta'te; it auigmente quand on iremue la te^te. ý:20. Bourdonniement ou e'branlemnent dans la tempe d ioite. 'Douleur qui serpeflie dans le fr ont. Tiraillernent clans le -front, le matin. et ad-m inuit (les, deuxi~rne, trentie' -e jours). Serretnent d~ouloureux et d&hirem 7ent, par inter-. valles,' dans la tempe gauche (les treizie'nie et vingtcinquie'me jours). Sen s'Mion de ress'err-enent dans tout le haut de ]a teate, surtout "a gauche ( le vingt-et-unie'me jour)..go. Pression sur le sommet de la tate, le s'oir.' Pression dans le co'Ld droit dii front et la'teinpe (les onzie'me, dix-neuvi~rne et vingtieme jpurs). Le soir, en allant se coucher, pression dans. le front, avec nause~es', comme st ilOnS'6tait su~rcharge" 1'estoinac; l-e repos la dirninue et le ruouvement I'exaspere. SPression douloureuse aufront, en se proinenant, lapre~s-midi, avec mauvaise huinew' (ies treizieme, dix-neuvierne et vingrti~me. jours). Pression doulour~euse dans la tempe droite., depuis, le mnatin jusqti'ht mid'i (au bout de~onze jours). 30. Pression' doialour'ieuse dans la tem~pe gauche (Ie sixie'rne jour). Tirdiillemzent d~chi rant et pression dans le dev'ant' de la Utelejusq~it dans lesiyeux et la racine da ne P 494 DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE.0 (les quatorzie~me, dix -septieme, dix -huitie~me et vingt-et-unie'me jours).j Pression violente et tiraillement dans le front, le soir. Tiraillernent dclhirant dansla moitie gauche -de la teeau dessus de la tempe, au dev'ant et dedans (les douzie'me, dix-neuvie'me et vingt-cinquieine jours). De'chiremnenttiraillant sur le sommet cle la dte (IL's trente-troisic~me et trente-qua tri'm e jours). 35. Le soir, de'hirement depuis la tempe gauche jusque dans 1'articuilation de la maichoire ( le quator'zie~me jour). De'hirement dans la bosse fr-ontale grauche (le, Vingt-cinquie~me jour). Pression douloureuse "a1'occiput, qui s'6'tend vers Ia nuque, et se dissipe au grand air. Pression au dessus des yeux. Douleur pulsative "a1'occiput. Ito. Dechirement pulsatif, 'a droite, 'a rocciput, tout pr~s de la nuque ( le seizie~me jour). Mal de te'te convulsif, toute ]a jouirne'e ( les premiers jours). Elancemrens de'chirans, isoh~s, depuis la tempe gauche jusque dans F'os jugal (le vingt-denxieme jour). Elancemnent danaý la partie ante'rieure de la te'te. Elancernent da.s les teinpes. 45. EIlan cem'ens -isole's dans le front, le matin. Elancemens au. haut dui front et au dessus' des tempes, en, remnant la machoire inf6rie~ure. Elancemens qui remontent de la nuique dans l'oc-t ciput. En rnarchant et se baissant, e'Iancemens dan's POTASSEO 9 1'occiput, qui ont l'air d'e'tre la surface du cerveau-. Doulcur lancinante "a 1'exterieur de la te'te et 'a la nuque, avec gonflement lancinant de la joue -et 6lancemens dais. les dents. 5o. Mal de te'te: chaleur bri'lante dans la e te.. Mal de teate cruel a travers les yeux. Mat de te'te, qui diminue quand on s'asseoit et augmente lorsqu'7on se couchý, Le matin, e-n s'I6fveillant, mal de te'te, pendant un quart d'heure; plusieurs matine'es de suite. Convulsion musculaire, sans, douleur, dnsla tempe droite. 5-5. Froid " a tate. Au coke' droit de ]a tete, tumeur douloureuse, cornme s'il allait y survenir un furoncle (au bout de six j ours).* Sur la bosse frontale gauche, gros bouton rouge, doulo-ureux au toucher, qui finit par suppurer (all bout de trente-deux jours). Eruption de boutons-sur le cuir chevelu. Prurit au cuir chevelu. 6o. De Imangeaisons au cuir chevelu, et cuisson quand on se gratte. S6cheresse des cheveux.. Chute des clzepeizx. La4e'te se Porte "a plusieurs reprises vers le c0t gauche', ei ensuite l-a nuque devient raide'. Sensation, d~ans Ile s-ourcil gauche, comme s'il allaity ySUr-en~ir un abce's., le soir, clans le lit (les hiuitie'me et treizie~me jours). 65.ý Eruption de boutons dans le sourcil gauche (aul bout de dix jours). 1196 96DOCTRINE FJOTOMOOPATHFJLIQ U.E. Pression d'chIrant el ~ion surcilii~r ot L vingt-sixierne jour) Tressaillement et convulsion danS le sour~cil droit., Tr1m~faction en tre les, sourcils (le Yin gt- et-unie~me jour). Tumeur semblable ai un petit sac, entre les 'sourcils et les paupi ere~s. 70o. Le matin, en s'e'veillant, on a de La peine 'a ouvrir les lPaupires Les paupie'res se ferment avec violence. Cercie bleu autouir des yeux. Pression sur los paupie'res. Forte enflu're de la paupie're superieure, du co.'t e du nez (le dix-septiemeo jour). 75.,Ardeur dans los paupieres. L'enfant se plaint de froid dans les paupi~res. tPrurit ~"al'oeil. droit, au ~bord do la paupie're. L'oeil droit est goi-fl e P7-essioiz da71S les yeuzx. 8o. Pression sur los youx et dans los orbit es, avec somnolence, "a midi ( le tre 'nte-sixie~me jour). Prossion dan's les yeux et p.us sec. da'ns les cils. Douleur, commo si los yeux e~taient refoule's eni dedans. En lisn~t, los yeux causent la mnine douleur quo s'iis e'taient refoule's en dedans. Cuisson dans les.paupie'res, en s'e'veillant, peu apr~ minit (10 vingt-cinqui~eme jour). 8 5. L'angle externo do 1',oeil'gauchie est souvent excorie. Douleur cuisanto dans Neoil (au bout, do quatre jours). POTASSE. 407 L'angle externe de 1'oeil cause une' douleur brui]ante, cuisante. Ardeur dans, les, yeux. Sensation de chaleur ardente dans, les yeux. 90. Douleurs lancinantes et cuisantes, passagekres, dans les yeux ( le tren te-sixie'me jour). Les yeux sont chauds au toucher..Le blanc des deux yeux est enflamm6", avec don-. leur b r'lante (an bout de cinq jours). Le blanc de l'ceil devient rouge etplein dle petits vaisseaux., Les yeux suppurent dans les coins. 95. Les yeux sont ferme's le matin. par de la suppuration (au bout de seize heures). Douleur te~rebrante dans les yeux. Pression de'chirante et douloureuse dans,1'int&rieur de 1'oeil droit ( les donzi~me et Vingt-siXie'me jours). Dechirement dans l'oeil gauiche, le soir, avant de se coucher. La nuit, viv-e douleur d~~hii'ante dans l'orbite et l'ceii droits (les trentie'me et trente-et-unieme j 0ours). 100o. Plusieurs 61ancemens dans le globe de 1'oeil..Elancemens dans le milieu de l'ceil. Sentiment de se"cheresse des yeux (au bout de deux jours). Larmoyement, surtout de 1'oeil droit, et cuisson dansI'agl interne (le vingt-septie~me jour). L'ceil pleure souvent. io5. Sensibilite" douloureuse de l'oeil 'a la 1umiei'e du jour. Etinceiles hun11i[ICLses (levant les yeux, H. 498 DOCTRINE HOMOEOPATHIQUTE. Deg 6tincelles semblent sortir des yeux, en toust sant (au bout de cinq jours). Des couleurs bigarrees passent devant les yeux. En lisant, des points et des anneaux noirs passent devant les yeux. i io. En regardant de la neige, il semble que des gouttes blanches tombent devant les yeux. Une petite boule noire voltige devant les yeux. Le matin, l'oeil droit n'y voit pas, pendant quelques minutes (au bout de huit jours). Froid aux oreillesl, dans une chambre chaude (au bout de deux jours). Chaleur aux lobules des oreilles. i 15. Prurit au lobule de l'oreille. Violedt prarit dans l'oreille ( au bout de quatre jours). Les oreilles extern'es sont rouges et chaudes; on y eprouve beaucoup de d6mangeaisons. L'oreille est gonflee en dedans et enflamm&e; des douleurs s'y font sentir tout autour ( au bout de trois jours). Dc1chirement dans l'oreille: il s'en &coule du c&rumen liquide et jaune ou du pus. 120. I se forme un ulc"re dans I'oreille (au bout de cinq jours> Excoriation et suppuration derriere les oreilles, pendant quatre semaines (au bout de vingt-et-an jours). Grand dechirement dans l'oreille et derriere. Dechirement passager dans l'oreille gauche et autour, qui a Fair d'etre dans los (le onzieme jour). Dekhirement tant t dans une oreille et tant6t dans l'autre. POTASS.E. 125. Sensation de resserre'ment dans,1'oreille externe gauche (le dix- neuvie'ale jour). Douleur clans l'oreille d~roite (le dixie~me jour). Douleur dans l'or-eille. Elancement et d ouleur dans l'oreille (le t~roisi~me jour). Sensation de fourmillement lanc-inant dan's 1n'it&` rieur de l'oreille droite, qui coincide avec une sensation pareille dans l'estomac et I' oesophage (le'trejnti~me T~.jour)., i3o. Douleur tir~aillante dans une oreille, pIS dans 1'autre (au bout de, quatre jours). iDchirernen-t dans,1'inte'rieur de lForeille drbite (le vingt-deuxieme jour)..Dechirement dans le pavilion de, 1'oreillie choite, (lo vingt-quatrirneme jour),. Craquemenitfrdquent clans.l'orei'lle. Bord'onnement d,'oreilles. 635. Fort bourdonnement dans les oreilles., Fo~rt tintement lanZs une oreille, et bou~rdonrnement dans 1'autre. L'oreille droite se bouche tout "a coup (le soir, ftn si) et la gauche commence "a tinte~r,)d-e're.niere; que la. tdee branle un peu. Une oreille se bouche subitement,ý pendant: Vun laps, de temips court (au bout de tr'oisjouRIs)t Sensatieon d'obturation des, oreilles. i 4o. L'ou'le est commnQ. emouss~ee le soir (au.bout 41e, cjuimIejours). Tressailleinent dans 1'oreille gauche (au bou-t.-de dix j~ours),. Tressaillernen~t dans la. peau du visage.9 sii prurit; le sujet est oblige' de se frotter, apu'~s quqioi la parti br'le comme du. feaft Sio fDOCTRINE JEIOMOVOPATHIQUE. Prurit brudant 'a la face. Joues rouges et bru lantes, le soir, pendant une heure et demie; ensuite grande patleur de ]a face.,45. Chaleur et rougeur "a la face, qui durent ion g-ternps, les pieds e'tant glace's. Pa'eur de la. face et lassitude. Grande pa'eur,, yeux creux, surtout 'a l'air libre, o1 'enfant paraiAt comme gel6'. Pression tiraillante dans les muscles des joues, pres de la. machoire inf-6rieure (le dix-huitie'me jour). Enflure des joues, avec douleur de~hirante et Iancinante. x 5o. Serrement de'chirant dans 1'os jugal droit, qui S'etend jusque dans le pal-ais (le dix-neuvi eme jour). De'chirement dans l'os jugal gauche, et plus tard 'dans l'inte'rieur de la joue gauche (le vingrt-quatri~me jour). Au has de la. joue droite, turneur avec e'Iancepiens, qni est douloureuse au. toucher. -La joue, devient' enflee et rouge; elle se couvre de -petits boutons, ainsi que le nez. Au-dessous de L'oreille, 'a Ia jo'ue, tubercule cutan6' indolent (le q'uinzie'rne jour). 155. Des boutons paraissent et disparaissent ]i a face. Erpto de boutons ' laface Boutons "a la face, dont Ie sorumet se remiplit Au Cote gauche d U nez, un peu au dessus de l'ai~le, peti.t ulcere plat, qui est douloureux au toucher (le quinzietme jour). Eruption de boiitons sur ie nez, et aux oreilles. POTASSE. 5oY i 6o. L'-e nez est rouge et chaud, parsem6' d'un grand nornbre de pe 'tits b 'out'ons blancs. Le nez se gonfle et rougit, surtout I'apre's-midi. Prurit dans "le nez..Cuisson brcilante au haut de Ia. moiti6' gauche dti neZI jusque dans 1'ethmloide (le vingt-troisie'me j~ur)., Ardeur dans Ia narine gauiche. 165. Resserrement 'a la racine du nez, et au nez en general, surtout du co't6 droit (le vingt-troisie'me jour). La narine droite est saignante, tous les matins. Eruption de petits boutons da'ns Ia narine gauche (au bout de cinq jours). Onl mouche du mucus un peu f~tide par la narfine droite. Saignenient de nez. 170. Sensibilit6' de I'odorat (a'u. bout de ýcifq jours)-. Gonflemen t et ulceration de la 1evre su perieur6.1 Gonflement.de- Ia IeVre superi-eure; cule se- fen.. dille; quand on y -touche,,elle est tr's.-sensible et-ýaigne ais6ment (les premniers jours)., Une croute str lei Mlr'e SUp.)e'qtre. Boaton douloureux au toucher sur, la I1vre ~sip.Ue--" rieure, pr~s de l'aile gauche dui nez (le trente-sixi~ieme jour). j75. Prurit autour des bords des kv~res. Bouton$ aux vres,qui causen~t unprurit cuisa~it. Siir les deux hwvres, tout autour de ]a b'ouche, petits b 'outons pointus, pruriteux, qui suintent,, (au bout de neuf jours). La 1e'vre inf~rieure mule (le trente-qua~tri~eine jour>-. La partie rouge de.Ia 1I'vre inf~rieure est pleinq, 502tfDOCTRINEt[OMVO'EOPATHIIQUE. der petites R'mpoules:, qu'i causent de la doule'ur et des dema 'ngeaisons quand on y touche. j 8o. Excoriation de la partie rouge des h6vres; le m.atin1, au. revei1, elles sont colhees ensemble. Douleur cuisAnte tout a~utour de la bouche, au. bord -de la partie rougye des deux levres, qui est*tiresdouloureuse au toucher. S'ensatio~n spasm'odique dans les levres. Prrit aua menton. Douleur de crampe a oc t droit de la matchoire, non: loin de larticulatio n (le treizi4eme jour). 1 85. Spasnie insupportable (crampe?) dans le's n;A-. choir.es, qui tiraille pn quelque sorte dierriere le la rynx (le pharyn'x?). Gonflement des glandes du copi, comme si V~on ý'ýtait refroidi (le troisie~me jour) La glande sous-maxiIliaire est douloureuse auton.cher4. -Elan cement, dan~s les glandes dii cou. SDouleu'.convusive -dans, lee c- on Wgauche du con (au bout de deux jour's). 190. Pression''firafiliante dans le co6dri e o (l 'th-quat~irie jor) ~6&hi&inen' I- a partie inf6rieuire du ct0 roi du cou (le vingt-qjat~ri eme jour). Chatoullemnent dan's les glan"des du cou tumnfh6es; d~ii'`stfoblig& eclppbyer dessus la main roide, pour fire cesser cfeuC sensatlion., G~femn d A iihoi're ihf6rien rie et d es: glandes sous-maxillaires; dents britn~an'tes' Une de'n' est saillante, et cau'se beaucoipde o l'etr en ruangeant (au bout'de deux jou'rs). POTASSE. 50 6 z195. Mal de dents, qui ne se fait sentir qu'en man,geant; battement dans, touteg les, dents..Mal de dents, en' mang-eant, qui ne se 'fait polint sentir dans d'autres inslans. ',Douleur dans, les dents, qtiard on met des'sus quelque chose de, froid ou de chaud. Mal de dents; d~oule'ur qui, ferait croire qu'un corps, s'est introduit dans, uipie dent creuse., avec tirailIe.. mens derriere les' oreilles et sur la te'te; Ieau fod ne di-minpe cette douleur que pour un instant; elli ii survien~t une convulsion dans'la dent, et la' don-u le~ur cesse t6ut 'a coups Mal de dents, coinre s'iI e"tait entr6 qtelqqe c~hose d.4ns une dent crew;se; dancemens insupportables ju~squ~e dans N'edl et daus 1'oreille, par acce~s,A.urie demi-heure d'intervalle; la douleur ne se manifeste qqme pendant le repas, et. souven de's, la premiere boiche'e. i200. Pression douloure~use dansia racine d'une denit nwolaire post 6rieure (creu~e), lesoir"(1e troisieme~ et 1e.*quatrieme. jQUr). Violente douleur rongeante dans plusieurs dents et,dans la -gencive; iAne -sert, a rien 41eles nettoyer avec un cure-dent. Sensation d'agacernent d-ans les dents, db deirant, qui causent aussi des 6'la ncemen's, pendant, le soup-er (le trente-deuxieme jour). Yifs, elancemens dans, les dents.' Elancemnens isoles, ca' et lei, dans les dents de devant, le soir (les Vingt-et-unie'me et vingt-troisi eme' jours). 2,05. Elanceniens dans les dents et Ila gencive, en 5o4 DOCTRINE H0M0E0PAT1IQTJE. suite fluxion "a la joue, qui cause une douleur lancinante (au bout de quatorze jours). Mal de dents, surtout la nuit, comme si onl y plon.. geait un fer rouge. Gonflement de la rnakhoire inf~rieure et de ]a gencive, avec douleur br Alante danDs la dent, entrern&Me d'd'ancernens, qui se fait sen~tir surtout la. nuit; froid inte'rieur (au bout de trente-deux, jours)..Douleur bri'lante dans les dents, oiu I1on eprouve des pulsations en remuant les rnatchoires. Tiraillement dans e~s- racines, de toutes les dents superieures de devant (le quatorzie~me jour). 2z10. Tiraillement dans les racines des dents inf&rieures dtv has', le soir (le quinZi eme jour'). 'Tiraillement dans les dents molaires gauches, le soixs'O(es troisilrne, dix-neuvie~me et Vingt-troisierne jours). De~chirernent dans la. gencive, imme~diatement au dessus des incisives (le treizie'me jour). Grand gonflement de la gencive, ati dessu.s des dents "molaires d'en'?haut, avec turn 6faction de 1'a-w inygdale gauche et des glandes dui cou (le neu~vieme. jour). Excoriation au. co'te interne de ]a gencive, des dents de devant. 121i5. Ulce'ration 'a la gencive. Ii semble que les dents aient de 1'7odeur.. Mauv'aise odeurde la bouche, semblable 'a celle dui vieux fromage (tous les matinis). Excoriation de 1'int6rieur de la botiche. Excoriation &Ii frein de la langitie. 220,. Excoriation au bout de la langue. Ampoules douloureuses sur ]a langue et 'a ]a gencive. 5o6 DOCTRINE LLOMOEOPATHIQUE. Gok tdouceatre dans Ia bouche.. Rappoirts ayant le gou't de ce qu'on a mwan~gle. De's le matin, beaucoup de rapports., et -n-aus~erc toute, la jiournhe 0ou bout ýde trois haeures). - Nas~safflux de salive " la bouche (diarrhke). 2,45. Dans ]a matinee, n-ausees pendant une heitre. Malaise aussi grand que si on allait~se' trouver mal. On est isouvent pris d'envyies, de vorn'ir,_,srtoutý en quittant la. table. Le moindre -chagrin, ]a noind~re, oie-, en g'n-6ral tte ~it~,po te p4 vpnir,, a toute e'poque Ae ]a jor~,~ qad on es~ jeun, ne fi u ca~user un serrement de gorge.,,Le sujet vo-mit plusieurs, fQis, sans avoir e'estomxe charge", xi malade; Icl lendernain,ý il, est lais et sans,,pp 1tit (au bout de treize jouirs)..25o,. Le mat-in, l')enfant d4eyjent rouge de feu., AIa figure, ii vo'mit,,son dejeuner, puis devien.t p 'aIe comme ]a mort,. se trjouve rnieux a pyes avoir v0Mi encore une fois, rnais reste. tr~es-las,.-p~ndano.t deux jours. D~gofit&detout.' Le lait tie passe Point.! De'go fit pour le pain nioirka u bo-ut de, cinq heurios),. Grand app6tit pour les, mets acides..255. Peu d'app'etit. ".Grande faim. Soif vive, dans la rmatine'e. Bouche pa'teuse; pea d'app6tit; cependan-t ce qu1'on mange semble bon. Ce qa'on mange, surtout la viande, repugrne d'abord, et plait ensuite,ý, cependant on ne pout pas manger beaucoup. POTASSE. 5076 260. On n'a point envie de manger; on e~t -sans faim. A: -midi','avant d'avoir manqge et apr~s, pa'leur de la face, naus6es, vertiges, avec rapports-, lassitude dans les jambes, froild au'x mains et auk pieds, pen-. dant q~uelqiies h eures, et cependant un peu d'app~tit (les trente-hufitie[ne et~trente-nieuvie'me jlours). En mangeant (du poisson grille'), -onest-pris denausees, qui vont jusqu'au vomissement. En m angreant., on, avale souvent d1e traverse.dcce's de sommneil en mangeant (les deuxie'me er quatrieme jours). 265. Apre"s avoir, plange6, on est his; battemeqf "a ]a region pr~cordiale et mat de te'te,.4pre's avowr mange, chatoiiillernent dart$ la gorge, qui~fait tousser (4u bout4 de six jours).,.Fri,:apres ivoir 1n~uge. A diner, rnorosit6, mauvaise. humeur, et douIpr tiraiiI~nte, dans la te'te (le trentierme jour). Apr's le diner, resserrement dans la tete, commp Si elle e~tait entoure'e d'un ceitle..! 7o. Api'ss edjeiieu r, tcd'e dans,P e gouat et ame la bou'che. Apres avoir mangre, rapports acide'p. Apre's voir jiris des afim~ens venteu'x (des 1gne~ ardeu'rcpuiiremo-nte de1' Iestomac jusqtue dans'l jhP rynx (soda). Apre's a('tr pris*de lasou'peI le ma'tin et le soir, coinme aussi apries avow qnagAd ii dgdt'aueclau'd, le matin? pincernent et agit ation dan"sleorp&., -4P 7es'avoir mzange,', 'o'hfletnent 'dii bas-ventr&,. 275-.4.pre's arvoirpeu mrange, sur-le-cham p pinilade et gnfl0em en t dtz bas-venZtre. POTASSE. o gargonilleinens dans cette region (au bout d'une heure). 290. Pression suir l'estornac ' et' au dessous des bypocondres, le soir, dans le lit, pendant une demi.heure. Le ma-tin, apres qu'on s'est ]eve', tiraillemens et de'chirernens en travers de I'estomac. Auc't' gauiche du yen Ire se fait sentir un de'chirement descendant de, la partie inf~rieure de la poitrifle, oi A l'on eprouve aussi des Mlancemens (le vingtie'me jour). Elancemens dans ]a redgion pre'cordiale et les, hypocondres, qui coupent ]a' respiration. Battement, a' gauche, le long de la regionprecordia le. 295., lng d la ~ait!9.Convulsion, adroite,lelogdlar6in precordiale (au. bout de quelques heures). Petit MIancement convulsif dans le c6t6" droit du bas-ventre. Elancernent dans le c6te" droit du bas-ventre,, comme quand on a rete'nu se~s urines en dormant, qu'un emission de vents soulage. Le matin, e~Ian cement sourd dans le cokt' droit, sous les c6tes.N Yifs 6lancemens dans la region du foie (le vingtie".l me jour). 3oo. Douleur lancinante et de resserrement a' la region dufoic. Au dessus de 1'oibilic, parfois un e~lancement scmblable "a celui que. produiraient des vents. Elancemens sourds dans Ia re~gion h~patique et ]a region inguinale droite (le onzietne jour). 510 DOCTRINE HOM0EOPATRIQUE. Elancemens dans le c't~ droit du ventre, en riarnt. Elancement dans Ia rrgion du foie. 3o5. En respirant, elancerent sons la derniere cote droite (le premier jour). Elancement qui n'a aucun rapport avec ]a respiration, sous la dernie're cote droite, pendant quatre jours. De'chirement lancin ant dans le cote droit, sous Ies, fausses c6tes. Douleur brilante ' a]a region hepatique (les premiersjours). Jrression vers le fbie, qui semble venir du cote droit de la poitrine, avec battement dans ]a i'rgion de I'estomac, qui est douloureuse an toucher. 31o. La pression smr le foie se convertit en pesanteur de cet organe. Douleur du foie en marchant, pendant plusieurs jours de suite. Frequfente douleur sourde d&ns un petit point de ]a region hepatique, oi' s'en fait sentir une cuisante lorsqu'on y touche (le dix-huitieme jour). Le foie cause la meme douleur que s'il Atait h vif et comprim6. Le foie est tres-gonfl6. 315. Le bas-ventre est gros. Colique. avec beaucoup de rapports. Coliques avec beaucoup de rapports et cracherent. de salive. Colique venteuse, que des rapports et des emissions de vents dissipent. Colique causee par des vents. 320. Colique qni senble causee par des deplacemens de vents. POTI~AS-SE. 5 r, I D-ýplacement de vents (aussi an bout de vingt jours). Gonflemnnt coinpressifdnubas-ventre par des vents, avec sensation de plenitude, inaptitude "a tout mounverment, ainsi qu'aux travaux de tette (le vingt-neuvieme jour). Pression et remuement dans le bas-ventre, au dessons de 1'ombilic, qui semblent produits par des d6.. placemens de vents; le sujet est oblige de s'asseoir ploy6 en deux; la douleur augmente cuand ii va au grand air (an bout de dix-neufjours). De'chiremens ' gauiche, dans la partie superrieure du ventre (le Yingtie'me jour). 325. Violent dechire'ment dans les intestins; pour se soulager, on est oblige de s'asseoir ploy6 en deux et d'appuyer les deux mains sur le ventre, ou de se renverser le corps en arriere; on ne pent rester assis droit. Bas-ventre cur, gonfl6; ]a region ombilicale est douloureuse au toucher. Les muscles du bas-ventre sont doulonreux an toucher. Gorflement du bas-ventre. Tranchees et gonflenent du bas-ventre. 33o. Yers nidi, pincement dans le haut du ventre (le vingt-cinquieme jour). D'abord, d6placement de vents, puis emission d'une 6norme quantit6 de vents. Poids pesant dans le bas-ventre, qui cause plutot de ]a pression que des pincemens, et qui est surtout insupportable en marchant (au bout de trois heures). Sorte de tension et de pesanteur dans le bas-ventre, en se tenant assis et en marchant. 51i2 D'OCTRINE HOMOIEOPATNiIQtJE. SDouleur danslPailne droitecomme siI y existait dii gonflement. 335. Pre'ssion dans le has-ventre (le VingOti~m e jour"). Le soir, colique compressive dans la partie, supe' rieure dui ventre, jusqu'au dessous de ]a fossette dui cceur (le trente-cinquieme jour). Le soir, (louleur compressive dans le c6t6' gauche' du bas-ventre, stir tn point peu e'tendu (le trenteneuvie'me jour). Pression dans le bas-ventre. Pincement et pression, 'a gauche, dans la partie superieure dui ventre, corin e si in. vent s'y de'pla~ait (le onzieime jour). 34o. De'hirement dans le ha-ut dui ventre, produit en apparence par des venits qui-circulent; ceux-ci sortent en mnarchant (le vingtienie jour). Colique ayant le caracte're d'une constriction douloureuse. Le matin, colique, serrement douloureux dans ]a partie supe'rieure dui ventre (le quatorzie'me jour). Colique; serreinent douloureux. dans le bas-ven.tre (le trentie~me jour). Constriction spasmodique et refroidissante dans le bas-ventre. 345. Elancemens sourds et pression dans le c6t6' gauche de la partie supet rieure dii ventre (les dixie~me et vingtie'me jours). Elancement sourd le long de 1'ombilic, A droite (le dix-neiivie~me jour). Elaizcernens dans le bas-ventre, 1'apre's-midi et le soir. I : POTASSES 513 iEIancement dans -le coke" gauche dui ventre,,$OUS les c~tes (le vingt-deuxie~me jour). 4 J-'5/s -AlaiZCe*mens et d~chirement' lancinant danls le 'tdt gauche, an-dessous desfausses cd"tes (les, hui. ti~me, nehuvie'me,~ dix-septie~me et'vingt-quatrie'me Jo urs) 35o. Quelqu'es M'ancemens violens dans le basventre ( au bout de six-heures). De'hireihent par intervalles, ou, M'ancem~ens sourds dans le o te gauche du bas-ventre, pr "sdea hanche (le onziexne jour). Elancement de'chirant profond dans le o te gauiche dui bas-ventre (cornme si des vents s'y de~pla-. ýaient), jusque dans l'anus et le pe'rine'e, -qu'une emission de vents soulage peu, et qui'augmentie beaucoup Iorsqu'on retire le ventre vers le dos (le dix-neuvie'me jour). Batternent dan's le bas-ventre. Convulsions dans le bas-ventre. 335. De'chirernent qui ressemble parfois 'a des- secousses convulsives isole'es, dans le flanc droit', o'i da'ns lec c't6 droit dui ventre; le soir (les seizie~me et dix-septie'me jours). Pression gargouillante, par intervalles, dans la rl& gion. inguinale droite ( le vingt-septie~me jour). Douleui' dan's la r6gion. inguinale droite, en retirant le bas-.ventre (le vingt-neuvieme jour). Colique; douleur comme si le ventre e'tait ulcer6 en dedans, avec pression vers les parties genitales,. com-e s les re'gles allaient paraitre, et douleui' dans, le sacrurn. Les vents saasn douloureusernent sur ]a yessic (au bout de de~ux joui's). ir, 33 514 DOCTRINE H0O1QEOPATHTQUE* 463o. Fr'quentes coliques, comrn iladarhea. lait' survenir. 4vAint diper, gargouillemens dans lapartie sup6 -riepre.-di bas!-venlre, semblables at ceux. qui prie e,'dent la. diarrhe', et coliques 16ge'res (lo premier jour). Pin~cement et agitation clans le ventre, avec so1Ies liquides. Tir allement doulQureux dans' le bas.-ventre, avec constipationT Agitation dans le bas-ventre et selles tre~s- dures. 35.EmniSSio7Zcl'une grande quantitA de vew~s( an.but de quatorze jours). En rendant un vent, it sort un peu d'excremens iiquiidels, sans qu'on s'en apercoive. Selle insuffisan~te, apres beaucoup d'efforts. Selle in~szffisante, molle. Les de'jections sout visqueuse~s, molles let de couleur fo0n c e, 379. Selles si visqueuses qu'on a de la. peine 4t s'en 'debarrasser. Bisi lrquent d'aller 'a la selle; mais les dejec.tions sont peu abondantes. Frqetsenvia4 dlaller A la. selle; -ii semble qui'on.ne puisse, pas se d~eharrasser de tout cc: qui d~evra~it ýortir (au toudce vin~gt-quatre heures). Yain effort pQ~ur aller " a l.selle, avec Ia. nprn.e.sensaXion que Si le rectum &e~ait trop faible pour expuls'er les unatieres.. Lssell~es ne sont pas assez abondantes; la phipart des mati eres restent. 375. S~elles semblables "a des cr-ottes de che~vrie,, qui ne sortentqiu'avcC effort et do~uleur. POTASSEO 5.1'5 Constipation (au boit 4do trois jours). Les selles sont dures; les hemorrhQ*'des dur se gonflent et devienne'nt saillantes. Grande diarrhe'ej, aivec beauicoup de coliques (au, bout de quatre Jjour s). Selle diarrhoique, qivepc douleurs cuisantes dans l'anus (au bout do huit jours). 38o. Ecoule ment de sang en allant t la sellepn dant plpsieurs jouirs (aut bout do onzojou'rs). 4vant 4Valler 'a la selle, chiaque fois, fouirmillement lancinant,dain s 'a nus, En allant 'a la selle, et avant, un xmiuuS blanc s.'6 -coule par I'anus. Ape'~s tine selle penible et p'eui copiiause, prossiori dans, le bas-ventr,.T, nesme a 1anus. 385. Te'nesme dans le rectum et "a 1'anus. Dechc~irement lancinanZtdcanZs 1'czlis (los quatrie'me, opizie'me, vingt,-cinquii'me, trente-,deuxieirne, trentoquatrie~me., trente-cinqui'm e et quarantiemle jours). Elan cement dans le rectum. Le, soir-, doulour fourmillante et lancin-ante ~dan-s I'anu-s (axi bout de huit jours). IDancornen't serublable "a un coup, d'6'pingle dawi lFarms. 390. Elancemens et petits boutons ulceres 'a. 10Us. Dechiremen t bru'lant dans l'anus.. Ardeur dans l'anus, qui De periw~t pas.;de dormkr (an botut do vingrt-et-un fours) Penda 'nt et alpl&s un~e selle se'che, ardour dails' l'anus..d rdeur clansl'anus, sanis te'nesme, 516 DOCTRI NPE HOM019OPATMlQU1tX 395. Le soir, cuisson dans 1'anus. Fourrnillernent 'a1'anus (nbu eSix. jours) Prw',it a" ' anus. Prurit "a l'anus, apr~s le souper.6 VJiolentprurit ea'l'anus et au scrotum. 4oo. Inflammation des he'morrho'ides 'a 1'anus (ati bout de vingt-quiatre hetires). Apre~s tine selle ( le na tin), cuisson ardente audessus, de l'anus et dedans (le quinzie'me jouir). Grosses he'rorrhoides doulou reusesa' 1'anus (le premier jour). Urine trouble. Fre~quentes enrd 0es d'uriner. 405, Le sujet est oblig6e d'uriner souvent, inais it rend.peu. d'urine "a la fois, et chaque fois iti ~prouvre irn-mediatement apres un besoin plus pressant encore., qui est presque douloureux ( au bout de quarantehuit heures). Secretion extremement abondante d'uirine ( les premiers jours). Envies d'uriner, mais it se passe long-termps avant que l'urine puisse sortir, et elle coule lentement. Le sujet est oblige' de se relever la nuit pour uniner. it est oblige" d'uriner souvent; it epi'ouve de ]a, pression sur ka vessie jusqu'a' ce que l'urifle sorte, mais it attend long-teinps avant qui'elle commence "a couler; la nuit,ii se rel eve trois ou quatre fois pour uriner, qtioiqn'il boive pen. 410. it faut faire de grands efforts pour que I'iirin- e sorte. Apr~s avoir fini d'uriner, it sort encore quelques gouttes. POTASSE. 517 Lorsque le s 'ujet est fort occup6', iL.e'st oblige' de licher rapidemnent quelques gouttes, d'urine. Apre's avoir urine', sortie d'un liquide lactescenit, floconneux, inodore (liqueour prostatique?) 415. Donleur de'chirante, p-ar intervalles, dans 1'nr'tre, hors des momeiis oii%1'on urine; ensuite d&' chirernens idans le gland, surtout A son orifice (le septi eme jour). Wc'hirement hi la region de la, vessie. En urinant, d~chairemfient dans le col. de la vessie, qni augmente en faisant effort pour uriner (le tren'tesixi~rne jour). De~chire ment dans le col de Ia. vessie, hors, des morniens ouii lon urine (le trente-septie'me jour)., Ardeur dans 1're~tre,'en urinant. 420. Ardeur et cuisson "a 1'orifice de Furktre -et dans, ]a partie superieure interne dui prefpuce, le~matin, dans le lit, pen de temps apres, avoir urine' (les vingtienne, vingt-et-uni~me jour). Douleur brcilante, cuisante, en urina~nt et apres. Fr'e'quens tiraillerneniset vifs d6chirernens dans Ia partie ante'rieure de lPar etre (les, dix*-huitieme, dix'.. neivierme jours). Douleur de~chirante da'ns l'uretre. Pinceinens de~chirans dans 1'ure~tre (au bout de douze jours). 42. cotum douloureux, commesiltatcnu Prurit auz scrotumn. Excoriation an scrotuni (au. bout de dix-sept jours). Piucement dans le testicule. gauche et dans l-e pubis. Raideur dans le testicuic gauche,,, &i1 8 DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. 4o Leg ItSatic' des et le cordon spermatique scint gonfle's et chauids au -toucher. Raideur dans le wiemb~re ývi~ril(au bout, de-vi~ngtquatre-heu res). Vives douleurs tiraillantes 'a traVers ]a verge (au bout: de douze jouirs). 'Tir'i~lemens, dechirans d'ans le niembre, viril (lib vingt-troisieme jour). FourrnillemeDt- dans le gland(a bout de detix jours). 445. D6`chirement dans le_*gland (le vitigtieme jour). Violep~tes, erec ion anu bout de vingrt-quiatre heures"). Point d'e'rections les dix.-.hui t"prem'ierIs jours. frbpjxeit everufen. Yiolent' appetit v~nerioen (ahi bout de trois' jours'l. 44o. IExcitation des parties genita'le's, avec sentim.e~nt d'ardeur.,Pollution deux nuits' de suite (premie~re et deux~ieme nuits). Po Llu1tion accabla7Ztc (les troisie~me, quatri.6me et septie'me nuits) Les pollutions, autrefois fre'quentes, deviennent plus rares (au. bout de quatorze jours). Les~pollati6ns auxquelles on le'tait sujet autrefois, cesse ut pendant quarante-deux jours. 44P ". La ýnuit, apr~s le coit, songes laseifs et pollution. Coft sanis.jaculation (an. bout de dixjours). Etloignement, chez la femmne, pour l'acte v~e"n6ri~ih (les prernieres nuits). La. fem~ie est tre's--dispos~e "a1'acrte tieh ti(a bout de vingt--neuf jours>, Pendaint le coit, pinceernes- dou1Oureu~x dan6 sle vagin. 45oi Pendant le col.t2douIe-ur cuisante dan s le vagin'. -Ekruption de boutons qui t.auisen't une aird~eur d- d sante, au. pudendum. Prurit et ardeur dans le puidendum., 1EIancem'ent briuilant au, pudendu in.' 0iElancernent en travers dans Ie.pudeuidurn.. 455, Pincernient douloureux' dans les- kvT-'s ',d Ia. Vulve. Au c6te' gauiche des parties ge'nitales; de.chifewerit qui remonte, "a travi~rsie bas;-ventre, jsqtie.daig'ila poitrine. Une s8emaine avanlt les -r-gld5',,a~g~itatif~iritfn ussi grande quo si elles,llaientdj pattaP bout d'e seize jours).Avant les rgIeaes, beaucoup de chaledr,--gmi'aid~kbif et nuits agitees.w Le Inatin, avant. 1'apparition des- regk~~,1a Tffhziie est 6'veilIee par des titillations volup~tUetuses. 416o(. LO!san~g des regles parah Wti 46ii ew I e-rie I e dedans des cuisses', et y fait naitrebe oid b~outons; ii. a aussi une odeur tre~s-idesagr 6ablel et aicre. Pendant les re~gles, violent pruritL par to ut le cor"ps. Pendant les re'ages, la femme se rendort, apres S'Jetre e'veille'e le' matin, mais elle toinbe dans un 6tat interme'diaire' en'tre le somneil et Ia veille, qui lui est extremeinent d~sagre'able;- elle entend Alors d~es 51.9,lOCTRINE HOMOBOPATHIQIJE. nui1't et le mnatin seulement; e'n me~me temps, rhume de cerveat-i. Le matin, 'a jeun, forte toux, qui cesse tipre's le de'jeuner. Le i'natinb, m ucosit's- dans la gorge qu'il faut faire effort pour arracher. De's trois heures, du iatin, le s ujet commence a tousser, ce qui se re'p ee toutes les demi-heures. Beaucoup de toux, le matin, avec expectorati'On, inais surtout le sowr. 495. Toux se~he, qui n'a guere lieu que la nuit, avec e'1ancement dans le larynx. Elan cemens dans le larynx causes, par la toux (avec coryza fluent), En toussant, aprete" douloureuse dans le larynx. 'En toussant, grattement de'hirant sur la poitrine. Chatouillernent dans la gorge, qtii excite 'ala toux; celle-ci affecte la. poitrine.5oo. En toussant, des d'incelles sortenit des yeux. Toux, qui exigre tant d'efforts -qu'elle "Met le, sujet hors de lui. Nause~es en toussant. L' toux &determin emasrent le vomissemnent. clatIo'.U~illemnen~it'qoiexcite ca tousser.,O5o5. Toux en entendantjouer dii violon. Toux seche, qui parait et disparait proptinet Toux avec expectoration abondante. Le inatin, respiration courte. Le suijet se re'veille la nuit parce qu'il perd la re~spiration.I 15 1 o. Stertoration &DaS ]a poitrine, la nuit, quand on est coucWe sur le dos. Ge~ne de la respiration. POT,.kSSEs' 1 523-'i Op''pres'sion" de poitrine; avec respiration ptofonde et plaintive.. Vers le soir, anfxike6 danh-s ha poitrin'e. Disposition "a faire* des inspirations profonde's. 515. Sensation r de dechire'ment d 'ans la. poiltrirle, cii bas, surtdut a agauche, qui descend.dans le ventre, mais qui cependant reste lancinante da'ns le d 6Wt gauche'de la poitrline (le vingati~remjour). Le inatbi, douleur danis lapoitfine, surtout au-zi touzir dA la re~gi072pi'&07-diale, qui estpresque d~chiTwnte, et gui senl~le due a" des venits fixes. Elancbinent sburd danfs, le fo nd du- c6ti6 gau'che de ]a poitrin'e, sous' les -faugses to cs (le0 seizime ie jou~r). Pression lancinante dans le Co t6 gauche de la poitrile, en faisant iine inspiration profonde. PA'rfdis pfe--sionlancihanie dans lIe co~t droit de la poitrine, pendant plusicurs jour's. 520.Pression p'armnom-to. annlaPoItrne de'v~aiitsurtout" dr"ite, qe'in spiratio'n augm t6ht, et qu Ie de's rapport's dimninTuent (le septietnejouP). Beaucoup de pression dans Iecocke' gauche de!a ýoifrine let aila r,6g~ion dii coe'ur (le6 hifitihfioj~otir'. Pression resserrante dans le co'te droit. de" la. pottrind,,l, Ving- 8ixi~emejour) Elanhc6m6ift so'u'rd et pinl'Dan1t dans le co"t6 droit de la, p6ltfine. Pb1int 'de Co t ee1,n re.spirant.525. Un M'anccment dans le'scm'i gauche. Quelque-fbis un h e 61abce en't dans le scm ndroit'. Elan cement sourd, pression et de'chirement souiý l'aiss'e'lie Le soir, d6chirehinent dan's lds os de la- poitri ne, a gauche, Adl dessus de la fossette dacu 'edr. 52.6 DOCTRINE IIOMOEOPATH[IQTJE. gauche (les septie'me, huitieme, quinzieIne et dixneuvi erne jours). Pression cuisante dans la regimon re'nale droi~te ( le sixie~me jour). 565. Pression tirail-lante dans le dos. Le matin, pression dans, le dos, au dessus de ]a region renale droite (le vingtie~me jour) Mal dans le dos, comme Si 1'on s'e'tait donne' un tonm' de reins. Constriction doulon reuse dans le dos, en se reposant apres avoir travailhe'. Don lear commne Co7 tusive clanZs le. dos, qualid on reste en rTepos, et non7 quand 0on se remuze. 570. Douleur compressive et briuilante dans le dos, qui devient plus forte en allant au granct air (au bout de dix-neuf jours). Elancemens "a droite, danS le dos, qui traversent le co't6 droit de la poitrine (le vingt-cinquie~me: jour). Elancement vif et de'hirant sous 1'o~moplate droite. Elancernent son id dans l'ornoplate gauche. Serrement Ian cinant (lans les deux omioplates. 5-15. Pression dans 1'ornoplate grauche. De'chirernent lancinant et compressif pre's de 1'omoplate droite (Ices dixie'tne et trente-huiti~mern jours). Vive pression 'a la par tie superieure du dos,(Joe tren~te-quatrie'me jour). Pression tiraillante (lans les omoplates. Tension compresssive, semblable 'a une violenmte ]assittide, (epuis 1l'oinoplat~e droite- jusque dans le sacrurn an cote",druit, dans le dos, qui so fait sentir le 1P0TASSVh' 527 iraiau. lit, mai's surtout lorsqu'on va en voiture (les neuvie'me, trente-unierne et quarantie~me jours). 58o. L'omoplate gaulche cause la rni'me douleur que Si ecue avait e'te luxe~e. Le matin, de'chirernent: dans, l'omopLate droite (le,quatrie'me jour). Sorte de.pression entre les omoplates, puis, ardeur qui s'6'tend de 14 jusqu'ila' a cre'te da bassin, dans I'tat soit de repos, soit de mouvement: on sent aussi ]a chaleur en appliquant Ia main stir ]a partie. Tension doulourcuse au-dessous, de l'oinoplate,gauche, en r espirant. En travaillant fort, eIa~ncerncint d~epuis ]a pointe de l'omoplate gauchie jusque dans ]a fossette dLu Coeur (au boa~t de sept jourls,. 585. Douleur (lans, ]a nuque, quand on renversela. 1t~tp en arriere. Le Inatin, de'hircment 'a droite, dans 4anuqcue. Raideur dans la. nuque, le matin, au lit (au bout de trois jours). Pendant huit jours, le malade ne peut lever le bras, tant ii y e6pro.q.ve de tension et de douleur; mais ii. pent le porter en arri'rc stir le dos, se coucher sur Ic dos, et tou cher 'aIl'articulation, sans povrd douleur. Tira~jilement dans 1'aisselle droite (le dix-septie'me Jour). 5oo. S 'ere 'ment dechiranit dans l'a~isselle droite (le' vingtie~me jour). Ddcb'ciremnent dansl'articu~lation deli'e'paitlegule )Pre~ssi~on resserrante dans.1'art~ictidation de l'e'paule droite, plus cloulour-euse en respirant (le tugtierne jour). 5.28 DOCTRINE HOMOEOPATHIQTE. Pression, tiraillerent et tension dans l'dpaule droite, avec sensation comme de paralysie dans le bras (le trente-quatrieme jour). Le matin, vive douleur dans 1'aisselle gauche; on ne pent lever le bras, tant ii est tendu. 595. En remnant brusquement le bras gauche et I'appuyant avec force contre le corps, douleur dans l'aisselle. Donleur contusive sous l' paule droite, surtont en la remnant et en y touchant. Sensibilit6 et ardent' bi i'Iante dans 1'aisselle droite (le quinzi me jour). Prurit dans I'aisselle. Sueur dans les aisselles. 6oo. Douleur dechirante sourde dans l'aisselle droite (le vingt-quatrie~me jour). Le bras se lasse aisement en ecrivant (an bont de trois jours). Faiblesse et dc/aut d'energie c7an7s les deux bras. Les bras sont comme paralys's (les premiers jours ). Douleur paralytique dans les deux bras, surtout en les remuant. 6o5. Le matin, en s' veillant tension et tiraillement ' I'aisselle gauchejusque dans l'avant-bras, qui est dispose a s'engourdir ( le trente-quatrieme jour). Donleur dans les deux bras, comme si le sujet avait requ un coup dessus; elle se fait surtont sentir en se levant (an bout de seize jours). Gonflement du bras et des mains, avec faiblesse dn ibras entier. Pulsation douloureuse dlans ie bras gauche, POTASSE. 529 Tressadllernens musculaires dans le bras gauche (les dix-huit, dix-netuf, vingt- et-un et vingt-cin.. quie'me jours).4 6 1o. Convulsions ~ plusieurs reprises dans, le bras gauche. Eruption de boutons pruriteux et douloureux au haut da bras (le douzieme jour). Douletir tiraillante dans le bras gauche ( an bout de Vingt-quatre heures). De'chirement danZs le bras gS-aiche, gui s'e'tend qaelquejoisjusque dansl'aisselle ( les onzi~me, seizie'me et vingtie'me jours). De'chirement dans le bras gauche, de'puis le haut jusque dans l'articulation de la main. 615. De'chirement dans la partie supe'rieure dii bras droit et dans le coude (les dou'zierme et vingt-. deuxi emre jours). De'chireinent lancinant dans, le bras gauche. De'chirement dans le bras droit. Les deux bras deviennent, au froid, comme engourdis et raides; uls s'engourdissent aussi "a ]a suite d'un grand, mouvernent. Engourdissement des bras et des mains, le matin, dans le lit; ii sont comme i'aides, et paralys6s, avec sensation d'une pression inte'rieure; la main est ensuite prive'e de tout sentiment pendant une, demi.. hen re. 620. Le bras sur lequel on s'est couch6 la nuit, 5' engourdit. En e'tendant le bras droit, apres qu'iI a e'e flechi, douleur dIns le coude, cornme s'il 6tait i'aide. Ddc12irement clansle pli des cleux bras (l es t roisierne, sixi~me et vingt-deuxie'ine jours). if. 532 532 DOCTRINE HOMTOEOPATHIQUE. De~chirernent dans les phalanges et les articulations de plusieurs doigts. De'chirement passager dans les doigts et les orteils. De'chirernent lancinant s'ous l'ongle et au bout du doigt indicateur les vingt - deuxie'me et trentedeuxie~me jours )..De'chirement sourd dans 1'e'minence the'nar (les dix-iieuvi eme et Vingrt-quatrie'me joui's). 66o. De'hirernent soiis les ongles des doigfts ( le trente-quatrie~me jour). Une ampoule se de'veloppe sous le petit doigt. Ardeur au. bout dui petit doigrt. Ardeuir au. bord du cercie de l'orgale du doigot m&fdius (le dix-neuvie~ie jour). Inflammation 'a la base de l'ongle du doigt imdicateur; la pression en. fait sortir dui pus liquide, pendant sept jours (le onzi emne jour). 665. Convul1sions daus les fesses. De'chirement dans les fesses, non loin de I'artic'u. lation de ]a cuisse, Douleur son rde dans ]a fesse. Acc~s de serrenient de'chirant dans hi fesse. Prurit entre les fesses. 670. Apre's avoir e'e assis, ]a fesse et ]a CUI55C causent la me'ine douleur que si elies e~taient ulce'rees en. dedans. Serrement de'chirant dans I'articulation de la cuisse (le treizie'me jour). Douleur au haut de 1'os des iles, en iiiarchant et, en y touchant, comme si l'on avait reen. un. coup en cet endroit (le huitie'me jour". Douleur de'chirante dan Ira hanche gauche, de temups en temps. POTASSE. 533 De'chirement, quelquefois fourmillant, dans les detux hanches, on datis les parties qui les recouvrel'nt; (les dix-neuivikeme, vingt-et-unieme et trentieme jours>. 6P5.De'hirement dans les hanclzes et les genoux, Ameme quiand on est assis. Dechirernent 'a la partie poste'rieure de la cuisse, pr~s de ]a fesse, qui se (lirige vers les parties genitales. De'chirernent 'a ]a partie supe'rieure interne de la cnfisse. Excoriation entre les cuisses. Pression dans les memibres inf6rieuirs, qui a IFair d'tre dans les os, et se fait sentir tantot ici et tantot Ia. 68o. Le soic, agitationi dans lesjambes,- que le sujet esL oblig6 'd'6'tendi'e souvent (an bout de quatre jours). Le soir, agitation clans les jambes; le sujet est ob~lige' de marcher. Douleur brdulante dans les deux jambes, accompagn~e d'6'lancernens. Pesanteur des jainbes. Faiblesse dans les jambes; elles flechissent. 685. Laj~ainbe enti?ý,'e a beaucoup de disposition4 s 'engourdir. Fourmillement et engrou'rdissement dans Ia jambe (Iroite. Q uand on reste long-temips assis, tant t une jambe, tantot I'autrle, s'engourdit. Douleur tiraillante dans ]a cuisse (ani bout de onze jours). Douleuir tiraillante dans la cuisse gautche,. qui s'&tend jiisqu'au genou. 690. Tiraillernzent coinm~e paralytique dans. tqute la cuisse, qui.: va parfois jusqu'au dckchirernent, s'Iaggrlate soiwen1tpar' la s tation et la chaleur, du- it, et ize sejait send;' quc le soir- etlIa nuit 634 DOCTRINE r H0MOEOPATTHIQUE. Conv-ulsions dEnS les cuisses. En montant, douleur tiraillante dans la cuisse, corme si elle allait se briser. Toule la cutisse est comtne paralys6e et comme au moment de s'engourdir. Lassitude dans la cuisse, comme si on avait beau.coup marche, pendant plusieurs jours, 1'apres-midi surtout. 695. Au milieu de ]a cuisse, place qui cause une cuisson douloureuse quand on y touche. Raideur dans les genoux (au bout de deux jours). Douleur de luxation dans le genou, en se levant de dessus sa chaise, pendant quelquis minutes (au bout de sept jours). Douleur tiraillante, en marchant, qui s'etend du genou dans la cuisse. Douleur paralytique dans le genou droit, en marchant (le sixi eme jour). 7oo. En marchant vite, les genoux deviennent douloureux et corme engoourdis; on ne peut plus les ployer. Sensation de paralysie dans le genou, en s'asseyant. Douleur dechirante dans les genoux, en marchant et s'asseyant. Dd'chiremeizt ~dcns les jarrets. 705. Le soir, dechirement dans le genou, avec chaleur dedans. En marchant, et surtout en etendant la jambe, doulexir sourde au c6te du genou. Eruption dans le creux du jarret. Prurit au gen on. TiraillemenZtetd c12i7rementdafls les os de lajambe. 7 r o..Dchiremeit au dessousdu genou, dans Ia partie sup rieure de la jambe. -POTASSE. -535 Douleur tirail' lante dans ]a jambe droite, jusqu'au pied, Pendant plusieurs jours. Tiraillement paralytique dans les jambes;De'chireznent dans les deux jambes, "dcmnt le pdrioste est douloureux quand on y touche, et o~' de la tenZsion12Se fait sentir en marchant. Viol~en~t prurit aux jambes, le soir. 7 1-5. Prurit "a ]a jam'be. Elancement dans le pe'rone'. De'chirement dans la partie supe'rieure du mollet (le vingtie~me jour). Crampe du mollet droit (au. bout de vin gt heures). D'chzireinent clans 45 sarticulations des pieds (les, premier, troisieme, septieme, vingtieme et, vingatseptie'me jours).,720. Froid auzxpieds, dans le lit. Froid aux pieds, avec chialeur au visage. Enflure des pieds. Tension dans les' deux pieds, presque sans enflure. Le matin, dans le lit, violent prurit autour de l'articulation du pied. 725. Quand le 's pieds sont froids, de'chirem-ent dans les chevilles, qui cesse " mesure qu'oii s'e'chauffe. Sorte de'~lan cem en t dans une cheville, en marchant; ii semble que le pied va. se briser, et le sujet est oblige' de s'arre'ter (au bout de huitjours). Elancemens au. dessous de ]a cheville. De'chirement imme'diatement au dessus de la cheyulle (le vingti eme jour). Serrement tiraillanit, qui semble e'tre l'effet d'une grande lassitude dans le pied.\4 730. Dechirernent tiraillant dans le pied, jusque danis les orteils, (le septic'me jour). De'chirement au c~te interne dupied et a" laplante. POTASSE. 537 comrne s'il allait entrer dans ]a chair (le quatorzieme jour). De'chirernent.au bout des 'gros or-teils (les dix-, septie'me, vingrt-et-unieme et trente-sixie~me jours) Les bouts des orteils. sont tre~s-douloureux en marchant. Fourmnillement chatoujileux dans les orteils et la plante dui pied. Prurit 'a la face inft~rieure des orteils. 75o. Ellancement chatouilh~ux au bout des orteils. Eingelures rouges enflammees, qui causent une pression douloureuse. Les cors sont douloureux. Les douleurs apparaissent Ileruatin, vers deux ou trois heures, et ne permettent pas de rester couch6'; elles sont alors plus vives quo lo jour en marchant. Les memzbre-s sur lesquels on s'est couche 'Zengourdissent (au. bout de quatro jours). 755. Engourdissernent dii bras et de la jamibel sur lesquels on se couche. Tous Los muscles dui corps sont douloureux, commo apres des contusions. Toutes les parties dui corps sur lesquelles on ap.puye causent Ia meme dotileur quo si elles e'taiont ulce~rees en dodans. Douleur tiraillanto par tout le corps, tanto't ici, tan~tot Ih, dans la. nuque, les omoplatos, los mains, les genoux (aui bout de diK jours). Douleur tiraillanto dans tous los memibres, avec: gr~ande pa'eur de la face et arnaigrrissement (au bout (10 neuf jours). 760. Yiolent tii'aillernent clans le bas-ventre, los bras et los jambes;- les l)ras sort conime contus; la 538 DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. douleur est plus vive dans l'etat de repos (les premiers jours). Dechirement dans la cicatrice de la fontanelle. Douleur compressive dans les articulations et douleur tiraijlante dans les os longs. Douleur compressive dans les articulations des genoux, des pieds et des mains, seulement lorsqu'on est tranquille. Sensation de vacuite par tout le corps, comme s'il 6tait vide. 765. Le pouls se fait sentir par tout le corps, m me au bout des orteils. Bouillonnement de sang et chaleur dans la tate. Le soir, avant de se coucher, bouillonnement de sang, oppression de poitrine et gCnede la respiration. Prurit Sa et I" au corps, surtout aux cuisses; en se grattant, on s'ecorche aisenient jusqu'au sang. Le matin et le soir, violent prurit par tout le corps, principalement sur le dos, oit paraissent de petits boutons (a partir du troisieme jour). 770. Violent prurit au ventre et aux cuisses. Prurit ardent a la face, au dos et sur la tate. Sur tn grand nombre de points ciu corps ( mgme aux aisselles), arleur frcquente t la peau, semblable a' celle que produirait un vesicatoire. Prurit ardent par tout le corps, a la face, aux mains, sutir les jambes, etc., tant6t ici, tant6t oa. Elancemens et douleur rongeante dans la peau de tout le corps. 775. Le soir, avant de se coucher, prurit par tout le corps, qui se dissipe dans le lit. Etant assis tranquillement, sensation fourmillante dans les membres, les inf6rieurs surtout, avec tirail I -POTASSE. 539 lement dans, les inembres, qui cause de l'agitation. Une ancienne verrue (ht la face) commence 'a causer des demangeaisons. Eruiption de petits boutons durs, sur diverses, parties du corps et aussi hi la face. On sue'beaucoup en marchant. 780. On sue loutes les fois qu,'on s'occtipe l'esprit, en lisant, etc. Le matin, on est glace', et le soir on a chaud aux mains. Le pouls est un pQu plus lent qu'ýi 1'ordinaire (le vingt-neuiviewme jQ~ir). Grand froid, surtout en sortant de tabl~e et, le soir. Grande aversion pour 1'air du dehors. 785. Violens, maux de ta~te pendant qu~elques henres, a ]a suite d'une ptomenade au. grand, air (au bout de vingt-huit jours). Le sujet se refroidit aise'ment (le troisi em e jopr) Grande clispoqition & se reftoidlir. Lesjet est ers-sujet ý se refroidir apres, up nQ vem ent e~chauffapt; it perd I'appe'tit, frisson febrile', diarrhe'e avec coliques, sommeil agit6', etc. Apr~s un. refroidissernent, mal de te'te d cokt' droit et chaleur clans, les, yeux. 790. Acce~s de refroidissernent:Il soir, fie'vre, sucur vers, le matin, avec: violent nial de te~te, et apre's qu'on S est leye', pIe'nitude dans ]a tae Le inoipdre courant d'air cause les maux provenanit d'uri refroidissement. Acce'sd~e refroidissement dans, un courantd'air; dans la chambre, on achaud pouirun instantt puis, pesanteur dans les memibres, de'chirement par tout le corps et 'laIa tte, avec bourdonnement d'oreilles, et froid 54o DOCTRINE IIObAoEOPATmIQUE. par tout le corps, ensnite sueur d'odeur aigre toute la nuit (au bout de trente-et-un jours). Acces: sorte de dechirement entre les 6paules, puis raideur de la nuque, et en voulant remner ]a tate, elle e'prouve plusieui's secousses qui Ia rejettent en arrie're. Acces:nausees et vomissement, avec douleur contusive du bas-ventre, plus vive quand on appuye dessus, grand abattement, tete entreprise, somnolence, et quelques selles aqueuses, suivies de constipation. -95. Acce~s: apre's un travail me'canique, lorsqu'on est tranquille, constriction douloureuse dans le dos; le sujet est oblige de se coucher; puis, suenr abondante toute la nuit, et le matin, selie m~I~e do sang et de mucus, mais sans douleiirs. Tressaillemens dans les muscles, ca et II, pendant plnsieurs jours. Convulsions dans les nembres (le huiti~mejour). En se promenant, lassitude et tremblement dans les genoux, puis tremblement dans les muscles du ventre et les bras. La promenade lasse aisement; elle donne des tremblewens dans les mains et les jambes. Soo. Disposition soudaine a trembler. Grand tremblement. On ne pent se renuer sans eprouver de suite tine sorte de syncope (au bout de quelques henres). Tons los matins, on so sent tres-faible, comme si on allait se trouver mal ou etre pris do vertige (les six premiers jours). Parler beaucoup fatigue et affecte le sujot. 8o5. Acces:au retour d'unc petite promenade, POTASSE. 54 1 faiblesse subite telle que le sujet peut "a peine rentrer chez lui; ii 6eprouve de ]a chaleur "a la. region de 1'estornac, des gouttes de suetir liii moujilent le front, et ses jam Ibes tremblent. Apre's quelques instans de repos, la. faiblesse a disparn entie'rement. Acce's:f ibl esse par tout le corps, principalernent dans le sacrutm; les muscles du con son t comme sans, force; les bras et les jamnbes sont si faibles qn'on est presque au inomlent de tomber, et 1'on e'prouve autour du coepn' la rnime sensation que si onl aI.it se trou-' ver mal (ani bout deC quciques heures)2) Pesanteur telle dans les jamb)es, qu'on nle peut faire uin seul pas.I Lassitude et faiblesse' dans les mnembres. 8 ro. Paresse (an bout (de detax jours). Apr~s le som mcii de midi, grande -lassitude et nausees (au b)out de deux jours). Le soir, lassitude et aba~ttement, allant presquc jusqu'k ]a nausee. L'enfant (de quatre ans) veut toujours, etre Porte". iMonter quciques, marches est p~nible; marcher sur un 'Sot plat no l'est P~as. 8 15. Pesantenr du corps, dans le lit, qui se dissipe quand on se leve. 'On a- de ]a peine "a se re'veiller le mnatin. On dort beaucoup, on so reveille tard (le troisieme jour). On dort trop long-tem'ps, puiis on a la te'te ploine, on epmnltve do la lassitude, du~coryza et de. lapres... sion dans, les yeuix. Le matin, apre~s avoir bien dormi, on est oblige" de se recoucher bient6 t, et Iorsqu'ona Idormii trois Ileures, on se trouve bien.. 542 DOCTRINE HOM(%0PA.THIQTJE. 820. Somnolence eXtrlmne dahzs la journdee: on s'endort de's qu'on est assis. 1, 10apres-midi et le soir, irresistible envi-e de dormir. Le soir, ern'iI.e de dormir7 de tres-b-onne lheure (au b)out de dix jours). Le soir*, envies de dor'mir de tre's-bornfie heur'e et ta'citurnite" morose. Apr~s 's'e'tre promen6 au. grand air, on a de la peine ai s'endorm'ir' le soir. 825. San's cause, on iw peut s'endormir le soiu' ar'an onze lzeures oa minuit. La nuit, dans le lit, on' ne peut pas s'endorznir avant une heure on deux, sans lcause, sans souffrii'. on s' yile atin plus t~t qu'a' l'ordinaire, et on ne peut plus se rendormiir. On se reveille "a quatre heures dii matin, et ensuite plusieurs fois encore. Le matin, on s'eveille vers une heure ou deux, sans pouvoir se reucdormii'. 83o. La nulit,'apres s'e'tr'e reveille', on -ne peut plus reprendre le sornrneil, t ant Ai se pre~sente d'.id'es h 'esýprit. La nuit,2 etant couche" dans le lit, afflux fiefquent dui sang vers la tete, assez fort! 'parfois pour fliire croire qu' on va perdre les sens. La nuit, raideur de ]a nuque. La' nuit, grincemhe'nt de dents en dor'man't. Lesiapres qu' on ses couch6, tun f'rissdn Parcourt le corps. 835. Deuix -nuits de suite:, sorte'd'attaqu e d'apo - plexie pe Indant le sommeil; convulsio'n dan 's les brag et agitation dans les jamnbes (sai~s stertbratiOn ce` ]POTASSE. 543 - pendant); inais le sujet ne conserve le souvenir de rien quand ii se reveille. II elprouve des convulsions a' plusieurs, rep'rises, et tremble, en dormant. 11 ronfle en dormant, et ii a des convulsio ns dans les membres. 11 ý.pMouve de lafr-ayeuirpendaht son, sommeil. Frayeur en s'endormant. 84o. Le soir, en s'endormant, secousse par tout; le corps. La nuit, la jambe droite etle bras gauche s'engo.urdissent. Doul-eur briullante aux jamibes, la nuit, daifs le lit. La nuit, douleure~norme par tout le corps, comm-e' Si- oni Avait requ des couips de martea-u, La nuit, chaleut briullante 6t pression dans,1'esto".. mac(le vingtieme jour)..845~. La nuit, rapports ayant le gou~t des-alimens pris ht diner. La nuit, emnission d'une'grande quantite' de vents.Trois nuits, de suite - le- suj-et est beauicoup tour' rnent6 par des vents. 11 ne peut dormir ]a n'uit, tauit ii 6prouvIe:d'cre~ur a I'anu~ (au bout de trente-six heures').La premiere semAine, toutes l es nuits, de tfoi~ a cincj heures, diarrhe'e (a'. datet', de Ia premlii~e'ri it). 85o. La nuit, on est re",veilIe' par uneý douleour pub.sative d.ans les bras, qui, dure line. heuire., Le sujet est oblige'de cracher beaucoup I-a nuit,ý souvent pendant des demi-heures enti eres san-s in'ter-' ruption.ý Il f'vilel mtnv deux heures, avec de l'aixiefte autour dui cocur, et ne peut pluis ensUite s'e ren dorm ir. 554 DOCTRINE EROMOEOPATHIQUE. 11 s'e'veille la nuit parce que la respiration mIL man-. que. Sorte de cauichernar; ii re've qn'Iune pierre Iui tombe stir le corps, et qu'on liii serre pen 'a pen la gorge; ilfait de yamns efforts ponirs'e'veiller (letrenteseptie'me jour). 855. La. nuit, e'Iancernent dans lec c'te droit on. dans lo gauchie. La nuit, tension dans le coke' droit ou. dans le co't6 gauche. On ne pent dormir ]a rwiLt, tant on eprouve de prurit an scrotumn. Beaucoup 'd'lerectionscdans one nuit agrite'e et pleine de son ges (Ila seizieine nuit). Apre's minuit, erections violientes, qni troublent le sOrnImeiJ,0 fatiguent et menlacent d'une pollutiion, qui ni'a cependfant pas~ lieui. 86o. Coliques, la nuit, pendant deux heures, qui ne sont pas suivies de selles; puis, le mnatin, d'ouleur dans IC sacrunm et la poitrine,, et, dans I'apre's-inidi, s~orte de briscuient dans tons les membres. La nuit, pin~cement clouloureux dans le ventre, par IlflOnieDSI ayVC Diausees et rapports continuels. Apre's minuit, violent dancernent dais, le c6t6' gauche de Ia poitrine et la region du, cpeur, quelquefois jusquie dans, le dos, qui n'est supportable qn'en se couchantf stir le co'te droit, et qui devient insoutenable chaque fois qu'on essaye dc se coucher sur le co'te gauche; Ia seconde nuit, le suj~et s'erveille de fort bonne heure, avec un e'1ancement des plus -vifs dans la. poitrine, et respiration courte quand ii est couche ~a gauche; cette- d(ouleUr ' 1est insupportable cjue. pendant le repos, et cite cesse quan-il i1 se rctouri-e de Eati tre c0 e6; la troisi'il iit, delre i ~'0TASt~. 54 vient qua*nd il est couche Surl1e.dos (les dix-hui-timei dix-neuvie'me et vingtieme nu~its ). Somnmeil agit6, a cause d'une pression dAouloureuse au co~t' de la t'te sur'lequel ii 6'tait couche6. jLa nuit, le sujet est r6veill6' deux fois par une crampe dans ]a cuisse droite et le mollet.,.865. La nuit, dans, le hit, chaque fois qu'il retirid Ia jamnbe, crampe dans le mollet et la plante du pied.Lanuit, en s'&veillant, sensation de grande lassi-~ tude daris les jambes, avec de'chirement et tiraillementdedans, surtout dans les articulations des pieds. Le sommeil est'trouble6 par des reaves de'sagre~ables. Re'ves inquie'tans; le su'jet est entour6' de fant omes dangereux, dont quelques unsveule~nt se jeter sur lui (lesliu'it premieres nui~ts). En dormant, toutes sortes de figures effrayantes liii passent devant les yeuix. 870. Songe effrayantý; le sujet crie pour appeler ht son secours. Reves de voleurs (au. bout'de o'nze jours). Le sujet reve que certaines parties de son corps sont malades, (au bout de quinzejours). Reves de M'orts, qu'on croit vivans et avec lesquels, on se dispute. II se dres'se dan's son lit, tout endormi', tient des. discours absurdes a.,une personne couch6e avec--lui, et reste long-teinps sans reprendre ses sens, quoi-. qu'ilIsache 'a qui ii s'adresse. 87 5.Ilparle en dormant (au bout de trois jours). 7 A Son sommeil n'est qu'une revasserie continuelle: ii pale. en dormant. L'enfant, ne fait que se remuer la nuit,'et'.ii pleure. 11 Pleut-e beaucoup la nuit, et re~ve. 35 546G]DOCTRINE HOMOEOPATITIQUIE. Le somnmeil est agit6", et trouble" par des re'ves. 88o. Sommeil agite; le sujet_ se retourne a tons momnens et rave beaucoup. La nuit, il tomnbe d'un re've dans un autre. Toute la nuit, il a des ro'ves tre's.vifs, qui roulent sur des affaires. It s'oendort de suite, mais sur..le-champ aussi ii ]reve.. Sommeil ag~it~,aec rAves, et re'veil frequent. 835. La nuit, re'ves et re~vei1 frequent (au. bout de dix jours) Oni a souvent des rveeS Voluptueux (les quatorze prem iers jqirs), Somm~eil la nuit; IQ sujet ne fait que sommeiller. La nuit, ii est dans un ktat interme'diaire entre le somm-eil et la yeille. Tendance 'a se r eveiller m'atin, sans qu'on soit pour ceha dispos. 890. Le soir, froid au sominet de la tete et par tout le corps (an bout de douze jours). F, issons dans le dos, le inatin, dans le lit. Pendant quatre, jours, froid interne continuel, sans czhaleur e sans soif, avec froid glacial a'ux pieds, tate entreprise et disposition 'a se trouver mal;e-n menap temnps, gonflement de la machoire inf&ripure et do la gencive, mal de dents brcdant, avec laem s(a bout de trente-deux jours). Fie'vre; vers le soir, froid violent, pendant, qu~elr ques mnaiutes; le sujet est oblige' de se coucher; en-~ suite nausees, v~omissement, et douleur spasmodiqu'e de poitrine pendant toute la nuit, avec, respi-ralioni courte, grande anxiete' interne, et sneur abondante a ]a tate (au bout de six jours). POTTASSEO,547-.OTSS4 41 Fievre quotidienne le soir; vers six heures-, froid pendant une heure, avec so~if;,puis, violent coryza fluent, chaleur sans soif; ensu iteý, trarfrspira-thrn douce, au milieu d'un bon sommneitle Ic atinh,gratteqp~ent dans la gorge, bonche mauvaise 6t pas d'aqpp'tit; chaque nmatin, l'oeil gauche est ferm- a el suppuration. 895.- Froid continuel, avec soif vive, et e'n--ntme temps chaleur interne, chaleur- dans- les mains'ý,t e"go. U pour tout ( au bout de quatorze jo'urs)., D'abord du froid, puis de ]a chaleur A- lafkace(au bout de'deux jours). Fie'vre; apr 61 s etre e'chauff6 jusqu'A tiser b'e'a'u coup,% le sujet se refroidlit dans un lit froid 'Aedela doule ir bri-dante 'a ]a ta't, aviec chaleur ~la fakece t grand frisson par tout-le corps;'puis, avecsueurpenýdant trois jou-rs, coryza si violent, qu'il est A p."ein e possi~ble de respirer (au bout de trente-hui t',jo u i). Chaleu r 's~he aux joues et Aux mains, aveer. ration courte. Fi we;touls*les tWatins, esneuf heures., e~tles soirs', 'ers cinq hebres, pendant une demi-heuire "a une heure entie're, bai11emens, avec: chlleur gpige rate, vives douleurs de p oi trine, violent mal de e et pulsations dans le bas-ventre. 900. Le soir, ýlternatives dq froid-et4edljc4 d, et 1a, nuit suiv~nte, sneur (le trolisemejtr')., 'Sieu'r iO'cturne' (les trois pret-nii'res nuitýs, -,etaq bout de deux heure~,s a ubolut.de six j~ur4) Sueur,76e matzn, dans le lit. Avant que9I9 st ~t 5PP qp 'c0ix lu1ijm eu r~econnait a sa mine qulil est tres-affý~.6t 548 DOCTRINE H1{OMO0PATHIQUE. SMauvaise hurneur sans cause (le cinquienie jour). 905. Mauvaise humneur continuelle; le sujet se A che (le tout. Irritab 'ilitM, disposition ai sefdicler- (les deuxie'me' et vingt-deuxie'me jours). Le sujet est tKe"s -irritable. A midi et le soir, 1'abattemnent et la mauivaise humeur soul au comble. 910. -On se f~iche aise'nent. Disposition extre'me h se f~icher (les quatorze premiers jours). Rien n'cgaye, grande disposition a laa mauvaise hurneur. Morosit6' excessive; la rnoindre chose irrite, et le moindre bruit est de'sagreable. Le matin, en s'evei1Iant, ide'es qni rnetten t en cole"re et font grincei' des dents (an bout de quatrejourls). 915. Un rien suffit pour mettre en cole're. Ilumeur acaria'tre; exigeanCe, mecontentement de tout, cohw'e et ragre quand tout ne va pas 'a souha~it; le sujet ne sail: souvent pas lui-mneme ce qu'il veut.t Aigareur; caprices. Le sujet est toujours en contradition avec luimeme: i iine sait ce qu'il veut, et se trouve tre~s.malheureux. Humeur extremement variable; tant 0 calme, tant t emport6r, souvent plecm d'espe'rance, parfois de'sespe're' 920o. Grande disposition "a s'effrayer, surtout par un contact he~ger dii cor'ps. Effroi qui fait pousser des cris ý ]a suite d'une Wde qui passe par la tete'. -SEL'FCOMMUr~. 549 Precipitation en pensa'nt et en agissant.' Irrersolution. Aversion pour le travail. 925. dgitation dans l'esprit. Le sujet est in quiet et tourmen2te de son s'tat..11L con~oit des craintes pour 1'ave~nir I1 est triste et p'ort6 'a pleurer, apre's s'e'tre fatigue au grand air. I1 craint de ne pouvoir guerir. 930. L'esprit est agit6' par Une multitude de craintes.,dnxietM et aversion pour la soci'te'..,Inxi~e'te tous les fours. De~couragement et timidit6'. Crainte de rester seul. 935. Disposition "a la frayeuir, le soir, dans, le li~t. Env'ies continuelles de pleurer (au bout d~e vingt jours). Abattement (le premier jour). Dt'faut de courage. XXI. Sel coinmuri (Natrum muriadicuin). Pour de~barrasser le sel commun de tous les autres sels qui pourraient 6-tre me~16s avec-iui,* on- en prend t,in gros, qu'on dissout dans trois gros, d'eau distill~e' bouillante; on filtre la dissolution, et on l'abandonne ai elle-me'me, afin qui'elle cristallise, dans un endroit otui a temperature soit ~ 00 R. Un grain de sel, ainsi cristallis6", et se~che' ensuite sur du palpier gris, est re'duit au m-illion ni eme. degr6 dutt~n na'tion, et cette poudre dissoute dans de IPaLcool aqueux, puis la dissolution e~tendue jusqu'ani de'ci1Iionnie~me,le tout d'apr~s la rn~thode Iqui a "t 550 550 DOCTRINE HOMOEOPATHIQIJEO prescrite dans le chapitre consacre" " la pr6parAtion des reme'des homocopathiques. Nous ne posse'dons presque aucune obsei'vation pure, constatant que le sel c'ommun possde vr"ellemnent des vertus curativres dans lkg maladies de 1'hom me. Lorsqu'on P'a donne raIvlec un prom~ptsdcc's., ce qui est arrive' quelquef-ois, par exemple, dans' le crachement de sang et autrtes he'norrhagiles, la do~se%norme ai laquelle oh le faiNsait p'ren*,dre (iinie cuiller~e ' la fois) n'agissait qu'en' appelaht un'e" Ariolente irritation derivative sur 1'estomac et le's rintestins, 'a peu pr~es comme o.n volt Ia vive' douleur excitee par tin sinapisme au mnolle't ou du bras', forcer le mal de dents 'a ceder d'u~ne m'aniere rapide et temporaire. D'un autre co~tef, si, conme l'excperience' le de'md htr'e, tout ce qui a la pro priet'e de gue'rir de's'maladies, est susceptible aussi de porter atteinte' "ah1 sant6' des hommes bien. portans, J1 s'erait diffficile de concevoir que le sel. marnn, dont toutes les nations, mneme a demi policees, font uin usage jo~urnalier, depuis tant de siekle's, pour rehausser fa saveui' de ieut's alitnens, a p u etre aussi employe', eft quantite's assez considerables, sans que, pendant ce loing espace de tenmps, on ait soupconne' les effets nuisib-les auxq'uels ii. est capable de donner lieu, s'il possedia r~e11ement cette faculte; car c'est sans nulle v~raisemblance que l'on attribue le scorbut des gens de.mer hi l'sage des salaisons, beaucoup d'autres causes morbifiques se reunissant pour produire cette cache'xie. En admettant que le sel commun, tel qu'on le, trouve dans ]a nature,)a 'exerce aucune in flue nc'e SEL C0MMUD{.55 le soir; larmoyemen't des yeux; Acret6' des larmes; cuisson dans les yeux; inflammnation des yeux; ma.tie~re visqueuse dans les an gles externes des yeux; suppuration des yeux pendant ]a nuit; bourdonnement d'oreilles; bruissement dans les oreilles; Mlancem~ens dans les oreilles; douleur, comme d'ulceration interne, dans les os de ]a jone, en matchant; seclieresse du nez; de'faut d'odorat; gonflement de la levre superieure; caisson de la levrre superieure; crevasses tla 1evre superieure; ampoules au. c te' interne de la. 16vre supe'rieure, qui sont douloureuses an toucher; gonflernent frequent des glandes maxillaires; fistule dentaire; amnpoules sur la. langrue; mal de gorge chronique, dans lequel on croirait que les alirnens passent sur un corps e-tranger arrondi; crachats muqueux, le matin; amertume dansla. bou.che; rapports; rapports repugnans, apres avoir mange de la. graisse on du lait; rapports aigres; soda; ardeur qui remnonte de 1'estomac; serrement de gorge, av'ec cifflux d'eau a" la bouche, et sensation de tournoiement autour de 1'estoinac; de~goiuit pour les alimens gras; vornissement des alimens; perte du goi't pour le pain; de'faut -d'appe~tit; appe'tit immodefr6, 'a dtner et "a souper; soif continnelle; bonlimie, avec pi6nitude et satie'te apres avoir peu. mange; pression at la. region pre'cordiale; pression ti lestomac'; spasme d'estomac; -pression "a1'estomac, avec nausees et chiute subite des forces; douleur "a la re~gion priecordiate,- quand opn appuie dessus; gron. flement 'a ]a region pe'6cordiale, qui, lorsqu'on p~es dessus, cause ]a me'me donl~eur que si elle etait ulc&". ree en deddns; saisissernent dans la re~gi071 precordiale-; sneur an visage, en mangean t; rapports ý vide, t54 DOCTRINE ROM0MdEOPATHIQUE. apr~s Avoir 'mahig'e; are8avoir-, g-" naifts'es soda apres avoir iiiangef; crampe dans le diaphringm'd en se baipssant; cbliqu es journfl~i'reg; gonfl?zeretd bas-ve'ntre; ide'p'ihcehPrt de'vents; geirgoidliene: s' bruyanis ddniS- le ba s-ventr(.; tum'efaction diu V~erit-e bruit, da'n~ leccAt6' gauche dii ventre; selles pa tM-~o ft'q-6hetes; selles ýhAbittue11enic-nt m"oIl~es, c6-n stipA-, tion tons Ie, deux jolur's;, chstip~ation habittie~lo ifiutilbs efforitS POUr ale'1 r a,,-ICA sell; Sort6, d~ficdz de~s selIle5', aA4bc d61lleilrg dechiranteg eit I-An'bn-a- ite~ dani 1'ahus a6t le reot tijm-; hlifitoidrho'ides h 1'a~nus;diis. J~, soli et batternerit dans' I~i rectum; - Arde~ir dAqns 16 kci tu'm, en alflant "a ]I' selle.,e n'vies d'urinecr ]a hunit;, sortib ll 'V-dlon-tAi're de 1'urine eh i ffi rchah t, t~ttis'8ift k~trniuant; ecoulem-ýnt ni qiie~ukpar Ia /rgie;-aPp6tlt veiierien immodfr'6; axciitation e~xthbaodinair~d de 1i qmaginditioi; qui pir'te san-s c'es'se' Mix Plaqisirs de' I'atiidutr; irnpuis'sance'; prarit dans' le pudendurn;ý iregles qtii re-ta rdanjt ba ttoudlentt pied; rtglks qui &b& lent triop- lon'g,--,t~ip"s;~i hal de' t6ib, avanftt, pendanit et apre8s 1A e~g'6sv; neilanco lie dadi~n i'dppar'ihtziýn d riegles; ttri s te ssb 9 1A p ari t ion d es rges;der - ches; eniroueMent; 6ternuemenrt -et coryzA-i; iiutiles dinvie~s d',krnet'; a enc, eidfiaezeinet; poifrmne girssL3; avec toni; stertor"ation subrla'poitiine; toux, lb matib;, toux bee've, ha'bituelle; chatoibillemineit q~ui p'orte a touisser en marchant et en fais'ant iUne ins'piraition profonde'; mal6 de te'te', comme si le frc~nt alflait ekIa-ý ter; Aiprete' sur la poitrine; z' espi 0rati konrt coulrte, e marcharit.vite; 'asthme, en executant de's tra.vaux rnecaniqnes; resserreýment de poitrinei;tens'ion,'donloureuso dans' ]a poitrine; e1an'cerent danhs' fapoitrnen' faisant Une inspirationpofne; e:lanc-e fini-rt dadn's Iatipo'i t r*iti 6en tou',ss~an t; i1arc'mens d~ans uin deis e'ifiis;b-a tfi,~e-is de C6d)aývivec ainkie~te";d6.. chivernien~t dans le saiPurti; douleur vive, passanit- h travers ]a hanche et le sacrum; tenision d~doulitP'etjiSe dans le dos; Ii~ession- dans ]da iiiiuie; remlu~fuent douloureux d liis' le bras; las'sittide&d&s bras; p'egan - teur Pataly'tiqi'u de' &9bras; e'1An'e'm-enti ýdans ' l;Ar-t'culation de ]a main; engourdissernent etjburrnIilleme61t &M)s' tes doigg's; 'dotileur-, c~oimm o de lation, dans la hanche; douleur tiraillante dans les jambes-; dartres dans les creujc des 'jar-rets; rac~coarcisse'moent dou'loareax des tendons d~z ja'rret;-PIlssitude dans les genoux et les inollets; doule-ur W.lc6'rative A ]a chi~ville i en soe tenant debout et e& y. touchant; enflure des pieds; pression tirail-lante dans' big meinbres; fatigue en parlant beaucoup; suites, f~cheuses du chag'rin; inconveniens des alimens a-ci'des; inconve'niens; du pain;- grande disposition a se -refro"idi~', "a se luxer, se donner des ýtouirs do reins; frquem-ment un frdid inite'ieur; le,.sliyet a tou]01zr6 froid, et ii man que de c'haleur 'vitale; maigreur; difficulte6 de mouvoir le corps; lassitude;,paresse, eii se levant, le matin; somnolen'ce dans la jour-nee; revasseries en dormant; song'es inquzcetans`) avec pleurs; ~Oif Ic ui; anut eves penibes, et insomnie pen'duant des he'ures' eftifieres; impo.ssibilite, de se rendorinir quand on s'est reveille' la nuit; sueuir le. niatin;, iirit ahilitg qu'*i disposed 'sefdcher; anxie t"; tristesse; grande disposition "a s'effrayer.11 est quelquefois avantageýux de re'pete'r le s'el mnarn l, or'squ' apres 1'einploi d'un autre afntipsorique ii so trouve- homoeopathiquernent indique une se-~ conde fois.II 556 DOCTRINE HOMQEOPATHIQUE. Le camphre est un assez faible antidote contre les effets par trop violens de ce medicament; 1'esprit de nitre dulcifie, qu'on fait flairer au malade, vaut beaucoup mieux. Vertige en se retournant (le quatrierme jour). Jertigc en marchant (le premier jour). Vertige en marchant; tout tourne en rond autour du sujet. Vertige, le matin, en se levant du lit et en marchant. 5. Vertige, qui abaisse ]a tete, quand on est assis. En se baissant et en se redressant ensuite, vertige qui trouble ]a vue. Faiblesse de tate, comme apres qu'on a tourn6 long-temps en rond. La tate est entreprise, apres qu'on a marche vite. La tate est entreprise, apr~s qu'on s'est livr6 A la meditation. io. La tete est entreprise, sensation qui degenere promptement en une pression douloureuse dans une des terpes, avec chaleur seche du corps. Vide de la tate,avec anxi6't. Le sujet ne pense h rien. Absence de toute pensee. II a toutes les peines du monde " reunir ses idees pour penser A quelque chose, tant elles sautillent d'un objet 'a un autre ý(le premier jour). j 5. Distraction; ii ne sait pasauj uste ce qu'iI doit dire. Manque de reflexion. Dd'aut de presence d'esprit. Sorte d'hebetude et d'absence de toutes idees, avec somnolence; etat prononce surtout le soir, de trois h. sept heures. SEL COMMUX. 557,Grande maladresse; le suijet laisse 6chapper les'petits objets, et choque les gros h droite et ai gauche (le deuxie~ine jour). 20o. 11 ne sait ce qu'il fait; ii sort sans le vouloir, et ne revient 'a lui qtue quand on lui demande o U" it va..Ii- est Jambiii,lent Ai prendre un parti, une re'solution (au bout de' deux heures). Irresolution dans ses travaux. Me'moire tre~s-faible: tout lidi reste dans la. te^te comme un simple songe. Perte de ]a me'moire; ii ne sait pas ce quii s'est passe la veille, et croit avoir perdu I'esprit (le cin quie'me jour)..25. Oubli. 11 a de la peine "a rappeler ses ide~es, quandjilvetit re~fle'chir sur quelque chose (le deuxie~ine jour). II oublie ce quel'instant auparavantilvioulait e'crire (le deuxieme jour). Man que de me'moire; ne pouvant se rappeler qu'une heure auparavant it a vu sa me~re, ii la croit mor'te. Mat de te'te sourd, presque toujours.' Pression, sourde dans le front, avec plenitude. 3o. Le matin, sensation desagreable dans ]a te'te, com 'iI y avait quelque chose de d "rng dans le cerveau; on I'eprouve su'rtout en tournant la tate (le vingt-.deu'xie~me jour). Maux de tate en tournant la tete. En courant vite, 6bran' ement dans le cer'veau, sorte de secousse ou. de pression instantane~e. Mal de te'te en courant' et se-remuant beaucoup. DoUleur'dansle front en exer~ant des mouvemens rapides. 35. Mat de ete causef par 1'air froid. 5 51, $DOCTRINE 9OMOEsOPATHIQTIE. Mal de te'te, qui cesse en se promenant. Mal de tdte; pesante'ur, pression dans, le front, au dessus des yeux (le treizierme jouir).Pression dans, le cervean', comme- s'il allait sortir qucique chose par les yeux; Il'application de la main le soulage. Mal de te'te: pression doulou reuse au, dessus de 1'oeil gauche. 4o., Pres sipn dans 1'occiput (le sixieme jour). Pression douloureuse dans, le front (au. bout de quelques he 'ures). Ma-lide teate, pressi~on dans le front. Pression stir les deux tempes, comme si la Ad e 'tait sorrvo dans tin ekau ý(le tro61sineme jour). Mal de teate, comnme si le cer~veau 6tait comprime' de toutes parts, avec pesanteur de tete. 4. Psio~n stir le sommet de la tete; compression dans les tempes, s17utititen lisant et en e'criwant. TýIal cde te~te, le matin; contraction dans, tout IQ cerveau. Douleur, cominme-si la ttte allait,6clater* Mal de tete toujpurs croissant (apre'sun ldi~eu, touch~ant), qui sernble de'pendre d'une gran~1p tension inte"rieure dans le cerveai4. En a~ppuyant ]'a tate sur vin bra1s, elle es~t qngM engourdie; pression sourde dlaps le front et Iesyxe~ux. 5o. Ple'nitude danS ]a tate, quifait~ en quelque sprte sortir les yeux des orbites. Mal de t'ete-, le mafin,en se levan't; l~e" 1 tilraillemnent dans, le fro'n't,ca et ]a. Pal de-taeteý; lhoger tiraillement qui pa'rt de ha racne dui nez, av-ec pesanteur de la tate. Mal de te'te pe~rforant sur le 0 te et en arriere., SEL COMMUX.' 559 Mat de tate; le~ger hattement dans le front (le quinzie~me jour). 55. Violent mal. de tate; batternent 4ivec chaleur dans. la tate et la face, avec nause'es et vomissement (le dix-septie'me jour). Mal de tete, avec nause'es, depuis le matin jusqu'au soir ý(le deuxie'me jour). Mal de tefte cause' par, des nause'es; pression d~ouloureuse, au fr-ont surtout, avec nause'es, qui, augmente depu~is 1'apr~s-inidi jusqu'au moment.de, se coucIher. Le cerveau est commne de'tache'; elancemens dans les tempes,~, en secouant la tate. Douleur Jancinante sourde dans 1Fos parie'tal, le soir, en mangeant (le deuxie'me jour). 6o. Elancement sourd, qui s'e'tend du sommet dela ete jusque dans le palais, en traversant'le cervean. Elan cement du front jusqu'a' l'occiput, qjui 6te tout appe'tit. Petit e'iance'ment et arde'ur sur le vertex. Petite' douleur lancinante 'a I'os parie'ta1 et au front. Petits Ire'ancemens, semblables "a des coups d'e'piný1e, sur le front. 65. Douleur lancinante sourde, et quiqa 1'air de Fron ri un os, sur divers points de la te'te. sensation de froid siur le s 'om' met de la I-ete, avec s4bilit' doulouyeuse du cw~rechevein, et Qeclusion des paupieres. Le sujet se refroidit aise'ment la peau de l~a tete: il est oblige' de se tenir la tate ex,lop I Quandri~l reste!a tete de~couverte dans l!a journ~e, son nez sebouche la nuit. Sueur aila tate, le matin, seuleinent, en se levant. 56o, DO CTB INF'14M OE OPMXTHIQUE. 7 o. Pru rit S117-le1Ccuir chevelu, pP oblige 'a se gratter souvent (le second jour)., Violent prurit suir la te'te et 'a ]a nuque. Prurit sur'Ia tate et dans la barbe, qui oblige "a se gratter. La peau de la tate/'sent mauvais; les cheveux se collent ensemble. -Eruption pruriteuse sur le bord de la chevelure, 'a ]a nuque et aux tempes, ainsi quie dans les'sourcils. 7 5. Croiutes sur la te^te. Les, chev'eux tombenit dies qu'on les prend dans la main; les poils me'rme desjcworis tornbent (le second jour). Chute des cheveux. Mouvement *de la peau de ]a e te, de la nuque vers, le front et dui front vers Ia nuque.I 11 semble que la te'te soit gonflee en dedans. 8o. Petits tubercules durs au mnilieu du front et ai la nuque, qui causent une douleur briulante. 1orsqu'on y touche. Sensation comrnc si ]a tate e'tai~t serree par une c~orde (le sciziewe jour). L'apre's-inidi, beaucoup de chaleur dans la tate et ]a figure. Boujilonnement du sang vers la teAte, avec: sueur au front, 'a midi (le second jour). Eruption miliaire at ]a peau du front, qu'on ne remarque qu'en y touchant., 85. Face luisante et grasse. Face terreuse, livide. Teint jauna'tre, livide, avec douleuir dans le c6t6 droit dui bas-ventre. Gonflernerit dui o e gauche dee Ia face et des 1e~vres. SEL COMMUN. 561 Eruption dle boutons aue visage. 90. Un furoncle sur ]a joue gauche. Le bord de 1'orbite gauche. est douloureux, nais seulement au toucher, comme Si l'on s'y 6'tait donne" Un coup.Pression au des~us de N'eil droit, semblable 'a celle que-produirait uine tutneuir; cette sensation augmente quand on rek~ve les sourcils, et dure Lin jour et deini. Un furoncle au dessus de l'oeil, qui fournit beau-. coup de'pus. Trernblement des deux paupie~res pendant quelques semaines., 95.0 Fort tressaillernent des paupie~res. convulsion dans l'angle externe de N'eil gauche, Ic soir sur'tout (le quatri~me jour). Quand on vent dormir, la paupie~re droite-se rouvre spasmodiquement, avec: une pression doulou*retie, et ensuite la pauipiere superieure tremble. Occlusion spasmodiqUe des pan pihres, le rnatin, en selevan, et le soir, pendant le crepUscule; on sent la, constriction, ine~me en les fermant. *Pression dans, l'oeil, pendant le cre"puscule du soir. 100. Au grand air, sensation de se'cheresse dans les yeux, comme apres avowr pleur6' long-temps. Pruritauxyeux, qui obligre A se gratter. Prurit dans l'ceil. Prurit dans l'angle externe de N'eil gauche (au bout d'une demi-heure). I/ i o lent prurit dans l'angle interne de l'eril gauche. xo5. Doulew' lancinante pruriteuse au dessous, de I'ceil gaucbie (au. bout (le dix heures). Elancernent clans l'mi~l droit (les septie~me et qua-s torzie'n-e jours). if. 36 SEL COMMUN. 563 i3o. Tous les objets semblent converts d'un voile Mince. Incertitude de ]a vue; les objets s'effacent quand on les regarde. Les yeux se perlent (le second jour). En lisant et en dcrir-ant, la vue se perd; on'sent dans 1'ceit droit une pression qui se i'~pand jusque dans la tete, mais qui disparait apre's qu'on a fait quelques tou rs. Le matin, la vue n'est pas sur.-le-champ nette et distincte. 135. En fixant les objets blancs, tout devient vague et confus. Ine moiti6 seulement des objets est visible, l'autre' est obscure. Myopie (les quatrhiune, neuvieme jours). On ne voit pas bien de loin; on a comme une pluie devant les veux. On devient presbyte. 140. Un petit point couleur de feu devant les yeix, qui se dirige partout oi 1'on porte ses regards. En narchant au grand air, des poiits couleur de feu passent devant les yeux. On voit un zig-zag de feu autour de tons les objets. Une multitude de points obscurs et lumineux devant les yeux. Douleur contusive dans l'os jugal, surtout quand on y touche. 145. Douleur tiraillante dans 1os j'ugalc dioit (am bout d'une heure). Les poils desfaVoris tombent. Pression douloureuse dans les os d's pommettes et a oroieille. 564 564 DOCTR1INE HO-MOEOPATHIQTJE. Compression doulour-euse dans l'articulation de la n-ichoire, au devant de l'oreille, qui se fait surtout sentir avec force quiand on otivre la bouche.,1 Elancemens sourds dans l'articnlation de ]a ma^-. choire. i5o. Derri er~e l'oreille, pression quand on boit vite (le troisie~me jour). L'oreille gauche devien t chaude, pendan t plusieurs soirees. Chaleur "a 1'oreille ou au. lobule, pendant plusicurs jours. Prurit au lobule del'oreille. Derrie're l'oreille droite, prurit et ensuite ardeur continuelle. 155. Prurit dans l'interieur de I'oreille dro ite. Sensation "'d'un d'ancement pruriteux continuel dans le lobule de l'oreille droite. Elancemens tiraillans dans l'oreille droite. Douleur lancinante et tiraillante, sourde, dans 1'o.. reille, qui descend de hIa au, cou. et jtosque daus l'articulation de l'e'paule. Doul eur lancinante sourde dans I'oreille droite, en avalant et sans avaler. 16o. Mal de dents, qui cause des tiraillemens dans l'oreille, avec Ibeaucoup d'M'ancemens. Craquernent non douloureux dans l'oreille, en in~tchant. Bourdonnement dans 1'oreille, le matin, dans le,lit, et quand o9n. est assis. Chant dans'l'oreille gauche (de suite). Bruit soudain Ai travers les oreilles. 165. Sorte de coup, suivi d'un long tinternent,' dans 1'oreille gauche. SEL cOMMUN. 5D65 Duret6 de 1'ouie (1bs sixi eme, septi~me, dix-septie'me jours). Le conduit auditif est gonfl6' et l'OrteilLe jette. L'oreille droite- jette, pendant plusieurs jours. DouleurI ti rail lante dans les os dui nez, surtollit "a la. racine du nez et vers 1'os de la. pomimette. 170. Petits boutons blancs autour dii nez. Prurit A 1'aile gauche du nez. Beaucoup, d'arnpoules cuisantes sur la. racine dui inez, qui se couvrent de crou~tes. En se mouchant, Iair s'engage 'a plusievrs reprises dans l'angle interne de l'oeil gauche, ' a ] racine du n~ez, (sac lacrymal?), apre~s quoi la partie reste cuisante~sur.7 tout quand. on y touche, 1'a pres-mnidi (le second jour).. ITr~essaillement et convulsion dans les muscles, au. cote" gauche de la racine du nez. 175. lnemroitie' du nez est insensible et coinme.morte. L'aile gauche du nez est enflamme~e, rouge, chaude et gonfl~e': elle cause une douleur cuisante, surtout quand on se m-ouche (le second j'our). Sensation de'se'cheresse dans le n~ez (le septie~me jour"). On rnouche beaucoup dle sang caill~l Saignement de nez en se baissant. i 8o. Grand saignement de nez- en. toussant, la nuit, pendant lequel on erprouve une douleur contusive dans tous les membres. Sensation de cuisson. dans les coins de la bouche, quand on ouvre celle-ci. Ulceration h un. coin de la bouche. Gonflement de ]a le'vre inf6rieure et du bout de la 566]DOCTRINE EOMtOEOP.ATHIQUE. langue, o A se fait sentir uneq-,vive ardeur, qui r'6 -veille ]a nuit. Les le~vres sont entiereinent gonfle'es et couvertes dle grosses anipoules:leur partie rouge est excoriee, et~ la laingue parsemee de ve'sicules cuisantes. j 85. Eruption sur la partie rouge des deux ky'res, qui cause une douleur cuisante. Beaucoup d'ampoules 'a la par tie rouge de la kevre inf~rieure, qui causen't une do-uleur bruilante et cuisante lorsqu'on moujile ]a 1l.vre. Ampoules qui se convertissent en croutes, sflr ]a partie rouge de ]a 1l~vre inf~rieure. L~e soir, ]a l'vre iinf~rieure devient comme cas'" sAnte; sa ýpeau se de'tache,,, elie devient douloureuse", et z~Ielle's gerce dans le milieu en d'ernuant. Une profonde gerciire douloureuse "'Se forme- au milieu de la hw~re supe'rieure. 190. Douleur de'chirante lancinante, qui s'6tend de la le'vre supe~rieure jusque dans l'oreille, "a travers -la joje, Fournillemnent et e-ngourd is sernent dans les kevres, le soir surtout. PRrurit d~ans lIft barbe, qui oblige 'a se grat,tepr. Chute des poils de ]a barbe et du pubis. Tache rouge et pruriteuse au-men ton, qui s'uAce're apres qu' 7on 1'a frott~e. 1,95. Douleur dans, les glandes sous-maxiIIaires, co.m me si. elles e~taient tumefiees., cornprimees et contuses (au. bout de trente heures)... Do~uleur d-ans les glandes sous-ruaxillaires, quand on se penche en avant. Douleur dans les glandes dui pu en toussant., Douleur tiraillante au col, alIa r'gion du larynx. SEL OMM~UN. 569 Fourmilleinent dans la langue, qui est comme engourdie. 235. Gonflement sous Ia langue, qui cause une douleur lancinante. Ampoules sur I"a langue, qui causentune douleur brilante en mangeant. Ampoules et excoriation dans ]a bouche, qui causent beaucoup de douleur. Points ulce're's dans la bouCi, 'a la gencive et "a la langue, oii les alirerns et les boissons causent de ]a cuisson. En bailiant, un lancerent derrie're l'amygdale droite, qui se dirige vers l'oreille. 240. Mal de gorge, comme s'il y avait un corps etranger dans la gorge, en avalant. Douleurs lancinantes et parfois pinýantes dans la gorge, depuis le larynx jusque dans roreine. Mal de gorge; M'ancemnent an cote'gauche, dans la gorge, en avalant. En buvant (et non en mangeant), secousse ' la re'gion du cartilage thyroide, qui est douloureux aussi au toucher. Les boissons tie'des paraissent froides dans le pharynx, comme si cette partie etait plus chaude qu'at 1'ordinaire. 245. Le pharynx est corme r6tr'ci, et la deglutition difficile. En baillant souvent, le c6t6 droit de la gorge se resserre; ]a douleur s'etend jusque dans la nuque, qui en devient r'aide (le troisierme jour). Douleur dans Ia gorge, comme s'il y avait gonflement de la glande sous-maxillaire, qui n'existe cependant pas. $70 ~7O DOCTRINE IIOMIOE0PATHIQrJE. Se'cheresse dans la gorge (le troisi A ou) La langue est toute seche,, sans soWf. 250. Le matin, la langue est cbarg~ee jaunatre, avec go1u1t fade' dans la bouche (le troisie~me jour). Soif, et cependant prescjue pas d'envie de boire. Beaucoup de soif, le soir (le troisie'me soir). Le soir, pas de soif et gou~t aqueux dans ]a bouche, avec de'faut de secretion urinaire (le dleuxi mne jotir). Gocz fade, aqueux, dans la bouche, avec de'faut d'app~tit; cependant on trouv'e assez bon ce qu'on mangeI. 255. Salive aquenuse, inDsipide, dans ]a bouche (sur-le-charup).I L'eau vient tonjours "a Ia bouche; on est con tinuellement oblige' de cracher. Le soir, dans le lit, afflux de salive abondante a ]a bouche,. que le suijet avale do travers, ce quiIl.Iii cause un violent acce~s de toux (le premier soii'). Le sujet avale souvent de travers. Go Uit. vi~squeux. et paiteux dans ]a bopiche, quoiqu'on ait de 1'appetit et qu'on trouve les alimens bons (au bout de quatre, cinq jours). 260. Beaucoup de mucosite's dans hA gorge. Le matin, gou~t amer dans la,:bouche., Amerturne de ]a bouche. Deux matins de suite, on arrache beaucoup de mucosite's vertes de ]a go-orge. En fumant, on est continuellement oblige' d'arracher du mucus de la gorge..265. Rapports incoruplets. Rapports Ai vide, de temps en temps (le premier' jour ). Rapports 'a vide toutes les fois qu'on a prits quel-. 572 DOCTRINE HffOMOEOPAT1IJQuE. Tournoiernent dans, 1'esto'mac, avec envies de vo. mi' (au bout d'une demni-heure). Douleurs semblables 'a des coliques, dans l'es'tomac, avec nausees., le matin, en s'6veillant (le donzi~m e j o ur)..285. Jnmm~diatement apre's avoir mange', le sujet se trouve tres-ma1 a son aise, a P.uiusrpie;i a souvent des rapports amers, pendant deux heures, et sa tete est tres-lourde. Ape'~s avoir mangCe, pressioni d'estomac, puis, serrem ent de gorge, nausees, vomissemnent d'abord des aiim ens, puis de bile, et coliques daps le ventre. Le soir, Ia ~bie're a un. gofit fade et aqueux. Le manger repugne; pas d'appetit. Le caf6 ne plait pas.!290. Plus de god'tpourfumner,1 quoiqn'on en ait 1'habitude. La ffumee de tabac cause de la sueur et des tremblemens,- quoiqu'on y soit -accoutume. R epugnance pour le pain noir. L'eau, aN laquelle on trouve ordinairementUri gou~t agreable, a maintenant une saveur putride ( le premnier jour). Le soir, pas d'appetit. 25Lesoir,'ps 'pptit; apres qu Ion a mang6, de~goiuit et Presque des nause'es. Apre's avoir mange' sans appeftit, naUSe'es (et acc~s ýde' spasme de poitrine). Le soir, appe~tit excessif. Le matin, soif vi ve; a pres avoir bu un pen de lait chaud, chaleur sur-le-champ par tout le corps, avec un peai de tremblenient. SEL COMMUN. 573. App6tit, mais point de faim quand on veut manger. 3oo. Ni faim, ni appe"tit, sans cependant qu'on ait de mauvais, golult dans la bouche. Tre's-pen d'ap'petit, qui cependant vient en mangeant (au bout de, trois jours). Le sujet est oblige' de manger souvent, car an bout d'une heure ii a de nouveau faim. Beaucoup d'appe'tit, et cependant peu de goi~t pour Jes alirnens ( les premiers jours). Sentiment frequent de faim. 3o5. L'apr es-inidi, apl'es avoir bu de I'eau, sensation comme de faim dans l'estomac, mais sans ap.petit. Sensation de vacuite' dans 1'estomac, comme si ofl avait tine grande faim, et cependant pas d'appe'tit (le premier jour). L'estomnac est douloureux comme lorsqu'on a faim, et cependant on est de suite rassasi6 d es qu'on mange (le onzie'ne jour). Sentiment comme de satie'tt et de surcharge, l'apres-midi. Sensation au cardia. et derriere le sternum, comme S'iI se trouvait la" un corps eftrangrer. 3i1o. Apre~s avoir mnange, saisissement 'a la region precordiale. L'apre's-midi, ai cinq heures, resserrement spasmodique, de 1'estomnac, avec sensation de froid dans cc visc "re et dans le dos, pendant le' reste de la journee (le quatri~me jour). Apre*s, avoir inang6', pression cuisante dans, I'estomiac. 576 576 DOCTRINE HOAMOEOPATHIQUE. En ployant le trouc "a cgauche, sensation de raideupr daus ]a region du foie. 3415. Tension douloureuse (lans le coke' droit du 'ventre. Pin cement douloureux dans le c6t6' droit dui yentre, qui rend la situation sur le-cote' gauche insupportable (le quinzie'me jour). Pincernent douloureUx dans l'hypocondre. droit (le dix-neuvierne jour>I Douleur te'rebrante, lancinante, dans la region ombilicale, 'a droite, le soir, tandis qu.'on est assis (au. bout de trente-six heures). Pression te'rebrante dans la region des fausses cotes gauches, suiv~ie d'un. mal de te'te compressif et~etourdissant. 35o. Raideur daris l'hypocondre gauche, qui semble cause'e par des de'placernens de vents, I'apre'sruidi. Pression. lancinante dans l'hypocondre gauche, qui se fait sentir surtout en miarchant vite. Elan cernens dans l'hypocondre gauchie,- en respirant. Pincement lancinant autour de l'or-nbilic. Pincement dans ]a partie supe'rieure dui ventre, avec douleur d'estomac. 355. Pincement et pression dans ]a partie sup&'rienre dui ventre. Pin cement tiraillant douloureux dars le Co t6 gauche de la re~gion ombilicale, qui s'e'tend jusque dains le rectum et l'anus.* Tous les jours, fre'quens pincemnens dans tout le bas..ventre, dans les co'ies dui Ventre et vers le sacrum. Le matin, dans, le lit, colique, sorte de pincement S'EL COMAIUNOIUn' 577 et de cuisson, puis pression et cuissor dans le dos et les omoplates, qui cessent quand on se l6ve. Coliques, le matin, en sortant du lit. 36o. Coliques depuis le matin, mais plus fortes 1'apres-midi. Gargouillemens, apec dlcbirenzens, dans le basventre. Le bas-ventre se gonfle souvent et semble comme plein. Les boissons gonflent beaucoup le ventre, dans lequel une fluctuation se fait entendre (le second jour). Deplacament de vents. 365. Colique venteuse, surtout en se remuant (presque de suite). Le matin, en s' veillant, colique, qui parait due a des vents spasmodiquement emprisonne~s dans le bas-ventre; douleur compressive et tension, avec violent prurit le long des parties genitales; apres tin sommeil de cotirte duree, la colique avait disparu, sans qu'il fE1ht sorti de vents, et le prurit avait cess6 aussi (au bout de trente-six heures). Les vents circulent dans le ventre et dans ses par. ties laterales, sans qu'il en sorte un seul; en nnme temps, la tete est lourde, et un,bourdonnement se fait sentir a son sommet; bourdonnement d'oreilles et obstruction des deux narines. Constriction convulsive du bas-ventre, le matin, dans le hit. En marchant, les visc~res du bas-ventre causent de ]a doileu-r, comme s'ils etaient d~taches ct pesans, et qu'ils fussent an moment de tomber. 370. Sensation autour des hanches, comme si tout III t 3,3M 578 ]DOCTRINE HOM0VOPA-THIQUE. etait trop 6ftroit; le sujet est oblige' de re1 tcber tous ses vetemens. Tous les matins, pression dans, le bas-~ventire, pendan)t u~n quart d'heu re, A la partie inf~rieure du ventre, dans Jes aines, dow~d~ur en se levant de dessus s~a chaise et xnarchant vite (au, bout de onze jours). La hernie inguinale sor~t. Diarrhee apres une ernission de vents (le dotizi m~e 375. Emission d'une tre's-grande qwantite'de renltS. Vents ayant 1'odeur d'oeufs pourris. Selles irre'gulie~res,, instiffisaptes. Violente en vie d'aller "a la. selle, sa~ns qný'il sorte rien (au. bout de trente-six heures). F. eqientes envies d'aller ' ' la selle, qui produisex3t peu d'effet cependant (le sixie'me jour). 38o. Violentes envies d'aller "a la. selle: on pe~ut at pei~ne se retenir un instant; selle en bonill~ic (le second matin). Selle en ternps ordi~naire, mais qui exige beaucoup d'efforts (les premiers jours)..Selles du~res, Jes premiers jours, plus molles en-. suite..Diar~rhe'e comme de l'eau (le second jour). Selle m~he'l' e sa-ng. 385. DUI sang cai~l6e sort avec une seile convenaible. Ayant d'at11er A la selle, pression dans lebas-ventre, ai ]a re"goion de ]a vessie. Douleur culisante dans le bas-ventre avant Hailer ai ]a selle, chaque jour. Colqiqe ava 'nt dWaller 'a Ia selle. 39o. Pendaipt ]a sortie d'Iune selle, qui nD'est pas / SEL COMTMUN 57 9,uie, on d'un vent, douleur dan's le bas-v6nr~ semblable h celles, de 1'accoucbement; pressio'n de haut en bas; on est obliaeg'de s'app~uyer avec l~es mýa'i-n~sý;I Ia douleur cesse aussito~t apx'es la sortie des matieees. Apr~s avoir.&~tIQ'" a selle, on e"pro uve, encore uný grand mais inutile besoin..4'pr.??s avoir 4(e' 4 lq selle, coliques com Me SI". la diarrhze'e allait surr'eni.r, mais sans resultat- (le matin). Te'esme daps le rectum,, sans, selle (au. sortir de table) (le troisi&,me jour). P~ncemens fre'qu-ens dans, le rec~tumn, Avec en~yies d'aIlera' la selle, qui n'aboutissent cependant qu'a" une emission de vents et de muctig. 395. Elan cemens fr'qu ens dans le rectum, surltout Grattement dans le rectum en rendant une sel.Ie dure. Apre's une selle dure, ardeur dans l'anus (Ie clixncuvie'me jour). Apres une selle mcdlle, ardeuir dans I anus (Ic se'p-K tie'me jour). Excoriation cuisante i1'a an'u s, a pres une selle' molle. 4'oo. Le -rectum est comme retrkci- quand on Va a ]a se-fle.; de grands efforts n'aboutissent qu% ifairre'so'r-' tir un morceau dur, qui de'chire le rectum'; Pi-ntestin" saign.e et. cause d~e ]a cuisson; ensuite toutes les-sdeles sont Iicjuides; constipation tous les deux joudr'sres" serre,ment spasmodique dans l'an'us. L'antis est excori6 et chaud.CQnstriction spasmodi'que danis I'anus. Prolapsus d u rectum, a vecsum teimnent d'une' g-r~aft-de 58o DOC'miINE HOMOEoPA.THIQUE. quanti 'te d'icho~r sanguinol ent et ardeur 'a1'anus; ]a don leur emlpeche de dormir pendant ]a nuit (au. bout de, quelques heures). Elancemens "a 1'anus, qui remiontent dans le recturn, hors des mom ens oiui l'on va Ai ]a selle le premier jour). 4o-5. Le soir, dans le lit, MIancemens pruriteux dans le rectum. Darti'es "a 1'anus. 'Violentes douleurs dans i'anus et 'a la. regioni de ]a vessie. Pression sur ]a yes sie, hors des uotnens oiui Pon urine. Pression sur ]a 'vessie et dans le bas-ventre, en urinant. 41o. Fre~quentes emnissions d'urine chaude. Le sujjet est oblige' d'uriner quatre fois pendant Ia nuit. Frequentes envies de pisser;6emission d'une grande quantite" d'urine, de couleur noirattre. Grandes envies d.'Lriner; imp'ossiblit6' de retenir 1'tirine, qui. coule abondamnient (au bout de dix he'ures)..Q uciques envies d,'uriner si pressantes,' que I' rine se~rait presque sortie involontairernent (au bout de douze. heures)..4,t5. L'Vurine coule involontairement en marchant (le..vingt,-unie'me jo~ur). Ardeur dans l'ue'~tre, en urinlaut. En urinant, sensation., d'a-rdeur dans l'ure'tre. Ardeuir et,prurit ' l'orifice de 1'ure'tre, le soir, enl allantSe coucher (le, premier jour). 'SEL COMMUD(.58 Elancemlensprurit'eux (lans 1',ure'tre., hors de's momens oi'i 1'on urine, phi'sieurs jours de su'ite. 420. Prurit "a I'orifice de l'ur~tre, qui donne envie d'uriner (le second jour).,Douleur cuisan 4fte dans 1'rktre,. quand on- le comnprimne. Sensation lancinatnte dans ]a verge, en uri-na-nt et m~nme sans uriner (le vingt-sixieme jour). Urine de couleur tre's-claire (le deuxie~me jour).L'urine ne tarde pas a de~poser, urisediment ýbri.. quete6. 425. Sable rouge dans 1'urine. Tiraillement dans l'ure'tre, apres avoir rurin6. Queque miute'ap~saoirurine, iI survient,'un de'chirement dans l'uretre. De'chirement et' ardeur apres avoir urine, cvec ecoulement d'an mucus liquide, pAi laisse' des ta ches transparentes et r-ai~des sur le linge. Apre's avoir urin6e, it sort uin liquide' lactescent (hum cur prostatique?) 43o.- Apre~s avoir urin6, iA sort encore par 1'ur~tr~e un. liquide qui cause dii prurit et ensuite de 1'ardeur (le froisie'me jour).' Ecoulement par I'rktre d'un pus jaune, qui Wkai e' des tach-es-sur le linge, comme un'e vrai'e g onorrh~e, mais sans douleur dans-l'uretre, et seu'lement avecý un. peu Ide.tension, dans 'les glandes inguinales, qui ne.-sont cependant pas, sensible ment tuin6fie~es (att bout de vingrt.neufjou rs). Ecoulemient, de'semen ce, la nuit (la. deuixie'me nuit). Pollution (chcz un hommne mari6') (Ies quatrienih, dixieme nuits). 582DOCTRINE HOMOEOPATHIQLJE. Pollution avec cuisson au glan-d. 43 5. Apres des, pollutions, froid dans les a*rticul-ations et lassitude. Apre~s une pollution, de'chirem'ent dansTl' ure't re.,Point d'6'rections ni de pollutions, pendant. cinq semaines..,Peu de- temps, apres le coit,. pollution, qui- se 01r pte trois nuits apre's. Appe'tit ve'nerien plus vif (au bout de huitjourý). 54.Excitation. volu ptueuse-, qui se manifeste tout a coup, quand on est assis, et se dissipe en marchant. Lascivete&,,le so~iry,dans, le lit. 1ForTte erection, (le cinquie~me, dixie'rme jour). Erections, le inatin, sans de'sirs.,Apres une frection, le matin, ardeur dans I" r~t~re. 44, ~ud'appe'tit ve'ne'rien, et lente ejaeulat'ion* pendant le coit (le treizie'me jour). -Le prepuce se. retire derriere le, gland, d'o& sensation de se'chere~sse et de frottement lorsque le gl-an d toQuche aux habits, en, marchant (Ictroisieme jour). Mouyement convulsifdcans Ia- verge. Secousse dans Ia verge, hors des momens o& ' ori Ur. neo D~ou~leur tiraillante. dans l'anneau inguinal, qul s'~t~e~nd jusq-ue dans les testicul~es.,4,5o,. Quelques petites taches rouges au gl-and. prurit etfiournmillem~ent a'. Ia courcanne du glanzd, qui excite "a se gratter. Prurit au bout-du~ gland, qui, oblige 'a se gratter. Rougeur an bout dui gland. Grand~es demangeaisons et suinternent a',,Ia eon-. ronne du gland. SEL COMMUNu. 583 '455"., Prurit -(qtuelquefois semblable 'a un e~lahcement), "al'orifice du gland, qui e-st collh' comrme par de Ia `gorfnn'G (liqueu'r prostatique?) (le premnier jour). -Forf prurit au scrotumt, au dessous de, ce sac et "a Ia peau de la cuisse gauche, su-r un petit point rouge et enflarmm' (au bout de sept jours).Pr urit ctfisant, insupportable,.le long des parties genitales, qui n~e se, dissipe pas par le- fr-ottement, mnais cause une douleur cuisante (au. bout de vingt-. cpiatreý heures),4 perndant plnusieurs semain-es., Prurit au mont'de Ye'nus. Chute des poils dui mo-nt de, Ye'nu.s. 46o. Les regles retardentra de quatrie' jours, (au~bout d'e-vi~ngt-sdpt j ours).;'.Les r~gles ne sont que le tiers- aussi abon-dantes qu'At l'ordinaire, quoique yen anti ' terme (le cinqutiie,,m Le premier et le second jour, les re'gles. sont pe't) abondantes,. mais le sang coutle' davantage le traisibme jour, apres tune douleur dans, le'venare qui ressem.]Ae Ade, la caisson., Anxie't6 avant les re~gles. Le matin, quelques heures avant 1'apparition-des regles, (teta*rde'es), la, femme est p~rise d'anxi~leiilu rernonte dti liquiide ~douceft-re-dans' Ia gorrge';. apre"S quoi elie crache un pea de sang avec la salive. 465. Penda~nt lesv rr'gles u-n pea &a4axiete' et quelquoa syncopes, avec froid aux lo'rfes et ohaieur int~ern,&, Mal del dents de",hirant,, pendant -les ýr~gles is qu~and fair entre. dans la bouchei LId-touileur. ddvie-ntlancinante. 584 584 DOCTRI-iN HomOEopATHiQuE. Apre's les re'gles, la te'te reste entreprise et lourde, comme si le sang s'y poi'tait. Le matin, coliquies, comme Si les re'gres allaient paatre; douleur constrictive, et pression de haut en has, apre's quoi sur'vient tin efcoulement par le vagin (le quatrie'me jour). Ecoulernent tkes - considerable par le va-gi'n (au. bout de huiit heures, de de ux jours). Haleine forte. Sensation de se'cheresse aux ouvertures, nazales poste'rieures. Se~cheresse du larynx, le matin, en s'A'veillant-. L'haleine a 1'air d' e"tre chande. 495. Obstruction des narines, comme dans un coryza, quciques e'ternuemcns,, enrouernent (le second jour). En expirant, enrouement, sifflement dans, ]a tra-, che'e-artere. Gratternent dans le la'rynx, cornme apresý le soda rance (au bout de six heures). Grattement au larynx;- le voix devient rauque (au bout de vingt heures). Grand enrouement, le matin. 48o.'Le'rmatin (apres avoir bien dor'mi), enro'uement eT toux, ar'ec beaucoup de 7nucosite~s dans la gorge. Grand enrou~ement (les premiers jours). Eternuemen s fre'quens pendant plusieurs jours. Fourmillement clans le co'te droit du nez (avec pression dans 1'oeil droit), semblable A, celui quii precede 1'6ternuement; it ne cesse pas quand on se rnouche, mais 1'fternuernent ne stirvient pas non plus.I 586 DOCTRINE 3{OMOEOPATHIQUE. 5o:5. En toussan t, on e6prouve souvent dans le pha-e rynx etl]a trache'e-art~re- la meme sensationý quo Si ces parties ktalent a& vif. La marche ani grafyd. adtkiP (Aa oleil) ptioda~it U, tfh sensation &e ias~iiude da~nsý la p6itrine:, qui oblige "a parier bass En inspitant profond6-ment., d'oul-eut claiis' le bat-. ventre., Pouleur dan's le" milieu useiiri u7uei~i ration profoncle augmente., La. poitrinie est doulo u~reus'6 soils le brPds gaucehe, ta Ant krsqu'on respire' que quand oh r n'mtf6 I6bras. 5 1o. Doulueursim'ple dans. fa. poitrinie, par acces couirts. Pressio'n eh avan't, sur ]a poitrine. Apre~s e~re reste d'ebout ou avoir beauc oup Pade', douleur com~pressive de poitrine, pend'ant, un quart d'hetre. Pressio~n dauis le co~t6 gauche de!a p~oitrine (le quinzie'me jour). Le matin, olur opesi-ve la, region. dui coeur. 1i5. Au sternum, endroit qui, lorsqu'on y touchle, fait 6prouver une douleur contusive. Doul1eur eontusive dans le coke' ga~uche de~la, poitrine, sensible q'uand on se ploie en avant et qu'ou1 respir-6,. m~is- insens~ible auý toucher. Au co~te' gauche de ]a poitrine, tache qui occ-a~m stone u-ne douleuiý conftusive... Lap1oitrinie est douloureuise ext6rieti~ro~rnen~tc.ommneý si- 1'on: yavait r6ýu deg, contusions-., Douleur comme contusive aux d-eraVifesýetkes',S 588 588 DOCTRINE IIOMOEOPATHTQIJE. superieure gauche de la poitrine jusque, dans l'articulation de l'e~paule, Violente pression aii-dessous du cocur, comme Si quelque chose remontait du bas.-ventre vers la. poitrine ( le soir, dans le lit), avec battement de cocur, momns fort que rapide; cette sensation augm11ente en so couchant sur le c6t6' gauche, diminue sur le droit,, et persiste j~usqa'au moment de s'endormir. 535. Fr equens battemens de coeur, a six, huit, dix pulsations. Battemens de cocur, quand on se tient debont. iBattemens de coeu-r, avec anxie'te. Tons, les jours, batternens. de caear, queiquefois avec anxie'W~. Battemens de cocur, avec pression au coeur, qui cdnunpen- par l'application de ]a main,(sur..le.. champ ). 54o. Mouvement tressaill-ant du coeuir. -Douleur contusive au cocur, le matin, e"tant couch6' dans le lit. IPresque tons. les jours, batternens, de coeur qui causent de l'anxie'te (sans pense'es inquie~tantes), et durent cing minutes, on me'me des heures entie'res (au bout de sept jours). La poitrine est fort oppresse'e, cornme serree, avec ardour dans los, mains (le huitie~me jour). Sensation d'anxie~te dans ]a poitrine. 545). Anxi.6te dans la poitrine-, avec pr'ession 'a la region pre'cordiale, qui so fait surtout vivement sentir apr~s tine inspiration profonde. Asthme. Oppression, do poitriie, avec ý pression an milieu SEL COMMUN. 589 dii sternum, quand on se remue, pendant; un, quart d'heure. Tous les jours, une sorte d'oppression douloureuse de poitr~ine, semblable 'a de ]a pression, quand on se redresse apr' aoir " t assis ploy6f en deux. Douleu'r et oppression sur la poitrine, en respirant..55o. Oppression dans, la chamnbre; quelque faihie q'il se sentit, le sujet fait oblig6e d'aller au grand air, qui le. soulagea. Le matin, en s'6'veillant, chaleur de'sagreable dans ]a poitrine. Convulsions sous le bras d roit, qui descendent dans lecote. Violent prurit 'a l'exte'rieur de la poitrine. Grand pruirit an sacrum, le soir, dans le lit. 555. Forte pitlsation dlans le sacrum (le premier jouir). De temps en temps, un d'ancement dans le sacrum (au b)out de vingat-six jours) Douleur au sacrum, quand on se redresse apres avoir ete long-temps baisse&, Aprs ~tre rest f quelque temps baisse, le sacrumn est douloureux. 'Mal au sacrum; douleur comme contusive en se baissant et se re~dressan't. 56o. Douleur paralytique au sacrum, tre's-vive surtout quand on se redresse. Paralysie dlans le sacrurn, le mnatin, enl se lev'ant. Faiblesse dans le sacruim, comme si les lombes etaient paralyse~es; le suijet ne pouvait ni rester, ni marcher droit,.et c'6'tait cotiche' qu'il se trouvait le miceux, touite lai jorn~ee, surtout apres le diner. 590 DOCTRTJXE HOMOEOPATHIQUE. Le matin, en se levant, paralysie dans il sacrum et le dos. Zhaleur et tension dans la region r nale, m~me etant assis; ensuite la promenade fitigue pronptement. 565. Eruption de boutons sur le dos, avec prurit, le soir, dans le lit. Tension dans le dos, qui oblige h s'6tendre et " s'allonger. Raideur dans le c~te gauche du dos. Douleur tiraillante qui remonte dans le dos (Ie quatorziePme jour). Chaleur brihdante dans l'omoplate gauche, comme si on avait vers6 de 1'eau chaule dessus. 570. En rapprochant les omoplates (et non en faisant une inspiration profonde), elancement sous celle du cot6 gauche. Ti raillement et dechirement dans l'omopiate droite, qui obligent " faire une inspiration profonde. Vive douleur comme 'contusive dans le dos et en. tre les omoplates, qui ne se fait sentir que quand on est assis et surtout couch6, mais qu'on n' prouve pas en marchant on en travaillant. Douleur et d6chirement dans les Qmoplates, avec raideur du dos et de ]a nuque. Raideur J la paqrtie supe'rieure du dos. 575. Raideur du col et de la nuque. La nuque fait mal quand on tourne un pen la tate. Douleur ai la nuque, comme de luxation, de contusion on de fatigue (le second jour). Douleur. comme de luxation ou de fatigue dans l'articulation de l'epaule. SEL COMMUNO 591 Douleui' dans 1'articulation de l'6paule, qui empe~che de rerrliuer le br~as (le huitie'me jour).,58o. Douleur contusive dans l'art~iculation de le'& patic'., qui ne permet pas de soulev~er cette dernie're. Le xnatin, dang le lit, en se de~couvrant, douleur rhumnatismaic, sorte de tension et de tiraillement dans l'articuilation de lYe'paule. Autour de lFarticulation de l'~paule droite, a-u commencement des muscles deitoides, remuement douloureux, le matin, en s'e'veillant, qui rend le bras cornme paralyse', mais qui n'augmentc pas par 1'attou~chemen t. DAchbirement et tiraillement dans l'aisselle droite, et plus tard. aussi dans le bras. Douleur d~chirante an coke' poste'rieur de 1'articulation delF'~paule et de l'aisselle, le jour et ]a nuit, dans lc lit. 585. Une glande tr~s..gonfle'e(lans le creux de l'aissellc ciroite. IElanceinent sourd et de~hirant dans Ic creux de J'aissellc ga~uche. Ardeur cuisante dans les deq~x aisselles, oi A ii survient du gonfle~ment apre's qu'on s'est gratt6..Douleuir dans le muscle delto'Ide, quand on le~ve ui peu Ic bras. Douleur contusiv-e clans le bras gauche, plus sen.siI~e dans 1'arficulation quc partout ailleurs, quand on he've le bras, et qu'on le porte soit en avant soit en arriere, nulle lorsqu'on Ic laisse tranquille. 590. Douleur comme de brisure dans les os dii bras. Ardelur dans le bras droit, la chaleur est sensible.M Ae ' 'exte'rieur ( les huit premiers, jours) 592 DOCTRINE HOM1OBIOPATHIQUE. Fatigue dans les bras, gui sont low7ds et tombent. Tiraillement dans le bras gauche, qu'il faut continuellement tendre. Dans le bras gauche, fourmillement, insensibilit6, engourdissement; le fou'rmillemeut commence au bout des doigts (au bout de huit heures). 595. Nombreuses taches dartrenses rondes et pruriteuses sur les bras. Boutons blancs pruriteux sur la pean "des bras et des mains; le frottement les rend rouges et augrente le pmurit. Engourdissement comme paralytique dans le bras droit, depuis la main jusqu'au coude; 1'articulation du poignet craque, quand on vent se servir de ]a main. Craquement douloureux clans le coude droit, en rernuant le bras. Secousse dans le coude droit; la main est comme paralysefe de douleur, mais t'extension du bras fait cesser celle-ci. 6oo. Frequentes secousses dans le coude gauche, qui font tomber presque tout dps mains. Tiraillement qui a 1'air d'avoir lieu dans le cubitus. Douleur comme contusive dans I'os de l'avantbras gauche, que la pression rend insupportable. Douleur de fatigue dans les avant-bras (le second jour). Douleur sourde dans les os de l'avant-bmas, qui augnente quand on laisse les bras pendans, et dininue quand on lesremue (le troisieme jour). 6o5. Dechirement paralytique an co'te interne de 1'avan t-bras. 594 DOCTRINE HOMUEO0PATMfQUE. Violent prurit aux doigts, le soir, dans le litj qui empeche de s'endormir. Les articulations des doig-ts s'e ployent -difficifle-. ment, tant elles sont douloureuses. Doule'ur contusive clans les, os des phalanges - Ante~rieures des doigts gauches', qui dev'ienht inisupSobrtable en appuyant dessus. 625.,IDouleur de luxation danis la, derrni&'epphalange dui pouce gauche (do suite). Violent d'chirernent "i la. phAlange ps~e~d pouce gauche, comme si on 1'arrachait. Acce's frequi'en-s de idouleur- dechirante da't' le poude: en arrie're et le doigt in-dicateur' en avant; apres quoi la main devient comme paralys~&.IElan cernont clans le pouce dr-oit (,1, quat~ziA~ine jo.Ur).. Elance~ment dans l'articalation ciu doigt ihdi cateur droit, qui semble- produ it'par tun coup d'e'pirng'le oil par unek~in&fiie de feuý. 63o. T'ension dans ILe'doigt inidi-cateier droit.. De'chirement,'clans le: tendon exteneu Ii og jindicateu r droit, qu'i re mon te- vers l'a-van t-brasý. Elancem cut Ian cinant Ct pru'ritetix d'a~sl'I'mtid;*dA~ ti-on m-edifane du doig't indicateur,. Tache d'un ruefon'c' iarbjr6 auto~edo igt de Ia main gauche, pre's de l'ongle'..Unle ampo'ule.pruriteisie sur le petit dloigt. 635. 11 se formue souvent des envies aax d~oigts. Aptres avoir eoup6 Jlos envies, lTendpoit s8"oife un peu, rougit, et cause une douleur cuisan'te qtiabd on 'appuie dessus. O Les premier et quatrieme doigts -so'nt enfl~MrIInMs et douloureux 'a coke'de. 1'oDgle. 5EV C01MMUNi. 597 "'Efian-celbient d'an's'1k genou gauache.".'Oaroil mnt sous fa pe~tdau d xgen'otigoilgeau'che" comnme s'i y avait e 'au., Un furoncle au ýgenou." "67.1. Les jambes sont pesantes;,elles -paraissent comme brise~es quand on monte un; escalier..Eruption miliaire' auxLjam-bes.,' quil-consiste en groupes senhlblables 'a des ifles, et qui cause un pmurit rongeanit, surlopt, quand' on y-touche. Tiraille-ment -spaism-odique dans fa jam be dro~ite, qui finit par s'e'tendrtejusque dans la, cuisse; en.,se tenant, debout ensui~te,, le; s1jet n'a plus d~e force dans les, jambes, 'pend-ant une heure.:', Raideur des mollets jusqu'au, genou, seulemejfl quand on est assis,,et -non en m arch~ant., Te7Zsi~on des mzo/lets..en marchzant, comme si les muscles taiont, trop, court s., 6,751 Leger battement dans le, mollqt'gauche. Au cotke.extemrne dii mollet e~rupt~ion mliliaire. ' petits, grains,.,qiP se repand jusque sum la cuisse. Grand, froi~d, aux pieds..(au bout d'un~e heure)'...' D~ouleur de luxation dauis 1'articulation- du pied., pendant plusieurs jcmrs., L'articulation dui pied est comine paralyse'e et comme engourdie en dedans', Iorsqu'o~n s'asse~oit et qu'o orpa rche;, le, suijet availt de la peine 'a rernuer le pied'. 66'. L'amticnlation du. pied 'e'st san's douleumr, comme paralyse'e ou engourdie, en res'tant 'as~sis"et en rnarchanit". Crainpe dans IeOs'jaiMrb e s Douleur 'en' nianit~e'e"d&"citanip& dAns Ia jarnb6 gauche (le cin'quienie jour).. DOCTRINREQ3OVýOAHQE Douleur lancinante, eip maniere de cramnpe ou de liution, dainas Ia jrnbe gauche, quand on, ma -rche. Le'ger battement dans tout le pied. 685. Tout le pied fait mat en maarchant. Dou~leurs de'chirantes passage~res clans la jatmbe gauche.. Engourdiss'ement qui'dure long-tempsclans le Jýespieds semblent tres-Iourds. IDouleur 'a la cheville interne droite,'en marchant, qui remnonte dans le molle-t e esMbl eleda ulc~re; ellea le, mefne caractere quand npreI main sur ]a pa-rlie, mais lorsqu'on reste ýassis ýelle n'eýst plus qu'etensive..690. Dechlre. entidans Ia-cheville dii pie.d dro'it, le mat'in, qii ad,''mente tellement jusqua'auoi, qu Ie sujet ne peut pas fermlie*r l'oei[ pen dant toulwe la nuteb, ftimneiemps' aussi, doutleu'rdans'le' dos.' Larticuati6on: post e"rieure du ''gros.orteil est rollge, froide e-t douil6iireuse a'u toucher, commne Ics~erait tin fu ron cl e e"i s e ten-ant debout- et: mnarchant., on y e~prouivedes e1ancemens et des de'chirem-ens, q'on se font pas sentir quand on-reste assis.. Prur'it Sur ie coucde-pied~. Prurt Ux 6rteils jEn-a'p'puyant Sur toute la `plat'upei wanifeste iunp ouleur 1a19cinatnte qu~ essemkie pne,ca=n~ý 695. Elancemens sourds clans les cors. Douleur te'r~brante danýpn,9ýr.-.'agceir~e ~erupe cm a. pt icaugr ipne douleur cuisante. SEL C 599N 11 survient 'a ]a paul-pe de la main. quciques, verrules qui sont douloureuses quand on appuye dessus. Ampoules sous.la, poau, qui causent p~n violent prurit. coo. Eruption or~ti~e ' la suite d'un grand mouye~nqui cause des cdemangeaisonspedn e heure (Ie second jour). Petits, boutons et petits furoncles, ý. cietlhi sur le corps. Bepiucoup de f!4 'roncl 'es sur le corps, (au bout de quatorze jours). I. Eruption miliaire stir tout le corps, avec des e'lan7, cemens dans ]a peau. Eruption d e petits boutons au ventre et aux jambes. 705. Prurit par tout le corps (les trois prenpieres sernaines). Prurit stir le dos et les, deux cuisses, qu~i oblige 'a se grat ter. Ape'~s une sensati~on de chaleur au visage et an ven tre, ainsi qu'aux bra's etaux jafrnbes, taches rouges sur tout le corps, g1rancles comme des tIetes de'pingle, et prulriteuses: apre's qu'on s'est gratte?, tout le corps est rouge; le tout daire une demi-heure. Chaleur interne pendant quelques minutes, sans, rougeur de la face; en me 6me temps, e~lancemens ýh et ki sur la, peau, parfois avec prurit. Chaleur extreme, et qui dure 1longr-temps, dans Ie sang, apres avoir bu un peu de vin. ~~s~ujetmrouchefite rache du s.n Une petite piqiuire an doigt saigrne de nouvieat, pedi hseurs jours9de sui~tp. Pouls, tre's-plein et vite, en se tenant debout. 6OO DOCTRINE HOIMOEOPATHIQUE. Pouls et respiration plus acc~l6res, surtout apris avoir bu. Le moindre mouvemrnent accle're le pouls. 715. Le pouls se fait sentir par tout le corps, mIme pendant le repos. Pulsations par tout le corps, telles que souvent toutes les parties remuent. Afflux du sang vers le haut, vers la poitrine, l'estomac et la tate, avec froid aux jambes. GAne de ]a circulation dans le bras, quand on se couche dessus, et souvent aussi dans toutes les parties du corps. Intermission de quelques pulsations. 720. Suspension des battemens de coeur, pendant le sommeil, a midi. Chaleur, avec sneur sous les bras et " la plante des pieds. Chaleur passagere et plus grande disposition ' suer qu'a l'ordinaire. Beaucoup de sueur pendant la journee. Sueur continuelle, meme pendant le sommeil de midi, mais non pendant celui de la nuit. 725. Le sujet est tres-frileux; cependant ii sue ais&ment et beaucoup quand ii se remue. Il est frileux toute la journ6e. Il est frileux et ii a froid aux mains (de suite). Froid aux mains et aux pieds, qu'on ne peut echauffer (au bout de six heures). Frisson; sensation comme si on avait la chair de poule. 730. Frissonnemens et frissons dans le dos, sans soif. 64' DOCTRIN~E HOMOEOPA&THIQUE. ]a jamnbe' s'engourdit, et elle est comme morte dan's 1?articu'lation; cet e&at a' lieu surtout ve'rs le soir (au bout'de dix heures).. Acces; le matin (aprs virpis du lait),malaise eitre'me e't tremblernent dans tes merubres, pendant une h'eure; vertige et obscurciss'ement, de la vue; I6 s j e t s 'erait tombe' s'il ne s'etait p)oint appuye. 765. Adc'cs;' dans ]a ma'tin~e; envies de vornir e t vertigres, avec remuement dans ]a region pre'cordiafle, let froid semblabic 'a cclui q'u'on 6prouverait en recevant de l'eau froide suP Icl corps; en fixanit un bbje't, tout tourne en cercie, comme'si on allait. tomberý e'h avant; pesanteur telle, de la te'te, qu'on peut at peine ma,1rcher;'elle sembic plus lourde- que le reste dui corps. Grande faiblesse du corps; les forces ne suffisent pas pour le travail accoututn6, -pendant plusieui's semamnes. Le'sujet 6prouve surtout de la faiblesse le matin, -dans ic' lit, ou quan'd A reste assis'; ii n'en i-essent pas en marchant. En se 'levant, apre's avoir et assis', les jambes tremblent de faiblesse', etat qui se dissipe e'n nmarchant. Faiblesse, dans tout'le: corps, par exemple, quand on remue le bras. 77.Le sommeil ne'etu ps Douleur de lassitude' dans les jambes, le m:a'tint, en Jmme'diatcment apr's 'le som'mcii de iMnidi*, lassimtdc,. avec treixblement et dis'position'' a se laisset' toniber. Doule'ur cha'tot'iillantc de lass'itude. SEL CONMUN. 60 S) CMUN.Io,L'equitation affecte de ternps en tern ps le, suj et, et toujours de plus'en plus. 7,"5.11iest tre's-fatigu6 apr~s une. cour~te prome-s nade (e, second jour)..1ne peu~t supporter ]a fatigue de la marche; car tout-ti-coup ii devient las et rnaI~a son aise. Granfle faiblesise (le sixi'mne,,j~ou~r). Grande lassitude, tous les jours,. et a~ilme~ continuels. Bd'illemens tre~s-frtequens..7 80. B illemens, etý pandic~ulations (a t bout d'un quart d'heure). pres, ayoir kindr ibilleme~nt spa-smodique elnorme. - Grand-e fatigue ke jpur.,,et tendauce extreme a dormiir.iG.-ra ýýý oende somnolence clans la Jurnde; ii faut de gi'ands efforts pour quitter le lit, le matin (au bout de dix jours), -pendan't.queiques semaines, Somnolence dans la joizrnue; le, sujet, b~ille, et Mr gu moment 'T~ on s'y attend le moins. -A 7.5,1 ]lgendort detre's.-bonne heurele soir, et, ne se reveille -que tard, le, matin. Q uand Ai ne fait~rieni i s'endort. d'squ'il ~tass et cepp~n4pt s. e r~vei~IeA.-tous mornens. Le soi~r; iis'eiidort de bonne, hepre., etle, matin, iis'"veille taxd. II voudrait bieri dormir, mais ne le peu t. pas;.,)?~at entre, le soqixne~i1 -pt la veille., 11 se couche sans, avoir Ia nv~me eri'vie,de dormnir Wordin-aire, et, cepend~ant, ne t.Irde pasa s~endormir (le troisierne soi~r). 6Q8, DOC TRINE flO-MOEOPA&TFLQUE. est Qblagedes eore ovn, pour, se soulager. La fluit, e'lancernent dans, la nuque. La nuit, Man cement violent dans fa cuisse' gauche. 83o. La. nuit, beaucoup d'agitation'clans les jambes. La nuit, c,,hal~eur, qui empeche de s'enido'rmir, sans soif, avec douleurs s'emblables "a celles de l'accouchement, dans le bas-ventre (]a septieme nuit). Un bouillon nernent-de sang ý,r'v~eillel la nuit;, La nuit',-en s'e~veilLa'nt VIO-lente pulsation ides ar-' Ieres, sans, nulle sensation de chaleur-. Grande chaleur Ia niiit; le~sujet boit beaucoup, et ii est for't a gi't6 (an bo'ut de dix-huit jours). 835. La. nuit agitation causee par dui froid dans le dos.' Lejour,. uand. on ep o ed~es fri~ssons i-en meme temps beaucouip de tendance "a dormir; on s'en dort, et pendant le somuneil, M Ame kLant assis, on a chaUd et lPon sue un.pe~u. Le mpati t,. en dormant, froid suivi de-sueur, peu. avant le re"veil. Frissonneinens, lesoir, aye-c soif; 'deux soire'es. de suite. Le soir, dans, le lit, friýSOn, qui fait trembler les naiams et le~s jambes et claquer les, dents, san~sso-ifet sans qu'il siirvienne ensuite~de ch~ale~ur,; le sujetts'enif dort avant la fin, du fr-isson; deux soirees. de suite. 84o. Frisso~nnerens,, n~me dans la matin-ee, ave~c grand froid aux mains, qu blige a' mettre des gants, quoiqu~e a cO.hambre spit.chaude. Pen. avant le diner, lassitude subite si grande qu'on ne peut* se.tenir sur ses jamb~es,, et- qu'i~faut5e. concher; dans.lelit,, survienit un grand fr~oid,. suivi SEL COMMUNO 611 aper~oive aucun d~rangement dans ]a sante" (au bout de neuf jours). Souplesse du caracte're. Affliction, tristesse. Pendant trois rnatine'es, anxie~te soudaine, avec batternens de coeur. Anxie~t6", avec chaleur et sueur nocturne. 88o. Affliction; on se tourmente soim~e en ne pensant qu'ai des choses de'sagre'ables, ce qui affaiblit heaucoup.' II suffit de penserai un rnalheu r passe' depuis longtemps, pour que les larmnes viennent aux yeux. Le suijet est oblige' de pleurer involontairement. Acce's rapides, nais courts, de me"lancolie. Le sujet pleure de's qu'on le regarde (le cinquie'tne jour).885. De's qu'on le regarde, ii s'imagin e qu'on le plaint, etse met'a pleurer., Envie anxieuse de pleurer. Acce's de de'sespoir inte'rieur, qui brise les forces. Les consolations affectent plus vivement encore. Tristesse, inaptitude 'a prendre part "a rien. 890. Le sujet n'6'prouive que de tre's-courts instans de satisfaction. Ii est tre's-dispos6 a pleurer et sans groilt pour le travail. Au milieu de son travail 7,il perd tout "a coup l'envie de le continuer..I1 ne fait que lambiner,. et ii est~irnpropre 'a touite occupation s~rieuse. Aversion pour le travail. 895. Inaptitude "a rien faire; on voudrait rester les bras crois's, oii dormir, l'apr es-mid i (le second jour), 61q 6n~ DOCTRINE HOMOBOPATHIQUE. Delgoutt pour le travail, quoiqu',on soit dis"pose6 ' la me'ditation. Taciturnite'; on ne repondq'vcmuas imeuir aux questions. XXII. Soufre (Sulphur). J'ai de'jh, dans, le premier volume de cet ouvrage, restitu6 au SOLIfre son droit ý ~tre range" parmi les antipsoriques, et j'affirme ici qu'il est tin de ceux dont on petit le moins se passer, que erne, lorsqu'on 1'emploie convenablement 'a l'inte'rieur, dans la gale eclate'e peu de temps apre~s 1infection, 1i suffit seut pour procurer la gue'rison cornple'te du miasme entier. Mais, quoicjue, dans les cas oi A 1'exantheme pri. mitif a fte supprime par rnaladresse, dans ]a gale ancienne, soit latente encore, soit dedj "ade'velopp~e' sous- Ia forme de maladies chroniques, ii ne procure presque jamais la. gue~rison, cependant toutes les fois que la maladie n'a point e'te'de'figure'e ou tronquee par 1'ernploi -abusif de ce medicament, june seule dose de ]a preparation la plus convenable fait faire de grands pas "a Ia gue'rison, et fort souvent meme est indispensable pour 1'obtenir. Mais ce qu'.iI y a de plus triste,'c'est que fort souvent le me'decin horn eopathiste ne trouve 'a traiter que des maladies chroniques, qui ont e'te totalement de'figure'es par 1'abus de ce puissant reme'de. En effet les allopathistes, surtout modernes, n'y ont pas recours, pour de'truire le miasme psorique interne, dont I'existence n a memc point e'te soupConnee par eux jusqu'ii pre~sent, inais seulement pour remplir des indications partielles, qu'ils regardent cependant 604 DOCTRINE HOMOEOPATRIQUE. l'exiguit6' et la mauvaise qualit6 dui regime qu'iI est oblige' de suivre. Souvent alors Ai suffit d'une seule dose de la meilleure preparation soufre'e pour ache. ver la moitie' du traitement, tandis que le riche, minin' par 1'abus dui soufre, non seulement ne doit plu's espefrer aucun soulagement de cet antipsorique he'roique, mais ne doit.s'attendre qu'a' des resultats f~cheux, M me quand on le lui donne 'a aussi faible dose que possible. Car pAils tin me'dicament est effi-. cace et specifique dans une maladie avec: laquelle ii est homcepathique, quand on le prescrit 'a tre's-petite dose et convenablenient prepare, plus aussi ii nuit lorsque, comme font les allopathistes, on le prodigue sans mesure. D'apr es les dernieres corrections que j'ai apporte'es at ines procedWs, voici comment on obtient la meille-ure pir'~paration antipsorique de soufre: on, prend ciug grains de fleurs de soufre Iave~es avec: de 1'alcool, on les met dans, un petit flacon contenant cent gouttes, du meilleur alcool et qui ne soit rem~pli qu'aux deux tiers'; on bouche le flacon, on Iui im,prime deux secousses, et apre's 1avoir Iaisse' en repos pendant Vingt-quatre heures, pour que le soufre -en poudre se depose, on de'cante le liquide clair dans uin autre flacon; une goutte de cette liqueuir est alors rnelee avec: cent gouttes d'alcool, et le me'Iange agit6 deux fois;, on continue de Meme jusqu'a' ce qu'on ait oblenU ]a dilution a-u de'cillioninierne (X)2 qui est la preparation de soufre ]a plus douce, et en me"rtne, temps celle dan -S laquelle les vertus antipsoriques dii xn edicament se trouvent le plus de'veloppe'es. C'est pour cette raison que, fond6' sur 1'expe'rience, je la 'rf~re 'i toutesl~es autres. On en imbibe un, deux S0UFRV?. ou trois globules de suicre, dose dont 1'action dure quarante h cinquiante jo-urs. Le son fre ainsi pr "pare" et adminisr o~et~r tout dans les cas oii existent entr'autres les ktatss'u'l'vans: vertige quand -onl est assis; -tete e ntreprisie'; tete,entreprise, avec difficulte' de penser; faiblesse de la. memoire;. mal de tate pulsatif; fourm-illemfent et bouirdonnement dans Ia tke; gazte de,van't 1~~ occlusion des paupie'res, le hinatin; -tein t~pae 't -malade; bo~urdonnemenitet bruit'daniis les or'eilles;, tinternent d'oreiII11s9; bruisse'rhent dans les9 oreilles; selche'resse dans le nez; saignemient'de- hlezt; tauches hepatiques sur 1a''levre siip''' ieure; - inal de dents -lie soir; gonflement des genci-ves;' hvecdoukeur pnhsa-." five;- senisation c'h~ron ique 'd'un corps 8 &ranger daniis ]a gorgre et le ph~rytfx; rapp'ortsi'dem)auvamise odleu`-' pendant le sorfurneil;, rapports; rappo'rts d dl'inens; na-usees' avant Le repas; nausees api'es avoir-aing6i; natisees Ile ma'ti~n; sexrPeln-ent de- gorge av-eCaffhi~d-r,6a a ]a bouche; insipidite' des alirnens; appe~tit tr'6-tiVif; boulimie; -o'ppression, surpla. pditt'ihe, apre 's voir mange un pen, comme si elle d~ait charg&e' d'un porids; remanemen t dans la re'gionprcdae;an met dans le c6te' gauiche dui ventre, en marchahit'; COT-Iqites apres avoir bu; d6pla'cement'de vents; selles dures; selles 'se ulement tous les dtlex, ot troisjours; emission deol'urine dans, le lit, la. nuit; fafiblesse du.pouvoir ge'nital; pression stir les parties g~nitales; mnal de te'te avan't l'a'ppAri~tion de's Ire~les; re~our trop pre'oce des regles (au' bouit de trois semnairiies)~; ffileurs blai-ches; coryza; fourruille'ment dan's" I e, larynx, qui excite a% tousser; toux la. nuit *, difficidhk de irespirer; a sthme, avec' re~spi*rAtion iffh0At6 et SOUFRES. 617 ble qu'on, va e'tre pris de vertigo, et F1'o4poued suite des picotemens dans les yeux. En se promenant stir une eau couranto, vertigo qui va jusqu'a' faire tomber "a la renverse, avec une sorte de paralysie genetrale. IEn, se tentant debout, vertigo (le soir), avec afflux dtiisang yvors le coeur. Vertigo, quand on se coucho stir le dos, la nuit. i o. Le soir, un quart d'houro apres s'etre mis au. hit, verligo tournloyant, commo si onl allait se trouver mal, corinfr si tout tournait en rond; deux soirs de suite. Vertigre quand on est assis; en so levant, on chancllic. Toui'noyement dans la te'te. 'La tete, est entrep rise, comme quand on n'a pas dormi. Le mnatin, la tate est entreprise, avoc prossion dans le front, jusqu'a' niidi. 15. Le soir, la ta^te est en treprise. La tate est entrep rise apres avoir e'e'au. grand air. En allant au grand air, faiblesso dans ]a te~tc, sorte de stup eýur, avec ide'os desagreables, vagpues, pendant plusieurs minutes; e'tat qui est tan t0 plus et tant t momns prononc6. Stupeur telle, dansla tete, qu'on croit avoir perdu ja tate. Porte de me'moire, 'a tel point qu'on ne se souvient pa *s, ou 'a peino, de cc qu'on vient do voir.!20. Porte do ]a me'moire. HL~be'tude, etourdissement. Etourdissement et edancemens dans, la te'te. SOUYRE.,6,t~ Tension dans le front. Le matin, apres s'e'tre e'veille', dans l6 lit, mal de te~te; pression douiloureuse dans les yeux, seutement lorsqu'on les' h6ve.- plusieurs niatine'es de suite. Tension douloureuse dans la te'te. 4o. Mal de te'te, surtout le soir tard, et la nuit, dans le lit; de temps en temps, iine impression tr~sdouloureuse depuis le sommet de la te'te jiisque dans ]a profondeur du cerveau, qui oblige ht rider le front et ht feriner les paulpieres. Mal de t~e'e, ]a nuit; pression insupportable, par acces, et toujours croissante, dans l'occiput et au vertex, avec pression sur les yeux, qu'on est oblige" de ferm-er; f-roid que nul ve'tement ne' peut faire cesser, avec s~ieur tre's-f~tide, pendant laquelle le sujet est oblige' par ]a douleur h marcher ýa et Ih dans sa chambre (au bout de cinq jours). Mal de teate dans le front, cornme si quelque chose allait sortir par Ihi. Mal de te'te, dans 1equel les yeux. sont en quelque Mal de te'te, surtout dans la.rnatin~e, comnre si la te~te e'tait tiree en bas et en avant. 45'. De'chirement (?) dans la te'te, plutot le soir que ile-matin, avec lassitude et chialeur, sans soif; le sujjet est oblig6 de s'appuiyer la te'te sur une table pour se soulage'r. MIal do tete, la nuit., conime si le cra'ne allait s'ouvri r. De'chirement dans le fr~ont. En s'6'veillant, apre's avoir dormini ' midi, et en onvrant les yeux, viojeit- mal de tete, qui slurvi~ent tout 6.2o 620 DOCTRINE IHOMOEOPATIIIQIJE. at coup, et ne se fait gu~we sentir que d'uin seul coke', comme si le cervean e'tait de'hir6, ou ulce're (an bout de trente-six henres). De'hirement dans la te'te, commie avec une scie. 5o. Douleur de'chirante et comipressive clans ]a tempe. gauche et l1oMil. Mal de te'e convulsif..Donleur convulsive an dessus de l'oeil droit. Un e'lancemnent isoWe'clans ]a te'te. Elancemens dans la te'te, qui ont l'air de sortir par les yeux. 55. Mal de teate, tons les jours, depuis onze henires du matin jnsqu'au. soir; 6'lancemens au front, de dedans en dehors. Q uelques ela~ncemiens ati som met de ]a fete. Mal detete datis les temnpes, sorte de tournoiement et de fouirmillernent. Grand mal de te'te ani vertex, pendant douze hen.res (an. bout d'une henre et de'mie); ktat f~brile, qui se re'pete plusieurs jours de suite, Ie matin. En mangeant, douleur tiraillante dans l'occiput, si forte "a l'articullation du con, que Ie sujet est oblige de cesser de manger. 6o. En machant, toussant et se motichant, douleur an. sommet de la te.te. En toussant't eft&ernuAnt, forte douleur dans Ie milieu de la teate. Beaucoup de mal de tate, surtoul en se baissant. Tin remnuant Ia' tete, le cervean heurte le crane, avec douleur comnpressive. A partir de mid], mal de tete dans I'occiput; stu.peur dans cette partie, en marchant; le sujet est oblige' de rester assis, pendant quatre henres.I 622 IDOCTXUNE H0M01EPATHIQUED Les cheveux font mal quand on se gratte. 85. Prurit an front. Eruption de boutons pruriteux au. front, oihi 1'ori 6~prouve des e'Jancemens en se grattant. Eruption de petits boutons durs, au front, qui sont douloureux quand ony touche. Mouvement de la peau de la te'te, depuis la nuque jusqu'au front. Elancernent au front, qui a P'air d'e'tre sur I'os. 90o. Beaucoup de prurit dans les sourcils et ' a l racine (Iu. nez. Chaleur ardente au dessus et an dessous des sourcils, tous les apres-inidi. Convulsion dans les patlyie'res, surtout l'apre'srnidi. Tous les jours tressaillement de la paupi'ere infe'rieure. Convulsions dans les paupie~res. 95. Tremblement des yeux. Prurit aux paupie'res, comme si eIleS allaient s'enflammer. Cui sson un peu pruriteuise dans 1'angle externe de I'meil (aniib Iout de six heures). Orgeolet "a la paupie're superieure, d~ans 'angle interne. La pa-upiere superieure est gonfhe~e, et ii y a du pus sec dans les cils. j oo. Les paupieres sont gonfle~es et douloureuses: les yeux pleurexit. Se'cheresse douloureuse et cuisante ani bord des pau pieres.AI Douleur cuisante anucote interne dles patipie'res, apr~s mininit; puis sensation de se'cheresse et de 'frottement 'a leur face interne# SOUFfLE. 62,3 Cuisson, le soir', dans les yeux; impossibilit6" de yoi' "a la1umie're artificielle. Douleur dans les yeux, qui semble produite par de la, se'heressc, et 4ans laquelle ii parait que les globes frottent contre les paupieres. io5. Le matin, 1armoie~ment des yeux, qui ensutte sont secs. Les deux yeux laissent couler des larines grasses au toucher. Les yeux sont pleins d'un mucus purulent (chas-. -sic) (au bout de trois jours)...drdew cldans les paupieres, qui sont enflamme'es, rouges et tend ucs quand on les remute.. Gonflemient et rougeur des yeux, avec: de petits boutons sur les paupie'res, 110. Ardeu r "a 'exte'ricuir, dans les paupie~res. La vapeur du soufre produit.de suite la me'me sensation qu'unc multitude d'e'tince11es de feu toinbant sur les paupie'res, qui se ferment aussito't. Secousse br~i'lante clans la paupiere droite..zlrdeut,, dans lesyeux. Sensation cornre de chaleur dans l'oeil. i 15. Cuisson dans les yeux, semblable a** celic quc produirait l'ammoniaque. Elancemens semblables "a des coups de coutcau, dans 1'ceil droit. Doulcur comme contusive dans l'ceil, quand on appuic dessus. Pression dans les yeux, surtout en travaillant au. soleil. Tous les soirs, pression dans les yeux, commne si onl a-vait envie de dormir, ce qui n'a cependant pas lieu. j 20. Pression dans les deuxyeux, en inai'chant au. grand air. rouge; 1' fard~eur est su'rtout forte autour de la boche. Ardeni 'a la face et an col, sans rougeur., 14o. -Parfois un tressaillement stir Iar, tj oute,,' Ia,pommette, quelq~uefois at i, enton. Douleur tiraillante. sur le coke gauiche de ]a face au dessous de 1'oeil, a* atempe, e6t sur la pommiette,&' jusqut'au lobe del:'oreille (le matin surtout). Douleur tiraillante dans I'oreille gauche,, q'uand ont povedes rapports de 1'estom-ac., D'chirernent dans la nioitie droite l-de I ace. D'chiireinent dans 1'oreille gauche. 145. Fort'p'rurit aux oreilles. Elancemens dans l'oreille gauche (le'sixiemjo6'.-Vorts-eianceni~ns clans ]a parotide gonfl~e,- pend ant -plu s'i*euarsjo trs'. Douleur dans 1'oreille gauche.Le soir, awlit, bourdonnement d'6reilles -e-t 'flux: du sang vers ]a te'te.,15o.' Tintemfent etairuisemri~t dans le orites, su~rtout apre's- qu'on es~t'couch6,., Tintemensfre'quens dans les deux oreilles, quauid on est assis. Brussenem dans les oreillespnai lser esjours.useus Gargouillerne'nt, dans i'oreille, cornrn"es'ii y''ar-ait de Peati dedans, avec sensibilit6 excessive de l'duie (au claquement du fouct).i Sensibilit6' excessive des nerfs anditifs. che z-,tne personn~e quiAvait-1'or~eille dure, en sorte qu-e le's'on dui piano liii causait des naus~es. 13" v -5.Srdit6 pasagre des deux oreillesý (au bout de neuf jours). it. 40 628 628 DOCTRINE IIOMOEOPA.THIQUI. M~alI de delts pe rfo rant, comnme Si on y plongeait un fer rouge. j 95. Mal de dents tiraillant. Violente douleur tiraillante dans une dent incisive jusqu'a'onze heures ciu soir; puis insomnlie j usqu Iau mat in. Douleur tiraillante dans les dents molaires) qui augmente quand I'air entre dans la bouche. Mal de dents; tiraillement. Mat de dents par acce~s d'une 'a deux heures, au.quel suecc~de un remuern ment; on su~pporte plut't le froid que 1,e chaudý. 200. "Mal de' dents, qili se renouvelle quand on se lave la bouche avec de l'eau froide. Mat, de dents; secousses et quelques e'1ancemens periodiqu-es, qui se font aussi sentir apre~s minuit et le matin, qu'on mangye ounOn; au granid air, dou. leur dans la gencive, qui est douloureuse aussi par e1Ie-me'me, comme si elle etait de'tache'e. Les dents sont comme paralys~ees quand onmange, et comme un peu. moins solides quand on mord. Le soir, sensation dans les dents comme si elles tenaient momns. Mal de dents; A'ancement dans toutes les dents.,le jour et la nuit, qui augrmente en mangeant. 205. Mal de dents; jour et nuit, e'lancement dans toutes les dents. Mal de dents; 6'lancemen~t, battement et pulsatiouj, qui s'e6tendent: aussi dans les orbites et dans l'oreille. Mal de dents; e'1ancement j-usque dans I'oreille, qui re~veille la nuit. Mal de dents, qui se termine par une fluxion 'a la joue. SOUFRE..629.Mal de dents te'rebran t et pulsatif. 2, 1o. Mal de dents, tiraillant et pulsatif. Douleur brdlIanZtesur la langue. Cuisson sur la langue, comme si elle e'tait couverte de boutons. Amnpo ules dans la bouche, qui causerittine douLangue rouge, parserniee de petites taches blanches, qui resgemblenta' d(es aphthes.!215. Lan gue blanche. Lan gue tre's-blanche le matin, rouge et nette l'ap~res-inidi. Langue charge'e. Langue tres-se'che, le matin. Bouche tre"S.pateuse, le matirn. 9220. Tous les matins, mucus sale' qui charge ]a langue. Le matin, grande se~cheresse dans ]a gorge, puis gou tres-sai6e dans Ia bouiche, qui se dissipe apre's avoir mang6e. La nuit, Se'cheresse da-,ns la gorge, et en s'6~veillant behucoup de muicus sur la langue. Sekheresse dans la gorgre; la 1angue- se colle 'au palais; quoiqui'humide, elle est cotiverte de mucus' ecurneux (ati bout de six jours). Grande se'heresse dans ]a bouche apr~s avoi*r mange6. 2,25. Secheresse dans ]a bouche et~grattement aIans la gorge, comme si les alimens ne. pouvaient pas descendre. Aridite" dans ]a gorge. Grande se'cheresse au palais, avec soWf, qui obliare "a boire'beauicoup. Secheresse chin~ le pharynx. 63lo 63o -D0CTRINE LTOMOEOPATHIQUE. Le soir, ardeur daxas le pharynx et chaleur sur la, lanarue. 230. Le matin, ardeur dans ]a bouche, sans soif. Adrdeur qui remonte dans la gorge, av-ec rapports acides. La nuit, beaucoup, de chaleur dans, la bouche et une grande soif. La luette est tombe'e. Les amygdales sont rouiges et gonfle'es (au bout de Qnze jou-.rs)..235. Mat de gorge, avec prolongement de la hiette, et mteme sensation que si ofl avait toujours'unf morceau a avaler. Mal de gorge; en avalant "a vide, ii semble qn'on ait un morceau arre'te dans la gorge. Sensation, dans la gorge, comme si elle, etait gonfle~e en dedans, avec e'lancernens Iorsqu'on mange; le gon-fleme~nt de ]a gorge se fait sentir aussi "a l'exte'rieUr dans les angles de ]a maichoire. Au milieu du pharynx, sensation de constriction spasmodique; les alimens rencontrent de la re'sistan ce quand on avale. S~ensation d'e constriction dans le pharynx, qui fait croire qu'on ne peu~t pas avaler, q{uoiqu1'on en ait la, facilit6' ( atu bout de quelques heures). 9,-4o. Pression doulonireuse datis ]a gorge en avat]ant, comme si le palais etait gonfle'. Pre~ssion doulou reuse dans Ia gorge, en avalan t et n'avalant pas, comme s'il y avait un corps e'tr~anger dedans. Pression,'par intervaIIps, dan~s la gorge, sayant l'air d'7 Atre dans la nuque, qui se fait sentirmwrne en res.pirant, et dure toute la~nui, j usque vers lexo~t~in. SOUFREO 633 2,85. Faim immode'i ee. App't-it immod'ref. Apre's avoir mange', gargouillemens bruyans, non douloureux, dans le ventre..Suirtout apres avoir mange, enchifrenement fatigant, avec ple'nitude dans ]a te'te. Apr~s le diner, paresse dans tous les, membres,, les jambes, surtout (le troisieme jour). 290o. Apres avoir mange', chaleur briudante dans les mains. Apre's avoir, mange", frisson et sentiment de froid,. En sortant de table (et le matin), frissonnemons. Apre's avoir rnange', frissonnemens, dans le basyen tre. Grande soif continuelle de bie~re, surtout une heuire apres avoir mange. 295. Soif (de suite), pendant plusieurs, heures. Soif ardente de biere. Grande soif pendant la journee. Grande soif, sans chaleur; les boissons, ont bon gocU.t, miais, n'apaisent paus la soif, et paraissent aussi charger l'estomac (au bout de deux heures). INul appe"tit, mais soif continnelle. 3oo. It suffit d'une petite quantite' de bie're pour donner un boujilonnement de san~g. GOCl't de vinaigrre dans la bouche, ausst apres avoir bu du lait. Le lait ne passe pas; iA donne de violens, rapports et des vomissemens muqueux. Le lait procure, des rapports un peu amers, qui grattent la gorge. Ra~pports. amers et grattenI ent dans la gorge, apres gavoir nainge6, 634 ]DOCTRINE HOMTOEOPATfflQUE. 5o5. Rapports qui gratten-t le gos~ie~r, apre's avoir bu. de la. biere. Le gouit de la biei'e reste long-temps dans la bo~u.. die. Rapport-s d'oeaifs pourris, avec nause'es. Rapports aigres, apres avoir mange' (le. deuxirnel jour). Rapports acides, avec un go Alt de plomb. `3 io. iRapports aigres, plusieurs Lois par jouir. - B apports ai~gres, plusieurs Lois dans, la journuee, et pression 'a la region pre".ordiale. Le matin, rapports, douce.Atres. Rapports ayant le go 1t des alirnen s. Tous les matins, rapports Ai vide. 3 j5. Freqtiens rapports "a vide ( le dixie'me jour). Rap~ports incomplets, en allant se coucher. Rap kports en forme de hoquet, cjui, chaq~ue fois causent de la. douleur derrie're le palais. Une partie de~s alitnens qut'on a pris ( 'adjenJtner) re~flue h la bou-che (au bout de trois heures et demie). Des alinwns non dige~res, reviennent de 1'estomlaC A ]a bouche. 320o. Une sorte d'impossibilit6' de dige'rer (au bout de sept jours). F~iim Canine,; le sujet est oblige" de mna;ger souvent; lorsqu'il ne le fait pas, ii est pris de mal de t~etoblig16 de seý coucher ( au bout de dix jours). Sodla, toute la journee.,Le matin, sensation de soda en. avant,,dans ]a poitrine; ardeuir et fourinillement.II Le sir, 'eauvienhtla bouche et eoule en abon dance; pendant ce temps, impossibilit~ e jai, e sotirRIEP 63ý drie, quelques heures apres le d'Iner (au. bout de quatre jours). Dcualeur tensive et bru'dante, dans la' region' da'iifoie. ti1ancemens passag'ers-, de dedans en dehor's, dans la re~giorz 1upatiqzme. P'ress'ion sousý les co~tes droites, qui A1 l'air d'tre dans ic. foie, Pression dans 1e foie, qu'i reveille la nuift, av'ec teint jeaun.e; du blanc de l'oei.A 385. Apre's avoir mange-, pesanteur 'daris le bag-- Svenltre,comxne 'i 17estornfac 6tait su'r~chairg6. Ple'nitude dans le bas-ventre, apres avoir m'n~g'e.' Go'nfP~mendui ventre, souvent. Gonflement et duret6 du' bas-ven'tre, surtout le soir'. Tension dans le bas-ventre. 390. Tension dans, le bas-ventre, co'nme si des vents s'y de'placaient. Le matin, en s'6veillant, douleur dans l6g dciii W~is da, bas-ventre, comine si des vents S'Y. d'pa. qaient; ceu'x-ci ne sortent que par petits -fragiens., Ct.. sans soula ger. Des vents se fixent dans 1'hypocondre gauchel avec anxie't6e. Sensation dans le bas-ventre, commne si quelque chose trayersait. les, intestins avec effort. L'endroit d'une ancienne hern-ie fait saillie: on- eq,oblige -d'appliquer le bandage (le vingit-detixihe"M jour). 395. Douleuirs lancinantes, panssagýer'es, dansý le bas-v~entre ( le neuvi eme jout). SOUFRES 64', 4io. De'chirement (?) dans les glandes inguinales des deux c6tes. Pression. sur l'anneau. ombilical, cornme s'il allait survenir une hernDie. Une bernie commencante sort avec violence, avec douleur contusive, et on ne peut pas ]a re'duire avec la main (an. bout de quatre heures). Avant d'aller 'a la s elle, sensation comme de don.leur dans les- intestinDS. Apre's avoir e'e'Ch la. selle, sentiment de contusion dans los intestins. 4i15. Grande lassitude apr~s avoir e'te "a ]a selle. En allant l* a selle (le soir), Dause'es aussi fortes, quo si onl allait vomir. Deux selles, t iqaiides, et ensuite pression "a1'est~om-f mac, dans, ]a matine'e. En croyant rendre un vent, ii sort involontaire-. men t et promp tement un pea de liquide d'aspect bilioux. Pression. douloureuse dans le rectum, en allant h la selle, quoique les matie~res soit molles. 4120. Pendant une. selle molle, affluix du san~g vers la teate. Diarrhe'e (au bout de quarante-huit heures),:pen. dant quatre jours. Toutes' les, deini-heures, une selle diarrhe.ique, liquide, comme de l'eau, p'cd'e chaque fois de gar'gouillernens, dans le ventre, tout4."fait sans douileur (le troisi~rne jour). Six selles diarrhe'iq~ues jusqni'h ]a syncope, d'abord avec chaleur et suceur chaude, puis, avec sueur froide' 'ufrotetax pieds, et langue charge~e. IT. 41 644 DOCTRINE HOM1VOEOPATHIQUE. Prolapsus du rectum en allant "a la selle. Apr's tirne bonne selle, hemorrhoides a' l'anus, qul M~intent. J-Ple'nitude dans le rectum, avec te'nesme. Borborygrmes dans le rectum. 46o. Le soir, en s'asseyant, fourmillement et cuisson, dans le rectum, comme STi s'y trouvait des,asciari-des. Pruirit dans le rectum. Violent prurit dans l~e rectum, plusieurs fois par jour. Etant cotich6", douleuir cuisante des plus vives zddans le rectum. *Douleur cuisante entre les fesses. 465. Apr es ]a selle, contriction -douloureuse dans 1'anus. Senisation. de constriction dans le pe'inee. *Urine d'uni bran fonc6e. L'urine se trouble au bout de quelques heures'. Sedimnent ronge~tre dans 1'urine. 47o. Urine tre's-f~tide. Urine claire cotmme de l'eau (an bout de deux heures), et dont I'emission est tiles-fre~quente. A1preS 7minuit, le sujet est obligý de s e reler-er pour pisser, et ii rend beaucoup d'urine. Deux fois dan-s ]a nuit, ii est oblige' de quitter le ift-pour uriner. Grande env'ie d'uriner ica nuit. 475. Frequentes envies d'uriner, auxquelles on peut a peine resister un instant. Frequentes et rapides envies d'uriner: le suijet est oblige' d'uriner souveint coup stir coup. Envies fre'quentes et prornptes d'uriner. SOIJFRE. 545 Sensation dans 1'ure~tre, comme s'iL fallait uriner conti nuellemen t. Violente envie d'urincr:de's qu.'elle se fait sentir, ii faut y ce'der sur'le-champ, sans quoi 1'rine sort involontairernent. 48o. Quand on lMcbe 1'rine, elle sort avec beau-' coup de violence. Fl-quentes emissionzs d'urine (au bout de six jours). Envies continuelles, d'uriner; rinais 11 sort peu. d'urine chaque fois. Jet de 1'rine intermittent. Jet de l'rine beaucoup pl)us mince qu'h1 1'ordi.. nawre. 485. Fre'quentes envies d'uriner, chaque soir, prepcedees de defchiremen s dans le bas.-ventre. De'chirement dans le bas-ventre avant d' urinei'. Forte pression sur ]a vessie. De'chirement dans 1'ure'tre avant d'aller 'a ]a selle et apre's. En finissant de pisser et apr~s, de'chirement dans, 1'ure'tre, comme si 1'uri'ne e'tait 'acre. 490. Pendant que l'urine coule, ardeur dans I'uretre., en devant. Ardeur dans 1'ure'tre en urinant. Ardeur dans 1'uretre, "a sa partie, ante~rieure, hors des inomen S o0 1'. on urine. Ardeur dans l'ure'tre. Prurit dans le milieu de l'tirl'tre. 49'. Elancemens en avant dans 1'ure'tre. Douleurs lancinantes passage'res dans l'ur~tre (le neuvi~me jour). Elancement et de'hirement dans l'ure'tie. 646 DOCTRINE HOMOEOPATHIfQUE. Douleu~rs dans 1'uiretre, comnme au commenceme'nt d'un'e gonorrhe'e. IRougeur et inflammation "a l'oriflce de 1'ur'tre., 6oo.1 Elancemens dans la verge. Le matin, en urinant, efIancemens dans'la v-erge, le ýgland surtout, comme si 'on par~ait luretAre: 1'urine d'abord ne coule qua goutte ai goutte, et ensuite elle s'est tout-a'-fait supprime~e. Gonflemnent et rougaeur au prepuce. Rougeur et ardeur au pr6puce. Prurit an. gland. '5o5. Fr'oid glacial au gland et au prepuce. De' hirernent dans Ile c6te' gauche du scrotum. -Picotemens dans le testicule. Pression, et tension dans las tasticule's et las cordons spermatiquas. Tramblernant dans les testicules et les parties ge'ni-. tales. 5S1o. Les parties ge'nitalas re'sistent 'a une e'jaculation,comple'te. impuissance chaz un hom-me, quoiqu'il ellt I'esp'rit plin dIdes amoureuses (les seize premi erns, heures). Augmentation de ]a puissance ge'nitale (au bout de cinquante-six heuras). La matin, apres s'etre reveille', sensation, des plus voluptueuses dans les parties genitales intarnas, avec erection, d'abord forte, puis faible, qui dura una heure at demie, at qui defgyene're en une douleur briullante, dontIle S Ujat ne fut de~barrasse qua peu at pau apres l'e'jaculation (au bout da Vingt-quatra heures). Pollution avec une douleur briulante dan s-l'uretre. 515. En dormantha midi, edant assis, 6jaculin 65o DOCTRINE HOMOEOPATTHIQE. 565. Crachats ayant le goiit de ceux qu'on rend dans un ancien coryza. Asthme. Asthrne des plus violens, convulsions et mort, dans l'espace de quatre jours. Apres une promenade, asthme qui oblige a faire frequernment des inspirations profondes, jusqu'au soir (au bout de vingt-huit heures). Respiration courte, en allant au grand air. 570. La respiration devient courte quand on parle beaucoup. Sensation de pression sur la poitrine, qui empeche de respirer. Stertoration et bruissement dans la poitrine, que l'expectoration diminue(le huitieme jour). L'apres-midi et le soir, oppression dans tout le corps, mais surtout dans la poitrine, sorte de presw sion qui semble s'exercer du dehors, avecanxite'; apres s'etre couch6, sueur qui debarrasse de toute incommodite. La respiration s'arrete souvent, pendant la jour. nee, jusqu'a ]a suffocation( au bout de quatorze jours). 575. En se retournant,lU nuit, dans le lit, sur le cote gauche, \defaut subit de respiration, qui cesse en se mettant str son seant. La respiration est souvent coupge pendant le somrueil, de sorte qu'il faut eveiller le sujet pour qu'il ne suffoque pas. La nuit (vers une heure), en dormant, ii est menace de suffocation, et cependant ii ne ressent atucune douleur (au bout de quciques heu res). A peine ejudormi, la nuit, sa respiration s'arrfte; 652 DOCTRINE HOMCIEOPATHIQUE. Elancemens dans le c6te gauche de ]a poitrine, en respirant, pendant quelques jours. 595. Elancernens dans le dos, " chaque respiration (au bout de vingt-quatre heures). Elancemens dans les muscles du dos et dans a poitrine. Le matin, en s' veillant, ]a poitrine est comme echauffce. Le matin, en s eveillant, ardeur dans la gorge et respiration chaude. Ardeur dans la poitrine et forte chaleur an visage. 6oo. Sensation de froid dans ]a poitrine, sorte de tension, comme par tn frisson. Mouvement etrange dans Ia region du coeur. Craquement dans le cote gauche de la poitrine, etant assis et couch6, qui cesse quand on soutient la respiration. Le soii, en s'endormant, prompt et fort battement de coeur. Battement de cceur, avec anxiet6, presque sans cause, par exemple en se couchant pour dormir " midi. 6o5. Battemens de coeur, avec anxiete' Grand afflux du sang vers le coeur. Le matin, on s' veille avec affiux du sang vers ]a poitrine. Grand afflux du sang vers la poitrine. Violent afflux du sang vers la poitrine, sorte de bouillonnement, avec disposition a se trouver mal, et tremblement dans le bras droit. 6io. Douleur dans la poitrine, comme s'il y avait luxation, avec oppression. Souvent de ]a douleur "a Ia partie supelrieure de la SOUPRE. 6ý3 poitrine, comne Si l'on avait fait une chute dessus. La poitrine est douloureuse quand on remnue le bras. Les c6tes droites sont douloureuses, surtout au toucher. Elancement dans le sternum, surtout quand on y touche. 615. Douleur dans le sternum. Convulsion dans un des seins, qui se gonfle, conmme s'il allait y venir du lait. Douleurs aifreuses dans le sacrum, quand on se b aisse (et non quand on est couch6); sorte de tension, comrne si tout etait trop court; les douleurs traversent le bas-veritre pour gagner la region precordfale, et s'etendent jusque dans le genoti. Elancemens dans le sacrum. Forte pression dans le sacrum, qui diminuequand on marche. 620. Pression dans le sacrum, qui se dissipe en marchant et revient lorsqu'on s'asseoit. Douleur au dessus du sacrum. Douleur aut, dessous daz sacrum, en marchant, mais non lorsqu'on est assis. Raideur douloureuse dans le sacrum; on ne peut qu'avec peine seIever de dessus une chaise. Douleur dans le sacnum, en se levant de dessus: une chaise. 625. Douleur subite.dans le sacrum et les muscles du bas du dos, cornrne la suite-d'unee luxation. Tiraillement ct faiblesse dans le sacrum. Douleur au sacrurn. En faisant un faux pas, douleur dans le dos, comzne s'il y avait luxation. -SOUJFRE- 5 71:0. ouleu de lxation dan s Iaifticulation pos& rieure dii pouce (au. bout de dix heures). L Leptit doi-gtest,.engou,,di pen~dant quelqdfe tenips ~les articul~ations desd~oigts sont gonflees., raides rVougPs,:carnme gele~es-; des fJou~rniIfemen ss'yio fnt TDouleun tirail-laute dans hes doigt -*ar seodusses ~1~U~erA~rdan~ le piLi dti doigt m-edius. droit, )comme s'i ytait entr6,un-e -chkfde. - * ~.Convulsion involontaire 'ds doigrts., Fort gonflement de trois doigts dui milieu des cleux Yfroid aa x deigts& -L-g etdeuxpeti ts doiagts sonit-en-gourdis.' --Le mnatin, les do-igts sgont -corhrne morts; is~ viennent ex~lanigu'stavecsens~tiondenotis& mnent et de fourmillement, et la peau de 1eur'e xtr'e' mi1,s e ride 'jridant duxhuft,~'tts) brd 7!20. Envies aux doigts. T~e i~aip duleraubou des doigfs, coni m--e'.Sion *'ait couples.oigleS trop cour~tsN Fo~rte smur eqtriles dpyts~ 7-2 5. Panaris, deux fois de suite. Quand on reste IJong,-tfe nipsa'ssis47; doli-Murt od-af tout le ýie'ge et les ischions.-:: dans ]a hanche,) 66o DOCTRINE HOM0EOPATEIQUE. Tension douloureuse dans 1'articulation de la cuisse. 730. Violente douleur dans 1'articulation de la cuisse-droite, au moindre mouvement dans le lit, semblable,' celle qui resulterait d'une luxation, et telle que, le natin, on ne petit ni se tenir debout, ni marcher;]a p artie est doiloureuse aussi au toucher. Douleur dans ]a hanche, seulement lorsqu'on narche et qu'on y touche, comme sil'on y avait re~u une forte contusion, ou si 1'on avait fait une chute sur cette partie; la douleur est -nulle quand on reste tranquille. Douleur dans 1'ischion, qui ne permet de rester ni assis ni couch6; la paartie cause de la douleur aussi quand on y touche, comme si elle etait malade en dedans, et en se levant de dessus sa chaise, la cuisse est comine engourdie, avec pincement douloureux 'a l'ischion. Secousses comme de crampe, subites et extremement douloureuses, autour de I'articulation de la cuisse. Douleur tiraillarte dans ]a hanche gauche. 735. Sentimentcomine de lassitude dans Iesjambes. Agitation dans les jambes, le soir, qui ne permet pas de rester dans la chambre; elle dure jusqu'au moment de se coucher, deux soirs de suite. Chaleur seche dans les jam'bes (au bout de onze jours). Engourdissement de la jambe gauche, pendant une heure, deux soirs de suite. Crampe dans ]a cuisse droite. 740. Fourmillenent pruriteux ý la cuisse droite. Pesanteur douloureuse des jambes. 668 DOCTRINE HOMOEOPATHIQUE. Apre~s s'etre gratt6, ]a partie devient comme chaude. ftruption cutan6e, semblable "a celles qui surviennent ordinairement apre~s la vaccine. 855. Eruption "a la peau. La peau se fendille Sa et ]a,'surtout an grand air. Sorte d'eruption niliaire par tout le corps, violent prurit, et ensuite de squarnation (an bout de six jours). Eruption miliaire rongeante an visage, aux bras et aux jambes. Furoncles. 86o. Ulcerations dans les intestins. Vive frayeur, meme quand on est appel6' par son nomi. L'apres-midi, etant pleinement eveilhe, frayeur extreme; un frisson parcourt tout le corps. Secousses isolees dans une main et un pied, pendantla journe'e. Epilepsie 'a la suite d'une frayeur on apre~s avoir beaucoup couru. 865. Acces comme d'epilepsie; ii semble qu'nne souris court sur le bras on le dos; ]a bouche se retire "a droite ou a gauche, des douleurs passent dans le ventre, puis le bras gauche se retourne et les pouces se ployent clans le creux de ]a main; ensuite sorte de tremblement dans le bras droit, le corps se redresse et s'abaisse par secousses', la respiration est tres-courte; apres l'acce~s, ]a respiration est, encore plus courte; pendant l'accks, le sujet crie, nais ii ne pent parler (au bout de douze jours). Acces: en marchant dans la rue, la tate est prise subitement; ]a vue s'obscurcit, le 'sujet recule;d'une 670 670 ~DOCTRINE IION~OiEoPATIIIQUE. Sensation de tremnblenient. dans les bras et les. jambes,, 875. Besoin. d'etendre et de feriner les uaajns et les orteils.f Grande agitation; on ne peut rester long-temps as~sis; on est oblig6' de. se toucher sans cesse aux pieds. Grand boujilonnement de sang, vive ardeur~dans. les mains. Agitation, dans, lo sang, avec gonflernent des veines stir les mains.I Fre'quemment, une grande chialeur passage~re, qui se dis~sipe en tres-.peu de temps, 88.SDsation de chaleur dans tout l'int'rieurt dlu corps;- ardeur bri'lante qui remonte le long de la poitrine, et cependant pas, de soif;. ii faut se fo~rcer, pour boire. L'apre's-ridi, de'marche incertaine et tremblement dans les mains. Tremblement des membres, des mains surtout. A~nftnest extre'metnent sensiblea 1impressi"O'l 4,q lair,,et ne, veut pas Sor'tir (les premiers jours)... Au moindre effort, -sueur qui coule par gouittes au visage. 885-. En marchant au grand air, sueur abondante., Le matin, dans le itsueur au visage et hi. 1a,)nique,.et,.en se levant, douleur cornme contusivedAn, S les mernhres-.ý, Du mnatinl; au soir, grande pesanteur etv htsitude dans tous les m~embres. Lassitude, toute la journee. E puisement des, forces dans le:"bra~s et ig j~an-be, cornme si l'on allait tomber en syncope le449tijet- est 7 ]DOCTRINE HOMOEOPATIIIQUE. 965. Froid passager a la poitrine,auxbras et an dos. Froid au nez, aux mains et aux pieds.,gensabion de froid danstous les membres, sans chaleur ensuite, dans ]a matinee. Le soir, pendant une heure, froid qui remonte le long du dos et n'est pas suivi de chaleur. Froid h Finte'rieur. 970. Frequemment dii froid " l'interieur, sans soif. La nuit, apres des coliques, froid pendant quatre heures, dans le lit, avec chaleur, sans sueur, pendant cette nuit-la, mais sueur copieuse la nuit stivante. _Tous les soirs, froid, que la chaleur du poele ne peut faire cesser; dans te lit, grande chaleur, et, tous les matins, sueur d'odeur aigrelette. 1Froid, avec diarrhee, pendant queiques heures. Je,,oir, froid avec frisson et grande pa'eur de la face. 975. Froid, le soir; frisson f6brile, qui 6branle tout le corps. Le soir (de sept ' huit heures),froid et frisson, avec froid aux mains, sans soif; forte pression 'I l'estomac, comme si une pierre appuyait dessus; ensuite chaleur ordinaire, avec soif. -Le, soir, d'abord du frisson, puis chaleur dans les mains eIt au visage, avec soif. Le sujet s' "eille, la nuit' avec du frisson f6brile, qpique son corps soit chaud au toucher: ii prouve ensuite un pen de chaleur; Sentiment de grand froid, l'apres-midi; ons'echauffe ensuite, mais les pieds restent froids. "8o. Dans ]a matinee, froid; 1'apr's-midi, sensation de chaleur, quoique le corps soit froid au toucher, 678 DOCTRIN~E IOMOEOPATHIQUE. 990. Fie'vre; d'abord de' la chaleur ail visa.ge, et la mernie sensation que si an sortait d'une maladie grave; apres la. chaleur, un pen dle froi~d, avec beau-. coup de soif (au bout de q'uatre jour's)..Fie~vre; tous les matin's, froid interne, plus fort de jour en jour, avec vertigre, comme Si la Ikte aI!ait tornber, sans soif; ensuite, lassitude telle, qu'on- ne pent plus, monter un escalier; sueur jour et nuit, surtout ~ ata te, qui est enflee. Tous le's soirs (vers huit heures), froi 'd pendanut deux heures, sans chaleur; mais, la nuit suivante, en S'eveilla'nt, le sujet a, de la, chaleur, sans, soif. Le matin, beaucoup de soif.. Beau coup de soif dans la journe'e. 9,95. Chaleur toute la journ. e, avec beaucoup de so~if, mnais point la nuit. ataleifr s1e'e, le. matin, dans le lit. Chaieu'r le m''atin, en s'6'veillant, quil se dissipe' bien 0~t Le matin,' dan s le lit, chaleur af'freuse, de'sagr-eable, avec sueur et secheressse dans la gorge (an, bout de'trois jo'urs).' Vers le matin', chaleur, comme s'ii allait. survenir de hisueur. i'ooo6. Frequente sueur le, matin, seule~ment aux parties qui s~ont sujettes, au prurit. Le matin, en dormant, sueur, qui cesse qua~nd. on s ev&i1Lle.* Le matin, sue,ur aux mai1ns et aux pieds. Le s'oir, avant de' se coucher., sueur, surtout aux maiDs, et de'squ.'on's'est couche, chaleur sur-Ie-champ, avec diffic'ulte" de s'endoi-niir. Le soir, un pen de sneur dans le lit. tw5 Al M -4~ /,J. IN. )*- J I IN.. Ar.4 Y, 4... 4. ~ 44 '4I 4 N'M T".: k.4 4 _AFZ~. 4--*~ *A,9~~ 4~ p 1 44..' ~ ~ ~*Of.4 1 ---4 1.- Ins